Vitoria luxuriance et nuit d'errance

En revenant de st Sébastian, je retourne à vitoria pour trouver une station essence et je ne veux pas aller à l'hôtel et décide de dormir dans ma voiture; cette ville est une sorte de cité champignon, ses constructions sont des barres d'immeubles "colorées", il y en a des rouges, des jaunes, des pâles vertes etc... et au final c'est pas mal du tout.
Je tourne un bon moment au travers de la ville, pour enfin stopper mon véhicule proche de la route, pose mon chapeau sur les yeux pour que les lumières ne me réveillent; j'ai quand même roulé du matin jusqu'au soir et découvert un super village en hauteur Estella, bon Pamplona c'est plutôt polluée, le matin c'est le fog, et la journée le fog... je décide de tirer vers le sud pour recouvrer ce soleil que j'ai entrevu avant.
Pour en revenir à Vitoria, après quelques heures de repos je décide donc de reprendre la route, la ville est grande, les routes d'une largeur effroyable et je n'arrive pas à m'extirper de la ville. C'est le petit matin, toujours la nuit lorsque une station service apparait je passe devant les pompes, elles sont hors-fonctions, devant moi une mercedes vitre opaque est à l'arrêt, je n'en tiens pas compte lorsque une belle black me fait signe, je baisse le carreau du passager et elle me dit; fuera, fuera (dehors), comme je ne connais pas bien l'Espagnol, je prends un briquet dans un rangement et soudain elle panique et commence à s'enfuir et se retournant j'allume le briquet et dit, c'est un briquet... du coup elle revient grimpe dans la voiture et me dit 40 EUROS, j'hésite puis je sors un billet, je n'ai pas la monnaie, elle l'embarque, tant pis moi qui ne voulait pas payer l'hôtel, mais bon c'est trop tard...
je lui demande son nom et me répond s'appeler Anne, tout en ouvrant son décolleté me proposant par son entrebâillement l'un de ses seins, je lui caresse légèrement le coup et dans l'élan m'invite à enlever mon pantalon pour m'enfiler une capote, je l'enlève, mais c'est pas la trop la joie, cette journée m'a crevée et je ne suis pas du tout dans le coup et je me dis intérieurement qu'est-ce que je fous là... enfin je fais l'effort et c'est difficile pendant quelques minutes, elle s'appuie sur la portière et ma voiture au final est, minuscule... pour ne pas qu'elle se tape la nuque je pose mes mains derrière pour ne pas trop la secouer, puis Anne sort mon sexe et je crois mais dans la pénombre je ne peux être sûr, ce le glisse ailleurs je pense...
là la voiture bouge pas mal pendant un petit moment et c'est la fin.
je suis fatigué et chercher à retrouver mon souffle (j'ai envie de l'embrasser sur la bouche mais je sais que les prostituées n'embrasse pas sur la bouche (elle vient auparavant de me tirer une pipe, c'est vrai...), Anne me permet une bise sur la joue et me sourit me disant que c'était pas mal du tout (j'ai franchement des doutes). me file un essuie-tout, j'enlève la capote et Anne me montre au-dehors pour la jeter, je le fais, j'ouvre la vitre et zoup balance.
et en suite me redemande des tunes, je dis non! elle insiste, je lui dis de sortir, elle sort et ferma la puerta! à ce moment Anne semble paniquer me disant va qui!, va qui! en regardant la mercedes, qui je suppose est à son mac mais c'est pure extrapolation, alors sans me presser je repars sur la route.
Voilà les nuits bizarroïdes made in Espania...

Tu devrais écrire dans un seul sujet à la suite plutôt que multiplier les nouveaux sujets.

Du coup on pourrait lire l'histoire dans l'ordre et mieux comprendre la chronologie.