Ici, postez une chose négative de votre journée

Héméralopie:

@Sneglia:

Parisette a écrit:Enaid

doggie a écrit:Ouais, elle est bien, elle ne mérite pas d'être sur ce forum.

Zebulonzèbre : Ces mots, je l'espère te réchaufferont un peu l'Âme et le Coeur...

Ethéréa a écrit:
La tristesse ressentie en me plongeant dans les mots exprimés par zebulonzèbre :


Lorsque nous Âimons, nous ne sommes jamais dans l'erreur, ni envers nous-même, ni pour ceux que nous Âimons.

Lorsque nous faisons preuve de Sincérité, d'authenticité et de volonté constructive, bienveillante, et que malgré toutes nos tentatives pour trouver des solutions afin de "franchir" les obstacles dressés sur notre route, nous sommes "tombés" ; nous finissons toujours par nous relever.

Même lorsque nous boitons, nous avançons. Nous apprenons beaucoup plus de nos erreurs, de nos échecs que de nos succès.

Zebulonzèbre : Ces mots, je l'espère te réchaufferont un peu l'Âme et le Coeur...

Peut-être, peut-on se ressentir « bouleversé, apeuré, perturbé, effrayé parfois » par certaines « composantes » existantes en nous, certaines « substances » qui nous crient leur existence et que nous ne voulons surtout pas entendre, pas comprendre, pas intégrer dans notre Vie, par déni ou refus de les accepter.

Peut-être bien que tant que nous ne les acceptons pas, elles continueront de crier, de hurler de plus en plus fort, de plus en plus violemment…jusqu’au lâcher prise qui nous conduit à nous vaincre la peur du vide.

Une branche, un petit bout de bois suspendu tout en haut de la chute, qui semblait se retenir désespérément aux rochers pour ne pas être entraînée dans le vide. La petite branche résiste, résiste, repoussant toujours le moment de l’accomplissement en s’accrochant à la peur de la chute.

Je m’épuisais à « nager » à contre-courant, prisonnière de mes peurs et préjugés.

Durant cette période d’accalmie, tu as tout le loisir de reprendre tes forces et tu peux en profiter pour tirer des leçons de l’expérience que tu viens de vivre.

« A l’image de la branchette qui, après sa dégringolade, s’est laissée bercer par les remous purificateurs, tu dois prendre le temps de te reposer, non pas en regardant à l’extérieur, mais en t’observant à l’intérieur, sans aucun mouvement.
Ne fais pas, ne fais rien, sois. Es-tu un Faire Humain ou un Être humain ? Qui regarde à l’extérieur, rêve. Qui regarde à l’intérieur, s’éveille.

Ensuite, tu pourras laisser le courant de ta vie te propulser un peu plus loin, va vers la prochaine chute que tu rencontreras, tu pourras franchir les suivantes avec de plus en plus de facilité.

« Et un jour, sans que tu t’en aperçoives, tu iras de cascade en ruisseau et de ruisseau en fleuve, et tu arriveras à la mer, sans épuisement, sans fatigue aucune, car tu te seras laissée porter par le courant de ta propre existence ; tout est mouvement, tout se transforme, tout n’est qu’évolution.

Ne luttes pas, ne te débats pas, reçois ce qui t’est offert par ton propre mouvement, n’emprunte pas le mouvement des autres, crées le Tien et tu verras alors la forme de ta propre évolution, la révélation de ton Être.

Comme tu seras en pleine possession de tes moyens, tu pourras profiter pleinement des expériences qui s’ouvriront à toi et qui compenseront tous les efforts que tu auras fournis.
Transformes la souffrance en joie, transformes la peur en envol, transformes la colère en remerciement, transformes tout ce que tu reçois en Âmour et tu te transformeras toi-même en Âmour.

Ton corps sera peut-être usé par certaines descentes plus abruptes que d’autres, mais ton cœur s’émerveillera infiniment devant toute la beauté de la Vie.
Tu Aimes les arbres n’est-ce pas ? Je t’ai regardée ramasser des feuilles tombées de leur branche; en les touchant sous cette forme, voici ta pensée matérialisée :

« La couleur de toutes les feuilles tombées est unique à chacune, et il n’existe pas deux feuilles de forme identiques ; c’est étrange. Pourquoi les feuilles doivent-elles tomber et mourir,  pour devenir enfin libres et pouvoir se laisser porter par la seule énergie du vent.

Elles ne s’envolent pas d’elles-mêmes, elles se laissent porter par les ailes du vent. Leur source, le Tronc de leur naissance fait mourir son feuillage de la saison intérieure pour se revêtir d’un nouveau feuillage dont la couleur initiale est toujours le vert (une des trois  couleurs primaires) et persistante dans la couleur de la feuille lorsqu'elle se  « meurt ».

Non, la feuille ne meurt pas, le tronc de l’arbre la libère pour régénérer son nouveau feuillage. La feuille tombée se transforme à son tour… »

Le seul tronc originel auquel tu dois rester accrochée au cours de ta vie……. c’est le Tien. Toutes les feuilles dont ton tronc n’est pas la source, doivent être enlevées du tronc par Toi. Tu t’apercevras alors que naîtra ton nouveau feuillage, le TIEN.

As-tu remarqué qu’entre le Vent et le Vert, seule une lettre diffère….

La voix se tut, laissant le bruissement de l’eau compléter l’enseignement. L’Être et son « Être » venaient de communiquer sans un seul mot……car c’est dans le silence que nous entendons cette voix si particulière de  qui nous guide vers l’intérieur de la réalité de l’existence et du cours de notre vie.

Kass a écrit:...y'a les oiseaux qui chan-teuh et les gamins qui braillent ?

HazaH a écrit:Apparemment, le management leche cul marche beaucoup mieux que l'affirmation de se limites (qui sont celles du code du travail). L'esclavagisme, ça passe toujours mieux quand on le maquille avec un grand sourire... Monde de merde.

jolindien a écrit:Que peux-tu faire...
Pourquoi vivons-nous une série d'expériences?

Quand on se sent séparé on ne trouve que l'absurde
Et pourtant il faut arriver à respecter les autres pour ce qu'ils sont, sinon on se sépare un peu plus d'eux, et de nous même.
Seul au monde...je ne sais, peut-être seul dans son monde
C'est comme cela que je ressens  l'absurde, plus moi qui n'est pas à ma place finalement
Comme un déphasage entre l'intérieur et l'extérieur

sans savoir non plus si la suivante sera positive ou pas
ce dont je suis certain c'est que je ne peux plus continuer l'actuelle comme cela