Quand vivre, c'est faire
2 participants
Page 1 sur 1
Quand vivre, c'est faire
Je ne sais pas du tout si cette question est spécifiquement Z. Je suis même à peu près certain que non.
Il m'a toujours paru que la vie ne pouvait pas être là uniquement pour consister à franchir le temps, à trouver chaque jour de quoi recommencer demain (comme le savetier de La Fontaine pour qui chaque jour amène son pain) avant de quitter la scène, le cas échéant en ayant mis au monde des successeurs. Si nous ne sommes là que pour naître, manger, dormir, et recommencer pendant quelques décennies, puis mourir, c'est idiot, quoi; comme un théâtre sans scène avec néanmoins une agitation frénétique en coulisses.
Pas avec une espèce qui de sa naissance à sa mort demande "Pourquoi ?" ça ne marche pas.
N'y eût-il d'ailleurs aucune réponse extérieure à nous, que ça ne changerait rien à l'idiotie d'en rester là.
Ergo, il faut faire quelque chose d'autre de sa vie que de la simplement traverser.
Non pas pour la gloire, pour laisser son nom, ou je ne sais quoi. Non, juste pour ne pas être là pour rien. C'est plus que "donner un sens".
Cela me hante depuis toujours, au point que cette "crise de la quarantaine" a clairement à voir avec la question. Pour accomplir, on se prépare, on se forme, on apprend, on s'entraîne, et on peut y consacrer sa vie sauf qu'il faut garder du temps pour accomplir, justement. "Le temps d'apprendre à vivre, il est déjà trop tard". A 40 ans, innombrables sont déjà les portes fermées, les possibilités évanouies.
Il m'a toujours paru que la vie ne pouvait pas être là uniquement pour consister à franchir le temps, à trouver chaque jour de quoi recommencer demain (comme le savetier de La Fontaine pour qui chaque jour amène son pain) avant de quitter la scène, le cas échéant en ayant mis au monde des successeurs. Si nous ne sommes là que pour naître, manger, dormir, et recommencer pendant quelques décennies, puis mourir, c'est idiot, quoi; comme un théâtre sans scène avec néanmoins une agitation frénétique en coulisses.
Pas avec une espèce qui de sa naissance à sa mort demande "Pourquoi ?" ça ne marche pas.
N'y eût-il d'ailleurs aucune réponse extérieure à nous, que ça ne changerait rien à l'idiotie d'en rester là.
Ergo, il faut faire quelque chose d'autre de sa vie que de la simplement traverser.
Non pas pour la gloire, pour laisser son nom, ou je ne sais quoi. Non, juste pour ne pas être là pour rien. C'est plus que "donner un sens".
Cela me hante depuis toujours, au point que cette "crise de la quarantaine" a clairement à voir avec la question. Pour accomplir, on se prépare, on se forme, on apprend, on s'entraîne, et on peut y consacrer sa vie sauf qu'il faut garder du temps pour accomplir, justement. "Le temps d'apprendre à vivre, il est déjà trop tard". A 40 ans, innombrables sont déjà les portes fermées, les possibilités évanouies.
Invité- Invité
Re: Quand vivre, c'est faire
Nous ne cesserons jamais d'apprendre. Jamais. Nous ne cesserons jamais d'apprendre à vivre. Aussi désemparés que nous le sommes à la naissance et aussi déconcertés que nous le soyons à notre mort, vivre (non pas dans le sens naturel du terme mais bien dans celui de se sentir exister, de prendre conscience de sa réalité psychique et physique), vivre n'a rien d'inné. C'est une notion qui s'acquiert avec le temps. Tôt ou tard et parfois dans l'effroi, parfois avec fracas, on en prend conscience. Je ne pense pas que la vie soit uniquement une répétition (frénétique et compulsive ?) de gestes, de situations, d'habitudes,... il faut s'efforcer de considérer chaque instant, chaque sensation, chaque sentiment pour ressentir la vie. Ce n'est pas parce qu'on a appris à marcher dès notre plus jeune âge qu'on est à l'abris d'une chute tout au long de notre vie. Il faut aussi apprendre à tomber et surtout à se relever.
Finalement, rien est acquis pour de bon. Plutôt que d'apprendre à vivre, on vit pour apprendre.
Plutôt que de vivre chaque jour de sa vie comme s'il était le dernier et énumérer/regretter tout ce dont nous n'avons pas pu accomplir, vivons chacun d'eux comme s'il était le premier, avec l'espoir d'accomplir/découvrir de nouvelles choses. Toutes les portes n'ont pas forcément de serrure...
Finalement, rien est acquis pour de bon. Plutôt que d'apprendre à vivre, on vit pour apprendre.
Plutôt que de vivre chaque jour de sa vie comme s'il était le dernier et énumérer/regretter tout ce dont nous n'avons pas pu accomplir, vivons chacun d'eux comme s'il était le premier, avec l'espoir d'accomplir/découvrir de nouvelles choses. Toutes les portes n'ont pas forcément de serrure...
Invité- Invité
Re: Quand vivre, c'est faire
Oui, certes. Mais - je ne l'avais pas précisé - pour moi apprendre prend un sens plus précis. Bien sûr qu'on apprend chaque jour et notamment en faisant. Mais là, je voulais évoquer le fait de prendre du temps spécifiquement pour cela, d'en consacrer beaucoup à cela. "Je dois lire tous ces bouquins et après seulement je me sentirai assez ferré pour ouvrir un blog" par exemple. Ou "pour être celui que je veux être, je dois aussi savoir jouer de tel instrument/connaître telle langue", et tu entames les cours à 38 ans et du coup tu ne te considères comme "formé", prêt à participer à la vie-la-vraie tel que tu veux y être manifesté, que quand il est trop tard.
Invité- Invité
Re: Quand vivre, c'est faire
J'aime bien la mention "être celui que je veux être", je pense que c'est un point important. Mais en même temps, c'est quelque chose de très fluctuant, qui se précise tout au long de la vie, parce qu'on n'arrête pas d'évoluer. Celle que je voulais être à 20 ans, ce n'est pas tout à fait celle que je veux être aujourd'hui... D'ailleurs du coup, je me cherche de nouveau, j'ai plus de 30 ans mais j'ai construit sur du sable et maintenant, il faut tout revoir. C'est vrai que ce n'est pas toujours facile.
N'empêche, je ne pense pas qu'il y a vraiment des portes fermées, même à 40 ans. Oui, on arrive au milieu de sa vie, mais le milieu, ça veut dire aussi qu'on a encore une fois autant de temps qu'avant - temps qu'on saura peut-être mieux utiliser en plus, vu que généralement, pendant les 20 premières années de sa vie, on ne sait pas trop où on veut aller. A 40 ans, on peut mieux caler tout ça. Donc pas de raison de désespérer. Je me souviens avoir rencontré une femme qui à 35 ans entamait des études de médecine, parce qu'elle n'en avait pas eu la possibilité avant!
Apprendre à vivre, c'est effectivement un apprentissage à vie...
N'empêche, je ne pense pas qu'il y a vraiment des portes fermées, même à 40 ans. Oui, on arrive au milieu de sa vie, mais le milieu, ça veut dire aussi qu'on a encore une fois autant de temps qu'avant - temps qu'on saura peut-être mieux utiliser en plus, vu que généralement, pendant les 20 premières années de sa vie, on ne sait pas trop où on veut aller. A 40 ans, on peut mieux caler tout ça. Donc pas de raison de désespérer. Je me souviens avoir rencontré une femme qui à 35 ans entamait des études de médecine, parce qu'elle n'en avait pas eu la possibilité avant!
Apprendre à vivre, c'est effectivement un apprentissage à vie...
fleur_bleue- Messages : 3764
Date d'inscription : 18/09/2012
Age : 41
Localisation : Paris
Re: Quand vivre, c'est faire
Etre celui que je veux être mais pour agir ("s'équiper" en termes de compétences si tu préfères)...
Etre, vivre, cela ne peut pas être sa seule fin. Notre existence n'est pas son propre but; sinon, autant ne rien faire, d'ailleurs, se contenter de manger, dormir, manger, dormir, et "gagner sa vie" pour pouvoir recommencer jusqu'à la mort. C'est idiot. C'est comme si naître était entrer dans une salle d'attente qui ne donne que sur la mort.
... Après, j'ai plus le sentiment de m'être construit lentement, trop lentement, mais somme toute sans trop errer, et ça modèle sûrement ma vision par rapport à celles et ceux qui se sont cherchés. Aucun sentiment de supériorité là-dedans, c'est la vie qui nous ballotte et nous amène à faire ceci ou cela, et peut-être d'ailleurs que je m'apercevrai à 50 ans que je me suis planté de A à Z et qu'il est vraiment trop tard pour tout recommencer; et ceux qui se cherchent, et bien, finalement ils se trouveront peut-être mieux, et puis cette recherche c'est aussi se construire. Bref. Pour ma part, l'engagement principal de ma vie, je crois que je savais ce qu'il devait être depuis l'âge de 8 ans et même si pour cela, j'ai pris un voilier plutôt qu'un hors-bord, il y avait le cap inscrit en moi.
Un voilier, ça se sert du vent pour avancer, tantôt vite et tantôt non, ça peut se trouver encalminé, ou bien contraint de prendre la cape, plus rarement même de fuir sous le vent, avec le risque alors d'être mangé par la mer; ça doit faire relâche; ça ne sait jamais combien de temps il faudra pour arriver; mais ça va son chemin.
Mais, et là la métaphore ne marche plus du tout, c'est comme s'il m'avait fallu sans cesse embarquer d'autres choses pour me sentir prêt, apte, à débarquer lors du port-but à atteindre, sauf qu'en vrai la route peut durer une bonne part de la vie.
Etre, vivre, cela ne peut pas être sa seule fin. Notre existence n'est pas son propre but; sinon, autant ne rien faire, d'ailleurs, se contenter de manger, dormir, manger, dormir, et "gagner sa vie" pour pouvoir recommencer jusqu'à la mort. C'est idiot. C'est comme si naître était entrer dans une salle d'attente qui ne donne que sur la mort.
... Après, j'ai plus le sentiment de m'être construit lentement, trop lentement, mais somme toute sans trop errer, et ça modèle sûrement ma vision par rapport à celles et ceux qui se sont cherchés. Aucun sentiment de supériorité là-dedans, c'est la vie qui nous ballotte et nous amène à faire ceci ou cela, et peut-être d'ailleurs que je m'apercevrai à 50 ans que je me suis planté de A à Z et qu'il est vraiment trop tard pour tout recommencer; et ceux qui se cherchent, et bien, finalement ils se trouveront peut-être mieux, et puis cette recherche c'est aussi se construire. Bref. Pour ma part, l'engagement principal de ma vie, je crois que je savais ce qu'il devait être depuis l'âge de 8 ans et même si pour cela, j'ai pris un voilier plutôt qu'un hors-bord, il y avait le cap inscrit en moi.
Un voilier, ça se sert du vent pour avancer, tantôt vite et tantôt non, ça peut se trouver encalminé, ou bien contraint de prendre la cape, plus rarement même de fuir sous le vent, avec le risque alors d'être mangé par la mer; ça doit faire relâche; ça ne sait jamais combien de temps il faudra pour arriver; mais ça va son chemin.
Mais, et là la métaphore ne marche plus du tout, c'est comme s'il m'avait fallu sans cesse embarquer d'autres choses pour me sentir prêt, apte, à débarquer lors du port-but à atteindre, sauf qu'en vrai la route peut durer une bonne part de la vie.
Invité- Invité
Re: Quand vivre, c'est faire
D'accord, mais ne crois-tu pas qu'acquérir des compétences, c'est aussi quelque chose qui se fait dans la durée et de manière continue toute sa vie? Même si tu sais où tu vas (et surtout quand tu le sais, peut-être), il y a toujours des choses à apprendre pour s'améliorer.
Pour prendre un exemple sportif, un cavalier de haut niveau ne peut pas se contenter d'apprendre à monter à cheval: il doit aussi se former en médecine vétérinaire, en éthologie, en médecine sportive humaine, puis peut-être apprendre la relaxation, etc. En plus de s'entraîner régulièrement à ce qu'il sait déjà faire, pour continuer à s'améliorer. Et c'est au bout de 30, 40 ans d'entraînement qu'ils arrivent à une vraie maîtrise...
Donc oui, il faut sans cesse embarquer d'autres choses, parce que le monde autour change, parce qu'il faut sans cesse s'améliorer, et en plus sur ton voilier, tu dois aussi parfois faire le plein d'eau potable, de nourriture, réparer des choses... Rien n'est acquis définitivement, tout peut être amélioré et on n'arrive jamais à destination, mais il faut quand même garder le cap, sans oublier les petites escales indispensables.
Pour prendre un exemple sportif, un cavalier de haut niveau ne peut pas se contenter d'apprendre à monter à cheval: il doit aussi se former en médecine vétérinaire, en éthologie, en médecine sportive humaine, puis peut-être apprendre la relaxation, etc. En plus de s'entraîner régulièrement à ce qu'il sait déjà faire, pour continuer à s'améliorer. Et c'est au bout de 30, 40 ans d'entraînement qu'ils arrivent à une vraie maîtrise...
Donc oui, il faut sans cesse embarquer d'autres choses, parce que le monde autour change, parce qu'il faut sans cesse s'améliorer, et en plus sur ton voilier, tu dois aussi parfois faire le plein d'eau potable, de nourriture, réparer des choses... Rien n'est acquis définitivement, tout peut être amélioré et on n'arrive jamais à destination, mais il faut quand même garder le cap, sans oublier les petites escales indispensables.
fleur_bleue- Messages : 3764
Date d'inscription : 18/09/2012
Age : 41
Localisation : Paris
Re: Quand vivre, c'est faire
Là où ma métaphore est trompeuse c'est que le voyage du voilier ne symbolise pas la vie, mais en quelque sorte la préparation.
Tout commence au port-destination, tout n'y finit pas. En fait, quand je dis que vivre c'est faire, ce qu'il y a à faire se trouve dans ou à partir du port. Un continent à coloniser.
Mais il faut d'abord monter l'expédition et parvenir à destination.
Alors seulement on attaque vraiment les choses sérieuses.
Et si on passe toute sa vie à traverser l'océan, même si l'on y apprend plein de choses, quand on arrive enfin à pied d'oeuvre de l'autre côté pour commencer à vivre, on a 80 ans et c'est fini.
Tout commence au port-destination, tout n'y finit pas. En fait, quand je dis que vivre c'est faire, ce qu'il y a à faire se trouve dans ou à partir du port. Un continent à coloniser.
Mais il faut d'abord monter l'expédition et parvenir à destination.
Alors seulement on attaque vraiment les choses sérieuses.
Et si on passe toute sa vie à traverser l'océan, même si l'on y apprend plein de choses, quand on arrive enfin à pied d'oeuvre de l'autre côté pour commencer à vivre, on a 80 ans et c'est fini.
Invité- Invité
Re: Quand vivre, c'est faire
Je trouve ton exemple du voilier excellent Fusain mais je l'interprète différemment.
à une époque de ma vie j'aurais bien aimé vivre définitivement sur un voilier , en famille et tout et tout et tout
cela ne s'est pas fait
je trouve justement que sur un voilier ,on peut être encalminé ou fuyant sous le vent, n'empêche que l'on apprend tout
tout sur la nature et ses éléments
et tout sur soi
et en effet il faut en embarquer des choses lorsqu'on arrive au port
dans la vie c'est pareil , nous traversons tous des périodes de "végétations" qui nous paraissent toujours trop longues , puis d'autres dans lesquelles il y a tant à faire que l'on trouve qu'on n'a jamais assez le temps , puis d'autres dans lesquelles on doute sur nos choix
je pense Fusain qu'il faut te détacher d'avantage de la notion de temps qui semble peut-être plomber ta pensée
tu as envie de faire des chose à 40 ans
tu auras aussi envie de faire d'autres choses à 80 ans
parce que comme le dit Fleur_bleue on change sans cesse
non pas que physiquement parlant , mais mentalement parlant
et on change à toute allure
ce que j'étais hier n'est pas ce que je suis maintenant et n'est pas ce que je serais dans 2 heures
parce que dans 2 heures j'aurais embarqué encore des "trucs" , d'autres "informations"
peut-être es-tu aussi un peu perfectionniste ? je t'interroge, car tu écris :
"Je dois lire tous ces bouquins et après seulement je me sentirai assez ferré pour ouvrir un blog" par exemple. Ou "pour être celui que je veux être, je dois aussi savoir jouer de tel instrument/connaître telle langue", et tu entames les cours à 38 ans et du coup tu ne te considères comme "formé", prêt à participer à la vie-la-vraie tel que tu veux y être manifesté, que quand il est trop tard.
tu ne peux te lancer dans un blog sans lire tous ces bouquins ? pourquoi ?
de quel instrument désires-tu jouer ? tu ne pourrais pas déjà jouer en autodidacte pour voir si l'instrument te convient ?
je n'interprète pas ce que tu es Fusain je te pose juste des questions pour mieux te comprendre
à une époque de ma vie j'aurais bien aimé vivre définitivement sur un voilier , en famille et tout et tout et tout
cela ne s'est pas fait
je trouve justement que sur un voilier ,on peut être encalminé ou fuyant sous le vent, n'empêche que l'on apprend tout
tout sur la nature et ses éléments
et tout sur soi
et en effet il faut en embarquer des choses lorsqu'on arrive au port
dans la vie c'est pareil , nous traversons tous des périodes de "végétations" qui nous paraissent toujours trop longues , puis d'autres dans lesquelles il y a tant à faire que l'on trouve qu'on n'a jamais assez le temps , puis d'autres dans lesquelles on doute sur nos choix
je pense Fusain qu'il faut te détacher d'avantage de la notion de temps qui semble peut-être plomber ta pensée
tu as envie de faire des chose à 40 ans
tu auras aussi envie de faire d'autres choses à 80 ans
parce que comme le dit Fleur_bleue on change sans cesse
non pas que physiquement parlant , mais mentalement parlant
et on change à toute allure
ce que j'étais hier n'est pas ce que je suis maintenant et n'est pas ce que je serais dans 2 heures
parce que dans 2 heures j'aurais embarqué encore des "trucs" , d'autres "informations"
peut-être es-tu aussi un peu perfectionniste ? je t'interroge, car tu écris :
"Je dois lire tous ces bouquins et après seulement je me sentirai assez ferré pour ouvrir un blog" par exemple. Ou "pour être celui que je veux être, je dois aussi savoir jouer de tel instrument/connaître telle langue", et tu entames les cours à 38 ans et du coup tu ne te considères comme "formé", prêt à participer à la vie-la-vraie tel que tu veux y être manifesté, que quand il est trop tard.
tu ne peux te lancer dans un blog sans lire tous ces bouquins ? pourquoi ?
de quel instrument désires-tu jouer ? tu ne pourrais pas déjà jouer en autodidacte pour voir si l'instrument te convient ?
je n'interprète pas ce que tu es Fusain je te pose juste des questions pour mieux te comprendre
ou-est-la-question- Messages : 8075
Date d'inscription : 27/07/2012
Age : 67
Re: Quand vivre, c'est faire
tu ne peux te lancer dans un blog sans lire tous ces bouquins ? pourquoi ?
Je l'ai fait. Mais je n'ai pas envie d'y raconter n'importe quoi... Je cherche à structurer ma réflexion et la partager. Pour que ça vaille le coup, il faut qu'elle soit un peu utile, et donc potablement documentée.
de quel instrument désires-tu jouer ? tu ne pourrais pas déjà jouer en autodidacte pour voir si l'instrument te convient ?
Je prends des cours de luth, mais je manque de temps pour travailler entre les cours. Bon, là on peut dire que je n'ai aucun objectif, mais ça joue un rôle de... disons de complétude.
Oui, je suis peut-être perfectionniste, mais quand on s'aventure sur le secteur hmmm de la publication, où on émet une production un peu au-delà d'un cercle de connaissances, ben il y a une concurrence de dingue et si ton objectif est de partager quelque chose, donc que ce quelque chose soit lu, il faut que CE quelque chose soit de qualité.
Invité- Invité
Re: Quand vivre, c'est faire
je n'avais pas compris que tu désirais être publié
intéressant
tu voudrais aborder quels sujets sur ton blog ?
comme outil d'aide (pour structurer) Xmind est pas mal tu connais ?
en tout cas bravo pour le luth , c'est un bel instrument ,tu démarres complètement dans les instruments à corde ?
intéressant
tu voudrais aborder quels sujets sur ton blog ?
comme outil d'aide (pour structurer) Xmind est pas mal tu connais ?
en tout cas bravo pour le luth , c'est un bel instrument ,tu démarres complètement dans les instruments à corde ?
ou-est-la-question- Messages : 8075
Date d'inscription : 27/07/2012
Age : 67
Re: Quand vivre, c'est faire
Enfin "je désire être publié"... Oui je veux dire écrire autre chose que des fichiers qui ne sortent pas de mon disque dur, quoi.
Ma femme est journaliste. Il arrive qu'on écrive un truc à 4 mains ou que je glisse un papier dans une revue à laquelle elle collabore.
Ma femme est journaliste. Il arrive qu'on écrive un truc à 4 mains ou que je glisse un papier dans une revue à laquelle elle collabore.
Invité- Invité
Re: Quand vivre, c'est faire
bravo
tu as décidé d'un secteur de prédilection pour tes publications ? voire ton édition ?
(technique, sciences ,littérature ...?... )
si mes questions t'incommodent dis le moi elles ne sont pas posées dans ce but
je te demande tout ça car j'ai une amie qui a crée sa maison d'édition il y a quelques années
elle publie sur des sujets divers si tu as besoin
tu as décidé d'un secteur de prédilection pour tes publications ? voire ton édition ?
(technique, sciences ,littérature ...?... )
si mes questions t'incommodent dis le moi elles ne sont pas posées dans ce but
je te demande tout ça car j'ai une amie qui a crée sa maison d'édition il y a quelques années
elle publie sur des sujets divers si tu as besoin
ou-est-la-question- Messages : 8075
Date d'inscription : 27/07/2012
Age : 67
Re: Quand vivre, c'est faire
ah , ce sont des sujets intéressants , mais dans lesquels je n'y connais rien
ou-est-la-question- Messages : 8075
Date d'inscription : 27/07/2012
Age : 67
Re: Quand vivre, c'est faire
Pas grave, ce n'était pas trop le but du topic. On a fichûment dérivé.
Invité- Invité
Sujets similaires
» Comment faire comprendre la douance à ses parents quand on pense qu'ils sont surdoués aussi et que ça peut leur faire mal de l'apprendre ?
» Quand on ne sait pas faire au plus simple.
» Quelle ville est idéal pour vivre quand on est zébre ?
» Être facile à vivre est ce qui est le plus difficile à faire ?
» Que faire quand on ne travaille pas ?
» Quand on ne sait pas faire au plus simple.
» Quelle ville est idéal pour vivre quand on est zébre ?
» Être facile à vivre est ce qui est le plus difficile à faire ?
» Que faire quand on ne travaille pas ?
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum