Tagazok, bienvenue au paradis des nains !
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Tagazok, bienvenue au paradis des nains !
Etant tombée par hasard sur le forum la veille, et après un brin de fouille supplémentaire sur le net, me voilà !
OVNI liégeois positivement frappé, j'adore parler de moi, surtout au masculin. D'ailleurs, si j'avais pu être un mec, j'aurais foncé. Je suis rôliste, pseudo-écrivain depuis mes 16 ans, dévoreuse de livres, métalleuse (d'ailleurs j'vous rédige ça sur fond du dernier album de Manowar. Un de mes ptits plaisirs coupables).
Vu que mon foutu cerveau va plus vite que mes papattes pour rédiger, ça risque d'être un peu le bordel. Mea pas culpa. Le bordel, j'aime ça aussi.
** Alerte au pavé, vous vlà prévenus **
Tout a commencé par une véritable baffe dans la tronche, il y a à peu près un mois et demie. Je suis gentiment en train de finir des études d'éduc spé, à 26 ans, après avoir ramé comme pas possible pour trouver quoi faire de ma petite vie. J'avais entamé des études à l'université, en romanes, sans grande conviction, tout ça parce que mon prof de français, ben, il était chouette. Et puis, les bouquins, c'est chouette aussi. Sauf que.
Etudier sur la base d'une passion ça a failli la zigouiller, alors je me suis jurée que plus jamais ça. Après 3 années perdues (enfin, pas tant que ça, j'aime aussi beaucoup les baffes littéraires) je suis allée me promener du côté des bibliothèques et des études qui vont avec, avant de fuir après mon stage. J'ai passé mes examens de fin d'année pour faire plaisir à ma mère. Sans rien faire, donc. Et le plus ironique, c'est que j'ai failli réussir.
Du coup, je suis retournée à mes premières amours. L'animation.
J'avais commencé ça à 16 ans, au Patro, et jamais je ne me suis autant amusée. Avant de perdre la flamme, et de laisser tomber.
Du coup, je change de ville, je change d'études, de niveau aussi... Bienvenue la promotion sociale. Mon paternel ne s'en remettra probablement jamais, arguant que j'étais tombée bien bas. Probablement, très cher, mais vois-tu, j'avais le sale sentiment de devoir recommencer quelque part.
Deux ans à changer à la vitesse de l'éclair, à me chercher moi, en quelque sorte. Même si, au début, et ça, ça m'a fait mal... Deux mois après le début de la formation, j'étais convoquée par le directeur qui m'a gentiment demandée ce que je foutais là. Les profs ne voyaient aucune motivation de ma part.
Hé, les gars... c'est normal, j'avais aussi quelque part l'impression de déchoir, le niveau des cours étant intellectuellement, heu... carrément trop facile. Fallait que je m'adapte. Je me suis défendue.
Pour une fois, je savais ce que je fichais là, bon sang, personne n'allait m'arrêter pour mes études de la dernière chance, quand même ?!
J'ai passé deux ans avec des personnes formidables, et au moment d'en finir, je sentais qu'il fallait que je continue mon petit bonhomme de chemin.
Et vlan, rebelote pour trois ans.
Ce n'était plus pareil, trop de monde, l'impression de piétiner... ma première année m'a semblé un beau gâchis, d'ailleurs j'ai eu du mal à la finir. Un stage horrible, mon couple qui va mal... mais je m'en suis tirée quand même.
Avec le recul, au but du bazar, finalement, j'ai compris que j’avançais moins vite parce que plus personne ne me tirait, et que je progressais à peu près seule, maintenant. Bref. La baffe dans la tronche.
Un rendez-vous avec une prof, pour un travail, la veille d'un examen, en plus. On parle tranquillement du sujet à choisir, et puis, sans prévenir, elle m'annonce penser que je suis HP. Elle me parle de pensée déviante, de je ne sais plus quoi. Mon cerveau a fait une embardée, là. Hein que quoi ? Moi ? Non, mais c'est une blague, hein, hein, dites ?
Naturellement, le soir venu, j'ai passé plus de temps à me renseigner qu'à bosser.
Le lendemain, exam en tête à tête avec la même prof et un autre, celui qui me suit plus spécifiquement depuis la première et avec qui il y a un feeling assez fort. Il confirme quand je lui en parle, à demi-mot.
Du coup, je prends des renseignements, à gauche, à droite. Je bouquine Siaud-Facchin, je me demande si c'est vraiment moi, tout ça. N'empêche, je veux savoir. Donc je repère une ASBL à Liège, faudra que je pense à prendre rendez-vous pour juin. J'avais déjà téléphoné, y a un mois, on m'a demandé si j'étais vraiment sûre, on m'a conseillé d'attendre. C'est vrai que c'était un peu l'euphorie.
N'empêche, une baffe dans la tronche, je vous ai dit. Quelque part, j'avais l'impression qu'on me rendait la dernière pièce du puzzle.
Honnêtement, j'ai l'impression que j'ai passé toute ma vie à ne pas être moi. A me planquer. Ce qui explique sans doute tous les kilos en trop, qui ont explosé à l'adolescence, et le fait que malgré le fait (bis) d'avancer un tant soit peu dans ma vie, je n'arrive pas à m'arrêter de bouffer.
Honnêtement, je ne sais pas comment j'ai réussi ce tour-là. J'ai toujours ressenti ce décalage, de manière diffuse, mais c'est comme si mon cerveau avait mis un verrou sur tout ça. A moins que le système scolaire ne se soit acharné suffisamment sur moi pour bousiller la bizarrerie.
J'ai peu de souvenirs de la primaire, étrangement. Pas vraiment d'amis, jusqu'en dernière année il me semble, j'avais même fini par dénicher une bande d'environ trois gamins plus jeunes que moi pour ne pas rester seule. Moquée par des ptits c*ns, le gentil directeur s'est fichu de moi quand j'ai fini par me plaindre.
Je pense que j'ai toujours été immature. En tout cas, je n'ai jamais voulu grandir. Je n'en ai toujours pas envie. Je peux toujours faire semblant.
Bref, j'ai du réussir à paraître inaperçue jusque là... en quatrième secondaire, les titulaires de classe conseillent à mes parents de me faire voir un psy. Le paternel est furieux, pour lui ce n'est pas moi qui ai un problème. Certes. Mais si les andouilles qui me harcèlent ne changent pas, c'était peut-être à moi de changer. Ça a duré un an. A la dernière séance, je n'avais plus rien à dire, je m'étais mise à écrire.
J'y passais toutes mes soirées, après avoir torché au plus vite mes devoirs, ce qui ennuyait ma mère.
Le passage à l'université m'a bien abîmée, j'avoue. Mais j'y ai aussi rencontré des gens géniaux, dont un bon copain qui m'a fait découvrir un site magique. Cet été, je vais au mariage d'une pote suisse qui s'est expatriée en Alsace, grâce à ce site. Magique, non ?
Je songe parfois que ma vie aurait été différente si on m'avait découverte plus tôt, je suppose. En tout cas je ne m'en serais peut-être moins pris dans la tronche. Comme ma prof de 6e primaire qui a asséné à ma mère que je ne réussirais jamais mon CEB. En même temps, madame, tu ne te rendais probablement pas compte à quel point tu étais méchante. J'ai été humiliée salement devant toute la classe au moins à deux reprises, pour ce que je m'en souvienne. Le reste ne devait pas être plus glorieux. Mais était-ce ma faute si à 11 ans, j'étais gênée par les phrases sexistes d'un vieux manuel de français dans lequel ma mère me faisait réviser, sans pouvoir réussir à exprimer pourquoi ? Ma mère le lui a répété, elle s'est empressée de me le rebalancer dans la tête en classe, en me demandant si ces exercices-ci me convenaient.
J'en ai encore des tonnes à raconter, mais je crois que je vais m'arrêter là. En tout cas, le chemin est encore long, et il a pris une tournure sacrément inattendue. J'ai un peu peur que ce ne soit pas "ça". Et je risque de ne pas bien le vivre, si c'est le cas. Avoir le sentiment d'être une inadaptée sociale, c'est déjà assez compliqué... Je voudrais pouvoir être enfin fière de ma différence, et pouvoir être moi sans plus avoir peur du regard des autres.
OVNI liégeois positivement frappé, j'adore parler de moi, surtout au masculin. D'ailleurs, si j'avais pu être un mec, j'aurais foncé. Je suis rôliste, pseudo-écrivain depuis mes 16 ans, dévoreuse de livres, métalleuse (d'ailleurs j'vous rédige ça sur fond du dernier album de Manowar. Un de mes ptits plaisirs coupables).
Vu que mon foutu cerveau va plus vite que mes papattes pour rédiger, ça risque d'être un peu le bordel. Mea pas culpa. Le bordel, j'aime ça aussi.
** Alerte au pavé, vous vlà prévenus **
Tout a commencé par une véritable baffe dans la tronche, il y a à peu près un mois et demie. Je suis gentiment en train de finir des études d'éduc spé, à 26 ans, après avoir ramé comme pas possible pour trouver quoi faire de ma petite vie. J'avais entamé des études à l'université, en romanes, sans grande conviction, tout ça parce que mon prof de français, ben, il était chouette. Et puis, les bouquins, c'est chouette aussi. Sauf que.
Etudier sur la base d'une passion ça a failli la zigouiller, alors je me suis jurée que plus jamais ça. Après 3 années perdues (enfin, pas tant que ça, j'aime aussi beaucoup les baffes littéraires) je suis allée me promener du côté des bibliothèques et des études qui vont avec, avant de fuir après mon stage. J'ai passé mes examens de fin d'année pour faire plaisir à ma mère. Sans rien faire, donc. Et le plus ironique, c'est que j'ai failli réussir.
Du coup, je suis retournée à mes premières amours. L'animation.
J'avais commencé ça à 16 ans, au Patro, et jamais je ne me suis autant amusée. Avant de perdre la flamme, et de laisser tomber.
Du coup, je change de ville, je change d'études, de niveau aussi... Bienvenue la promotion sociale. Mon paternel ne s'en remettra probablement jamais, arguant que j'étais tombée bien bas. Probablement, très cher, mais vois-tu, j'avais le sale sentiment de devoir recommencer quelque part.
Deux ans à changer à la vitesse de l'éclair, à me chercher moi, en quelque sorte. Même si, au début, et ça, ça m'a fait mal... Deux mois après le début de la formation, j'étais convoquée par le directeur qui m'a gentiment demandée ce que je foutais là. Les profs ne voyaient aucune motivation de ma part.
Hé, les gars... c'est normal, j'avais aussi quelque part l'impression de déchoir, le niveau des cours étant intellectuellement, heu... carrément trop facile. Fallait que je m'adapte. Je me suis défendue.
Pour une fois, je savais ce que je fichais là, bon sang, personne n'allait m'arrêter pour mes études de la dernière chance, quand même ?!
J'ai passé deux ans avec des personnes formidables, et au moment d'en finir, je sentais qu'il fallait que je continue mon petit bonhomme de chemin.
Et vlan, rebelote pour trois ans.
Ce n'était plus pareil, trop de monde, l'impression de piétiner... ma première année m'a semblé un beau gâchis, d'ailleurs j'ai eu du mal à la finir. Un stage horrible, mon couple qui va mal... mais je m'en suis tirée quand même.
Avec le recul, au but du bazar, finalement, j'ai compris que j’avançais moins vite parce que plus personne ne me tirait, et que je progressais à peu près seule, maintenant. Bref. La baffe dans la tronche.
Un rendez-vous avec une prof, pour un travail, la veille d'un examen, en plus. On parle tranquillement du sujet à choisir, et puis, sans prévenir, elle m'annonce penser que je suis HP. Elle me parle de pensée déviante, de je ne sais plus quoi. Mon cerveau a fait une embardée, là. Hein que quoi ? Moi ? Non, mais c'est une blague, hein, hein, dites ?
Naturellement, le soir venu, j'ai passé plus de temps à me renseigner qu'à bosser.
Le lendemain, exam en tête à tête avec la même prof et un autre, celui qui me suit plus spécifiquement depuis la première et avec qui il y a un feeling assez fort. Il confirme quand je lui en parle, à demi-mot.
Du coup, je prends des renseignements, à gauche, à droite. Je bouquine Siaud-Facchin, je me demande si c'est vraiment moi, tout ça. N'empêche, je veux savoir. Donc je repère une ASBL à Liège, faudra que je pense à prendre rendez-vous pour juin. J'avais déjà téléphoné, y a un mois, on m'a demandé si j'étais vraiment sûre, on m'a conseillé d'attendre. C'est vrai que c'était un peu l'euphorie.
N'empêche, une baffe dans la tronche, je vous ai dit. Quelque part, j'avais l'impression qu'on me rendait la dernière pièce du puzzle.
Honnêtement, j'ai l'impression que j'ai passé toute ma vie à ne pas être moi. A me planquer. Ce qui explique sans doute tous les kilos en trop, qui ont explosé à l'adolescence, et le fait que malgré le fait (bis) d'avancer un tant soit peu dans ma vie, je n'arrive pas à m'arrêter de bouffer.
Honnêtement, je ne sais pas comment j'ai réussi ce tour-là. J'ai toujours ressenti ce décalage, de manière diffuse, mais c'est comme si mon cerveau avait mis un verrou sur tout ça. A moins que le système scolaire ne se soit acharné suffisamment sur moi pour bousiller la bizarrerie.
J'ai peu de souvenirs de la primaire, étrangement. Pas vraiment d'amis, jusqu'en dernière année il me semble, j'avais même fini par dénicher une bande d'environ trois gamins plus jeunes que moi pour ne pas rester seule. Moquée par des ptits c*ns, le gentil directeur s'est fichu de moi quand j'ai fini par me plaindre.
Je pense que j'ai toujours été immature. En tout cas, je n'ai jamais voulu grandir. Je n'en ai toujours pas envie. Je peux toujours faire semblant.
Bref, j'ai du réussir à paraître inaperçue jusque là... en quatrième secondaire, les titulaires de classe conseillent à mes parents de me faire voir un psy. Le paternel est furieux, pour lui ce n'est pas moi qui ai un problème. Certes. Mais si les andouilles qui me harcèlent ne changent pas, c'était peut-être à moi de changer. Ça a duré un an. A la dernière séance, je n'avais plus rien à dire, je m'étais mise à écrire.
J'y passais toutes mes soirées, après avoir torché au plus vite mes devoirs, ce qui ennuyait ma mère.
Le passage à l'université m'a bien abîmée, j'avoue. Mais j'y ai aussi rencontré des gens géniaux, dont un bon copain qui m'a fait découvrir un site magique. Cet été, je vais au mariage d'une pote suisse qui s'est expatriée en Alsace, grâce à ce site. Magique, non ?
Je songe parfois que ma vie aurait été différente si on m'avait découverte plus tôt, je suppose. En tout cas je ne m'en serais peut-être moins pris dans la tronche. Comme ma prof de 6e primaire qui a asséné à ma mère que je ne réussirais jamais mon CEB. En même temps, madame, tu ne te rendais probablement pas compte à quel point tu étais méchante. J'ai été humiliée salement devant toute la classe au moins à deux reprises, pour ce que je m'en souvienne. Le reste ne devait pas être plus glorieux. Mais était-ce ma faute si à 11 ans, j'étais gênée par les phrases sexistes d'un vieux manuel de français dans lequel ma mère me faisait réviser, sans pouvoir réussir à exprimer pourquoi ? Ma mère le lui a répété, elle s'est empressée de me le rebalancer dans la tête en classe, en me demandant si ces exercices-ci me convenaient.
J'en ai encore des tonnes à raconter, mais je crois que je vais m'arrêter là. En tout cas, le chemin est encore long, et il a pris une tournure sacrément inattendue. J'ai un peu peur que ce ne soit pas "ça". Et je risque de ne pas bien le vivre, si c'est le cas. Avoir le sentiment d'être une inadaptée sociale, c'est déjà assez compliqué... Je voudrais pouvoir être enfin fière de ma différence, et pouvoir être moi sans plus avoir peur du regard des autres.
Amadys- Messages : 10
Date d'inscription : 06/05/2016
Age : 34
Re: Tagazok, bienvenue au paradis des nains !
C'est un début. Il vaut mieux être content d'un début. On lance la balle (de l'avenir) plus loin !
Que veux-tu dire quand tu écris: "le bordel, j'aime ça ?"
Je déconne. Bienvenue dans cet asile à ciel ouvert !
Que veux-tu dire quand tu écris: "le bordel, j'aime ça ?"
Je déconne. Bienvenue dans cet asile à ciel ouvert !
Fata Morgana- Messages : 20818
Date d'inscription : 09/02/2011
Age : 67
Localisation : Un pied hors de la tombe
Re: Tagazok, bienvenue au paradis des nains !
Merci
Le bordel dans ma tête parfois, le bordel dans ma ptite chambre étudiante aussi (faudrait que je range mais j'ai pas envie).
L'organisation, c'est pas mon truc.
Flemme et procrastination sont mes copines, on s'entend pas mal...
Le bordel dans ma tête parfois, le bordel dans ma ptite chambre étudiante aussi (faudrait que je range mais j'ai pas envie).
L'organisation, c'est pas mon truc.
Flemme et procrastination sont mes copines, on s'entend pas mal...
Amadys- Messages : 10
Date d'inscription : 06/05/2016
Age : 34
Re: Tagazok, bienvenue au paradis des nains !
Bienvenue, Amadys !
Un joli parcours, bien tortueux comme on les aime ici. Merci du partage Et bonnes promenades dans les allées sinueuses du forum et la grande avenue bruyante du chat.
Bon courage, aussi, pour tes études que tu finis gentillement.
Un joli parcours, bien tortueux comme on les aime ici. Merci du partage Et bonnes promenades dans les allées sinueuses du forum et la grande avenue bruyante du chat.
Bon courage, aussi, pour tes études que tu finis gentillement.
- Et Tagazok à toi également !:
Re: Tagazok, bienvenue au paradis des nains !
Merci
Et merci de lire mon pavé. J'en ai encore trois tonnes à raconter, pas mal de souvenirs (peu de bons, curieusement) ressortent depuis que ma prof m'a annoncé ça...
Merci pour la troisième fois, me reste une demi-douzaine de travaux que je ne suis pas pressée de commencer (éducateur, glandeuuuur !)
CHAUSSEEEEEEETTE !
Et merci de lire mon pavé. J'en ai encore trois tonnes à raconter, pas mal de souvenirs (peu de bons, curieusement) ressortent depuis que ma prof m'a annoncé ça...
Merci pour la troisième fois, me reste une demi-douzaine de travaux que je ne suis pas pressée de commencer (éducateur, glandeuuuur !)
CHAUSSEEEEEEETTE !
Amadys- Messages : 10
Date d'inscription : 06/05/2016
Age : 34
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