Présentation

La dernière fois que j'ai été bourré de qualités, on n'avait pas regardé à la dépense sur les alcools, que du bon !

Du coup ça me fait penser à une chose : en Suisse, c'est moins cher, l'alcool ? (pasque nous, à la frontière avec l’Espagne...)

Merci Chuna56, SCPB, pour vos messages.

En Suisse, a priori, ça m'étonnerait que quoique ce soit soit moins cher...
La dernière fois que j'y suis allé, j'ai halluciné sur le prix des magazines !

L'alcool Suisse, c'est de l'alcool à 90°, ça sert à désinfecter !

Tu sais quoi, avant décrire ça, j'm'étais dit, faudrait demander à Kass, Je sais pas ce qui boive dans le Valais, ça doit ressembler à ça :

t'sais, à cette altitude, la frontière, elle devient très floue

.

.

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Le salut nazi !
Le fond du fond du fond...

Cioran.

3h22.

Bon.
De toute façon, j'ai pas à culpabiliser.
C'est pas de ma faute si j'ai été réveillé en pleine nuit par la douleur.

Comme je crois à rien, je le dis, que je suis foutu.
Ma fiche Z, de toute façon, tout le monde s'en branle, moi le premier et je sais bien que je trouverai personne sur ZC. Donc rien à cacher.

Ce qui est dommage, c'est que j'ai fait tout ce que j'ai pu. (je parle de ma santé physique, comme mentale d'ailleurs)
C'est inéluctable.

Bah !
Tant pis.

Allez.

Prt.
Prrrrrrrt !

Pttttttttttt !

Pfffffbflbflblfblfblfblfblfb !

D'ailleurs mon grand écart, il est pourri.
C'est pas un vrai.
J'ai menti.
La jambe arrière est pas tendu comme il faut, bassin pas assez souple, donc ça compte pas.
Ne parlons pas de l'autre côté.
L'écrasement facial est supérieur à la moyenne, mais pas parfait.

Voilà. Mais je reste tout pété et je sais que la fin se rapproche. (le plus tard restera le mieux)

(en fait, je me suis aussi fait mal à la hanche droite, du coup, en forçant)
(mais ça n'a rien à voir avec la nuque en termes de douleur)
(et surtout, on s'en fout ! là, t'est putain de verbeux mon con de pote avec ton misérable nombril de merde de narcissique égocentrique de ... !)

(quand je m'emmerde, je fais n'importe quoi et je me blesse)

3h32.
Il en met du temps à passer, ce con de marchand de sable !

Bon...

Je connais de violents épisodes dépressifs.
Dont acte.

Et il est possible que le facteur psy joue réellement beaucoup chez moi.

Je dois en avoir conscience.

chais pas alors? Un bisou peut être?

" Mourir avec…

…panache.

Panache. "

On va commencer par prendre un p'tit panaché, tranquilou, paisible, à la fraîche, décontracté du gland !

Avec plaisir, le Panaché !

Je suis très bien ce soir.

Retour de l'entrainement.
Impec, comme de bien entendu, malgré cette nuit épouvantable.

Sauf que du coup, j'ai compris : j'ai de grandes ressources d'énergie mais je suis aussi capable de grosses déprimes.

Pas me laisser aller.

"Le chat" dirait une fois de plus que je radote (ce qui, de fait, en ferait un radoteur lui-même)(suis-je pervers !) mais là-dessus, je pense que nous devrions tous nous méfier de ZC.
A mon avis, ce forum annihile un peu nos volontés en nous poussant vers un genre de complaisance à l'égard de nos faiblesses, en nous transformant en no-life dépressifs.
En tout cas, cette analyse est en partie vraie pour moi.

Franchement, si on vivait les uns à côté des autres, on y serait jamais sur ce foutu forum !

Je sais pas si ça serait bon pour le foie...

(J'ai lu panaché à la fraise et non à la fraîche lol)

Ce serait bon pour tout !

Suce ces p'tits Bleus ! a écrit:Ce serait bon pour tout !

Héhéhéhéhéhé !...

Suce ces p'tits Bleus ! a écrit:Franchement, si on vivait les uns à côté des autres, on y serait jamais sur ce foutu forum !

Fondons une communauté hippie !

Les hommes en large chemises à fleurs, les femmes, les seins à l'air !

http://www.huffingtonpost.fr/dr-travis-bradberry/cessez-de-vous-plaindre-cest-mauvais-pour-la-sante/?xtor=AL-32280680

Dr Travis Bradberry :

"La science montre que la plupart des gens se plaignent en moyenne une fois par minute au cours d'une discussion ordinaire. Un travers d'autant plus compréhensible qu'il fait plaisir à celui qui s'y abandonne. Pourtant, comme beaucoup de choses agréables -comme la cigarette ou le fait d'avaler 450 grammes de bacon au petit déjeuner-, c'est très mauvais pour la santé.

Le cerveau privilégie l'efficacité, et il n'aime pas travailler plus que nécessaire. Quand vous faites plusieurs fois la même chose (en vous plaignant régulièrement, par exemple), vos neurones entrent en contact les uns avec les autres afin de fluidifier la circulation de l'information. La fois suivante, c'est encore plus rapide, et il est plus facile de répéter le comportement en question. Tellement facile, d'ailleurs, que vous ne vous en rendez pas forcément compte.

Votre cerveau n'est pas en cause. Pourquoi, en effet, se contenter d'un pont de fortune chaque fois que l'on veut traverser la rivière? Il est beaucoup plus logique de construire une structure permanente. Vos neurones se rapprochent donc, et établissent des liens durables. Pour résumer ce phénomène, disons que les neurones qui se déclenchent ensemble s'enclenchent ensemble.

Lorsque vous vous plaignez fréquemment, votre cerveau s'adapte pour faciliter ce type de comportement. Plus vous en prenez l'habitude, plus vous êtes tenté d'être négatif, quelle que soit la situation. Evidemment, cela modifie aussi la façon dont les autres vous perçoivent.

Toujours pas convaincu? Sachez que le fait de se plaindre endommage d'autres parties du cerveau. Des chercheurs de l'université de Stanford ont découvert que l'une des conséquences de cette habitude est une réduction de l'hippocampe, indispensable à la résolution des problèmes et à la réflexion. C'est d'autant plus troublant que l'on sait que l'hippocampe est l'une des zones les plus vulnérables à la maladie d'Alzheimer.

C'est aussi très mauvais pour la santé...

On peut donc dire sans exagérer que les jérémiades entraînent des lésions cérébrales, mais ce n'est pas tout. Quand nous nous plaignons, le corps produit également du cortisol, l'hormone du stress. Il redirige l'oxygène, les flux sanguins et toute notre énergie vers les systèmes essentiels à la survie immédiate. Résultat: la tension artérielle et le taux de glycémie grimpent en flèche, afin de vous aider à fuir ou à vous défendre le cas échéant.

Les quantités de cortisol produites par les personnes qui se plaignent fréquemment dégradent le système immunitaire et favorisent un taux élevé de cholestérol, le diabète, les maladies cardiovasculaires, l'obésité et les attaques cérébrales.

... et pas que pour la vôtre

Nous sommes des êtres intrinsèquement sociaux. Notre cerveau s'adapte donc naturellement, et sans que nous en ayons conscience, à l'humeur de ceux qui nous entourent, surtout quand nous passons beaucoup de temps avec eux. Ce processus, dit des neurones miroir, est à la base du sentiment d'empathie. Le revers de la médaille, c'est que les jérémiades s'apparentent à la tabagie: pas besoin d'être fumeur pour en subir les effets négatifs. Il faut donc faire preuve de prudence quand on fréquente des gens qui ne cessent de se plaindre de tout et de rien, dans le but d'attirer l'attention sur eux. Si vous étiez avec un fumeur, vous passeriez l'après-midi à inhaler la fumée de sa cigarette? Bien sûr que non. Vous vous mettriez à l'écart, et c'est précisément ce qu'il convient de faire avec les gens qui se plaignent.

Comment résoudre le problème

Il y a deux choses que vous pouvez faire quand vous ressentez le besoin de vous plaindre. D'abord, penser à tout ce dont vous pouvez vous réjouir. Prendre le temps de se satisfaire de ce que l'on a est non seulement sage, mais réduit aussi de 23% la production de cortisol. Des recherches menées par l'université de Californie à Davis ont démontré que les personnes qui s'efforçaient quotidiennement de voir le bon côté des choses étaient de meilleure humeur, beaucoup moins angoissés et avaient plus d'énergie grâce à leur faible taux de cortisol. Chaque fois que vous êtes négatif ou pessimiste, pensez-y et changez d'attitude. Avec le temps, cela deviendra un automatisme.

Ensuite, si vous avez vraiment des raisons de vous plaindre, cherchez des solutions:

Sachez ce que vous voulez. Avant de vous plaindre, sachez dans quel but vous le faites. Si vous n'y parvenez pas, il y a des chances que vous ayez simplement envie de râler, et c'est exactement le genre de comportement à éviter.

Commencez par un point positif. Il pourrait sembler absurde de se plaindre en débutant sa phrase par un compliment, mais cela évite de mettre l'autre sur la défensive. Par exemple, avant de faire une remarque négative sur le service client d'une entreprise, dites: "Je suis un fidèle client et j'ai toujours été bien servi jusqu'ici, mais..."

Soyez précis. Quand vous êtes lancé, évitez de réciter la liste de tous les inconvénients mineurs que vous avez subis ces vingt dernières années. N'évoquez que la situation en question, et soyez le plus spécifique possible. Au lieu de dire: "Votre employé m'a mal parlé", expliquez concrètement ce que vous entendez par là.

Terminez sur une note positive. Si vous dites: "Je ne remettrai plus jamais les pieds chez vous", la personne qui vous écoute n'a aucun intérêt à tenter de remédier au problème qui vous préoccupe. Vous ne faites que passer votre colère sur elle, ou râler pour le plaisir de râler. Choisissez plutôt de réexpliquer ce qui ne va pas, et dites que vous espérez que votre souci peut être résolu. Par exemple: "J'aimerais qu'on trouve une solution afin que ça n'impacte pas notre relation professionnelle."

En conclusion

Comme l'excès de tabac, d'alcool ou d'oisiveté, les jérémiades ne vous font pas du bien. Mettez mes conseils en pratique et vous récolterez les fruits d'une attitude positive sur votre équilibre physique et mental, et sur vos performances.

Comment faites-vous pour éviter de vous plaindre et rester positif? N'hésitez pas à me faire part de votre expérience dans les commentaires ci-dessous, afin que je puisse moi aussi apprendre de vous!"

Ce matin, je porte mon collier cervical, mais mon moral est assez bon.

Minerve, c'est aussi la déesse de la sagesse.
Je ferais bien de m'en inspirer pour essayer de changer, non seulement le discours que je tiens sous cet avatar, mais surtout mon discours de tous les jours.

Et c'est ce que je vais essayer de faire.

Pas sûr, mais on peut essayer, je commence par : " J'aime particulièrement les cons, mais... ", non, encore envie de râler !

Suce ces p'tits Bleus ! a écrit:Pas sûr, mais on peut essayer, je commence par : " J'aime particulièrement les cons, mais... ", non, encore envie de râler !

Hahahahahahahahahahahahahahahahaha ! Hahahaha ! Haha !



Énorme !

Je pense qu'il est très important en effet de rester positif quoi qu'il nous arrive, de se mettre en colère ponctuellement quand on pense que c'est nécessaire, et puis de l'oublier rapidement, ou de cantonner les combats que l'on mène contre la connerie à des processus mentaux de faible niveau de conscience. C'est en cela que j'envie cette sorte de béatitude qu'on voit parfois sur le visage des chrétiens ou des bouddhistes : indépendamment de la réalité de leur existence ou de leurs œuvres, c'est sans doute une façon pour eux de se préserver.

Hahaha !

Hahaha !

Héhéhéhé !

(je viens de voir que tu as posté un message Pieyre, mais je rigole encore de celui de SCPB !)

Oui ben la béatitude m'interpelle, je pourrais même dire que je la jalouse, mais rien à faire, j'arrive pas à sourire quand on me chie dessus ! re

Tu peux toujours répondre à une baffe en en donnant une à ton tour, et puis seulement après tendre l'autre joue...

Pieyre a écrit:Tu peux toujours répondre à une baffe en en donnant une à ton tour, et puis seulement après tendre l'autre joue...

Là entièrement d'accord, surtout si je m'arrange bien pour que l'autre ne puisse plus en remettre une autre, ou qu'il y réfléchisse à deux fois !

Pieyre a écrit:Je pense qu'il est très important en effet de rester positif quoi qu'il nous arrive, de se mettre en colère ponctuellement quand on pense que c'est nécessaire, et puis de l'oublier rapidement, ou de cantonner les combats que l'on mène contre la connerie à des processus mentaux de faible niveau de conscience. C'est en cela que j'envie cette sorte de béatitude qu'on voit parfois sur le visage des chrétiens ou des bouddhistes : indépendamment de la réalité de leur existence ou de leurs œuvres, c'est sans doute une façon pour eux de se préserver.

Oui.

Mais en plus, ces questions de réseaux neuronaux, j'y avais déjà pensé.

A un niveau plus, comment dire, plus large, ça me fait penser aux schémas cognitifs.

Spoiler:

Des années que je me suis posé des questions sur la boxe.
Pourquoi j'aimais ce sport, pourquoi je me suis retrouvé à côtoyer des gens issus de milieux différents du mien (ce qui constitue, positivement, une ouverture d'esprit... mais au final, je me suis peut-être aussi retrouvé à changer de milieu), quels étaient donc nos points communs, etc. ?
Pour mon cas personnel, je pense avoir fini par trouver des réponses qui me satisfont même si elles sont peut-être fausses.

Mais j'ai l'impression qu'à la base de la boxe, sport assez SM, finalement, il y a souvent de la souffrance.

Par parenthèse, je déteste Nicolas Sarkozy et j'ai du mal avec les gens qui sont insensibles à la souffrance des autres.
Parfois, même chez des gens que j'estime, le manque d'empathie (qui peut être lié à des traits autistes) ou ce que je perçois comme tel, me fait tiquer.

Faudra que je le dise à la personne à laquelle je pense en écrivant cela, d'ailleurs.

Bref.

Agir sur nos schémas cognitifs, non pas dans un vague sens désincarné mais, au contraire, en s'appliquant, par des changements comportementaux, à changer réellement nos circuits neuronaux, me semble quelque chose d'intelligent.

Facile à dire ?

Personnellement, j'ai commencé ce travail, tout seul comme un grand, il y a quelques mois.
C'est encore balbutiant, mais j'essaye de changer de logique.

Savoir frapper fort, pour faire mal, pour casser (je discutais encore de boxe hier soir avec des amis), c'est bien.
C'est très bien même (on ne vit pas dans un monde idéal et je pense qu'il est bon d'être capable de se défendre et de défendre les siens en cas de nécessité).

Spoiler:

Suce ces p'tits Bleus ! a écrit:

Pieyre a écrit:Tu peux toujours répondre à une baffe en en donnant une à ton tour, et puis seulement après tendre l'autre joue...

Là entièrement d'accord, surtout si je m'arrange bien pour que l'autre ne puisse plus en remettre une autre, ou qu'il y réfléchisse à deux fois !

Voilà.

Et c'est en en faisant un processus itératif qu'on a inventé la boxe !

CQFD !

Un conseil, cela demande une bonne hygiène de vie, et de respecter son corps, et en premier lieu, le sommeil, je me suis rendu compte que quand je ne suis pas fatigué, les pensées négatives me traversent comme des neutrinos !

Oui, je suis absolument d'accord.

Hier soir, entrainement suivi d'une très bonne soirée.

Puis 11 heures de sommeil.

Aujourd’hui, en dépit du fait que je me suis réveillé avec trois doigts de la main gauche engourdis (ce qui n'est quand même pas super) et que ma main droite ressemble plus à un gros poing dépourvu d’articulations qu'à une main (ce qui n'est pas terrible non plus) et que je porte mon collier cervical, je me sens bien.
Hier, impossible de jouer quatre notes correctement au piano.
Je suis bien sûr qu'il en irait de même aujourd'hui.
J'ai la flemme de me lancer dans un massage de la main etc.
Faire 5-6 heures de travail juste pour pouvoir bouger les doigts, ça me fait chier.
Fatigué, malade, je préfère glander sur ZC.

Mais !...
Mais j'ai bon moral !

Comme quoi, les endorphines, ça doit durer au moins 24 h, lol !

Mmmmmm. ......

J'aime bien ce que je lis ici aujourd'hui

Pale_Rider :
frustration auto-entretenue par des comportements inappropriés, plus ou moins inconscients (de moins en moins), en tout cas habituels (plus pour longtemps j'espère) , rage, désespoir, aboutissement inéluctable : idées suicidaires.
En gros, c'est la marche au suicide programmée.

Déjà le seul fait de se lamenter, c'est un piège. Qu'est-ce qu'on attend ? Que quelqu'un nous entende et nous comprenne ? Mais ça c'est valable dans l'enfance, où l'on peut attendre tout réconfort de la part de nos parents. Mais ensuite ? C'est comme si on en appelait à une puissance supérieure, à un dieu ou à un ange qui serait à l'écoute de nos malheurs... C'est-à-dire qu'on en reste à un schéma infantile, sauf dommages caractérisés qui peuvent être reconnus par une personne qui a conscience de les avoir causés ou par la loi...

Mais j'ai l'impression qu'à la base de la boxe, sport assez SM, finalement, il y a souvent de la souffrance.

Plutôt se causer soi-même de la souffrance qu'en endurer de la part d'autrui sans pouvoir la combattre ?

Agir sur nos schémas cognitifs, non pas dans un vague sens désincarné mais, au contraire, en s'appliquant, par des changements comportementaux, à changer réellement nos circuits neuronaux, me semble quelque chose d'intelligent.

Sans doute, mais ce qui doit prendre du temps. Il s'agit d'être patient.

En faire une conduite de fuite des problèmes, par contre, ce n'est pas une bonne idée.

On peut aussi les fuir sur le moment, de façon conservatoire, et puis y revenir dès qu'on peut pour les régler.

La nuit tombe.
J'ai rien foutu de la journée mais c'est pas grave car je suis bien.

Pieyre a écrit:

Pale_Rider :
frustration auto-entretenue par des comportements inappropriés, plus ou moins inconscients (de moins en moins), en tout cas habituels (plus pour longtemps j'espère) , rage, désespoir, aboutissement inéluctable : idées suicidaires.
En gros, c'est la marche au suicide programmée.

Déjà le seul fait de se lamenter, c'est un piège. Qu'est-ce qu'on attend ? Que quelqu'un nous entende et nous comprenne ? Mais ça c'est valable dans l'enfance, où l'on peut attendre tout réconfort de la part de nos parents. Mais ensuite ? C'est comme si on en appelait à une puissance supérieure, à un dieu ou à un ange qui serait à l'écoute de nos malheurs... C'est-à-dire qu'on en reste à un schéma infantile, sauf dommages caractérisés qui peuvent être reconnus par une personne qui a conscience de les avoir causés ou par la loi...

Oui, je suis assez d'accord.
Un schéma infantile, en effet.
Pire que cela même, mais je ne développerai pas ce point.

Une personne qui puisse nous entendre et nous comprendre ?
Le psy.
Qui, s'il est bon, peut nous aider à nous en sortir.
Par l'action.

D'ailleurs, je crois bien que ça recoupe ce que m'a dit mon psy la dernière fois que je l'ai vu, il y a quelques mois : si vous agissez pour vous en sortir mais que ça ne marche pas, vous pouvez vous plaindre, mais si vous ne faites rien, non.

Du reste, maintenant, j'agis.

Mais je pense aussi que tout cela peut être lié à la santé physique.
C'est ce que disait SCPB.
Boire, manger, dormir.
Et j'ajouterais, ne pas être trop handicapé par des problèmes physiques (qui engendrent à leur tour des problèmes psy).
Ensuite il est plus aisé d'agir lucidement.

Une chose qui m'est venue en pensant à toi, je te vois comme quelqu'un de bouillonnant, que ce soit physiquement et intellectuellement, que ce serait illusoire de vouloir te canaliser, mais plutôt essayer de te contenir, une piste à méditer ?

Il ne faut pas voir " bouillonnant " comme quelque chose de péjoratif, mais comme une formidable réserve d'énergie, de richesses, et que ça doit être extrêmement fatiguant, voir déprimant à canaliser sans se brûler.

Une chanteuse (lyrique) avec un décolleté à se taper la tête contre les murs !
Pourquoi ne suis-je pas allé la voir quand on était au conservatoire ?

Pourquoi va-t-on vers certaines personnes et pas d'autres ?
Complexe d'infériorité.
Complexe de classe, de milieu.

On parle toujours des milieux sociaux.
Je me demande s'il n'y a pas aussi des milieux psychologiques.

Je n'ose pas aller vers telle personne très épanouie parce que je suis englué dans mes problèmes.
Et inversement, les gens très épanouis ne viendront pas, ça se comprend bien, vers les gens bloqués, butés, obtus ou renfermés.

D'autres éléments de morphologie peut-être.
Il y a une théorie là-dessus : la théorie de l'appariement.
C'est un peu pareil, quoi : qui se ressemble s'assemble.

Elle : sûre d'elle ; suffisamment narcissique pour réussir ; talentueuse.
Moi : renfermé ; extrêmement prompt à voir le petit détail qui fait que, bof, ouais, bin, finalement non ; complexé ; handicapé etc.

Je m'en fous, je ne suis pas amoureux de cette fille (cf. petit détail etc.)

Mais je suis un con (Pas bien ! Pensée négative ! Alerte !...).

Je la trouve très épanouie.

Les gens épanouis m'épatent.

C'est ça que je voudrais, en fait.

D'abord, s'autoriser à être quelqu'un d'épanoui.
Avec mes cervicales, ma gueule, j'ai l'impression que je ne rayonnerai jamais.
J'espère que c'est faux.

Blablablablabla etc. blabla...

Suce ces p'tits Bleus ! a écrit:Une chose qui m'est venue en pensant à toi, je te vois comme quelqu'un de bouillonnant, que ce soit physiquement et intellectuellement, que ce serait illusoire de vouloir te canaliser, mais plutôt essayer de te contenir, une piste à méditer ?

Il ne faut pas voir " bouillonnant " comme quelque chose de péjoratif, mais comme une formidable réserve d'énergie, de richesses, et que ça doit être extrêmement fatiguant, voir déprimant à canaliser sans se brûler.

Je ne sais pas.

Tu sais, j'ai écrit le post ci-dessus avant de lire le tiens (que je viens donc de découvrir).

ça prouve bien que la perception que j'ai de moi...

Peut-être est-ce que ça n'est jamais assez ?

Physiquement...

J'en sais rien.

Si tu as raison et que j'ai assez d'énergie, ça pourrait être pas mal car il m'en faudra si je me lance dans certains projets...

Il y a quelques jours, hier matin encore, j'étais à plat.
Je voulais renoncer à tout.

Là... Je commence à me remettre en route... (Héhéhé !... J'ai évité de dire "en marche" comme l'aurait fait l’érotique Macron)

Bon, mais sinon, me contenir... Je ne sais pas... !...

Je ne sais pas.

Si j'avais plein de fric et que j'étais parisien, je brulerais ma vie en orgies par les deux bouts.

Putain de Dieu, au bout de 4 heures, ça devait arriver !
A force de passer d'un clone à l'autre j'ai fini par gaffer !

Merci de garder le secret pour ceux qui savent !

MP-moi si vous avez découvert le truc et que vous êtes vexé ou fâché contre moi.

Si un jour je réussis à unifier mon putain de cerveau, promis, je n'utiliserai plus 50 clones pour m'exprimer.

Bouillonnant ? Te contenir ?