Première partie du test
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Première partie du test
Bon et bien voilà c'est fait, j'ai passé hier la partie "test qualitatif". En deux phase un subtest hyperesthésie avec un résultat d'hyperesthésie tournant autour des 9/10 pour la majorité des points, 7/10 pour l'hyperesthésie psychomotrice (au dessus de la moyenne mais pas exagérée) et 9,6/10 pour la l'hyperesthésie intellectuelle (soif d'apprendre). Le deuxième subtest vérifiait si je suis cerveau gauche/cerveau droit. Résultat cerveau droit à + de 76%.
Le test de Q.I. se fera en deux séances d'une heure dans le prochain mois.
J'ai beaucoup de mal à croire que je pourrait être zébrée et à vrai dire plus le test approche et moins j'y crois !!!
J'ai à tout hasard, par pure curiosité posé la question à ma psy si on pouvait présenter de tels résultats qualitatifs et ne pas être HP.
Bien sur cela peut arriver, bien sur !! Mais dans sa pratique elle n'en a vu que de très rares cas.
Elle est HP elle même et il y a un très bon feeling entre nous, c'est incroyable, elle l'a reconnu elle même en me parlant hier elle a rarement senti une telle connexion avec un/une patiente
Quand à moi quand j'en parle avec mon conjoint et que je lui raconte ma séance, il me voit dans un tel état qu'il me dit :" on dirait que tu viens de retrouver ta tribu après des années d'errance dans un monde inconnu".
Oui je me sens vraiment bien en sa présence, son contact me fait du bien, je me sens si bien comprise et je sens tellement son empathie...
Bref, to be continued.....
Le test de Q.I. se fera en deux séances d'une heure dans le prochain mois.
J'ai beaucoup de mal à croire que je pourrait être zébrée et à vrai dire plus le test approche et moins j'y crois !!!
J'ai à tout hasard, par pure curiosité posé la question à ma psy si on pouvait présenter de tels résultats qualitatifs et ne pas être HP.
Bien sur cela peut arriver, bien sur !! Mais dans sa pratique elle n'en a vu que de très rares cas.
Elle est HP elle même et il y a un très bon feeling entre nous, c'est incroyable, elle l'a reconnu elle même en me parlant hier elle a rarement senti une telle connexion avec un/une patiente
Quand à moi quand j'en parle avec mon conjoint et que je lui raconte ma séance, il me voit dans un tel état qu'il me dit :" on dirait que tu viens de retrouver ta tribu après des années d'errance dans un monde inconnu".
Oui je me sens vraiment bien en sa présence, son contact me fait du bien, je me sens si bien comprise et je sens tellement son empathie...
Bref, to be continued.....
Re: Première partie du test
(2 seances pour un wais....bof bof...normalement le test est conçu pour être administré en une séance (hors cas spécifique. et ces histoirrs de cerveau gauche et droit .....chez un psy....)
encore une psy qui a trouvé le bon filon à mon avis (qui n'est que le mien)
mais bon l'important etant le resultat du bilan wais au final ...
.bonne chance.!
encore une psy qui a trouvé le bon filon à mon avis (qui n'est que le mien)
mais bon l'important etant le resultat du bilan wais au final ...
.bonne chance.!
meï- Messages : 1321
Date d'inscription : 26/07/2009
Age : 51
Localisation : à l'Ouest
Re: Première partie du test
En effet ce test est conçu pour être passé en une seule fois. Cependant, n'ayant la possibilité de prendre une demi journée de congé pour aller passer le test, je vais le passer en fin de journée après ma journée de travail et sachant que je ne bosses pas au pied de ma porte, plutôt que je me faire passer un test de deux heures , elle m'a proposé de le découper en deux séances. Je ne me vois pas avoir encore la force de me concentrer deux heures après avoir fait 50 bornes pour aller bosser, huit heures de taf et 50 bornes de trajet retour + encore 30 bornes pour aller jusque chez elle et tout ça à 20H
Quant à l'histoire du cerveau droit, cerveau gauche, elle a fait ce subtest pour évaluer mes forces et faiblesses à ce niveau. Elle m'a dit que je gagnerait à travailler un peu sur l'aspect séquentiel car en effet dans ma tête tout est pêle-mêle, c'est le bordel car tout arrive au même niveau j'ai beaucoup de mal à hierarchiser pour ne pas dire que je n'y arrive simplement pas.
Mais pourquoi j'ai toujours l'impression de devoir tout justifier et que quoi que je fasse ou décide c'est jamais bien !!!
Désolée pour la réaction d'humeur, c'est peut être la suceptibilité qui parle mais ça me bouffe d'avoir la sensation de me trouver face à des réactions négatives quoi que j'entreprenne.
Quant à la psy, étant testée HP elle même, un mari et 3 gosses HP également je pense que le "filon" elle le connait tout autant que le sujet , la remarque et injuste et injustifiée alors je m'insurge ! voila na ! namého Oo
Quant à l'histoire du cerveau droit, cerveau gauche, elle a fait ce subtest pour évaluer mes forces et faiblesses à ce niveau. Elle m'a dit que je gagnerait à travailler un peu sur l'aspect séquentiel car en effet dans ma tête tout est pêle-mêle, c'est le bordel car tout arrive au même niveau j'ai beaucoup de mal à hierarchiser pour ne pas dire que je n'y arrive simplement pas.
Mais pourquoi j'ai toujours l'impression de devoir tout justifier et que quoi que je fasse ou décide c'est jamais bien !!!
Désolée pour la réaction d'humeur, c'est peut être la suceptibilité qui parle mais ça me bouffe d'avoir la sensation de me trouver face à des réactions négatives quoi que j'entreprenne.
Quant à la psy, étant testée HP elle même, un mari et 3 gosses HP également je pense que le "filon" elle le connait tout autant que le sujet , la remarque et injuste et injustifiée alors je m'insurge ! voila na ! namého Oo
Re: Première partie du test
Je me demande en quoi consiste ces subtests qualitatifs, jamais entendu parler. Ça m'intrigue.
Mily_Moheori- Messages : 908
Date d'inscription : 07/03/2016
Re: Première partie du test
Le testing qualitatif sert à évaluer le niveau des hyperstimulabilités. Ci-dessous un texte tiré du site douance.be. Cela n'est en rien un diagnostic, LE diagnostic se fait par le WAIS mais disons que celui-ci est un indicateur complémentaire.
La notion d'hyperstimulabilité
Théorie de la Désintégration positive, de Kazimierz Dabrowski
Extrait du chapitre 6 (Les caractéristiques émotionnelles des EHP) de L'état de la recherche sur les enfants dits "surdoués" , coordonné par Jacques Lautrey, Laboratoire Cognition & Développement, Université Paris V, 2003.
Au début des années 80, s'est développé un courant de recherche basé sur les travaux initiés par Dabrowski. Sa théorie de la Désintégration Positive, qui tente de modéliser la personnalité dans son développement, a permis non seulement de fournir des éléments de réflexion sur les processus permettant la construction d'une personnalité stable et unique, mais aussi d'établir des critères pour la mise au point d'outils psychométriques recouvrant des champs d'applications multiples (études cliniques de personnalités pathologiques, identification de populations atypiques...).
Dabrowski postule que la personnalité s'élabore au cours de cinq niveaux de développement influencés par trois facteurs distincts :
facteurs héréditaires, facteurs environnementaux et facteurs motivationnels dépendant de la volonté de l'individu (« autonomous and self-determined » ).
Selon cette conception, les facteurs héréditaires prennent en compte cinq éléments caractéristiques de la personnalité, strictement innés et regroupés sous le terme générique d'« hyperstimulabilités » (Overexcitabilities ou OEs), qui correspondent à des réactions extrêmes et constantes en réponse à des stimuli internes et externes, pouvant s'exprimer à travers cinq formes postulées génétiquement indépendantes : psychomotrice, sensorielle, imaginative, intellectuelle et émotionnelle (Piechowski, 1975). L'augmentation de l'intensité, de la durée et de la fréquence de ces réponses sont considérées comme autant de prédicteurs d'un potentiel développemental supérieur à la moyenne (Piechowski & Colangelo, 1984).
Les hyperstimulabilités peuvent prendre cinq formes :
Psychomotrice : couramment envisagée comme un besoin d'activité physique et de mouvement, qui peut aussi se traduire par des difficultés à mettre en veille l'activité cérébrale pour s'endormir. Elle se reflète à travers une énergie physique débordante accompagnée de mouvements, de gestuelles, tics nerveux, logorrhée...
Sensorielle : elle est exprimée par une exacerbation des sens au cours d'expériences de plaisir ou de déplaisir (à travers différentes modalités sensorielles, sentir, toucher, goûter, entendre).
Imaginative : elle se caractérise par de riches associations d'images et d'impressions, une certaine inventivité pour l'utilisation d'images et de métaphores dans le langage parlé ou écrit. Les rêves sont vivaces et peuvent être racontés avec beaucoup de détails. On observe également une prédilection pour les contes de fée, la création poétique, l'invention de compagnons imaginaires...
Intellectuelle : besoin élevé de comprendre et chercher la vérité, d'acquérir des connaissances, analyser et synthétiser. Intense activité intellectuelle (curiosité, capacité pour soutenir l'effort intellectuel, avidité de lecture). Penchant pour poser des questions pertinentes et pour la résolution de problèmes.
Emotionnelle : l'expérience de relations émotionnelles, négatives ou positives, ressenties et exprimées de manière plus intense que la moyenne. Grande intensité des sentiments et conscience de la vaste gamme des émotions. Caractérisée par l'inhibition (timidité) et l'excitation (enthousiasme).
Bien que cette théorie ne constitue pas véritablement un modèle destiné en première intention à l'étude des différences individuelles, elle se base sur un travail de recherche biographique, clinique et empirique auprès de créateurs ou d'individus éminents de tous âges, ce qui en fait, par contraste avec des théories du développement humain plus générales, un outil particulièrement bien adapté à l'étude des individus à hauts potentiels (Miller, Silverman & Falk, 1994). Le principal intérêt du modèle de potentiel développemental est qu'il permet de mieux comprendre les différences individuelles pouvant exister parmi la diversité des formes de talents. L'intensité émotionnelle serait l'un des traits caractéristiques dans la personnalité des individus à haut potentiel de développement. Ils ressentent les choses profondément et ont souvent l'expérience d'une vaste gamme d'émotions. Piechowski (1991) définit l'« hyperstimulabilité émotionnelle » comme une intensité et une profondeur de la vie émotionnelle importantes, qui s'expriment à travers une vaste gamme d'émotions, attachements, compassion, sens aigu de la responsabilité et introspection scrupuleuse (self examination...).
La notion d'hyperstimulabilité
Théorie de la Désintégration positive, de Kazimierz Dabrowski
Extrait du chapitre 6 (Les caractéristiques émotionnelles des EHP) de L'état de la recherche sur les enfants dits "surdoués" , coordonné par Jacques Lautrey, Laboratoire Cognition & Développement, Université Paris V, 2003.
Au début des années 80, s'est développé un courant de recherche basé sur les travaux initiés par Dabrowski. Sa théorie de la Désintégration Positive, qui tente de modéliser la personnalité dans son développement, a permis non seulement de fournir des éléments de réflexion sur les processus permettant la construction d'une personnalité stable et unique, mais aussi d'établir des critères pour la mise au point d'outils psychométriques recouvrant des champs d'applications multiples (études cliniques de personnalités pathologiques, identification de populations atypiques...).
Dabrowski postule que la personnalité s'élabore au cours de cinq niveaux de développement influencés par trois facteurs distincts :
facteurs héréditaires, facteurs environnementaux et facteurs motivationnels dépendant de la volonté de l'individu (« autonomous and self-determined » ).
Selon cette conception, les facteurs héréditaires prennent en compte cinq éléments caractéristiques de la personnalité, strictement innés et regroupés sous le terme générique d'« hyperstimulabilités » (Overexcitabilities ou OEs), qui correspondent à des réactions extrêmes et constantes en réponse à des stimuli internes et externes, pouvant s'exprimer à travers cinq formes postulées génétiquement indépendantes : psychomotrice, sensorielle, imaginative, intellectuelle et émotionnelle (Piechowski, 1975). L'augmentation de l'intensité, de la durée et de la fréquence de ces réponses sont considérées comme autant de prédicteurs d'un potentiel développemental supérieur à la moyenne (Piechowski & Colangelo, 1984).
Les hyperstimulabilités peuvent prendre cinq formes :
Psychomotrice : couramment envisagée comme un besoin d'activité physique et de mouvement, qui peut aussi se traduire par des difficultés à mettre en veille l'activité cérébrale pour s'endormir. Elle se reflète à travers une énergie physique débordante accompagnée de mouvements, de gestuelles, tics nerveux, logorrhée...
Sensorielle : elle est exprimée par une exacerbation des sens au cours d'expériences de plaisir ou de déplaisir (à travers différentes modalités sensorielles, sentir, toucher, goûter, entendre).
Imaginative : elle se caractérise par de riches associations d'images et d'impressions, une certaine inventivité pour l'utilisation d'images et de métaphores dans le langage parlé ou écrit. Les rêves sont vivaces et peuvent être racontés avec beaucoup de détails. On observe également une prédilection pour les contes de fée, la création poétique, l'invention de compagnons imaginaires...
Intellectuelle : besoin élevé de comprendre et chercher la vérité, d'acquérir des connaissances, analyser et synthétiser. Intense activité intellectuelle (curiosité, capacité pour soutenir l'effort intellectuel, avidité de lecture). Penchant pour poser des questions pertinentes et pour la résolution de problèmes.
Emotionnelle : l'expérience de relations émotionnelles, négatives ou positives, ressenties et exprimées de manière plus intense que la moyenne. Grande intensité des sentiments et conscience de la vaste gamme des émotions. Caractérisée par l'inhibition (timidité) et l'excitation (enthousiasme).
Bien que cette théorie ne constitue pas véritablement un modèle destiné en première intention à l'étude des différences individuelles, elle se base sur un travail de recherche biographique, clinique et empirique auprès de créateurs ou d'individus éminents de tous âges, ce qui en fait, par contraste avec des théories du développement humain plus générales, un outil particulièrement bien adapté à l'étude des individus à hauts potentiels (Miller, Silverman & Falk, 1994). Le principal intérêt du modèle de potentiel développemental est qu'il permet de mieux comprendre les différences individuelles pouvant exister parmi la diversité des formes de talents. L'intensité émotionnelle serait l'un des traits caractéristiques dans la personnalité des individus à haut potentiel de développement. Ils ressentent les choses profondément et ont souvent l'expérience d'une vaste gamme d'émotions. Piechowski (1991) définit l'« hyperstimulabilité émotionnelle » comme une intensité et une profondeur de la vie émotionnelle importantes, qui s'expriment à travers une vaste gamme d'émotions, attachements, compassion, sens aigu de la responsabilité et introspection scrupuleuse (self examination...).
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