Mémoire, mémoire... des mots
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Mémoire, mémoire... des mots
C'est un vaste sujet que la mémoire, complexe. On peut la "travailler", certaines zones resteront éternellement floues, comme inutiles...
On n'accorde de place dans notre mémoire que ce qui a de l'importance à nos yeux.
Pourtant, la mémoire a un rôle essentiel dans notre façon de comprendre le monde, et ainsi de l’appréhender.
Ma question est à la fois très simple, et assez compliquée en soi, et elle est en plusieurs parties..
Pensez-vous qu'il est possible de littéralement effacer une zone de sa mémoire, ouau pire du mieux, de la modifier, de manière plus ou moins inconsciente, à la suite d'un évènement plus que troublant ?
Je ne vous parle pas de déni.
La seule réalité qui compte est celle qui est devenue réalité. Il n'y a pas d'autre alternative. Ce n'est même pas envisageable, que le ciel soit vert, pour l'exemple.
Comment alors savoir, au-delà de ce savoir qui s'impose par cette vision de la réalité, que faire, au-delà de ce qui est fait habituellement ?
Est-il possible de changer ses habitudes de pensées profondes, d'un coup (de tête) ?
Puissions-nous avoir seulement conscience de cette autre facette de la vie ? (d'où provient l'inconscient ?)
Pensez-vous enfin qu'une telle Tragédie puisse arriver à l'humanité toute entière ?
J'en arrive à la question fatidique, la plus osée, plus ou moins par l'opération de mon saint esprit :
Croyez-vous possible que l'humanité toute entière ait pu succomber à un trouble de la sorte, et vive actuellement dans le déni le plus complet de ce qu'elle est ?
Post-scriptum :
"tu connais pas la télékinésie ?"
"si t'y crois pas ça marchera pas !"
"ça bouge !"
Post-post-scriptum :
Comme on dit, j'ai un peu disjoncté, "pétage de plombs sous un soleil de plombs", mais "je garde les pieds sur terre" et "la tête sur les épaules". Sûr. "de la discussion jaillit la lumière". Alors discutons et tâchons d'entendre la discussion de sourd pour comprendre "la basse-cour". Je passe de l'évolution à la révolution chaque jour dans ma petite tête à relire les mots et expressions que je ne te fais pas dire, c'est con, comme c'est mots dont on peut se servir, pour définir; je m'y perds mais le noir de l'univers est ma lumière, alors toujours, je me repère au nom du père, toujours.
Que je tâche de l'éclaircir,le mystère, vous n'y verrez qu'une tâche, à relire. à moins que je ne puisse croire m'en sortir de l'illusoire dérisoire qui nous aspire au-delà du soir et du miroir qui, dit-on, peut réfléchir. Serait-ce dérisoire ? Les mots sont nos pensées, papa, maman.. D'où viennent ces souvenirs de comment bien tracer des traits ? Ma mémoire est aussi floue que celle de ceux qui m'en parlent mais au-delà c'est un tout, comme ces mots, alors j'ose croire que tout est normal. Ainsi rien ne vient de rien, et j'entends parler de l'infini ces derniers temps, comme si c'était la vie, finalement. Et pourquoi pas ? Ce serait épatant. Mais au-delà il y a les rois. Et cela semble depuis longtemps. Toutes ces lois qui font que nous puissions tous vivre ensemble, sous le même toit, sans jamais chercher au-delà. Au nom de la sainte trinité de la croix du métier à tisser la soie. à ne jamais savoir pourquoi, ne jamais en parler, en débattre, d'une discussion à bâtons rompus, toujours cloîtré dans ses positions, à moins que ce ne soit moi qui campe comme un couillon, mais bien sûr c'est moi, c'est un secret de poltron. Je suis "le roi" de "ma prison". Mais je fais ici et là le choix de donner le ton de la discussion et cela c'est le secret, toute la contradiction. J'entre en ligne de compte : c'est l'intention qui compte. à compter les moutons... qu'est-ce que je raconte ? Revenons à nous moutons. Pour les enfants, une histoire à dormir debout, et pour les grands et les petits, ce n'est pas une autre histoire.
on m'a dit un jour Tout est Lié. Je me marre en vilain petit canard, le fou allié du roi.
post-post-post-scriptum :
au-delà de cette folie passagère qui veut tout de même dire quelque chose, je cherche probablement peut-être un peu la zizanie. [ Je ? ] à vouloir percer des murs qui tiennent bon depuis 2000ans. Chipeur, arrête de chipoter. Je ne sais pas vraiment ce que je cherche, mais je le cherche, et je ne m'arrêterai pas tant que je n'aurai pas trouvé. ça fait belle lurette que ça m'fait une belle jambe. Comprendre pourquoi, voir ce qu'il y a au-delà, savoir d'où, où, et quoi.
Il y a de belles barrières, frontières, et murs bétonnés, mais le langage, la parole, est sacrée, et, peut-être, encore la seule chose en liberté, et sans autre statue que les mots pour l'isoler, ces mots qui ne sont que des traits sur les sons prononcés, par la pensée, alors peut-être par là pouvons-nous en tirer les bonnes cartes, à jouer... La carte du monde, ce n'est que quatre mots. Les mots sont les maîtres de la vie. Nous sommes les maîtres des mots. Nan mais allô Charlie Bravo la liberté d'expressio ! Que veut me couper la parole ? Qu'on lui coupe la tête !
Alouette... petit oiseau qui chante tout l'temps et m'prend la tête...
à la maternelle, saute la petite marelle, et fais demi-tour au ciel.
On n'accorde de place dans notre mémoire que ce qui a de l'importance à nos yeux.
Pourtant, la mémoire a un rôle essentiel dans notre façon de comprendre le monde, et ainsi de l’appréhender.
Ma question est à la fois très simple, et assez compliquée en soi, et elle est en plusieurs parties..
Pensez-vous qu'il est possible de littéralement effacer une zone de sa mémoire, ou
Je ne vous parle pas de déni.
La seule réalité qui compte est celle qui est devenue réalité. Il n'y a pas d'autre alternative. Ce n'est même pas envisageable, que le ciel soit vert, pour l'exemple.
Comment alors savoir, au-delà de ce savoir qui s'impose par cette vision de la réalité, que faire, au-delà de ce qui est fait habituellement ?
Est-il possible de changer ses habitudes de pensées profondes, d'un coup (de tête) ?
Puissions-nous avoir seulement conscience de cette autre facette de la vie ? (d'où provient l'inconscient ?)
Pensez-vous enfin qu'une telle Tragédie puisse arriver à l'humanité toute entière ?
J'en arrive à la question fatidique, la plus osée, plus ou moins par l'opération de mon saint esprit :
Croyez-vous possible que l'humanité toute entière ait pu succomber à un trouble de la sorte, et vive actuellement dans le déni le plus complet de ce qu'elle est ?
Post-scriptum :
"tu connais pas la télékinésie ?"
"si t'y crois pas ça marchera pas !"
"ça bouge !"
Post-post-scriptum :
Comme on dit, j'ai un peu disjoncté, "pétage de plombs sous un soleil de plombs", mais "je garde les pieds sur terre" et "la tête sur les épaules". Sûr. "de la discussion jaillit la lumière". Alors discutons et tâchons d'entendre la discussion de sourd pour comprendre "la basse-cour". Je passe de l'évolution à la révolution chaque jour dans ma petite tête à relire les mots et expressions que je ne te fais pas dire, c'est con, comme c'est mots dont on peut se servir, pour définir; je m'y perds mais le noir de l'univers est ma lumière, alors toujours, je me repère au nom du père, toujours.
Que je tâche de l'éclaircir,
on m'a dit un jour Tout est Lié. Je me marre en vilain petit canard, le fou allié du roi.
post-post-post-scriptum :
au-delà de cette folie passagère qui veut tout de même dire quelque chose, je cherche probablement peut-être un peu la zizanie. [ Je ? ] à vouloir percer des murs qui tiennent bon depuis 2000ans. Chipeur, arrête de chipoter. Je ne sais pas vraiment ce que je cherche, mais je le cherche, et je ne m'arrêterai pas tant que je n'aurai pas trouvé. ça fait belle lurette que ça m'fait une belle jambe. Comprendre pourquoi, voir ce qu'il y a au-delà, savoir d'où, où, et quoi.
Il y a de belles barrières, frontières, et murs bétonnés, mais le langage, la parole, est sacrée, et, peut-être, encore la seule chose en liberté, et sans autre statue que les mots pour l'isoler, ces mots qui ne sont que des traits sur les sons prononcés, par la pensée, alors peut-être par là pouvons-nous en tirer les bonnes cartes, à jouer... La carte du monde, ce n'est que quatre mots. Les mots sont les maîtres de la vie. Nous sommes les maîtres des mots. Nan mais allô Charlie Bravo la liberté d'expressio ! Que veut me couper la parole ? Qu'on lui coupe la tête !
Alouette... petit oiseau qui chante tout l'temps et m'prend la tête...
à la maternelle, saute la petite marelle, et fais demi-tour au ciel.
Invité- Invité
Re: Mémoire, mémoire... des mots
Bonjour,
Sans exprimer d'avis sur ces thèmes, selon ce que tu aime, je t'invite à lire des livres tels que 1984 de Orwell ou de t'interesser à l'histoire de la construction de l'URSS ou de la révolution culturelle en Chine.
Ca ne te parlera peut-etre pas de changer ta vision des couleurs en un claquement de doigt (pas au sens propre en tout cas), mais ca t'apportera quelques réponses / directions dans ta recherche sur le thème de la mémoire et des tours conscients et inconscients que l'on peut lui donner à grande échelle.
Je pars du principe que si ca fonctionne au niveau macro, ca fonctionnera au niveau micro.
Sinon les magazines orientées sciences sociales ou neuro-sciences aiment bien traiter ce genre de sujet de temps à autre.
Bonne journée
Sans exprimer d'avis sur ces thèmes, selon ce que tu aime, je t'invite à lire des livres tels que 1984 de Orwell ou de t'interesser à l'histoire de la construction de l'URSS ou de la révolution culturelle en Chine.
Ca ne te parlera peut-etre pas de changer ta vision des couleurs en un claquement de doigt (pas au sens propre en tout cas), mais ca t'apportera quelques réponses / directions dans ta recherche sur le thème de la mémoire et des tours conscients et inconscients que l'on peut lui donner à grande échelle.
Je pars du principe que si ca fonctionne au niveau macro, ca fonctionnera au niveau micro.
Sinon les magazines orientées sciences sociales ou neuro-sciences aiment bien traiter ce genre de sujet de temps à autre.
Bonne journée
M.Dupont- Messages : 29
Date d'inscription : 16/08/2016
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