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Firemane
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Re: .
De l'art, ici beaucoup ne sont jamais à la dêche
Bienvenue
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Stauk a écrit:Le titre est une allusion au bossu (Lagardère, le comte de Nevers) ??
Bonsoir Stauk!
Tout à fait, petit combo entre Nevers et la médaille. J'en suis moi-même aveuglé
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ortolan- Messages : 13579
Date d'inscription : 31/07/2016
Localisation : 404 Not Found
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Iamsosure a écrit:De l'art, ici beaucoup ne sont jamais à la dêche
Bienvenue
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Bonsoir Iamsosure! Merci pour ta réponse! Oui, tant qu'à se sentir intrinsèquement inutile, autant produire de l'inutile intrinsèque.
"Il n'y a de vraiment beau que ce qui ne peut servir à rien ; tout ce qui est utile est laid, car c'est l'expression de quelque besoin, et ceux de l'homme sont ignobles et dégoûtants" (T. Gautier)
N'empêche, il y a l'amour.
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Malicieux a écrit:Iamsosure a écrit:De l'art, ici beaucoup ne sont jamais à la dêche
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Bonsoir Iamsosure! Merci pour ta réponse! Oui, tant qu'à se sentir intrinsèquement inutile, autant produire de l'inutile intrinsèque.
"Il n'y a de vraiment beau que ce qui ne peut servir à rien ; tout ce qui est utile est laid, car c'est l'expression de quelque besoin, et ceux de l'homme sont ignobles et dégoûtants" (T. Gautier)
N'empêche, il y a l'amour.
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ortolan a écrit:Bienvenue l'artiste!
Infirmière! Des bandages!
Repos, soldat! Le temps est venu de retrouver ses fondamentaux ; les harmoniques ce sera pour plus tard.
Bonsoir Ortolan! Merci pour l'accueil!
Va pour les fondamentaux! D'ailleurs, si une gentille infirmière se présentait, elle serait si bien soignée.
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Hello Malicieux,
Bienvenue par ici ^^
Aussi étrange que cela puisse paraître je sens une certaine poésie dans la façon que tu as de raconter les souffrances de ton vécu. Ecorché vif, toujours en quête d'une vérité, toujours en quête de l'explication du pourquoi de la vie.... tout cela me parle énormément !!
Merci pour ce partage !
Poursuis dans l'écriture,tu y excelles ;-)
Bienvenue par ici ^^
Aussi étrange que cela puisse paraître je sens une certaine poésie dans la façon que tu as de raconter les souffrances de ton vécu. Ecorché vif, toujours en quête d'une vérité, toujours en quête de l'explication du pourquoi de la vie.... tout cela me parle énormément !!
Merci pour ce partage !
Poursuis dans l'écriture,tu y excelles ;-)
Re: .
Lothil a écrit:Hello Malicieux,
Bienvenue par ici ^^
Aussi étrange que cela puisse paraître je sens une certaine poésie dans la façon que tu as de raconter les souffrances de ton vécu. Ecorché vif, toujours en quête d'une vérité, toujours en quête de l'explication du pourquoi de la vie.... tout cela me parle énormément !!
Merci pour ce partage !
Poursuis dans l'écriture,tu y excelles ;-)
Merci à toi, Lothil, pour ta lecture, ton accueil, et ton compliment rare. Je poursuis...
A bientôt!
Invité- Invité
Re: .
utilisateurdebase a écrit:banco pour l'ardèche!!!
Salut à toi, udb! Prends garde: ça va finir par vraiment se faire... Surveille les topos à venir, on va monter un truc unbelievebol , reste juste à trouver le millionnaire saucé...
Invité- Invité
Re: .
Bienvenue !
Yoda300- Messages : 1254
Date d'inscription : 12/06/2016
Age : 51
Localisation : Haute-Garonne
Re: .
Salut et bienvenue
Si jamais ça s'organise, je suis de la partie !Malicieux a écrit:On restaure un village en Ardèche ou quoi ?
Hen-sen- Messages : 29
Date d'inscription : 18/08/2016
Age : 31
Localisation : Montpellier
Re: .
Salut à toi.
bienvenue.
welcome...
je ne suis pas encore millionnaire mais j'envisage d'investir.
n'hésitez point à me soumettre vos projets dixvers et non-avariés.
bienvenue.
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je ne suis pas encore millionnaire mais j'envisage d'investir.
n'hésitez point à me soumettre vos projets dixvers et non-avariés.
Invité- Invité
Re: .
Je m’appelle Malicieux, enfin presque Very Happy , et je suis un jeune homme très fatigué. En fait, je suis aujourd’hui dans un état psychique plutôt léthargique. Je crois que mon Captain’, à force de me voir mouliner m’a mis en sourdine. Ne reste qu’un pénible fond d’harmoniques, un vieil air en D mineur. Au début, je croyais que c’était à cause de la lourdeur familiale, alors je me suis cassé loin, loin. J’ai cru ensuite que c’était à cause d’un mauvais choix d’études, alors j’ai arrêté, puis je me suis dit que c’était peut-être le bédo, alors j’ai arrêté… Toujours rien. Je me suis dit que c’était « vous », après toutes ces déceptions humaines, alors j’ai arrêté de tendre la main, et j’ai arrêté d’attendre quoi que ce soit de qui que ce soit. Mais même seul, là, rien. Rien qu’une balance des blancs, silence de ces harmoniques.
Le présent n’est plus que pensées, savoir et musique mais attention ! J’ai un passé... Avant, j’étais un champion pour vivre, j’ai même plein de médailles, là sur l'étagère ! Je n’étais pas plus gros qu’elle quand j’ai décrochée la première: c’est grâce à moi embryon que mon père est resté. Voilà mon deuxième grand prix en séduction infantile avec la Coupe Baby-blues! Troisième récompense à huit ans : grand prix d’Œdipe grâce à plusieurs performances dont je ne suis pas peu fier : tenir tête à mon père quand il était violent envers ma mère, tendre les mouchoirs, et l’empêcher de sauter de cette fenêtre quand il gueulait « mais saute, va-s-y, saute ! »
Lassé par mes premières médailles, j’avais faim de récompenses j’imagine, quand il s’est enfin cassé pour sa secrétaire, laissant ma mère dépressive lourde et alcoolique. Pour le jeune adulte que j’étais, c’était une aubaine. D’autant que des adultes, il n’y en avait pas un pour se pencher sur son cas, famille, amis, même mon frère… tous partis. Plutôt que chez mon père pâle silhouette, je jouais donc mon premier rôle chez ma mère à dix ans, en réalité rôles multiples: infirmier, homme de ménage, cuisinier, coursier-vigneron, mais surtout : consultant psychiatrique, éponge à merde, et représentant officiel de mon père et sa nouvelle vie.
Jusqu’à ma majorité, j’ai tout donné. Franchement, le gamin que j’étais, il claque. Toujours le sourire, la joie de vivre, une scolarité en parallèle jusqu’au bac S sans agenda, sans trousse et le sac plein des bouquins de la veille, et le plus classe : sans calculette (bon, j’étais le relou qui te l’emprunte pendant les interros, parce que les sinus et les exponentielles de tête, c’est rude quand-même.) Puis je prenais mon petit bus scolaire voir ma mère, m’affairer à la voile du radeau.
Quand je rentrais chez mon père on me disait que je puais, mais bon, c’était vrai. Pour imaginer l’odeur chez ma mère, ce sera dur. Le mieux c’est de faire le test, prenez une semaine : il faut fermer tous les volets, les rideaux et les fenêtres, fumer trois paquets de clopes par jour, et laisser toujours dans la chambre un seau de vomis qu’on pourra répandre sur le sol à sa guise. Chier dans ses draps sans les changer, laisser la matière organique se décomposer et s’incruster dans la vaisselle. Si vous laissez un peu de bouffe par ci par là, vous serez bon. Laisser reposer, et voilààà ! Vous verrez bien dans cet espace neuf, que deux minutes suffisent à imprégner durablement vos vêtements et vos cheveux… Ne faîtes pas l’étonné qu’en rentrant chez vous on vous le fasse remarquer, espèce de puant va.
Malgré ces quelques efforts, je n’ai pas pu sauver ma mère. Oh elle vit toujours, et je l’accueille encore parfois, mais aujourd’hui maman est morte (ou peut-être hier, je ne sais pas); Je n’ai pas reçu le télégramme, mais ‘enterrement demain’ cela ne veut rien dire. Elle est ma fille depuis longtemps.
Puis elle a trouvé quelqu’un. J’inspectais donc ce prétendant : fragile, mais gentil. Il était temps : j’ai dignement refusé le prix d’honneur, et je me suis cassé. J’avais dix-huit ans. Je croyais être enfin libéré! J’allais pouvoir vivre ma vie sans contraintes. Erreu’eueueueur…! Dépression, mais alors… le genre tu ne peux même pas deviner que tu es dépressif, et lui non plus, elle non plus, puisque déjà, a priori il s’en foutent, et qu’ensuite, je sourie, je donne, et si toi par miracle, tu me poses les bonnes questions, j’ai sous le crâne de mauvaises réponses qui te conviendront. Mais de plus en plus, j’étais fatigué. Je crois que ce qui me fatiguait le plus était de faire cavalier seul depuis trop longtemps. Parce qu’un conseil, c’est toujours à côté, et un exemple, c’est toujours le mauvais. Surtout que les autres n’en ont rien à foutre, ils ne pensent qu’à eux-mêmes. Et en principe à leur famille... Bon... Doutons donc de tout. Tout. C’est là que le zèbre est marrant. On est assez différent les uns des autres, mais je pense que beaucoup d’entre vous me rejoignent quant à l’immense énergie analytique que consomme le minage d’une conception, une décision, même la plus mineure.
Je continue, je continue de marcher sur un fil que je tends moi-même d’une main, tout en nouant de l’autre chaque fil qui lui est corrélé, et je parcours la toile entière, je brûle chaque mèche qui dépasse, je pondère chaque nœud pour en trouver le barycentre selon les ordres variables et contingents de priorité, j’obtiens ces centres dans un vide, je tourne autour des quelques nœuds qui l’entourent, et ma main tendant toujours ce filet, je remonte ma prise : moi-même au creux de ce réseau.
Ca fait huit ans que j’enchaîne les petits boulots, j’ai majoré ma reprise d’étude par correspondance, mais je ne me voyais pas m’ennuyer cinq ans pour des métiers pour lesquels je n’ai pas de vocation, alors ça aussi, j’ai arrêté. Je m’occupe, oui j’écris, je peins, je compose, j’apprends, j’écoute beaucoup de musique, je regarde beaucoup de films, je me balade un peu quand je me sens d’attaque pour la savane. Mais tout cela est bien médiocre. J’ai quitté tous mes amis avec Panam’, sur Montpellier j’ai eu une petite femme et un ami, deux pervers narcissiques, puis un autre dont je n’ai pas de nouvelles depuis que je lui ai prêté 300 euros.
Allez, j’ai rencontré Jérémy, et ça c’est cool...Rencontrer des gens bien, c’est rare. A chaque fois ils étaient malins. A chaque fois ils étaient fragiles. A chaque fois ca fuse, et c’est comme ça que je veux remplir les pages blanches.
En un mot, grandiose.
Le présent n’est plus que pensées, savoir et musique mais attention ! J’ai un passé... Avant, j’étais un champion pour vivre, j’ai même plein de médailles, là sur l'étagère ! Je n’étais pas plus gros qu’elle quand j’ai décrochée la première: c’est grâce à moi embryon que mon père est resté. Voilà mon deuxième grand prix en séduction infantile avec la Coupe Baby-blues! Troisième récompense à huit ans : grand prix d’Œdipe grâce à plusieurs performances dont je ne suis pas peu fier : tenir tête à mon père quand il était violent envers ma mère, tendre les mouchoirs, et l’empêcher de sauter de cette fenêtre quand il gueulait « mais saute, va-s-y, saute ! »
Lassé par mes premières médailles, j’avais faim de récompenses j’imagine, quand il s’est enfin cassé pour sa secrétaire, laissant ma mère dépressive lourde et alcoolique. Pour le jeune adulte que j’étais, c’était une aubaine. D’autant que des adultes, il n’y en avait pas un pour se pencher sur son cas, famille, amis, même mon frère… tous partis. Plutôt que chez mon père pâle silhouette, je jouais donc mon premier rôle chez ma mère à dix ans, en réalité rôles multiples: infirmier, homme de ménage, cuisinier, coursier-vigneron, mais surtout : consultant psychiatrique, éponge à merde, et représentant officiel de mon père et sa nouvelle vie.
Jusqu’à ma majorité, j’ai tout donné. Franchement, le gamin que j’étais, il claque. Toujours le sourire, la joie de vivre, une scolarité en parallèle jusqu’au bac S sans agenda, sans trousse et le sac plein des bouquins de la veille, et le plus classe : sans calculette (bon, j’étais le relou qui te l’emprunte pendant les interros, parce que les sinus et les exponentielles de tête, c’est rude quand-même.) Puis je prenais mon petit bus scolaire voir ma mère, m’affairer à la voile du radeau.
Quand je rentrais chez mon père on me disait que je puais, mais bon, c’était vrai. Pour imaginer l’odeur chez ma mère, ce sera dur. Le mieux c’est de faire le test, prenez une semaine : il faut fermer tous les volets, les rideaux et les fenêtres, fumer trois paquets de clopes par jour, et laisser toujours dans la chambre un seau de vomis qu’on pourra répandre sur le sol à sa guise. Chier dans ses draps sans les changer, laisser la matière organique se décomposer et s’incruster dans la vaisselle. Si vous laissez un peu de bouffe par ci par là, vous serez bon. Laisser reposer, et voilààà ! Vous verrez bien dans cet espace neuf, que deux minutes suffisent à imprégner durablement vos vêtements et vos cheveux… Ne faîtes pas l’étonné qu’en rentrant chez vous on vous le fasse remarquer, espèce de puant va.
Malgré ces quelques efforts, je n’ai pas pu sauver ma mère. Oh elle vit toujours, et je l’accueille encore parfois, mais aujourd’hui maman est morte (ou peut-être hier, je ne sais pas); Je n’ai pas reçu le télégramme, mais ‘enterrement demain’ cela ne veut rien dire. Elle est ma fille depuis longtemps.
Puis elle a trouvé quelqu’un. J’inspectais donc ce prétendant : fragile, mais gentil. Il était temps : j’ai dignement refusé le prix d’honneur, et je me suis cassé. J’avais dix-huit ans. Je croyais être enfin libéré! J’allais pouvoir vivre ma vie sans contraintes. Erreu’eueueueur…! Dépression, mais alors… le genre tu ne peux même pas deviner que tu es dépressif, et lui non plus, elle non plus, puisque déjà, a priori il s’en foutent, et qu’ensuite, je sourie, je donne, et si toi par miracle, tu me poses les bonnes questions, j’ai sous le crâne de mauvaises réponses qui te conviendront. Mais de plus en plus, j’étais fatigué. Je crois que ce qui me fatiguait le plus était de faire cavalier seul depuis trop longtemps. Parce qu’un conseil, c’est toujours à côté, et un exemple, c’est toujours le mauvais. Surtout que les autres n’en ont rien à foutre, ils ne pensent qu’à eux-mêmes. Et en principe à leur famille... Bon... Doutons donc de tout. Tout. C’est là que le zèbre est marrant. On est assez différent les uns des autres, mais je pense que beaucoup d’entre vous me rejoignent quant à l’immense énergie analytique que consomme le minage d’une conception, une décision, même la plus mineure.
Je continue, je continue de marcher sur un fil que je tends moi-même d’une main, tout en nouant de l’autre chaque fil qui lui est corrélé, et je parcours la toile entière, je brûle chaque mèche qui dépasse, je pondère chaque nœud pour en trouver le barycentre selon les ordres variables et contingents de priorité, j’obtiens ces centres dans un vide, je tourne autour des quelques nœuds qui l’entourent, et ma main tendant toujours ce filet, je remonte ma prise : moi-même au creux de ce réseau.
Ca fait huit ans que j’enchaîne les petits boulots, j’ai majoré ma reprise d’étude par correspondance, mais je ne me voyais pas m’ennuyer cinq ans pour des métiers pour lesquels je n’ai pas de vocation, alors ça aussi, j’ai arrêté. Je m’occupe, oui j’écris, je peins, je compose, j’apprends, j’écoute beaucoup de musique, je regarde beaucoup de films, je me balade un peu quand je me sens d’attaque pour la savane. Mais tout cela est bien médiocre. J’ai quitté tous mes amis avec Panam’, sur Montpellier j’ai eu une petite femme et un ami, deux pervers narcissiques, puis un autre dont je n’ai pas de nouvelles depuis que je lui ai prêté 300 euros.
Allez, j’ai rencontré Jérémy, et ça c’est cool...Rencontrer des gens bien, c’est rare. A chaque fois ils étaient malins. A chaque fois ils étaient fragiles. A chaque fois ca fuse, et c’est comme ça que je veux remplir les pages blanches.
En un mot, grandiose.
heysoulsister- Messages : 45
Date d'inscription : 18/10/2016
Re: .
Au revoir chers amis, vaquez bien!
Avant de partir, un grand merci à tous pour le tremplin que ZC m'a apporté en tant que petit être tourmenté.
J'arrête ici cette expérience pour de bonnes raisons. Peut-être reviendrai-je, sûrement d'ailleurs. N'hésitez pas à venir lire mes griffonnages de papyrus à cette adresse
Portez-vous bien! Je m'envole
Avant de partir, un grand merci à tous pour le tremplin que ZC m'a apporté en tant que petit être tourmenté.
J'arrête ici cette expérience pour de bonnes raisons. Peut-être reviendrai-je, sûrement d'ailleurs. N'hésitez pas à venir lire mes griffonnages de papyrus à cette adresse
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Portez-vous bien! Je m'envole
Dernière édition par Malicieux le Mer 09 Nov 2016, 17:17, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: .
Bon vent, bel oiseau,
Que ma bise te porte !
(chouette tes poèmes !^^)
Que ma bise te porte !
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Bimbang- Messages : 6445
Date d'inscription : 31/07/2016
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ortolan- Messages : 13579
Date d'inscription : 31/07/2016
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