Concilier une personnalité casanière et solitaire avec le souhait d'entretenir ses relations amicales
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Cloctopus
atypic
Stauk
Tatane
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Concilier une personnalité casanière et solitaire avec le souhait d'entretenir ses relations amicales
Bonjour à tous,
Je crée rarement des sujets sur ce forum, j'erre plutôt de sujet en sujet en simple spectateur sans intervenir.... Mais là ça devient critique et je pense créer quelques sujets, dont celui-ci constituera la première pierre à l'édifice, dans les prochains jours.
J'aimerais savoir s'il est fréquent chez les zèbres, surdoués, Hp, hypersensibles, ou toute autre dénomination plus adaptée qui surgira dans les prochaines années car la précédente était "trop" ou pas assez connotée, d'être confrontés à l'incompréhension de leurs amis, même les plus proches et les plus anciens, quant à nos réactions. Je suis vraiment navré si cette question semble futile ou dénuée d'intérêt en comparaison à certains sujets phares, mais j'avoue être vraiment déboussolé pour le coup.
Je vous explique brièvement (hahahahahahaha.... navré, mon autre moi a pouffé de rire quand j'ai dit "brièvement", il me connait le bougre, mais c'est bon j'ai repris le contrôle): Je suis étudiant, je suis donc en vacances depuis fin juin, et ce jusque mi-septembre. J'ai du mal à me faire des amis, j'ai dû faire connaissance avec 4-5 personnes (tous m'ayant été présentés par le biais d'amis communs) depuis que je suis étudiant, à tout casser, et la plupart, si pas tous, mes amis sont des personnes que j'ai rencontrées en maternelle, primaires, ou secondaires. Ces relations sont essentielles pour moi, voire vitales, certains d'entre eux ont toute ma confiance et toute ma gratitude, mais voilà, je suis casanier, je crains de les perdre à terme à cause de ce trait de caractère..... Et je prends conscience qu'il ne fait pas bon de l'être dans notre société contemporaine hyper-médiatisée, dans laquelle quiconque disposant d'un compte Facebook peut s'improviser agent secret espion du gouvernement. Je pense être sincère avec moi-même, et logique dans mon raisonnement, quand je me dis qu'il est tout à fait possible de garder ses amis sans sortir toutes les semaines, voire toutes les deux semaines. Je n'ai jamais compris cet ergo "on est jeunes, on a rien à faire DONC on sort SINON on est pas cool, pas investis, pas impliqués et on "snobe" les gens... Cela me rend dingue, vraiment, car je ne comprends pas cette équation. Est-il si inenvisageable de préférer rester chez soi tout en étant, sincèrement, impliqué dans les relations amicales, essentielles? J'adore voir mes amis tous les jours à l'université pendant les pauses/heures de fourches, mais pendant les vacances j'aime à rester chez moi, à prendre le temps de vivre, en ne vivant pas en fait apparemment selon ces dires... J'accepte en moyenne 2-3 sorties par mois pendant les vacances avec le même groupe de potes (et je n'en reviens pas d'être entrain d'ennuyer le monde avec mes problèmes dignes d'un martien qui découvre les rapports sociaux et le moyen de les entretenir en écrivant ce pavé).
Pour donner un exemple personnel, pour que je sorte, il faut que des critères soient réunis, auxquels les autres ne semblent même pas songer ou, tout du moins, ne pas accepter (car oui, il faut bien évidemment justifier, par rapport écrit contresigné par un fonctionnaire habilité, et dans l'heure ouvrable, les raisons de notre non-venue, qui seront dûment évaluées par le jury restreint, qui soit n'en tiendra pas rigueur car cela aura été considéré comme légitime, soit sera rejetée et sanctionnée par le tirage de gueule et la culpabilisation qui s'ensuit...). Je n'aime pas sortir en soirée car y a plein de monde, les "relations" qui s'y lient sont superficielles, et une hypocrisie ambiante y règne la plupart du temps. Je préfère sortir en journée avec un groupe d'amis restreint que je connais bien, mais cette fois-ci l'on me reproche de ne pas avoir compris un implicite "pourtant flagrant" qui était supposé être une invitation à sortir en journée, et j'ai donc l'impression d'être diabolisé comme un gars qui cherche à tout prix à éviter ses amis, qui ne veut pas les voir, qui les snobe. On me reproche jusqu'à mon mode de vie, que ce n'est pas "normal" d'être comme ça, et je suis tiraillé entre cette résolution que j'avais prise de m'affirmer davantage et d'être moi-même pour être plus heureux, et cette culpabilisation due au fait que je me comporte comme je veux me comporter, provenant de personnes contribuant à mon "bonheur".
Je me permets de me tourner vers vous, afin de savoir si cette situation fait écho à certains et, qui sait, pouvoir bénéficier de certains conseils; ou si je suis tout simplement le seul fautif dans l'histoire (ce qui est fort probable même si j'aimerais penser le contraire), et qu'il faut que je fasse des efforts dès lors. (Je déteste donner à l'intervention de gens inconnus un aspect simplement utilitaire, aussi je vous serai vraiment gré de ne pas le prendre ainsi si vous répondez, mais plutôt comme une discussion entre mal-adaptés (ou emmerdeurs pour le synonyme) qui échangent quant à leurs déboires futiles mais obsédants et tortionnaires à souhait cependant)
Merci de m'avoir lu, une bonne journée/soirée de vacances/de travail/de détente en fonction de ce que vous faites
Je crée rarement des sujets sur ce forum, j'erre plutôt de sujet en sujet en simple spectateur sans intervenir.... Mais là ça devient critique et je pense créer quelques sujets, dont celui-ci constituera la première pierre à l'édifice, dans les prochains jours.
J'aimerais savoir s'il est fréquent chez les zèbres, surdoués, Hp, hypersensibles, ou toute autre dénomination plus adaptée qui surgira dans les prochaines années car la précédente était "trop" ou pas assez connotée, d'être confrontés à l'incompréhension de leurs amis, même les plus proches et les plus anciens, quant à nos réactions. Je suis vraiment navré si cette question semble futile ou dénuée d'intérêt en comparaison à certains sujets phares, mais j'avoue être vraiment déboussolé pour le coup.
Je vous explique brièvement (hahahahahahaha.... navré, mon autre moi a pouffé de rire quand j'ai dit "brièvement", il me connait le bougre, mais c'est bon j'ai repris le contrôle): Je suis étudiant, je suis donc en vacances depuis fin juin, et ce jusque mi-septembre. J'ai du mal à me faire des amis, j'ai dû faire connaissance avec 4-5 personnes (tous m'ayant été présentés par le biais d'amis communs) depuis que je suis étudiant, à tout casser, et la plupart, si pas tous, mes amis sont des personnes que j'ai rencontrées en maternelle, primaires, ou secondaires. Ces relations sont essentielles pour moi, voire vitales, certains d'entre eux ont toute ma confiance et toute ma gratitude, mais voilà, je suis casanier, je crains de les perdre à terme à cause de ce trait de caractère..... Et je prends conscience qu'il ne fait pas bon de l'être dans notre société contemporaine hyper-médiatisée, dans laquelle quiconque disposant d'un compte Facebook peut s'improviser agent secret espion du gouvernement. Je pense être sincère avec moi-même, et logique dans mon raisonnement, quand je me dis qu'il est tout à fait possible de garder ses amis sans sortir toutes les semaines, voire toutes les deux semaines. Je n'ai jamais compris cet ergo "on est jeunes, on a rien à faire DONC on sort SINON on est pas cool, pas investis, pas impliqués et on "snobe" les gens... Cela me rend dingue, vraiment, car je ne comprends pas cette équation. Est-il si inenvisageable de préférer rester chez soi tout en étant, sincèrement, impliqué dans les relations amicales, essentielles? J'adore voir mes amis tous les jours à l'université pendant les pauses/heures de fourches, mais pendant les vacances j'aime à rester chez moi, à prendre le temps de vivre, en ne vivant pas en fait apparemment selon ces dires... J'accepte en moyenne 2-3 sorties par mois pendant les vacances avec le même groupe de potes (et je n'en reviens pas d'être entrain d'ennuyer le monde avec mes problèmes dignes d'un martien qui découvre les rapports sociaux et le moyen de les entretenir en écrivant ce pavé).
Pour donner un exemple personnel, pour que je sorte, il faut que des critères soient réunis, auxquels les autres ne semblent même pas songer ou, tout du moins, ne pas accepter (car oui, il faut bien évidemment justifier, par rapport écrit contresigné par un fonctionnaire habilité, et dans l'heure ouvrable, les raisons de notre non-venue, qui seront dûment évaluées par le jury restreint, qui soit n'en tiendra pas rigueur car cela aura été considéré comme légitime, soit sera rejetée et sanctionnée par le tirage de gueule et la culpabilisation qui s'ensuit...). Je n'aime pas sortir en soirée car y a plein de monde, les "relations" qui s'y lient sont superficielles, et une hypocrisie ambiante y règne la plupart du temps. Je préfère sortir en journée avec un groupe d'amis restreint que je connais bien, mais cette fois-ci l'on me reproche de ne pas avoir compris un implicite "pourtant flagrant" qui était supposé être une invitation à sortir en journée, et j'ai donc l'impression d'être diabolisé comme un gars qui cherche à tout prix à éviter ses amis, qui ne veut pas les voir, qui les snobe. On me reproche jusqu'à mon mode de vie, que ce n'est pas "normal" d'être comme ça, et je suis tiraillé entre cette résolution que j'avais prise de m'affirmer davantage et d'être moi-même pour être plus heureux, et cette culpabilisation due au fait que je me comporte comme je veux me comporter, provenant de personnes contribuant à mon "bonheur".
Je me permets de me tourner vers vous, afin de savoir si cette situation fait écho à certains et, qui sait, pouvoir bénéficier de certains conseils; ou si je suis tout simplement le seul fautif dans l'histoire (ce qui est fort probable même si j'aimerais penser le contraire), et qu'il faut que je fasse des efforts dès lors. (Je déteste donner à l'intervention de gens inconnus un aspect simplement utilitaire, aussi je vous serai vraiment gré de ne pas le prendre ainsi si vous répondez, mais plutôt comme une discussion entre mal-adaptés (ou emmerdeurs pour le synonyme) qui échangent quant à leurs déboires futiles mais obsédants et tortionnaires à souhait cependant)
Merci de m'avoir lu, une bonne journée/soirée de vacances/de travail/de détente en fonction de ce que vous faites
Tatane- Messages : 11
Date d'inscription : 12/09/2015
Localisation : Pas devant un cours de maths
Re: Concilier une personnalité casanière et solitaire avec le souhait d'entretenir ses relations amicales
Tout ce que je peux dire, c'est que pour beaucoup beaucoup de monde (même les grands casaniers) être isolé et ne voir personne semble être dévastateur à moyen terme.
Si tes amis ne te "comprennent" pas au point que tu ne te sens pas libre d'être toi même quand tu passes du temps avec eux, il serait sans doute bon que tu te lies avec des personnes qui te "comprennent" mieux.
Si tes amis ne te "comprennent" pas au point que tu ne te sens pas libre d'être toi même quand tu passes du temps avec eux, il serait sans doute bon que tu te lies avec des personnes qui te "comprennent" mieux.
Re: Concilier une personnalité casanière et solitaire avec le souhait d'entretenir ses relations amicales
Merci pour ta réponse Stauk,
J'ai en effet intérêt à faire un effort de ce côté-là, même si ce n'est pas de gaieté de coeur, derrière les nuages se cache le soleil, et le seul moyen de contempler sa lumière est de les traverser Un grand merci à toi!
J'ai en effet intérêt à faire un effort de ce côté-là, même si ce n'est pas de gaieté de coeur, derrière les nuages se cache le soleil, et le seul moyen de contempler sa lumière est de les traverser Un grand merci à toi!
Tatane- Messages : 11
Date d'inscription : 12/09/2015
Localisation : Pas devant un cours de maths
Re: Concilier une personnalité casanière et solitaire avec le souhait d'entretenir ses relations amicales
Bonsoir Tatane . Pourquoi n'aimes-tu pas sortir plus souvent? (car tes amis, tu sembles les apprécier). Les sorties trop fréquentes t'épuisent-elles? As-tu des activités que tu préfères faire tout seul? Tes centres d'intérêt sont-ils trop différents de ceux de tes amis?
Je suis moi même considérée par mes amis comme trop casanière. Pourtant, je sors avec eux une ou deux fois par semaine (la journée chez l'un d'eux ou en ville ou le soir dans un bar. Je sors en boite très rarement. Une fois tous les 6mois environ).
Je participe aussi à des IRL de zèbres une fois par semaine(et mes amis normo-pensants ne sont pas au-courant).
Ce côté casanier est dû au fait que j'aime beaucoup lire et étudier(quand je n'ai pas le nez dans un livre je suis sur internet à m'informer sur des sujets qui n'intéressent pas mes amis), que je dors beaucoup, que je n'aime pas sortir quand il fait froid, que je ne bois pas beaucoup d'alcool et que les conversations que j'ai avec mes amis sont distrayantes, rafraîchissantes mais ne sont souvent pas assez profondes et finissent par m'ennuyer quand on passe plus d'une demi-journée successive ensemble.
J'apprécie beaucoup mes moments de solitude (faire du sport seule, aller à la bibliothèque ou même en ville seule...) Mais mes amis qui eux, s'ils le pouvaient, passeraient toutes leurs soirées et journées ensemble, ont du mal à comprendre cela et l'attribuent parfois à une indifférence de ma part.
Je suis moi même considérée par mes amis comme trop casanière. Pourtant, je sors avec eux une ou deux fois par semaine (la journée chez l'un d'eux ou en ville ou le soir dans un bar. Je sors en boite très rarement. Une fois tous les 6mois environ).
Je participe aussi à des IRL de zèbres une fois par semaine(et mes amis normo-pensants ne sont pas au-courant).
Ce côté casanier est dû au fait que j'aime beaucoup lire et étudier(quand je n'ai pas le nez dans un livre je suis sur internet à m'informer sur des sujets qui n'intéressent pas mes amis), que je dors beaucoup, que je n'aime pas sortir quand il fait froid, que je ne bois pas beaucoup d'alcool et que les conversations que j'ai avec mes amis sont distrayantes, rafraîchissantes mais ne sont souvent pas assez profondes et finissent par m'ennuyer quand on passe plus d'une demi-journée successive ensemble.
J'apprécie beaucoup mes moments de solitude (faire du sport seule, aller à la bibliothèque ou même en ville seule...) Mais mes amis qui eux, s'ils le pouvaient, passeraient toutes leurs soirées et journées ensemble, ont du mal à comprendre cela et l'attribuent parfois à une indifférence de ma part.
Invité- Invité
Re: Concilier une personnalité casanière et solitaire avec le souhait d'entretenir ses relations amicales
Bonjour à tous,
De mon côté je rencontre un paradoxe: j'aimerai avoir des amis pour sortir (de préférence en journée car comme dit plus haut les sorties du soir sont plus superficielles et je n'apprécie pas spécialement de "zoner" dans les bars) mais dès que je suis avec des personnes (même des amis) je m'ennuie. Je me sens comme dans une bulle, un bocal, derrière une vitre. Je suis là sans être là. Je n'arrive pas à partager ce moment au sens propre du terme. Je n'arrive pas à m'intéresser à la vie des autres. Je n'ai que faire de savoir si un tel a fait cela tel jour et un tel autre chose. Cela ne m'avance en rien. Je n'arrive pas à y trouver d'intérêt et donc par conséquent à m'y concentrer : cela me pose des problèmes pour rebondir dessus ultérieurement car je ne me souviens de rien la fois d'après. J'ai beaucoup de mal à m'intéresser à l'autre en temps que personne. Malheureusement je rencontre rarement des personnes qui accepteraient de discuter un après midi de philosophie, de sujets de société ou autre.
Est ce moi qui suis égoïste pour ne pas arriver à m'intéresser à autrui?
Par ailleurs, j'apprécie beaucoup les moments de solitude pour la simple raison que les moments de groupe (les soirées, les fêtes, les repas) sont épuisants pour moi en raison d'une hypersensibilité aux stimuli sonores (+++), visuels, olfactifs et émotionnels. Par la suite je suis obligée de passer plusieurs heures (voire la journée) chez moi dans le noir volets fermés avec des boulquies
Certains rencontrent-ils les mêmes difficultés?
De mon côté je rencontre un paradoxe: j'aimerai avoir des amis pour sortir (de préférence en journée car comme dit plus haut les sorties du soir sont plus superficielles et je n'apprécie pas spécialement de "zoner" dans les bars) mais dès que je suis avec des personnes (même des amis) je m'ennuie. Je me sens comme dans une bulle, un bocal, derrière une vitre. Je suis là sans être là. Je n'arrive pas à partager ce moment au sens propre du terme. Je n'arrive pas à m'intéresser à la vie des autres. Je n'ai que faire de savoir si un tel a fait cela tel jour et un tel autre chose. Cela ne m'avance en rien. Je n'arrive pas à y trouver d'intérêt et donc par conséquent à m'y concentrer : cela me pose des problèmes pour rebondir dessus ultérieurement car je ne me souviens de rien la fois d'après. J'ai beaucoup de mal à m'intéresser à l'autre en temps que personne. Malheureusement je rencontre rarement des personnes qui accepteraient de discuter un après midi de philosophie, de sujets de société ou autre.
Est ce moi qui suis égoïste pour ne pas arriver à m'intéresser à autrui?
Par ailleurs, j'apprécie beaucoup les moments de solitude pour la simple raison que les moments de groupe (les soirées, les fêtes, les repas) sont épuisants pour moi en raison d'une hypersensibilité aux stimuli sonores (+++), visuels, olfactifs et émotionnels. Par la suite je suis obligée de passer plusieurs heures (voire la journée) chez moi dans le noir volets fermés avec des boulquies
Certains rencontrent-ils les mêmes difficultés?
atypic- Messages : 11
Date d'inscription : 09/01/2016
Re: Concilier une personnalité casanière et solitaire avec le souhait d'entretenir ses relations amicales
Hello Atyic,je me retrouve pas mal dans ta description.
J'apprécie d'être seule car j'en ai besoin après avoir fourni un "effort" social or cette solitude me pèse beaucoup également (j'ai du mal à me sortir les doigts du c.. et à me bouger toute seule, j'ai besoin de l'autre pour me sortir de mon inertie, mais ça c'est surtout/sans doute lié à ma dépression). Mais quand finalement je suis avec d'autres personnes, je m'ennuie au bout de quelques minutes et je n'arrive pas à rentrer dans leurs délires... quitte à passer pour très hautaine.
Et les moments passés en compagnie d'une ou plusieurs personnes me fragilisent énormément (puisqu'ils m'épuisent). Malgré tout je rêve d'avoir quelques amis très proches avec qui je pourrais partager des choses, faire des folies, etc.
Bref, j'ai besoin d'avoir un "ami à disposition" qui apparait quand j'en ai envie et disparait dès que j'ai atteint mes limites
J'apprécie d'être seule car j'en ai besoin après avoir fourni un "effort" social or cette solitude me pèse beaucoup également (j'ai du mal à me sortir les doigts du c.. et à me bouger toute seule, j'ai besoin de l'autre pour me sortir de mon inertie, mais ça c'est surtout/sans doute lié à ma dépression). Mais quand finalement je suis avec d'autres personnes, je m'ennuie au bout de quelques minutes et je n'arrive pas à rentrer dans leurs délires... quitte à passer pour très hautaine.
Et les moments passés en compagnie d'une ou plusieurs personnes me fragilisent énormément (puisqu'ils m'épuisent). Malgré tout je rêve d'avoir quelques amis très proches avec qui je pourrais partager des choses, faire des folies, etc.
Bref, j'ai besoin d'avoir un "ami à disposition" qui apparait quand j'en ai envie et disparait dès que j'ai atteint mes limites
Cloctopus- Messages : 24
Date d'inscription : 05/09/2016
Re: Concilier une personnalité casanière et solitaire avec le souhait d'entretenir ses relations amicales
c'est EXACTEMENT ça. exactement mon problème ... auquel je n'ai pas trouvé de solution !
atypic- Messages : 11
Date d'inscription : 09/01/2016
Re: Concilier une personnalité casanière et solitaire avec le souhait d'entretenir ses relations amicales
Atypic et Cloctopus: allez-vous aux IRL de zèbres? C'est un bon moyen de rencontrer des gens avec qui discuter de philosophie .
Invité- Invité
Re: Concilier une personnalité casanière et solitaire avec le souhait d'entretenir ses relations amicales
Je suis désolée... novice sur le forum... c'est quoi les IRL? (honte à moi)
atypic- Messages : 11
Date d'inscription : 09/01/2016
Re: Concilier une personnalité casanière et solitaire avec le souhait d'entretenir ses relations amicales
In the Real Life : dans la vraie vie quoi, en vrai.
zelle- Messages : 1184
Date d'inscription : 27/03/2015
Age : 54
Localisation : à l' ouest
Re: Concilier une personnalité casanière et solitaire avec le souhait d'entretenir ses relations amicales
C'est des rencontres entre zèbres de la même ville. Il y en a souvent à Toulouse et Paris. J'imagine que c'est la même chose dans les autres grandes villes. Tu n'as qu'à taper le nom de ta ville dans la barre de recherche pour voir s'il n'y a pas des sorties prévues prochainement.
Sinon, si tu es sur Facebook, regarde s'il y a des groupes de zèbres venant de ta ville.
Sinon, si tu es sur Facebook, regarde s'il y a des groupes de zèbres venant de ta ville.
Invité- Invité
Re: Concilier une personnalité casanière et solitaire avec le souhait d'entretenir ses relations amicales
Les IRL (In Real Life) ce sont les rencontres "en vrai" entre zèbres
Personnellement j'ai appris ma zébritude avant de partir 6 mois en Islande donc là-bas j'étais bien seule (quoi que, d'après mes calculs, il y a 6600 zèbres en Islande, ah!), j'en reviens tout juste et j'habite un coin un peu paumé donc pas de rencontres IRL - que je redoute un peu, il faut dire.
Mais il faut que je me jette à l'eau.. !!
Personnellement j'ai appris ma zébritude avant de partir 6 mois en Islande donc là-bas j'étais bien seule (quoi que, d'après mes calculs, il y a 6600 zèbres en Islande, ah!), j'en reviens tout juste et j'habite un coin un peu paumé donc pas de rencontres IRL - que je redoute un peu, il faut dire.
Mais il faut que je me jette à l'eau.. !!
Cloctopus- Messages : 24
Date d'inscription : 05/09/2016
Re: Concilier une personnalité casanière et solitaire avec le souhait d'entretenir ses relations amicales
Bah oui il faut^^ J'appréhendais pas mal les IRL aussi. Mais ma curiosité l'a remporté sur mes craintes. Et j'en suis plutôt ravie. On y rencontre de belles personnes.
Invité- Invité
Re: Concilier une personnalité casanière et solitaire avec le souhait d'entretenir ses relations amicales
lol
c'est en vous lisant que je me dis que dans un sens, je suis contente d'avoir vieilli ^^
Même problématiques quand j'étais jeune étudiante. Pas envie de sortir, pas à l'aise dans le monde et dans le bruit. Difficulté à rester en forme dans la soirée.
Puis j'aime pas l'alcool...
Pendant un an, j'ai suivi les copines, j'étais amoureuse, et l'objet de ma convoitise croisait dans les parages, motivation suffisante pour me faire quitter mon trou
J'ai gagné.... que je me suis plantée aux exams, j'ai perdu une année et la seule et unique chance de passer le concours véto que je voulais tenter depuis toute petite ^^
Je pense qu'il faut surtout se choisir ses amis, et expliquer tout simplement ses gouts et ses préférences. Ceux qui sont pas capables de comprendre ça, c'est pas des amis et on perd son temps, point barre.
Je sais pas si c'est pas plus difficile encore socialement pour les gars...
Quand j'ai changé de fac, en arrivant en licence, j'ai forcément changé d'amis, et du coup ça a été plus facile pour moi d'éviter les soirées.
Encore actuellement, c'est difficile, et je suis contente dans un sens de ma solitude du soir. En journée moins, c'est un autre problème. J'ai du mal à trouver des gens libres pour faire des choses (les copines sont toutes maquées avec des gosses là où je suis célibataire sans enfant).
à mon âge, les gens n'ont plus envie de sortir, du moins plus autant, et préfèrent les activités en commun.
Dans le cas où on est pressé par l'entourage pour sortir le soir, une solution est ptèt de proposer des activités en journée, et être moteur des sorties.
je suppose que les gens, surtout jeunes, s'imaginent que tout le monde aime sortir, que c'est un besoin qu'on doit absolument assouvir, notamment pour être bien vu socialement. Ils s'imaginent aussi souvent (pour ceux que j'ai fréquentés) qu'il faut boire pour se lâcher (sinon on ne peut pas s'amuser si on n'a pas bu, c'est bien connu).
Mais ce n'est pas la majorité. Donc rechercher les gens qui ont des points communs avec nous, et être ferme avec les autres. Soit ils nous acceptent, soit ils vont se faire voir.
Les IRL sont en effet une bonne idée.
Après, pour moi, ben la problématique reste la même, me retrouver coincée dans un bar avec des gens (nombreux!) que je connais pas, ou bien au restau comme gentiment proposé pas loin de chez moi, ça me convient pas, ça me fait peur, et je préfère éviter (probablement à tort).
Mon grand plaisir reste la soirée en tête à tête avec quelques personnes (le mieux étant avec 2-3 personnes max, dans le calme, derrière une bonne assiette préparée par mes soins)
c'est en vous lisant que je me dis que dans un sens, je suis contente d'avoir vieilli ^^
Même problématiques quand j'étais jeune étudiante. Pas envie de sortir, pas à l'aise dans le monde et dans le bruit. Difficulté à rester en forme dans la soirée.
Puis j'aime pas l'alcool...
Pendant un an, j'ai suivi les copines, j'étais amoureuse, et l'objet de ma convoitise croisait dans les parages, motivation suffisante pour me faire quitter mon trou
J'ai gagné.... que je me suis plantée aux exams, j'ai perdu une année et la seule et unique chance de passer le concours véto que je voulais tenter depuis toute petite ^^
Je pense qu'il faut surtout se choisir ses amis, et expliquer tout simplement ses gouts et ses préférences. Ceux qui sont pas capables de comprendre ça, c'est pas des amis et on perd son temps, point barre.
Je sais pas si c'est pas plus difficile encore socialement pour les gars...
Quand j'ai changé de fac, en arrivant en licence, j'ai forcément changé d'amis, et du coup ça a été plus facile pour moi d'éviter les soirées.
Encore actuellement, c'est difficile, et je suis contente dans un sens de ma solitude du soir. En journée moins, c'est un autre problème. J'ai du mal à trouver des gens libres pour faire des choses (les copines sont toutes maquées avec des gosses là où je suis célibataire sans enfant).
à mon âge, les gens n'ont plus envie de sortir, du moins plus autant, et préfèrent les activités en commun.
Dans le cas où on est pressé par l'entourage pour sortir le soir, une solution est ptèt de proposer des activités en journée, et être moteur des sorties.
je suppose que les gens, surtout jeunes, s'imaginent que tout le monde aime sortir, que c'est un besoin qu'on doit absolument assouvir, notamment pour être bien vu socialement. Ils s'imaginent aussi souvent (pour ceux que j'ai fréquentés) qu'il faut boire pour se lâcher (sinon on ne peut pas s'amuser si on n'a pas bu, c'est bien connu).
Mais ce n'est pas la majorité. Donc rechercher les gens qui ont des points communs avec nous, et être ferme avec les autres. Soit ils nous acceptent, soit ils vont se faire voir.
Les IRL sont en effet une bonne idée.
Après, pour moi, ben la problématique reste la même, me retrouver coincée dans un bar avec des gens (nombreux!) que je connais pas, ou bien au restau comme gentiment proposé pas loin de chez moi, ça me convient pas, ça me fait peur, et je préfère éviter (probablement à tort).
Mon grand plaisir reste la soirée en tête à tête avec quelques personnes (le mieux étant avec 2-3 personnes max, dans le calme, derrière une bonne assiette préparée par mes soins)
Chuna- Messages : 22222
Date d'inscription : 31/12/2014
Age : 43
Localisation : Landes
Re: Concilier une personnalité casanière et solitaire avec le souhait d'entretenir ses relations amicales
La vie en société (fut-elle restreinte) implique dans tous les cas de faire des concessions... même en fréquentant ton jumeau, il n'est pas sûr que tu le supporterais tout le temps
Ce qu'il faut, c'est faire une balance adaptée entre ce que tu veux et ce que tu peux avoir, pouvoir trouver le mix idéal entre ce que tu es prêt à supporter pour obtenir ce que tu veux, et le point au delà duquel ce que tu veux n'en vaut plus la peine... peut-être n'as-tu simplement pas trouvé les bons compagnons de route, ou alors devrais-tu être toi même l'initiateur occasionnel d'activités (qui te conviendraient) avec eux, pour leur faire comprendre que tu n'es pas le vilain asocial qu'ils pourraient croire et que tu ne les snobes pas... ou peut-être simplement leur expliquer?
Ce qu'il faut, c'est faire une balance adaptée entre ce que tu veux et ce que tu peux avoir, pouvoir trouver le mix idéal entre ce que tu es prêt à supporter pour obtenir ce que tu veux, et le point au delà duquel ce que tu veux n'en vaut plus la peine... peut-être n'as-tu simplement pas trouvé les bons compagnons de route, ou alors devrais-tu être toi même l'initiateur occasionnel d'activités (qui te conviendraient) avec eux, pour leur faire comprendre que tu n'es pas le vilain asocial qu'ils pourraient croire et que tu ne les snobes pas... ou peut-être simplement leur expliquer?
clophe- Messages : 31
Date d'inscription : 22/09/2016
Localisation : Zwitserland
Re: Concilier une personnalité casanière et solitaire avec le souhait d'entretenir ses relations amicales
Hey!
J'espère ne pas arriver trop tard et j'avoue m'être contenté de lire seulement ton post.
En fait, figure toi qu'il est tout à fait possible de concilier les deux.
Car dans ma vie j'ai réussi à le faire. Je t'explique:
Je suis tout comme toi très casanier et je noue des amitiés très fortes avec les gens qui m'entourent.
Seulement, il suffit de réduire ton ambition sociale (limiter tes amis à un cercle restreint) pour parvenir à accomplir ton double désir.
Je t'avoue qu'en plus de cela je peux te garantir que ça marche, moi qui suis en plus musicien, cela implique de beaucoup s'isoler (par volonté ou non d'ailleurs), ce qui ne m'empêche pas d'avoir une vie sociale riche avec des gens géniaux.
Attention, je ne te crache pas mon bonheur à la gueule, mais je veux simplement te montrer que tu peux non seulement avoir les deux, mais que même cumuler les deux peut faciliter un équilibre personnel.
En fait, vois plutôt ta vision des choses comme un atout plus qu'une défaillance car cette particularité d'être solitaire te rend moins dépendant des gens (à un certain degré évidemment).
Ca te semble peut-être dérisoire, mais quand je vois certaines personnes qui ne peuvent pas vivre sans voir des gens tous les jours, tu peux t'estimer chanceux!
Tu peux alors te ressourcer seul, comme avec les autres et ces moments de solitude te permettent de t'enrichir personnellement (lecture, te cultiver etc..).
Tu es certainement un peu plus âgé que moi, mais sache que ton sens de l'humour et de la dérision inclus dans ton post m'ont bien plu, et que contrairement à beaucoup d'imbéciles, je suis persuadé que tu es quelqu'un de bien.
Donc, souviens toi! Tu es casanier et marginal, oui! Mais apprends à t'en servir comme un atout en équilibrant la balance entre la solitude et la vie sociale!
Ha, et si tes amis ne sont pas foutus de comprendre ton mode de fonctionnement, ce ne sont pas de vrais amis.
Surtout si ils te le retournent en reproche dès qu'ils le peuvent.
J'espère ne pas arriver trop tard et j'avoue m'être contenté de lire seulement ton post.
En fait, figure toi qu'il est tout à fait possible de concilier les deux.
Car dans ma vie j'ai réussi à le faire. Je t'explique:
Je suis tout comme toi très casanier et je noue des amitiés très fortes avec les gens qui m'entourent.
Seulement, il suffit de réduire ton ambition sociale (limiter tes amis à un cercle restreint) pour parvenir à accomplir ton double désir.
Je t'avoue qu'en plus de cela je peux te garantir que ça marche, moi qui suis en plus musicien, cela implique de beaucoup s'isoler (par volonté ou non d'ailleurs), ce qui ne m'empêche pas d'avoir une vie sociale riche avec des gens géniaux.
Attention, je ne te crache pas mon bonheur à la gueule, mais je veux simplement te montrer que tu peux non seulement avoir les deux, mais que même cumuler les deux peut faciliter un équilibre personnel.
En fait, vois plutôt ta vision des choses comme un atout plus qu'une défaillance car cette particularité d'être solitaire te rend moins dépendant des gens (à un certain degré évidemment).
Ca te semble peut-être dérisoire, mais quand je vois certaines personnes qui ne peuvent pas vivre sans voir des gens tous les jours, tu peux t'estimer chanceux!
Tu peux alors te ressourcer seul, comme avec les autres et ces moments de solitude te permettent de t'enrichir personnellement (lecture, te cultiver etc..).
Tu es certainement un peu plus âgé que moi, mais sache que ton sens de l'humour et de la dérision inclus dans ton post m'ont bien plu, et que contrairement à beaucoup d'imbéciles, je suis persuadé que tu es quelqu'un de bien.
Donc, souviens toi! Tu es casanier et marginal, oui! Mais apprends à t'en servir comme un atout en équilibrant la balance entre la solitude et la vie sociale!
Ha, et si tes amis ne sont pas foutus de comprendre ton mode de fonctionnement, ce ne sont pas de vrais amis.
Surtout si ils te le retournent en reproche dès qu'ils le peuvent.
DrawinG- Messages : 80
Date d'inscription : 17/09/2016
Re: Concilier une personnalité casanière et solitaire avec le souhait d'entretenir ses relations amicales
Oui voilà c'est un peu ce que je redoutais.atypic a écrit:Bonjour à tous,
De mon côté je rencontre un paradoxe: j'aimerai avoir des amis pour sortir (de préférence en journée car comme dit plus haut les sorties du soir sont plus superficielles et je n'apprécie pas spécialement de "zoner" dans les bars) mais dès que je suis avec des personnes (même des amis) je m'ennuie. Je me sens comme dans une bulle, un bocal, derrière une vitre. Je suis là sans être là. Je n'arrive pas à partager ce moment au sens propre du terme. Je n'arrive pas à m'intéresser à la vie des autres. Je n'ai que faire de savoir si un tel a fait cela tel jour et un tel autre chose. Cela ne m'avance en rien. Je n'arrive pas à y trouver d'intérêt et donc par conséquent à m'y concentrer : cela me pose des problèmes pour rebondir dessus ultérieurement car je ne me souviens de rien la fois d'après. J'ai beaucoup de mal à m'intéresser à l'autre en temps que personne. Malheureusement je rencontre rarement des personnes qui accepteraient de discuter un après midi de philosophie, de sujets de société ou autre.
Est ce moi qui suis égoïste pour ne pas arriver à m'intéresser à autrui?
Par ailleurs, j'apprécie beaucoup les moments de solitude pour la simple raison que les moments de groupe (les soirées, les fêtes, les repas) sont épuisants pour moi en raison d'une hypersensibilité aux stimuli sonores (+++), visuels, olfactifs et émotionnels. Par la suite je suis obligée de passer plusieurs heures (voire la journée) chez moi dans le noir volets fermés avec des boulquies
Certains rencontrent-ils les mêmes difficultés?
Tu n'es absolument pas égoïste, mais comme beaucoup de gens, les zèbres en particulier avons du mal à nouer des liens avec les "BONNES" personnes.
J'ai vraiment beaucoup de chance, n'ayant que 19 ans et étant pleinement comblé je peux vous assurer qu'il faut simplement changer de fréquentations.
J'ai eu le même problème que toi fut un temps: les gens m'ennuyaient à mourir, je n'avais qu'une envie, c'était de me barrer.
Moi même avec mes amis, j'arrive au départ à être un mur et il faut me mettre en confiance ou me lancer sur des sujets de prédilections, des passions qui m'exaltent pour pleinement me désinhiber.
Je suis persuadé que si quelqu'un arrive à faire de même et à te parler pas de ce qu'il a fait hier au petit dèj mais qu'il te lance sur un sujet qui te passionne, tu arriveras à trouver cet intérêt et il sera tout simplement naturel!
Ne décourage pas, et n'hésite pas à faire des rencontres avec des zèbres sur le site! Tu constateras peut-être que certaines choses se s'ont débloquées?
DrawinG- Messages : 80
Date d'inscription : 17/09/2016
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