Être « zèbre » : une pathologie ?
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Kondomm
Louis l'Avoyelle
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Être « zèbre » : une pathologie ?
Bonjour,
M'ennuyant dans mon travail et ma vie en général, j'ai commencé il y a plusieurs mois à voir un psychologue. Dès la première séance, et très tôt dans cette séance, il m'a dit que tous les symptômes que je lui décrivais étaient celui d'un surdoué. J'ai laissé de côté cette question quelques temps (je pensais avoir une intelligence un peu supérieure à la normale, mais c'est tout) et travailler sur d'autres questions. J'ai fini, après plusieurs mois à me renseigner sur la douance, lire les livres de Jeanne Siaud-Facchin, Monique de Kermadec, Cécile Bost. La question du diagnostic mise à part (il est plutôt confirmé), j'ai un problème un peu fondamental avec ce que je lis sur les zèbres, dans les livres ou sur Internet : la question n'est envisagée que du point de vue de la pathologie - c'est-à-dire que ce qui me semblait un atout (aller plus vite au travail donc dégager du temps libre par exemple) m'est désormais présenté comme une pathologie, voire un handicap (si, si, j'ai lu ça). Suis-je le seul à penser qu'avoir un cerveau qui fonctionne plus vite et, certes, différemment, n'est pas un handicap mais un atout ? Voyez-vous des aspects positifs dans le fait d'être un zèbre ? Voire, comment arrivez-vous à transformer votre zébritude en atout ? à l'utiliser positivement ?
Je n'ai pas trouvé de fil sur ce sujet précis mais s'il y en avait un, je serais ravi de le lire - sinon, je serais très content de lire vos réponses ici.
Merci d'avance.
Loulou (oui, c'est moi)
M'ennuyant dans mon travail et ma vie en général, j'ai commencé il y a plusieurs mois à voir un psychologue. Dès la première séance, et très tôt dans cette séance, il m'a dit que tous les symptômes que je lui décrivais étaient celui d'un surdoué. J'ai laissé de côté cette question quelques temps (je pensais avoir une intelligence un peu supérieure à la normale, mais c'est tout) et travailler sur d'autres questions. J'ai fini, après plusieurs mois à me renseigner sur la douance, lire les livres de Jeanne Siaud-Facchin, Monique de Kermadec, Cécile Bost. La question du diagnostic mise à part (il est plutôt confirmé), j'ai un problème un peu fondamental avec ce que je lis sur les zèbres, dans les livres ou sur Internet : la question n'est envisagée que du point de vue de la pathologie - c'est-à-dire que ce qui me semblait un atout (aller plus vite au travail donc dégager du temps libre par exemple) m'est désormais présenté comme une pathologie, voire un handicap (si, si, j'ai lu ça). Suis-je le seul à penser qu'avoir un cerveau qui fonctionne plus vite et, certes, différemment, n'est pas un handicap mais un atout ? Voyez-vous des aspects positifs dans le fait d'être un zèbre ? Voire, comment arrivez-vous à transformer votre zébritude en atout ? à l'utiliser positivement ?
Je n'ai pas trouvé de fil sur ce sujet précis mais s'il y en avait un, je serais ravi de le lire - sinon, je serais très content de lire vos réponses ici.
Merci d'avance.
Loulou (oui, c'est moi)
Louis l'Avoyelle- Messages : 11
Date d'inscription : 09/09/2016
Age : 48
Localisation : Paris
Re: Être « zèbre » : une pathologie ?
Bonjour Loulou,
Bah c'est l'histoire d'un verre remplie a moitié...
Plus sérieusement cet état de fait peut effectivement être vécu comme "handicapant" si il y a un profond décalage d'avec l'environnement ; devoir avancer à la vitesse du plus lent peut rapidement foutre en l'air quelqu'un s'il ne peut "respirer".
Bé rien que pour le plaisir je me dis merci et j'en suis fier !
Et si c'était rassurant pour une majorité d'étiqueter ça comme étant une "pathologie" pour en faire une nouvelle niche ?
PS: 2...
Bah c'est l'histoire d'un verre remplie a moitié...
Plus sérieusement cet état de fait peut effectivement être vécu comme "handicapant" si il y a un profond décalage d'avec l'environnement ; devoir avancer à la vitesse du plus lent peut rapidement foutre en l'air quelqu'un s'il ne peut "respirer".
- Spoiler:
- Zèbre c'est un sacré fourre-tout permettant à qui mieux mieux de s'y identifier, mais chut faut pas le dire...
Bé rien que pour le plaisir je me dis merci et j'en suis fier !
Et si c'était rassurant pour une majorité d'étiqueter ça comme étant une "pathologie" pour en faire une nouvelle niche ?
PS: 2...
Kondomm- Messages : 899
Date d'inscription : 21/01/2014
Age : 47
Localisation : ;●) Grand Rouveau ou à côté.
Re: Être « zèbre » : une pathologie ?
"la question n'est envisagée que du point de vue de la pathologie - c'est-à-dire que ce qui me semblait un atout (aller plus vite au travail donc dégager du temps libre par exemple) m'est désormais présenté comme une pathologie, voire un handicap (si, si, j'ai lu ça). Suis-je le seul à penser qu'avoir un cerveau qui fonctionne plus vite et, certes, différemment, n'est pas un handicap mais un atout ?"
Pour me poser cette question, je la placerai dans un environnement et dans un "par rapport à qui". Je trouve que la positionner comme telle répond à la question.
Et ça rejoint ce que Kondomm mais que je vais "retourner"
La notion de zèbre serait encore en cours de "défourement" alors en attendant mieux....
Bosser plus vite au boulot si on doit y aller doucement et de façon linéaire n'est pas un atout du tout..... ect ect.
J'adore désormais cette notion de "en fonction du lieu, d'un pas", en fait, tu peux passer de handicapé à génial Il faut bien classer, compartimenter les choses pour faire un "tronc commun d'informations à l'instant T". Du coup ça semble faire des "frontières" parfois minces, et pas de bol pour celui qui est pour telle question de "l'autre coté" . Il y a, je trouve beaucoup de choses dans ce "fourre-tout".
Re: Être « zèbre » : une pathologie ?
Bonjour
Je pense que c'est juste une nouvelle mode pour faire du fric, je constate des, disons, vagues d'acceptation ou de rejet collectif de la douance. Un peu comme si les non zèbres ne savaient pas comment nous prendre et par petites touches successives, modes ou vagues, avec plus ou moins d'amplitudes, essaient d'en dessiner les contours.
Démunis qu'ils sont de ne pas nous comprendre, quelle meilleure piste que de nous déclarer malades ou fous ? Sauf qu'on n'est ni l'un , ni l'autre. Enfermés, nous, dans nos propres mondes et visions, souvent différentes et en avance sur les leurs; comment leur dire ? Quel est diable le point d'appui qui leur permettrait de nous suivre ?
Mais il ya plus sombre, réduire la douance à une maladie c'est une manière de botter en touche, de nous contrôler socialement.
Je pense que le défaut social majeur actuel des zèbres est de ne pas se revendiquer et de ne pas changer cette société et ses règles. Je me demande même si tout cela ne fait pas partie d'un plan plus large dont on comprendrait intuitivement les contours et la nécessité.
Est-il écris que des acteurs de changement social doivent apparaître et agir en des périodes ciblées ? J'ai ce penchant d'y souscrire.
Or la société possède de sérieux freins, une inertie, une peur du changement pour le dire plus simplement , qui feront que tout sera mis en oeuvre pour contrer toute personne qui se sentirait investie de ce changement ou l'incarnerait , même potentiellement.
Et qui l'incarne mieux qu'un zèbre ce changement ?
Non Monsieur ! la société n'est pas malade et vous n'allez rien changer, on va vous donner des pilules et tout le monde dormira sur ses deux oreilles.
Quand une société tombe dans ces travers , selon moi, c'est au contraire qu'elle est terriblement malade , presque agonisante. Les sociétés dynamiques, quelque soit le domaine du savoir concerné, arts et science inclus, sont au contraire très ouvertes aux possibles et aux nouveautés.
Une société saine valorise ses talents et non les nie.
Les vrais malades ne sont donc pas ceux que l'on pense.
ps: J'ai fait un effort de présentation de texte juste pour voir si je pouvais encore lol, mon style est un peu lourd j'en conviens ..faudrait sans doute que je relise Montesquieu oder was ?
Je pense que c'est juste une nouvelle mode pour faire du fric, je constate des, disons, vagues d'acceptation ou de rejet collectif de la douance. Un peu comme si les non zèbres ne savaient pas comment nous prendre et par petites touches successives, modes ou vagues, avec plus ou moins d'amplitudes, essaient d'en dessiner les contours.
Démunis qu'ils sont de ne pas nous comprendre, quelle meilleure piste que de nous déclarer malades ou fous ? Sauf qu'on n'est ni l'un , ni l'autre. Enfermés, nous, dans nos propres mondes et visions, souvent différentes et en avance sur les leurs; comment leur dire ? Quel est diable le point d'appui qui leur permettrait de nous suivre ?
Mais il ya plus sombre, réduire la douance à une maladie c'est une manière de botter en touche, de nous contrôler socialement.
Je pense que le défaut social majeur actuel des zèbres est de ne pas se revendiquer et de ne pas changer cette société et ses règles. Je me demande même si tout cela ne fait pas partie d'un plan plus large dont on comprendrait intuitivement les contours et la nécessité.
Est-il écris que des acteurs de changement social doivent apparaître et agir en des périodes ciblées ? J'ai ce penchant d'y souscrire.
Or la société possède de sérieux freins, une inertie, une peur du changement pour le dire plus simplement , qui feront que tout sera mis en oeuvre pour contrer toute personne qui se sentirait investie de ce changement ou l'incarnerait , même potentiellement.
Et qui l'incarne mieux qu'un zèbre ce changement ?
Non Monsieur ! la société n'est pas malade et vous n'allez rien changer, on va vous donner des pilules et tout le monde dormira sur ses deux oreilles.
Quand une société tombe dans ces travers , selon moi, c'est au contraire qu'elle est terriblement malade , presque agonisante. Les sociétés dynamiques, quelque soit le domaine du savoir concerné, arts et science inclus, sont au contraire très ouvertes aux possibles et aux nouveautés.
Une société saine valorise ses talents et non les nie.
Les vrais malades ne sont donc pas ceux que l'on pense.
ps: J'ai fait un effort de présentation de texte juste pour voir si je pouvais encore lol, mon style est un peu lourd j'en conviens ..faudrait sans doute que je relise Montesquieu oder was ?
Invité- Invité
Re: Être « zèbre » : une pathologie ?
;
Dernière édition par cyel le Jeu 3 Nov 2016 - 16:19, édité 2 fois
Invité- Invité
Re: Être « zèbre » : une pathologie ?
zebulonlezebre a écrit:
[...]
Mais il y a plus sombre, réduire la douance à une maladie c'est une manière de botter en touche, de nous contrôler socialement.
Je pense que le défaut social majeur actuel des zèbres est de ne pas se revendiquer et de ne pas changer cette société et ses règles. Je me demande même si tout cela ne fait pas partie d'un plan plus large dont on comprendrait intuitivement les contours et la nécessité. [...]
Il y a effectivement des freins à l'innovation dans la société - plus qu'à certaines périodes (notamment celles d'explosions démographiques, quand la pression de la jeunesse force une société à bouger ; ou après une guerre, quand un certain nombre de cadres sociaux sont à reconstruire et que les changements sont inévitables) mais moins qu'à d'autres - et ces freins sont sans doute liés au besoin de stabilité du corps social. Je n'irai pas jusqu'à souscrire à une théorie du complot car je pense que ces résistances sont inconscientes - elles font partie de l'habitus, de l'idéologie etc. mais je suis persuadé qu'une partie de la littérature sur la douance la pathologise, en partie dans le but de contrôler socialement tout ce qui dépasse.
Permets-moi de rebondir sur l'idée que les zèbres n'en font pas assez : je rejoins ma première question. Qu'y a-t-il de positif à être "zèbre" ?
Louis l'Avoyelle- Messages : 11
Date d'inscription : 09/09/2016
Age : 48
Localisation : Paris
Re: Être « zèbre » : une pathologie ?
"Qu'y a-t-il de positif à être "zèbre" ?"
La question la plus appropriée pour ma part ça serait plutôt qui je suis avant d'essayer de définir le "zébre, truc, ou bidule" que je suis
Et à ZZ
La question la plus appropriée pour ma part ça serait plutôt qui je suis avant d'essayer de définir le "zébre, truc, ou bidule" que je suis
Et à ZZ
Tu sais les dits normos pensants ils ont pas tous envie ou le temps de devoir passer trois plombes à essayer de faire le tour d'un doué Et je t'avoue que je les comprends et ça n'est pas forcément méchant. Ils ont une vie aussi Si aller vers des personnes simples comme eux ça leur simplifie la vie Après si y'a jonction tant mieux et chacun fait des efforts, si il n'y a pas, y'en a pas. C'est plus simple pour un doué de devenir simple que de devenir complexe pour un normo pensant... le doué a le choix je trouve.
Re: Être « zèbre » : une pathologie ?
Y'a quelques que temps quelqu'un me disait qu'avec ma rapidité j'étais dans un monde trop lent (je ne me souvient plus mot à mot mais le sens y est). Eh bien le seul truc que j'ai trouvé a dire et que ce n'est vraiment pas pratique tout ça , mais je ne vois pas ça comme une pathologie plutôt comme une différence.
Il est vrai que certain livres parlent de cette différence presque comme d'une maladie, il y a quelque temps une formatrice qui m'avait collé l'étiquette d'hyperactive m'avait conseiller de faire des test et de prendre des cachets (tout ça parce que madame avait du mal a me suivre et les autre formateurs aussi mais dans une moindre mesure). Résultat test passé pas d'hyperactivité et même si ça aurait été le cas on donne pas de cachets a des adultes (là il y aurait fallut me courir après) et "diagnostic" de haut potentiel, la tête de la formatrice quand je lui ai annoncé ça valait le détour.
Tout ça pour dire que le différence fait peur en général quand une personne ne fonctionne pas comme "tout le monde" ben faut la mettre dans une "case" ça doit avoir un côté rassurant puis en plus si ça peut s'expliquer par une pathologie ça à l'air d'être le top car peut être ça apparaît moins comme une chose naturelle. Alors que si l'on parle de façon de faire différente tout d'un coup la "frontière" entre les deux est plus mince et vu que l'inconnu fait peur le choix et des fois vi fait pour certaines personnes.
Il est vrai que certain livres parlent de cette différence presque comme d'une maladie, il y a quelque temps une formatrice qui m'avait collé l'étiquette d'hyperactive m'avait conseiller de faire des test et de prendre des cachets (tout ça parce que madame avait du mal a me suivre et les autre formateurs aussi mais dans une moindre mesure). Résultat test passé pas d'hyperactivité et même si ça aurait été le cas on donne pas de cachets a des adultes (là il y aurait fallut me courir après) et "diagnostic" de haut potentiel, la tête de la formatrice quand je lui ai annoncé ça valait le détour.
Tout ça pour dire que le différence fait peur en général quand une personne ne fonctionne pas comme "tout le monde" ben faut la mettre dans une "case" ça doit avoir un côté rassurant puis en plus si ça peut s'expliquer par une pathologie ça à l'air d'être le top car peut être ça apparaît moins comme une chose naturelle. Alors que si l'on parle de façon de faire différente tout d'un coup la "frontière" entre les deux est plus mince et vu que l'inconnu fait peur le choix et des fois vi fait pour certaines personnes.
etoile38- Messages : 64
Date d'inscription : 21/09/2016
Age : 39
Localisation : Quelque part en France ^^
Re: Être « zèbre » : une pathologie ?
Bonjour,
Je ne sais pas si c'est une pathologie, en tout cas, je trouve cela parfois handicapant. Pas dans le sens médical ou communément utilisé. Mais bien dans son sens premier, qui se définit par rapport à une norme en l'occurrence avoir un QI dit normal. Au delà des chiffres, c'est bien ce fonctionnement différent que je trouve parfois handicapant.
Les vocables de pathologie sont souvent utilisés par des psys ou des éducateurs ou autres normopensants et bienpensants pour qualifier des fonctionnements différents auxquels ils n'ont pas accès soit par ignorance soit par rejet. L'hypercréativité de certains artistes serait-elle aussi une pathologie ? L'hypervision de certains penseurs serait-elle aussi une pathologie ?... Alors, je ne crois pas que ce soit une pathologie finalement. Juste une différence comme la couleur des yeux, le fait d'être gaucher ou droitier, la couleur de la peau...
Je ne sais pas si c'est une pathologie, en tout cas, je trouve cela parfois handicapant. Pas dans le sens médical ou communément utilisé. Mais bien dans son sens premier, qui se définit par rapport à une norme en l'occurrence avoir un QI dit normal. Au delà des chiffres, c'est bien ce fonctionnement différent que je trouve parfois handicapant.
Les vocables de pathologie sont souvent utilisés par des psys ou des éducateurs ou autres normopensants et bienpensants pour qualifier des fonctionnements différents auxquels ils n'ont pas accès soit par ignorance soit par rejet. L'hypercréativité de certains artistes serait-elle aussi une pathologie ? L'hypervision de certains penseurs serait-elle aussi une pathologie ?... Alors, je ne crois pas que ce soit une pathologie finalement. Juste une différence comme la couleur des yeux, le fait d'être gaucher ou droitier, la couleur de la peau...
Mark Larx- Messages : 223
Date d'inscription : 03/11/2016
Age : 44
Localisation : sud deux sèvres
Re: Être « zèbre » : une pathologie ?
Bonjour, Nouveau sur le forum mais avec quelques mois de lecture, d'instruction et d'autoanalyse, je dirai que le vrai problème d'être surdoué, c'est de ne pas le savoir. J'ai pour ma part plus de 35 ans d'incompréhension affective basée sur un décalage fondamental sur les canaux de communication. Le cœur à toutes les sauces, pas avec des fleurs mais rien que dans les interactions sociales, les engagements et le reste. Une facilité à apprendre, à ressentir et une fâcheuse tendance à être borderline avec les addictions. Une intellectualisation forte des émotions, avec une impossibilité de les restituer alors que je suis qq d'extraverti, ou plutôt qui le semble car dans le fond, je suis un grand timide qui avec son humour décalé charme. la découverte de cette différence me laisse perplexe, un peu au bord de la route, avec quelques regrets pour le passé et pas de remords pour mes actes, ils ont toujours été dictés par la sincérité. Je ne pense pas avoir de pathologie, au contraire, j'ai une superbe machine mais je n'arrive pas encore à la contrôler pleinement. trop puissante, quand elle dérape ... ça part en vrille ! Je ne me considère pas comme plus intelligent que la moyenne, j'ai seulement compris pourquoi je suis ce que je suis devenu, après avoir été ce que j'étais. Jusque la, tt vas bien :-) ... NON, ce n'est pas une pathologie, c'est pas non plus un cadeau à froid mais ça permets de comprendre ce qui depuis des années commençait à me paraitre comme une pathologie. Par contre, quand on sait pas ... on ramasse bien et fort. Voila, juste une petit intervention pour réagir au mot pathologie.
Alfy- Messages : 4
Date d'inscription : 12/12/2016
Age : 62
Localisation : Quincieux - 69
Re: Être « zèbre » : une pathologie ?
ce n'est pas la douance qui est handicapante c'est le décalage qu'elle induit
Hakaan- Messages : 1083
Date d'inscription : 30/06/2015
Age : 40
Localisation : Avec google map en général
Re: Être « zèbre » : une pathologie ?
faudrait un déambulateur pour surdoué en somme, pour surmonter les décalages surtout en côtes
mm undéambulateur avec un moteur de tondeuse à gazon ? ou alors le monter sur des ressorts pour faire les bonds sociaux souhaités en un temps record
aaa vous voilà vous tombez bien
mmm .. oui le ressort est neuf
mm undéambulateur avec un moteur de tondeuse à gazon ? ou alors le monter sur des ressorts pour faire les bonds sociaux souhaités en un temps record
aaa vous voilà vous tombez bien
mmm .. oui le ressort est neuf
Invité- Invité
Re: Être « zèbre » : une pathologie ?
le déambulateur est une technique de soutien. Une chaise percée est une technique de soulagement.
un déambulateur percé combinerai bien les deux ... la zébritude passe par le confort
un déambulateur percé combinerai bien les deux ... la zébritude passe par le confort
Alfy- Messages : 4
Date d'inscription : 12/12/2016
Age : 62
Localisation : Quincieux - 69
Re: Être « zèbre » : une pathologie ?
je sens que l'on va aboutir à quelque chose
Hakaan- Messages : 1083
Date d'inscription : 30/06/2015
Age : 40
Localisation : Avec google map en général
Re: Être « zèbre » : une pathologie ?
ah ben oui un déambulateur à assise percée à propulsion nucléaire
tu te fais chi* socialement mais à la vitesse de la lumière
c'était quoi cette trainée brune dans le ciel ? oh çà c'était saturnin un surdoué du coin
après la batmobile la prrttt mobile en somme
mm je m'égare je m'égare ..mais où ? c'est que ça prend de la place le réacteur à fusion
;-)
tu te fais chi* socialement mais à la vitesse de la lumière
c'était quoi cette trainée brune dans le ciel ? oh çà c'était saturnin un surdoué du coin
après la batmobile la prrttt mobile en somme
mm je m'égare je m'égare ..mais où ? c'est que ça prend de la place le réacteur à fusion
;-)
Invité- Invité
Re: Être « zèbre » : une pathologie ?
monsieur et madame ologique on un fils.. pat
bon ben voilà.. je
bon ben voilà.. je
Invité- Invité
Re: Être « zèbre » : une pathologie ?
Monsieur et madame tartellepique ont eu un fils ...
Helmuth ... Bon je passe aussi.
Helmuth ... Bon je passe aussi.
Alfy- Messages : 4
Date d'inscription : 12/12/2016
Age : 62
Localisation : Quincieux - 69
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