présentation

La moindre violence sexuelle dénote un problème hormonal, psychique, corporel et spirituel.
Le sexe est une violation omniprésente actuelle de l'intimité féminine, dont elles ne peuvent plus supporter la moindre douleur, ou dont elles se sont mises à aimer la douleur en désespoir de bouche d'aération assez proche. Des doses de faux amour violent à coup de claques et d'humiliations en tout genre non-dites, construisant de plus en plus de barrières chez autrui, isolant et désespérant.
Le sexe est un amour-propre en premier lieu, un apprentissage corporel de soi, une découverte de sensations nouvelles avec sa propre intimité, une acceptation de soi et de ses formes, une privation de flux de vie ou de relations amicales externes, pour faire l'amour méditatif avec son corps, avant la moindre rencontre avec l'autre, dans une douceur la plus forte possible pour atteindre une joie de soi la plus apaisante sans jamais se croire supérieur(e), loin du chasseur de femelles complètement fou de cul dépendant et esclave au possible des formes passantes qu'il ne comprend plus son corps.
Le célibat est une forme de purification spirituelle.
L'acte sexuel est l'endroit de don peut-être le plus puissant que beaucoup dévastent, c'est aussi là que naissent les guerres.
Le sexe est un jeu d'égalité, où la moindre perversion fait mal et où l'amour doit passer avant l'action, sans quoi, vous privez vous et l'autre de découvertes émotionnelles toujours plus nouvelles.
À faire l'amour dans les fleurs, on découvrirait le ciel.
Le sexe est un endroit de non-dits très forts, de conversations blessantes, de comparaison immonde, de domination, de soumission, d'inégalité notoire où le plus juste avec ses sensations sort vainqueur.
Le sourire pendant l'acte sincère peut se faire. C'est marrant.
Mais je crois toujours que l'homme vrai ne bande que dans le but concret de faire un enfant, et qu'il peut jeter le reste.
Faire l'amour peut donc être un non-sens, car la progéniture créée trop nombreuse crèvera sans amour parental. Ejaculer pour le plaisir est facile, source addictive, maladif, là où se rendre à l'évidence de soi et de ses dieux permet un apaisement corporel du top du top, et attirant d'ailleurs les femelles alentour telle une île perdue entourée d'oiseaux fatigués.
La nature sexuelle est encore à l'état d'essai, les ratés sont milliards, les réussis sont quelques uns et prisés qu'ils en étouffent de sollicitations.
La vie sexuelle ne se juge pas, ne se condamne pas, c'est de l'ordre de l'intime, c'est ce qu'il y a de plus fragile, c'est le deuxième chakra, c'est là d'où l'on vient, c'est là d'où tu viens, alors,
sois gentil avec toi et défends les autres d'entrer dans ton domaine sans montrer patte pure.
Les pervers méchants attirant les femmes pour se faire soigner donnent des ratés sexuel banals qu'ils font souffrir les gens qui les voient, et se croient en réussite sexuelle au nombre.
Croyez-moi, derrière le film programmé qu'on nous montre, tout cela est analysé, enregistré, pesé, et payé.
La vie sexuelle ne veut rien dire en réalité. Une expérience est différente des autres. On peut pas mettre le dernier élan avec le dernier boeuf comme ça, c'est comme faire des maths sans règle.

AL souriait, disait "lentement et fort", j'étais paralysé par sa perversité émotionnelle, impossible de me détendre. Profiter au dernier denier des situations est irrespectueux.
Comprendre le bon partenaire pour la vie, bannir les décadences, faire un projet humanitaire à deux, simplifier la vie célibataire, entraîner son cerveau au jugement positif, oublier la dépendance sexuelle au cul de passage, font un être resplendissant.

ciao les loulous