Poyo mucho loco
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Poyo
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Poyo mucho loco
Roh une présentation de forum, ça doit bien faire une décennie et demie que j'ai pas fait ça. Dans mes souvenirs, ça s'apparente pas mal à la création de backgrounds en JDR, à toi de mettre l'accent sur le vécu de ton perso afin de déterminer ton roleplay... Et j'aime bien me transformer en personnage. Ca permet de transformer son vécu en histoire, de transposer le tout sur un personnage qui n'est pas encore nous-mêmes mais qu'on devient au fil des incarnations. Du coup, étant donné le contexte socio-politique actuel qui est aussi rafraichissant qu'un rhum-sable-tabasco, on va plus tabler sur la carte de l'humour.
Or donc, le Poyo vit le jour pas très longtemps avant la chute du mur de Berlin. En hiver, alors qu'il déteste ça vu qu'il est moitié latino. Il a eu une enfance un peu chelou à base de père inconnu et de trimballages familiaux qui l'a amené à se réfugier dans les livres parce que les bouquins, eux, sont stables et bien plus intéressants que les adultes. Faisant son petit bonhomme de chemin, il a compris qu'il était un peu à part et trop actif mais bon, c'était sans doute la faute à tous ces personnages de fiction et un vécu trop intense. Et puis à la campagne y a tellement de place que qui peut savoir ce que tu crapahutes là-bas hein ? Si t'as décrété que tu t'es perdu dans les bois, qui va aller soupconner que t'as reculé au maximum l'heure de rentrer pour pas retrouver l'ambiance conflictuelle de la maison ? Vaut mieux passer pour con que malin, on t'en voudra moins.
A peine d'avoir le temps de s'intéresser vraiment à la fantasy et sortir du cycle jeunesse que l'âge adulte vient toquer à ta porte en te disant qu'il s'est planté sur son programme et qu'on va zapper la case adolescence. Du coup le Poyo vu qu'il est gentil parce qu'il voit sa famille se déliter suite à la mort de son grand-père, il prend sur lui histoire de sauver tout le monde. De tfaçon, ça sert à rien de pleurer sur la mort vu quc'est notre condition finale à tous, eh ! La tristesse c'est pour les faibles et, excuse-moi, mais si Potter est devenu une célébrité sans famille, y a moyen que je devienne la moitié de quelqu'un avec le quart de c'qui me reste
Pas le temps de niaiser, faut grandir ! Arts martiaux, theâtre, drogues, sports extrêmes, comportements à risques, psychologie, le Poyo veut tout. Saturé d'informations et par les multiples voies qu'offrent ses nouvelles activités, il se rêve pendant des heures stylite-guerrier, poète de la Sea Sheperd, gastronome itinérant ou documentaliste animalier. C'est là le moment ou intervient Insomnie qui deviendra une maîtresse fidèle, amenant au fil des années des copines moins recommandables telles que Enviesdesuicide, Blackout et GrosseDéfonce. Mais la découverte est géniale en soi ! Fuck le commun des mortels, plus besoin de dormir, le monde de l'information s'ouvre à lui. Les relations sociales et la réussite scolaire ? Disons que les résultats de moins en moins performants dans ce domaine nous amènent à revoir la rentabilité de ces fonctions et à changer de priorités. Tfaçon les autres ils sont bêtes, ils croient les médias et savent même pas qui ils ont envie d'être.
L'âge adulte, c'est funky comme tout :
- Le Poyo est devenu libraire aka le job de ses rêves. ON LE PAYE POUR BOUQUINER. Certes il faut parler à des gens de temps en temps mais même les testeurs de matelas doivent rendre des comptes après tout, ça compense largement le fait de bosser pour des connards. Avec tout le savoir du monde entre ses mains, il a encore moins de raisons de dormir qu'avant et puis de toute façon il faut qu'il soit le meilleur là dedans parce que vu son degré de folie, il n'y a que sa compétence qui peut l'excuser
- Tu peux voyager et te reconstruire ou tu veux. Une ville dans laquelle c'est pas bien ? On change de cdd. Une rupture amoureuse trop douloureuse ? Y a encore du travail à 600 bornes d'ici. Certains parlent de stabilité, de construire quelque chose ou d'équilibre mais baste ! La vie, c'est un savant mélange d'aventure et de monotonie. Sans le risque, il n'y pas de plaisir. Une vraie amitié survit à trois déménagements.
- Toutes les drogues sont à ta portée et tu sais comment elles fonctionnent. Trop de nuits blanches à réflechir ? Grosse cuite. Surcharge émotionnelle ? Soirée pétard. Un rendez-vous ou tu dois vraiment être maitre de toi-même ? Cocaïne. Besoin de redéfinir ses priorités et d'une psychothérapie ? Quelques poignées de champignons. Le reste du temps, il carbure au texte entre lecture et écriture pour essayer d'oublier cette réalité qui l'écorche au quotidien.
- Tu as pu développer plusieurs personnalités qui interviennent en fonction de la situation. D'un naturel timide et réservé, Poyo a du apprendre à concilier la violence inhérente à son nouveau mode de vie avec son caractère humaniste. Histoire de s'éviter les dichotomies entre Nietzsche et son héritage catho, il a développé une personnalité en rab appelée le Guerrier qui s'occupe de tout le sale boulot. Mais vu qu'une attitude binaire violence/chagrin commence à être relativement peu efficiente, il a globalisé l'humour, stimulé sa créativité et réussi à transformer son existence en une œuvre, certes un peu confuse qu'il appelle le Poète. Mais cette trinité psychologique en roue libre est devenu son équilibre. Plus personne ne lui fera mal.
Mais étrangement, il lui manque un truc au Poyo. Il sait qu'il rate quelque chose en regardant les autres gens, alors qu'il a tout ce dont il a toujours rêvé. C'est en continuant à trimballer sa carcasse qu'il finit par atterrir en Belgique ou la transition se fait. Cet enfoiré de loup solitaire se laisse peu à peu apprivoiser à coups de bières, de danse et de jeux. Il en parvient à trouver le sommeil, à s'investir dans des assos et même à arrêter de se trimballer avec une lame sur lui.
Les années passent tranquillement, Poyo sait bien qu'il sera toujours un extraterrestre parce qu'il en a trop fait et trop jeune. Il s'est largement calmé, arrive à dormir de temps en temps s'il lit plusieurs heures, voit des potes avec qui il boit des coups (avant de souvent rentrer se finir chez lui histoire de finir le travail) et pratique de l'escalade sans se battre. Il pleure quasiment plus et les ennuis sont tellement faciles à gérer comparé à avant qu'il a l'impression d'être un mec normal, quoi.
Pis c'est encore une fois le chômage, ce qui est toujours cool afin de prendre du temps pour soi. De l'écologie, de la politique, de la psycho... Du témoignage de douance. Une crise de larmes aussi soudaine que violente. M'enfin Poyo, quand même pas toi ? Je sais bien que t'es bizarre mais ce serait quand même un peu prétentieux nan ? Pas con ? Ok, je veux bien. Hypersensible ? Si on retient ses larmes quand on écoute de la musique ou en voyant la nature, ça compte pas j'espère. Empathe ? ... Effectivement y a peut être quelque chose mais oh hein bon, qui sommes nous pour vivre dans des cases, le Poyo est catégorie en lui-même nom d'un schtroumpf.
Les nuits blanches, quelques vomissures de bile et les réflexions parasites plus tard l’amènent à trancher : il faut être sûr. Le test se fait dans une terreur absolue et le verdict tombe : Surdoué (haine instantanée de ce mot).
Du coup, beaucoup de réflexion depuis. Après la phase d'assimilation puis de relecture, je suis en train de surcompenser. Je me remets au sport et aux arts martiaux comme si j'étais ado. J'écris de nouveau pour rien et pour moi-même alors que ce plaisir avait été perdu au nom d'une espèce de rentabilité artistique. La méditation me ramène a des moments d'enfance que j'avais écrasés volontairement et je parviens à me pardonner tout en renouant avec cette trinité psychologique qui était très hiérarchisée avant. Ça va mieux de jour en jour, quoi. Je ne sais pas encore trop ce que je vais faire de toute cette nouvelle énergie et cette énième renaissance (sans doute un tatouage, déjà) mais je voulais juste dire que voilà.
J'aurais jamais pu poster ça y a deux semaines quand je l'ai appris. Il était inconcevable pour le moi d'il y a dix ans de croire qu'un jour j'irais assez bien pour écrire ce message. Et même le fait de revendiquer (et de me convaincre définitivement ?) que je puisse être heureux de "ce que je suis" me parait encore quelque peu orgueilleux.
Bon bref, j'ai l'air un peu de me la péter avec ma description de personnage à la troisième personne mais je suis positivement surpris d'avoir atterri ici. J'ai parcouru un peu le forum et je commencerais à intervenir à droite à gauche en essayant de semer des pissenlits de bonne humeur saupoudré d'arguments pertinents.
Bon sommeil potentiel à vous, camarades.
PS : Beaucoup de tardage dans ce message. Présence potentielle de fautes et d'erreurs de frappe. Corrections certaines en attente.
Or donc, le Poyo vit le jour pas très longtemps avant la chute du mur de Berlin. En hiver, alors qu'il déteste ça vu qu'il est moitié latino. Il a eu une enfance un peu chelou à base de père inconnu et de trimballages familiaux qui l'a amené à se réfugier dans les livres parce que les bouquins, eux, sont stables et bien plus intéressants que les adultes. Faisant son petit bonhomme de chemin, il a compris qu'il était un peu à part et trop actif mais bon, c'était sans doute la faute à tous ces personnages de fiction et un vécu trop intense. Et puis à la campagne y a tellement de place que qui peut savoir ce que tu crapahutes là-bas hein ? Si t'as décrété que tu t'es perdu dans les bois, qui va aller soupconner que t'as reculé au maximum l'heure de rentrer pour pas retrouver l'ambiance conflictuelle de la maison ? Vaut mieux passer pour con que malin, on t'en voudra moins.
A peine d'avoir le temps de s'intéresser vraiment à la fantasy et sortir du cycle jeunesse que l'âge adulte vient toquer à ta porte en te disant qu'il s'est planté sur son programme et qu'on va zapper la case adolescence. Du coup le Poyo vu qu'il est gentil parce qu'il voit sa famille se déliter suite à la mort de son grand-père, il prend sur lui histoire de sauver tout le monde. De tfaçon, ça sert à rien de pleurer sur la mort vu quc'est notre condition finale à tous, eh ! La tristesse c'est pour les faibles et, excuse-moi, mais si Potter est devenu une célébrité sans famille, y a moyen que je devienne la moitié de quelqu'un avec le quart de c'qui me reste
Pas le temps de niaiser, faut grandir ! Arts martiaux, theâtre, drogues, sports extrêmes, comportements à risques, psychologie, le Poyo veut tout. Saturé d'informations et par les multiples voies qu'offrent ses nouvelles activités, il se rêve pendant des heures stylite-guerrier, poète de la Sea Sheperd, gastronome itinérant ou documentaliste animalier. C'est là le moment ou intervient Insomnie qui deviendra une maîtresse fidèle, amenant au fil des années des copines moins recommandables telles que Enviesdesuicide, Blackout et GrosseDéfonce. Mais la découverte est géniale en soi ! Fuck le commun des mortels, plus besoin de dormir, le monde de l'information s'ouvre à lui. Les relations sociales et la réussite scolaire ? Disons que les résultats de moins en moins performants dans ce domaine nous amènent à revoir la rentabilité de ces fonctions et à changer de priorités. Tfaçon les autres ils sont bêtes, ils croient les médias et savent même pas qui ils ont envie d'être.
L'âge adulte, c'est funky comme tout :
- Le Poyo est devenu libraire aka le job de ses rêves. ON LE PAYE POUR BOUQUINER. Certes il faut parler à des gens de temps en temps mais même les testeurs de matelas doivent rendre des comptes après tout, ça compense largement le fait de bosser pour des connards. Avec tout le savoir du monde entre ses mains, il a encore moins de raisons de dormir qu'avant et puis de toute façon il faut qu'il soit le meilleur là dedans parce que vu son degré de folie, il n'y a que sa compétence qui peut l'excuser
- Tu peux voyager et te reconstruire ou tu veux. Une ville dans laquelle c'est pas bien ? On change de cdd. Une rupture amoureuse trop douloureuse ? Y a encore du travail à 600 bornes d'ici. Certains parlent de stabilité, de construire quelque chose ou d'équilibre mais baste ! La vie, c'est un savant mélange d'aventure et de monotonie. Sans le risque, il n'y pas de plaisir. Une vraie amitié survit à trois déménagements.
- Toutes les drogues sont à ta portée et tu sais comment elles fonctionnent. Trop de nuits blanches à réflechir ? Grosse cuite. Surcharge émotionnelle ? Soirée pétard. Un rendez-vous ou tu dois vraiment être maitre de toi-même ? Cocaïne. Besoin de redéfinir ses priorités et d'une psychothérapie ? Quelques poignées de champignons. Le reste du temps, il carbure au texte entre lecture et écriture pour essayer d'oublier cette réalité qui l'écorche au quotidien.
- Tu as pu développer plusieurs personnalités qui interviennent en fonction de la situation. D'un naturel timide et réservé, Poyo a du apprendre à concilier la violence inhérente à son nouveau mode de vie avec son caractère humaniste. Histoire de s'éviter les dichotomies entre Nietzsche et son héritage catho, il a développé une personnalité en rab appelée le Guerrier qui s'occupe de tout le sale boulot. Mais vu qu'une attitude binaire violence/chagrin commence à être relativement peu efficiente, il a globalisé l'humour, stimulé sa créativité et réussi à transformer son existence en une œuvre, certes un peu confuse qu'il appelle le Poète. Mais cette trinité psychologique en roue libre est devenu son équilibre. Plus personne ne lui fera mal.
Mais étrangement, il lui manque un truc au Poyo. Il sait qu'il rate quelque chose en regardant les autres gens, alors qu'il a tout ce dont il a toujours rêvé. C'est en continuant à trimballer sa carcasse qu'il finit par atterrir en Belgique ou la transition se fait. Cet enfoiré de loup solitaire se laisse peu à peu apprivoiser à coups de bières, de danse et de jeux. Il en parvient à trouver le sommeil, à s'investir dans des assos et même à arrêter de se trimballer avec une lame sur lui.
Les années passent tranquillement, Poyo sait bien qu'il sera toujours un extraterrestre parce qu'il en a trop fait et trop jeune. Il s'est largement calmé, arrive à dormir de temps en temps s'il lit plusieurs heures, voit des potes avec qui il boit des coups (avant de souvent rentrer se finir chez lui histoire de finir le travail) et pratique de l'escalade sans se battre. Il pleure quasiment plus et les ennuis sont tellement faciles à gérer comparé à avant qu'il a l'impression d'être un mec normal, quoi.
Pis c'est encore une fois le chômage, ce qui est toujours cool afin de prendre du temps pour soi. De l'écologie, de la politique, de la psycho... Du témoignage de douance. Une crise de larmes aussi soudaine que violente. M'enfin Poyo, quand même pas toi ? Je sais bien que t'es bizarre mais ce serait quand même un peu prétentieux nan ? Pas con ? Ok, je veux bien. Hypersensible ? Si on retient ses larmes quand on écoute de la musique ou en voyant la nature, ça compte pas j'espère. Empathe ? ... Effectivement y a peut être quelque chose mais oh hein bon, qui sommes nous pour vivre dans des cases, le Poyo est catégorie en lui-même nom d'un schtroumpf.
Les nuits blanches, quelques vomissures de bile et les réflexions parasites plus tard l’amènent à trancher : il faut être sûr. Le test se fait dans une terreur absolue et le verdict tombe : Surdoué (haine instantanée de ce mot).
Du coup, beaucoup de réflexion depuis. Après la phase d'assimilation puis de relecture, je suis en train de surcompenser. Je me remets au sport et aux arts martiaux comme si j'étais ado. J'écris de nouveau pour rien et pour moi-même alors que ce plaisir avait été perdu au nom d'une espèce de rentabilité artistique. La méditation me ramène a des moments d'enfance que j'avais écrasés volontairement et je parviens à me pardonner tout en renouant avec cette trinité psychologique qui était très hiérarchisée avant. Ça va mieux de jour en jour, quoi. Je ne sais pas encore trop ce que je vais faire de toute cette nouvelle énergie et cette énième renaissance (sans doute un tatouage, déjà) mais je voulais juste dire que voilà.
J'aurais jamais pu poster ça y a deux semaines quand je l'ai appris. Il était inconcevable pour le moi d'il y a dix ans de croire qu'un jour j'irais assez bien pour écrire ce message. Et même le fait de revendiquer (et de me convaincre définitivement ?) que je puisse être heureux de "ce que je suis" me parait encore quelque peu orgueilleux.
Bon bref, j'ai l'air un peu de me la péter avec ma description de personnage à la troisième personne mais je suis positivement surpris d'avoir atterri ici. J'ai parcouru un peu le forum et je commencerais à intervenir à droite à gauche en essayant de semer des pissenlits de bonne humeur saupoudré d'arguments pertinents.
Bon sommeil potentiel à vous, camarades.
PS : Beaucoup de tardage dans ce message. Présence potentielle de fautes et d'erreurs de frappe. Corrections certaines en attente.
Dernière édition par Poyo le Dim 4 Déc 2016 - 12:21, édité 2 fois
Poyo- Messages : 39
Date d'inscription : 28/11/2016
Age : 36
Localisation : Toulouse
Re: Poyo mucho loco
Salut Poyo ! Très joli texte. Bienvenue camarade.
mmashoro- Messages : 399
Date d'inscription : 23/05/2015
Age : 34
Localisation : sur quelques pixels d'espace-temps, tantôt Morbihan, tantôt Toulouse, tantôt Caussade, tantôt ailleurs, mais toujours dans la Voie Lactée, même si je suis intolérant au lactose
Re: Poyo mucho loco
hey!! encore un roliste ^^ on va finir par pouvoir monter une table ^^
utilisateurdebase- Messages : 787
Date d'inscription : 30/04/2016
Re: Poyo mucho loco
Un Poyo alien, tatoué et semeur de pissenlit. Jolie présentation ^^
Bienvenue à toi !
Bienvenue à toi !
Bimbang- Messages : 6445
Date d'inscription : 31/07/2016
Localisation : 44
Re: Poyo mucho loco
Ca c'est du récit d'écorché vif ! Sacré tranche de vie.
Bienvenue ^^
- On a retrouvé la photo de Poyo dans ses livres:
Bienvenue ^^
Invité- Invité
Re: Poyo mucho loco
Le pissenlit est très bon pour la santé !
Les arguments pertinents aussi....je crois...
Les arguments pertinents aussi....je crois...
Zarbitude- Messages : 8895
Date d'inscription : 06/12/2012
Localisation : Ici et maintenant
Re: Poyo mucho loco
Salut Poyo, bienvenue ici, puisse-tu trouver ici tous les D12 dont tu auras besoin pour roller ta paix intérieure, ta sérénité et l'acceptation de ta différence sans échec critique...
perenico- Messages : 389
Date d'inscription : 14/11/2016
Age : 46
Localisation : Franche-comté
Re: Poyo mucho loco
Merci les gens. Bon pour le moment, je lis beaucoup pour cerner les différentes personnalités mais je vais finir par m'investir.
@Parisette : Mon Poyo c'est pas celui-là, il est trop gentil : ) Tape "chew poyo" sur google et tu verras d'ou ça vient.
Et si vous voulez faire une table, c'est avec grand plaisir. J'adore meujeuter mais je suis un joueur insupportable doté d'une chance insolente, paraît-il.
@Parisette : Mon Poyo c'est pas celui-là, il est trop gentil : ) Tape "chew poyo" sur google et tu verras d'ou ça vient.
Et si vous voulez faire une table, c'est avec grand plaisir. J'adore meujeuter mais je suis un joueur insupportable doté d'une chance insolente, paraît-il.
Dernière édition par Poyo le Dim 4 Déc 2016 - 11:16, édité 1 fois
Poyo- Messages : 39
Date d'inscription : 28/11/2016
Age : 36
Localisation : Toulouse
Re: Poyo mucho loco
J'aime beaucoup ta description . Justement, je n'y ai pas vu un écorché (ça change, si je peux me permettre ^^).
L'énergie qui se dégage de ton texte fait du bien. Rien que pour cela, merci
L'énergie qui se dégage de ton texte fait du bien. Rien que pour cela, merci
frednh- Messages : 49
Date d'inscription : 03/03/2016
Age : 42
Localisation : Paris
Re: Poyo mucho loco
Poyo mucho loco quizas , pero Poyo 'achement au bon endroit yo pienso ! Anda !
Shazz- Messages : 594
Date d'inscription : 19/10/2016
Localisation : Décentrée dans le Centre
Re: Poyo mucho loco
“L'unique différence entre un fou et moi, c'est que moi je ne suis pas fou.”
S.Dali
S.Dali
Zarbitude- Messages : 8895
Date d'inscription : 06/12/2012
Localisation : Ici et maintenant
Re: Poyo mucho loco
Bienvenue camarade rôliste !
Yoda300- Messages : 1254
Date d'inscription : 12/06/2016
Age : 51
Localisation : Haute-Garonne
Re: Poyo mucho loco
Hé bé... Moi qui croyais que j'avais déjà vécu trop de choses... Et lu trop de livres... Tu me permets de relativiser
Effectivement, tu sembles avoir une énergie hors du commun! Et malgré les écorchures, tu continues ton chemin...
Bonne route à toi!
Effectivement, tu sembles avoir une énergie hors du commun! Et malgré les écorchures, tu continues ton chemin...
Bonne route à toi!
Invité- Invité
Re: Poyo mucho loco
Poyo.. il y a quelque chose de profondément "commun" en nous tous, toi, les autres (ou en certain des autres) et moi je trouve que c'est tellement rassurant..du coup..
Je connais bien cette proportion à être tout et rien, à devoir s'assommer la tronche à coup de ce qu'on trouve de légal ou non, parce-que parfois fait bien que ça cesse, faut savoir s'éteindre même lorsque la prise ne se débranche pas (parce-que déjà la prise tu ne la trouves pas et qu'ensuite les batteries ont une durée de vie infinie), à avoir passé trop de nuits moqué par cette satanée lune qui te regarde vicieusement dans le blanc des yeux.
Alors oui, il y a la création, les arts pour diriger ces flux, qu'importe le domaine et les matériaux, tout est prétexte pour libérer cette énergie, le trop plein et ça soulage aussi. Certains ont des pratiques pour le plaisir, peut être c'est dans cas en partie ou entièrement, mais je suis certain que c'est avant tout pour vider, pas exploser.. les hémorragies d'inspiration, faut bien en faire quelque chose aussi.
Forcément, jeux de rôles, forcément divagations dans la nature, loin des zones minées familiales, forcément tout ça c'est profondément commun à nous autres quelque soient nos "définitions psychatriques" : des cœurs d'éponges capables de tout absorber jusqu'aux derniers degrés, des ventres pour tout restituer.. et des idées à ne plus savoir où donner de la tête sauf en s'inventant des projets et des missions.
Il faudra, sur ce fil par exemple, que décrives ensuite comment être ici t'a aidé à mieux comprendre qui tu es, ou du moins ce que tu fais de ta présence ici et comment tu l'as exploité. T'es venu me saluer et je comprends pourquoi même si je ne me comparerais pas intellectuellement à toi, nous avons un bout de chemin très commun. Je vois mieux maintenant ce que tu me disais.
Peut-être qu'un jour on va se croiser au coin d'un bar. : )
Pour le moment je suis incapable de vraiment rencontrer ou croiser sincèrement des gens mais.. ..ça viendra.
Je connais bien cette proportion à être tout et rien, à devoir s'assommer la tronche à coup de ce qu'on trouve de légal ou non, parce-que parfois fait bien que ça cesse, faut savoir s'éteindre même lorsque la prise ne se débranche pas (parce-que déjà la prise tu ne la trouves pas et qu'ensuite les batteries ont une durée de vie infinie), à avoir passé trop de nuits moqué par cette satanée lune qui te regarde vicieusement dans le blanc des yeux.
Alors oui, il y a la création, les arts pour diriger ces flux, qu'importe le domaine et les matériaux, tout est prétexte pour libérer cette énergie, le trop plein et ça soulage aussi. Certains ont des pratiques pour le plaisir, peut être c'est dans cas en partie ou entièrement, mais je suis certain que c'est avant tout pour vider, pas exploser.. les hémorragies d'inspiration, faut bien en faire quelque chose aussi.
Forcément, jeux de rôles, forcément divagations dans la nature, loin des zones minées familiales, forcément tout ça c'est profondément commun à nous autres quelque soient nos "définitions psychatriques" : des cœurs d'éponges capables de tout absorber jusqu'aux derniers degrés, des ventres pour tout restituer.. et des idées à ne plus savoir où donner de la tête sauf en s'inventant des projets et des missions.
Il faudra, sur ce fil par exemple, que décrives ensuite comment être ici t'a aidé à mieux comprendre qui tu es, ou du moins ce que tu fais de ta présence ici et comment tu l'as exploité. T'es venu me saluer et je comprends pourquoi même si je ne me comparerais pas intellectuellement à toi, nous avons un bout de chemin très commun. Je vois mieux maintenant ce que tu me disais.
Peut-être qu'un jour on va se croiser au coin d'un bar. : )
Pour le moment je suis incapable de vraiment rencontrer ou croiser sincèrement des gens mais.. ..ça viendra.
SyndromeChinois- Messages : 95
Date d'inscription : 01/01/2017
Age : 45
Localisation : Dordogne, Pays de l'Homme -_-'
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