Des envies de mourir, déprimes alors que tout vas bien?

Bonjour/Bonsoir,

J’aimerais avoir des réponses et des témoignages afin de m’aider pour un problème qui me pèse depuis quelques temps…
Depuis quelques temps j’ai environs, deux fois par mois des jours ou d’un coup sans raisons j’ai des phases de grosses déprimes (déclenché par une petite colère ou petite tristesse ou rien de spéciale)… Cela se passe environs vers 13h-14h et cela se calme vers le soir pas loin de 18H des fois cela débute le matin et cela va mieux vers le soir…
Durant ces moments, j’ai envie de mourir, vraiment envie de ne plus exister ou de regretter d’etre née, j’ai des idées très noires, toute mes pensées deviennent morbides et tristes…
J’ai pensé a une cause hormonale, mais cela ne se passe pas durant les mêmes cycles…
Ma vie est plutôt bien, bien que j’ai beaucoup souffert de ma différence de zèbre, je n’ai pas beaucoup d’amis (je n’ai qu’une amie vraiment.) mais j’ai un chéri, avec qui la relation dure depuis 2ans maintenant, et j’e suis très heureuse, on compte passer la vie ensemble, bref, tout se passe parfaitement bien (jamais d’engeulade) même si on peut se voir que pendant les vacances on a trouvé notre équilibre...
Niveau relations sociale, je n’ai pas de difficultés pour parler aux gens, j’ai tendance a bien sympathiser même si je suis vue différente je ne vis pas d’exclusion forte, on m’accepte comme je suis-je dirais…

Je ne comprends pas pourquoi j’ai ces moments de déprime forte, je veux bien que ce soit l’adolescence, mais avoir envie de mourir fortement… cela fait un peu gros non ? J’avoue que… Si je n’aurais pas cette amie et mon chéri…je me serais déjà fortement mutilé (je le faisais avant, mais j’ai réussi à arrêter car ma vie s’est amélioré et que je ne voulais plus jamais peiner ceux que j’aime avec cela…)

Bref, cela vous arrive d’avoir ce genre de choses ? D’avoir fortement envie de mourir et puis, vers le soir se sentir mieux, comme si cela n’était pas arrivé ? Comment expliquer cela ?

Merci d'avance,

bonne journée/soirée

J'ai déjà ressenti ça a plusieurs reprises et ça me reprend régulièrement parfois trop. Mais à la différence de ce que tu expliques c'est qu'en général il y a quelque chose, qui pour moi est important (ce quI ne veut donc pas dire que ça l'est), n'a va pas. Bref j'ai un soucis et moins je traite le soucis plus cette envie reviens rapidement. J'espère avoir été clair et avoir pu être éventuellement un peu utile

Est ce que c'est l'heure qui est importante, ou est-ce une action que tu fais à ce moment là qui pourrait générer ta déprime ?

Pour chaque cycle y a une période dans la journée ou j'y pense plus qu'a d'autres oui.
Quand je suis mode "optimiste" tout est bon pour générer ce genre de pensées, l'action comme l'inaction. Pas les premiers jours car j'en suis incapable mais après je finis par réduire ces pensées en prenant les devant et ma bruit avant qu'elles n'arrivent soit en ayant une activité physique à ce moment là où autre ... car réfléchir dans ces moments là ne m'a rarement amené de choses constructives (rarement =! Jamais)

Emem

Intéressant ce que tu me décrit là, disons que pour moi c'est souvent des petites pesées négatives (que tout le monde as) et c'est quand je me sent fragile que mes envies de morts viennent subitement.. souvent le soir je me sent mieux...
Souvent, me pensées négatives ne restent pas longtemps dans ma tète, je les tries et elles partent comme elles sont venue, mais ce que je me demande est pourquoi une toute petite pensée ou tout petit événement, va entraîner une disproportion das mes sentiments alors que les autres jours je me fiches complètement de ces événement/pensées...

Bimbang

Ce qui est étrange est que cela n'est lié à aucun événement en particulier, cela peut venir de moi qui me suis mise en colère pour un rien du tout ou une petite tristesse quand je pense a mes difficultés zebresque, souvent je gère... Mais dans ces périodes cela s'aggrave... Je n'arrive pas a savoir ce qui fait que cela se manifeste a cette période, mais le soir, je vais mieux je dirais grâce au fait que je parle à celui que j'aime par Cam, ce qui stabilise mes émotions et me fait oublier ces envies de mourir

Emem:

Je gère comme toi, je gère mes pensée en m'occupant au maximum ce qui réduit mes mauvaises pensées. J'aimerais tellement savoir comment éviter ces phases et d'où elles viennent, cela est vraiment handicapant car cela peut m’empêcher de faire des choses si je suis vraiment déprimée ou même de sortir en ville au risque de faire une crise de larme d'un coup... :/

Ce qui est gênant est que normalement des petites pensées/événements négatifs peuvent influer sur les émotions mais pas dans ces proportions, cela m’entraîne dans une spirale infernale aux envie de mort je trouve cela étrange avec le recul... (quand je suis dans ces phases par contre, impossible de prendre du recul, alors j'attend d'aller mieux, mais c'est s horrible d'avoir ces envies de morts, cela fait assez peur )

Je pense qu'il faut accepter qu'on puisse avoir des moments de mous même s'ils peuvent être plus intense pour toi que pour d'autres. Tant que tu ne te fais pas dominer par eux et que tu arrives à les circonscrire dans une durée et une intensité acceptable... Je ne veux pas dire qu'il faut faire avec et de pas lutter contre, j'essaye d'expliquer qu'au contraire il ne faut pas leur donner plus d'importance que ça en a. Tant que ça reste des pensées et que ça ne déborde pas ce n'est pas encore trop dangereux... enfin c'est comme ça que je me rassure sinon je retourne à l'HP

J'avoue que si ça t'empêche de faire des choses que tu as envie de faire ça devient un problème, les crises de larmes à mes yeux c'est pas un problème ais je peux concevoir que tu le vives ainsi (je suis trop sympa quand même ) . Mais il n'y a pas de raison que ça arrive pour rien. Et même si ça peut paraître sans importance si tu réagis intensément par la suite c'est peut être qu'il y a un détail qui pour toi rend cet événement plus intolérable que pour ton voisin. Surtout si arrive plus ou moins régulièrement, j'ai du mal à envisager que ça arrive juste comme ça...

Quand l'émotion est forte, il n'y a plus que ça qui existe et donc prendre du recul est juste impossible (dans mon cas, je ne généralise pas). J'essaye de me fixer sur l'émotion et de repousser les pensées noires qui accompagnent l'émotion. Car c'est l'émotion sur laquelle je dois travailler. C'est la clef du problème. Les envies de morts ne font que découler d'un surplus incontrôlé...

Salut!

Ton post m'interpelle parce qu'il m'arrive aussi de me sentir comme ça. Exactement le même scénario: des trucs qui habituellement m'affecteraient, mais jamais dans des proportions aussi intenses. Et comme toi, le trop-plein va généralement disparaitre quelques heures plus tard.

Toutefois, dans mon cas c'est hormonal. Alors je ne peux m'empêcher de te demander si tu es sûre que ce n'est pas ça? Tu dis que tu es encore à l'adolescence:  à moins que je me trompe, c'est quand même une période de fluctuations, non? Et il ne faut pas oublier que nos hormones varient aussi hors-période: il y l'ovulation, tout ça tout ça...

Et ça pourrait être autre chose de physique? Si tu as un médecin en qui tu as confiance, peut-être en discuter pour faire un bilan sanguin? On ne sait jamais...

Prob physique ou pas, voici ce que je fais maintenant quand ça m'arrive: je vis mon émotion mais je ne pousse pas ma réflexion. C'est-à-dire que je trouve une bonne âme qui ne me jugera pas (généralement mon copain, le pauvre! encore vendredi dernier, j'ai sangloté sur son épaule une petite demi-heure pour... pour quoi déjà? ) Ensuite, je sors mon émotion en le prévenant de prendre le tout avec un grain de sel, que je ne me sens pas exactement moi-même et que ce sont sans doute mes hormones. Ça fait un bien fou! Car l'émotion est réellement présente et ça doit sortir même si c'est extrême! Et du coup, moins d'idées noires aussi!

Mais attention, je n'en discute pas pendant des heures et je n'essaie surtout pas d'en tirer de grandes conclusions sur le moment. Pas de choix de vie importants, pas le moment de régler mes comptes avec les personnes concernées non plus, pas d'ultra-analyse sur mes besoins... RIEN! Pendant ces moments, je m'autorise ce que je ne fais jamais: ne pas creuser!! Parce que l'expérience m'a appris qu'une fois le recul pris, ben... je ne vois plus les choses de la même manière et je suis plus... nuancée? haha!

En tout cas, tout ça pour te dire d'évaluer plus à fond l'hypothèse des hormones! Perso, ça m'a pris du temps pour appréhender ces maudites fluctuations féminines!    (mais je suis peut-être lente aussi, hein!)

Et dans tous les cas, demeure à l'écoute de tes émotions! Même si elles exagèrent des fois, elles ont des choses à nous apprendre sur nous-mêmes!

Emem,

Je cherche a savoir si je n'ai pas de problèmes qui pourrait expliquer ces tristesses et envies de mort.. Je cherche parfois a savoir si en moi même je ne souffre pas de quelque choses de plus profonds alors je m’analyse, mais je ne trouve rien de spéciale... Peut être que c'est très dissimulé...
Sinon je pense comme tu dit, que c'est peut etre due au fait qu'on est plus senssibles que d'autres.

*M*,
Tien, c'est hormonale pour toi?
J'ai remarqué que j'avais ces crises durant mes règles ou avant et parfois en dehors, mais comme tu a l'air de le préciser, cela peut venir a tout moment du cycle.
Il est probable que ce soit cela, j'ai fait tellement de recherche pour trouver comment régler ces problèmes d'émotions due aux hormones mais je n'ai trouvé aucune solution si ce n'est que de faire avec...
Heureusement, mon homme est là aussi pour moi quand cela ne vas pas, mais j'ai tellement peur de trop peser sur ces épaules (selon lui, cela ne le dérange pas du tout, et il aime être utile quand cela arrive).
Pour la question des hormones, je pense qu'il y a un lien, au collège, et au CM2 j'avais eu mes règles mais je n'avait as ces problèmes d'émotions, quand j'ai commencé a avoir un problème hormonale, j'ai pris une pilule pour m'aider a avoir mes règles lus régulièrement et depuis, j'ai l'impression que tout les syndromes pré-menstruelles sont apparue alors qu'avant je n'avait rien...
J'ai fait des bilans sanguins, la pilule a l'air de me convenir corporellement mais émotionnellement c'est autre choses, mon endocrinologue ne veut pas me faire prendre une autre pilule par peur que cela ne me convienne pas:/
Je craints qu'il n'y ai pas de solution pour apaiser mes envies de morts lorsque cela viens du coup et qu'il faut que j'affronte cela en face :/

merci pour vos réponses en tout cas, n'hésitez pas à témoigner encore si vous vivez cela, ou si vous avez d'autres pistes hormonales ou non sur ce  que je vis...

Juste quelques petites idées en passant.

La pilule s'arrête habituellement une semaine sur quatre, ce qui cause une chute hormonale, donc le syndrome pré-menstruel associé. Mais on peut très bien la prendre sans discontinuer, ou rallonger les cycles, et hop, moins d'emmerdes ! A discuter avec ton médecin bien sûr.

Aussi, dans les hormones qui agissent sur le moral, il y a bien sûr les hormones thyroïdiennes à vérifier, mais je suppose que c'est déjà fait.

Enfin, mais plus pour rigoler : déprime vers 13-14h, euh, tu manges bien à midi ? Tu nous ferais pas une hypoglycémie ? Tu n'aurais pas besoin  d'une petite sieste ?

As-tu déjà entendu parler des états mixtes qui concernent non les bipolaires mais les cyclothymiques ?

C'est vachement intéressant, d'autant qu'il existe une infinité de possibilités. Si chacun apporte ses idées, on va vite cerner le problème.
J'en réfère toujours à la " connaissance de soi ", qui est une des clés de nos problèmes.
Mais puisque c'est abstrait, peut être pourrais je simplement résumer mon approche (ce n'est que la mienne, elle est bornée à mon vécue, donc subjective !)
Peut être tout simplement que tu as des portes à ouvrir, des coffres dans ton esprit dans lesquels tu aurais enfermé tes peurs, tes secrets, tes doutes.
Comme j'ai l'habitude de le faire avec chaque sujet du forum, j'en reviens à une série de questions de base, qui n'ont peut être rien à voir avec ton envie de meurtre quotidienne :
Ou tu es en de :
-la connaissance de toi , en tant que personne, en tant qu'humain, en tant que zèbre, en tant que (probablement) hypersensible ou aspie ?
-l'acception de toi et de toutes les facettes qui vont avec?

Après, des fois il y a des choses insaisissables, "au delà", qui nous embêtent... Des fantomes, des vies antérieures, des ondes radio qui passent de telle heure à telle heure...
Si ça se trouve, c'est simplement le wi fi...

A+

on peut imaginer que dans une ancienne vie on est mort noyé par exemple, et aujourd'hui on aurait une phobie de l'eau qui s'expliquerait éventuellement.

On était peut être tout simplement alccolique...

Déjà ce que Freud affirme concernant l'inconscient et la cause des névroses n'a jamais reçu de confirmation scientifique, alors s'il faut supposer toute une kyrielle de naissances et de morts on n'est pas rendus...J'avoue que je ne suis pas "ouvert", parce que je n'ai pas envie de laisser entrer n'importe quoi.

Bonsoir Morgane ,
Il ne faut jamais se laisser guider par quelque chose de destructeur , petit , minable , négatif , ect....!
Il se peut que ton merveilleux organisme vivant assisté par ton esprit communicatif tente de te faire comprendre quelque chose.
Et la seule personne capable de comprendre ce que c'est , c'est toi , cela peut vouloir dire de faire une sieste , comme cela est dit si bien précédemment , cela peut vouloir dire plein d'autres choses , manque de bol , c'est toi qui est la mieux placée pour le découvrir .
Personnellement , j'ai envie de mourir lorsque j'ai réalisé tout ce que je voulais , j'ai atteint mes objectifs , on ne saurait m'en demandé plus ,..., Fin de la contrainte , il est venu le temps du repos , un repos éternel.
Mais en fait , cela n'est pas réel , rien qu'une période de passage à vide ( comme un écrivain qui n'arrive plus à rien) ,un temps mort , très dur à supporter pour nous sans aucun doute , mais cela n'est rien de plus qu'une période hivernale qui sera balayer dès l'arrivée du printemps ( accompagné de chaleur et de soleil).
Bref , je te conseillerai de faire de l'exercice physique qui fatigue et fait battre ton cœur "à fond la caisse" , histoire d'irriguer ton organisme avec du sang frais et dynamique , de consommer de la nourriture saine , ensuite de faire une sieste bien méritée ou de faire l'amour avec celui qui partage ta vie .
Tu l'auras deviné , je ne suis pas médecin , mais ce traitement marche pour moi , et peut-être qu'il marche pour tout le monde.
Agréable soirée

Bonjours à tous, et merci pour vous nombreuses réponses, pardonnez-moi pour le fait que je tarde à répondre je suis pas mal occupée a cause du lycée…

Gigi :

Pour la pilule je ne peux malheureusement pas jouer avec mes cycles ou arranger la prise de cette pilule car mon traitement est là pour m’aider dans une maladie hormonale, je prenais la pilule pour lutter contre des kystes ovariens, (j’en ai plus du tout à présent) mais je dois continuer de la prendre pour que je puisse avoir mes règles tous les mois à la bonne période. Sinon j’ai déjà fait un contrôle de ma thyroïde, j’en ai même parlé à mon infirmier du lycée, et il m’a dit que mes crises de larmes ressembles à un problème thyroïdien, ce qui est étrange est que celui-ci a contrôlé ma tyroïde mais rien a signaler… De même pour mon bilan sanguin, il est bon…
Pour l’hypoglycémie j’y ai penser^^ j’en fait avant manger mais cela part des que je commence à manger et je retrouve ma forme.
Sinon, j’ai remarqué que mes déprimes se passent surtout quand je suis chez moi, alors qu’au lycée cela survient très rarement l’aprem…

Fata Morgana :

Intéressant cet état mixte, j’ai fait des recherches dessus et j’en fais toujours d’ailleurs, cela ressembles à ce que j’ai, fort heureusement mes périodes dépressives très intenses sont rare mais celles de grosses tristesses moins. Je m’intéresse à ce que tu me dis sur la cyclothymie, peut être as-tu mis le doigt su ce que j’ai. En regardant les symptômes etc je vais bien voir si c’est bien cela…
Merci beaucoup en tout cas ! ^^

Doc-Pisto-Colle :

La connaissance de soi est importante aussi pour moi, je considère cela comme la clé pour aller bien dans la vie et pour avancer ^^
Pour la connaissance de moi : disons que j’arrive a m’auto-psychanalyse, j’ai découvert plein de choses sur moi, par contre en ce moment je me demande si j’ai pas des traits aspie, je me demande si c’est possible d’être aspie et hypersensible ou si cela est contradictoire…
Dison qu’avant j’étais limite dépendant affective etc, mais maintenant je suis le contraire, je cherche la solitude (je me sens si bien quand je suis seule) bon j’aime communiquer avec les autres, mais disons que je ne sens plus le besoin de créer des liens affectif, j’en ressent plu l’envie, ni ‘intérêt, j me sens bien qu’avec mes 3 relations quotidienne (que je vois pas très souvent de par notre distance d’habitation) mais cela me suffit…
Je e mefie bcp des gens, mais je ne suis pas timide du tout…
Par contre mon entourage est surpris du fait que je ne comprends pas le second degré, j’ai beau m’efforcer je n’arrive pas à voir quand la personne plaisante ou si c’est vrai…
C’est pour cela que je me demande si j ne suis pas aspie… Est-ce possible de le devenir ou alors est-ce que je le suis mais que c’était très léger et indiscernable. Ou alors juste ma simple personnalité ?

Pour l’acceptation de moi-même : j’ai fait de beaux progrès, avant c’était une haine de soi que je ressentais, à présent, je m’accepte beaucoup plus (physiquement le sport m’a beaucoup aider à m’accepter, je suis fier d’avoir forger mon corps avec le sport même si ça m’arrive comme tout le monde des fois de ne pas aimer mon corps mais ma confiance revient vite. Sinon mentalement, je m’accepte moyennement, je m’en veux des fois de pas être assez intelligente, d’être maladroite ou lente…
Je me suis toujours dit que mon père par exemple, ne désirait pas une fille comme moi (car je ne suis pas vraiment dans le délire des autres filles sur l’apparence) mon père me reproche souvent de ne pas faire comme les autres.. Mais j’ai fini par me dire « t’en pis, chui come ca… »


Amarante :

Salut !
Oui je me sert de l’exercice physique, cela aide beaucoup a combattre les émotions négatives, depuis quelques années j’ai changé mon alimentation et banni tous les gâteaux industrielles et sodas, je ne mange que du maison y compris pour les petits plaisirs cala a vraiment changer ma vie ^^
Souvent quand je me sens patraque je fais du sport. Apres mes séances des fois ce sentiment de tristesse revient, j’ai l’impression qu’il part seulement quand il veut et qu’il faut que j’occupe mon corps a autre chose pour être tranquille lol, mais c’est vrai que faire du sport aide bien^^


merci beaucoup pour vos réponses cela m'aide beaucoup à réfléchir !