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rapidement : ce sont les détails qui font le suc succulent de ce savoir accumulé. Je recherche ainsi le détail qui tue. Quant aux cumuls matériels, je lis un bouquin et m'empresse une fois terminé de lui donner une seconde vie via Emmaus, les dons aux amis ou la rue (sur une table d'un café). A Paris j'en donnais aux SDF.

Ce cumul intellectuel peut gêner s'il est en désordre.
La question n'est donc pas "est-ce utile d'accumuler" ni "comment s'en séparer", mais bien : "comment ranger puis comment s'en servir".
Si jamais tu vas dans ce sens, je reviendrais

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J'ai personnellement choisi très tôt d'externaliser mes fragments mémoriels dans un outil de représentation des connaissances que j'avais sélectionné (en 1998), ayant eu conscience de l'approche encyclopédique qui m’animait. Cela m'a permis non seulement d'alléger ma charge mémorielle, mais surtout de pouvoir petit à petit tisser de nouvelles correspondances, remodeler l'organisation des idées, et ainsi de pouvoir faire émerger à partir de ce corpus hétérogène un ordre nouveau et cohérent, une autre rationalité :

>>> Un outil de représentation des connaissances pour penseurs arborescents

Merci pour le lien, soto².
A lire en partie le fil auquel tu me convies, je suis renvoyé à ce que je connais de Onenote de Microsoft, non ?
Au plaisir,
PJ.