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Bonjour tout les gens,
Welcome, welcome dans ce fil de pensées, auquel je vous invite.
perso, je me trouvais toujours très "fort" et plein de "volonté" plus j'agissais, plus je laissais des traces de mon passage quelque part ( exemple, ces posts ).
Et avec le temps, me vient une certitude : ces "actions" qui viennent en fait d'une espèce de douleur intérieure ( la rage au ventre, la fureur de vivre ) est en fait poussée par un inconscient qui cherche à rétablir l'équilibre.
Quand je vois ces grandes tours ( gratte ciel ) qui influent sur des continents entiers, et leurs propriétaire qui font le tour du monde à la recherche d'elles et d'eux-même, je me dis que l'inconscient - qui pousse à construire des cathédrales pour se trouver une forme de quiétude pourrait être plus "efficace" à chercher ailleurs que dans les peurs et colères au lieu de trouver une forme de faiblesse au départ de toute entreprise.
Si je suis "faible" et "vulnérable" et que je crains donc la blessure, j'imagine que la tour qui pointe vers les cieux sera comme un "attention au chien ( qui mord )" en avertissement vers l'extérieur : un besoin de sécurité, de paix et de stabilité qui se reflètent.
Alors bon, avant toute action vient un "être".

Tiens, et soit-dit en passant, dans une vidéo que je postais ici : https://www.zebrascrossing.net/t29685-le-projet-gutenberg#1227310 il est question - entre autres - d'Alexandre et de son mentor Aristote.
Pour Aristote qui se défaisait de la pensée de Socrates et Platon en disons que les "vérités" immuables laissent la place à un monde des sens, bien j'y vois une approche en fait de l'être à l'action.
Et si Aristote est le mentor de ce conquérant qui aurait soumis l'Asie par la force et lancé la plus grande bibliothèque, selon le mythe du noeud gordien, il y a dans ces oeuvres collectionnées dans la bibliothèque et toutes ces sciences une envie de recette de cuisine pour savoir "comment agir".
Comment être serein avec une telle approche du monde, aujourd'hui basée dans l'ultilitarisme.

Un idéalisme romantique détaché de tout ne me convient que peu également.
Mais je crois que le point de départ, l'intention et le sentiment et les besoins sous-jacent à tout action prennent bien plus d'importance pour moi, en tant qu'antécédents, que l'action à proprement parler.
PJ.