Interpréation ou créativité que de regarder un contenu de la sorte ?
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Interpréation ou créativité que de regarder un contenu de la sorte ?
Est-ce que quelqu'un.e pourrait faire le même "exercice" avec d'autres contenus ( quel que soit le média et le support ) ?
Je suis preneur.
Merci Punpun de me permettre de redécouvrir cet artiste.
If I ever said I'm never scared
Just know I mean it
If I ever said I fucked your bitch
Just know I mean it
And if I ever said I'm gettin' money
Just know I mean it
And oh Lord oh Lord knows
He knows I mean it
Yeah, you know I mean it
You know I mean it
Just know I mean it
Just know I mean it
Oh yeah oh yeah oh yeah
Voilà, commencer par une négation à la Eminem dans "not Afraid" : ne pense PAS à une orange.
Le cerveau "skipe" ( court-circuite ) les négations,
Encore plus qu'une négation, il s'agit ici d'un "jamais" ( jamais dire jamais - Fontaine je ne boirai pas de ton eau comme exemple ).
L'attitude du mec me fait penser au personnage principal de Twin Peaks : la coupe de cheveux, le côté supra nickel, propre sur soi et tout et tout.
Et justement, toute la série tourne autour de ce personnage au bout d'un temps, comme si la part d'ombre n'était pas apparente, mais supra nécessaire à interpréter pour avancer.
Twin Peaks est un classique pour réussir à mettre cela en lumière.
Quoi qu'il en soi :
après la première négation de "jamais être effrayé", pour laquelle je conclus qu'il s'agit donc de la situation inverse où il est tout le temps effrayé ( Le "never" se retournant en son opposé à mes yeux, le "tout le temps" - hypothèse bien sûr, mais qui sait ? ) qu'il poncture d'un "Just know I mean it", donc un besoin que ce soit su, il se tourne vers les autres et leur "bitch".
Comme si la solution à ses peurs étaient là.
Effectivement, sexualité et proximité, intimité, contact et chaleurs humains peuvent beaucoup aider.
En fait, j'y vois comme un mea culpa, une espèce d' "aveu", la première partie qui mène à la suivante en gros.
Comme je suis tout le temps effrayé, je te pique ta "bitch" ( le remède : l'aider à se défaire de sa peur, par le soutien humain, la chaleur, et la proximité et le fait de justement traiter sa femme en humain à part entière, plutôt qu'en bitch - plus tard dans la chanson il explique aussi que le stress des mecs est qu'ils "kuff" et "leash" les bitch : leur passent des menottes et une laisse - bien et il peut jouer là-dessus pour les séduire, les laissant libre, vu qu'il ne fait que leur proposer un peu de liberté et de bon temps à côté sans rien de plus ni de moins ).
Bon, et après les bitches, la "money".
Forcément.
Et le "And oh Lord oh Lord knows
He knows I mean it", suivi de multiples :
"Yeah, you know I mean it
You know I mean it
Just know I mean it
Just know I mean it
Oh yeah oh yeah oh yeah"
pour accentuer à chaque fois un peu plus le fait que ce soit su, et les "oh yeah" répétés, des affirmations qui viennent un peu se libérer du "never scared" qui lance toute la machine, c'est-à-dire qu'il dit vraiment ce qu'il croit, à peu de chose près : à inverser le never scared au départ, donc rééquilibré par tous ces "oh yeah" qui suivent ( pour le sens et la beauté et l'ordre ? ).
Ah et je vois dans le "Lord" une métaphore du paternel.
Donc, si le père sait ( précédé d'un "oh" à deux reprises d'affilée, puisqu'il parle par deux fois de son père par la métaphore, comme pour ponctuer un désarroi par rapport à un manque de respect ? ) "He knows I mean it" : qu'il est un "motherfucker" of sorts, donc qu'il "pique la bitch" de son père, que celui-ci mettait sûrement sous menottes et à la laisse : sa mère.
Donc lui, quelque part entre les deux, en produits de ces deux mondes reste un peu un connard à parler de tout baiser ( mais le mea culpa cherche à s'en défaire ) et il rentre dans les maisons avec son sourire de présentateur de télé contre laquelle personne ne peut rien dire ( même pas Papa ) et il est un peu sa Maman qu'il cherche à libérer en s'exprimant devant tout le monde plutôt que de continuer à agir.
Un chien qui aboie ne mord pas : et la vérité vous libérera, or il dit la vérité et aboie sa vérité ( et pendant ce temps ne "mord plus" sexuellement ).
Enfin, qui aboie ne mord pas - négation, donc bon : s'agit de remplacer la morsure ( du chien on the leash - à la laisse ) par un aboiement de tout instant.
Et le "oh Lord" double, encore une "imprécision" comme le "never scared" me laisse à soupconner que les :
You know I mean it
Just know I mean it
Just know I mean it
Juste après, sont là pour rétablir un équilibre.
Mille "Yeah" pour contrer le "never", tout comme donc un besoin d'un public extérieur - les autres étant les créatrices et créateurs de leur propres mondes.
Il incante presque donc un regard extérieur plusieurs fois pour trouver quelque chose de tangible au-delà de peut-être cette père liée au paternel et à une impuissance héritée de la mère à faire face et en fait un cri pour demander du soutien chez les autres, plus "réels" - même s'il s'agit d'une "masse" de gens devant la tv ( et 200 millions de vues, donc devant l'écran ), desquels il est justement séparé par sa mine de mec "Whiskey neat" quand les autres seraient des "Vodkas Punch", comme il dit.
D'ailleurs, il s'interviewe lui même pour le coup, à défaut de trouver du soutien, même parmi les gens qui l'entourent dans le studio ( dans la vidéo ).
Quelle tristesse et quelle solitude derrière un tel sourire.
ah et le "just" avant "know I mean" qui suit the double "oh Lord knows", je vois comme une "simplement", en gros une invitation à "juste savoir" plutôt que creuser ces douleurs liées à son histoire avec le père, qui ferait trop mal ( en rapport avec les "oh" qu'il exclame, soupire presque, par deux fois donc, juste avant de parler du père. Honte ? Peur ? Qui sait, je me tiens à son "just" par respect ).
Et enfin cette peur liée au père et ensuite finalement aux pairs, puisque les rôles et les Lügen haben kurze Beine, et si quelqu'un se rendait compte du masque ? ( il invoque les pairs comme des démons qui le libéreraient de ses démons, pour les devenir ensuite à nouveau - cercle vicieux sans fin - comme il invoquait peut-être son père par rapport à d'autres peurs à un autre moment , qui sait ? )
La morale de l'histoire ?
I'm not afraid,
to take a stand :
EVERYBODY come take my hand
( qu'il chante le père Eminem avant de parler de faire un bout de chemin ensemble avec le public pour dépasser les obstacles de la vie ).
Et en ouverture vers d'autres sujets, un jour,
*Bon, je sais qu'un "libre" dans le texte est là et n'attends que de recevoir un 's' à la fin, par rapport à un pluriel.
Du moins, me semble-t-il.
Aucune idée où le mot se situe, je crois qu'il est quelque part au début du texte.
A+
PJ.
Je suis preneur.
Merci Punpun de me permettre de redécouvrir cet artiste.
If I ever said I'm never scared
Just know I mean it
If I ever said I fucked your bitch
Just know I mean it
And if I ever said I'm gettin' money
Just know I mean it
And oh Lord oh Lord knows
He knows I mean it
Yeah, you know I mean it
You know I mean it
Just know I mean it
Just know I mean it
Oh yeah oh yeah oh yeah
Voilà, commencer par une négation à la Eminem dans "not Afraid" : ne pense PAS à une orange.
Le cerveau "skipe" ( court-circuite ) les négations,
Encore plus qu'une négation, il s'agit ici d'un "jamais" ( jamais dire jamais - Fontaine je ne boirai pas de ton eau comme exemple ).
L'attitude du mec me fait penser au personnage principal de Twin Peaks : la coupe de cheveux, le côté supra nickel, propre sur soi et tout et tout.
Et justement, toute la série tourne autour de ce personnage au bout d'un temps, comme si la part d'ombre n'était pas apparente, mais supra nécessaire à interpréter pour avancer.
Twin Peaks est un classique pour réussir à mettre cela en lumière.
Quoi qu'il en soi :
après la première négation de "jamais être effrayé", pour laquelle je conclus qu'il s'agit donc de la situation inverse où il est tout le temps effrayé ( Le "never" se retournant en son opposé à mes yeux, le "tout le temps" - hypothèse bien sûr, mais qui sait ? ) qu'il poncture d'un "Just know I mean it", donc un besoin que ce soit su, il se tourne vers les autres et leur "bitch".
Comme si la solution à ses peurs étaient là.
Effectivement, sexualité et proximité, intimité, contact et chaleurs humains peuvent beaucoup aider.
En fait, j'y vois comme un mea culpa, une espèce d' "aveu", la première partie qui mène à la suivante en gros.
Comme je suis tout le temps effrayé, je te pique ta "bitch" ( le remède : l'aider à se défaire de sa peur, par le soutien humain, la chaleur, et la proximité et le fait de justement traiter sa femme en humain à part entière, plutôt qu'en bitch - plus tard dans la chanson il explique aussi que le stress des mecs est qu'ils "kuff" et "leash" les bitch : leur passent des menottes et une laisse - bien et il peut jouer là-dessus pour les séduire, les laissant libre, vu qu'il ne fait que leur proposer un peu de liberté et de bon temps à côté sans rien de plus ni de moins ).
Bon, et après les bitches, la "money".
Forcément.
Et le "And oh Lord oh Lord knows
He knows I mean it", suivi de multiples :
"Yeah, you know I mean it
You know I mean it
Just know I mean it
Just know I mean it
Oh yeah oh yeah oh yeah"
pour accentuer à chaque fois un peu plus le fait que ce soit su, et les "oh yeah" répétés, des affirmations qui viennent un peu se libérer du "never scared" qui lance toute la machine, c'est-à-dire qu'il dit vraiment ce qu'il croit, à peu de chose près : à inverser le never scared au départ, donc rééquilibré par tous ces "oh yeah" qui suivent ( pour le sens et la beauté et l'ordre ? ).
Ah et je vois dans le "Lord" une métaphore du paternel.
Donc, si le père sait ( précédé d'un "oh" à deux reprises d'affilée, puisqu'il parle par deux fois de son père par la métaphore, comme pour ponctuer un désarroi par rapport à un manque de respect ? ) "He knows I mean it" : qu'il est un "motherfucker" of sorts, donc qu'il "pique la bitch" de son père, que celui-ci mettait sûrement sous menottes et à la laisse : sa mère.
Donc lui, quelque part entre les deux, en produits de ces deux mondes reste un peu un connard à parler de tout baiser ( mais le mea culpa cherche à s'en défaire ) et il rentre dans les maisons avec son sourire de présentateur de télé contre laquelle personne ne peut rien dire ( même pas Papa ) et il est un peu sa Maman qu'il cherche à libérer en s'exprimant devant tout le monde plutôt que de continuer à agir.
Un chien qui aboie ne mord pas : et la vérité vous libérera, or il dit la vérité et aboie sa vérité ( et pendant ce temps ne "mord plus" sexuellement ).
Enfin, qui aboie ne mord pas - négation, donc bon : s'agit de remplacer la morsure ( du chien on the leash - à la laisse ) par un aboiement de tout instant.
Et le "oh Lord" double, encore une "imprécision" comme le "never scared" me laisse à soupconner que les :
You know I mean it
Just know I mean it
Just know I mean it
Juste après, sont là pour rétablir un équilibre.
Mille "Yeah" pour contrer le "never", tout comme donc un besoin d'un public extérieur - les autres étant les créatrices et créateurs de leur propres mondes.
Il incante presque donc un regard extérieur plusieurs fois pour trouver quelque chose de tangible au-delà de peut-être cette père liée au paternel et à une impuissance héritée de la mère à faire face et en fait un cri pour demander du soutien chez les autres, plus "réels" - même s'il s'agit d'une "masse" de gens devant la tv ( et 200 millions de vues, donc devant l'écran ), desquels il est justement séparé par sa mine de mec "Whiskey neat" quand les autres seraient des "Vodkas Punch", comme il dit.
D'ailleurs, il s'interviewe lui même pour le coup, à défaut de trouver du soutien, même parmi les gens qui l'entourent dans le studio ( dans la vidéo ).
Quelle tristesse et quelle solitude derrière un tel sourire.
ah et le "just" avant "know I mean" qui suit the double "oh Lord knows", je vois comme une "simplement", en gros une invitation à "juste savoir" plutôt que creuser ces douleurs liées à son histoire avec le père, qui ferait trop mal ( en rapport avec les "oh" qu'il exclame, soupire presque, par deux fois donc, juste avant de parler du père. Honte ? Peur ? Qui sait, je me tiens à son "just" par respect ).
Et enfin cette peur liée au père et ensuite finalement aux pairs, puisque les rôles et les Lügen haben kurze Beine, et si quelqu'un se rendait compte du masque ? ( il invoque les pairs comme des démons qui le libéreraient de ses démons, pour les devenir ensuite à nouveau - cercle vicieux sans fin - comme il invoquait peut-être son père par rapport à d'autres peurs à un autre moment , qui sait ? )
La morale de l'histoire ?
I'm not afraid,
to take a stand :
EVERYBODY come take my hand
( qu'il chante le père Eminem avant de parler de faire un bout de chemin ensemble avec le public pour dépasser les obstacles de la vie ).
Et en ouverture vers d'autres sujets, un jour,
*Bon, je sais qu'un "libre" dans le texte est là et n'attends que de recevoir un 's' à la fin, par rapport à un pluriel.
Du moins, me semble-t-il.
Aucune idée où le mot se situe, je crois qu'il est quelque part au début du texte.
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PJ.
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