Humeur du jour... en musique

G comme jungle
quoi qu’il en soit, la nuit se fait plus longue
il n’y a plus de règles
les contes de fées sont passées aux oubliettes
G comme guerre
et tout le monde tombe par terre
il ne suffit pas d’être à couvert
qui veut survivre doit changer

Le soleil s’est levé sur un monde petit
et les vieux banquiers passent à table
Tu dois t’exposer encore un peu plus
car ici on est chassé ou chasseur
la poudrière sur laquelle tu es assis
n’attend plus qu’un geste accompli
et tout le monde fume et jette ses mégots
t’as vu le feu comme il prend vite?

G comme jungle
quoi qu’il en soit, la nuit se fait plus longue
il n’y a plus de règles
les contes de fées sont passées aux oubliettes
G comme guerre
et tout le monde tombe par terre
il ne suffit pas d’être à couvert
qui veut survivre doit changer

Tu fais face au soleil, il te conduit vers la lumière
Tu n’arrives pas à distinguer tous les ennemis
et juste au moment où tu te sens rassuré
c’est là que la bête féroce sait bien qu’il faut sortir
ils sont en train de se dévorer, y compris entre eux
ils n’ont pas faim mais ils mangent tant qu’ils peuvent
c’est l’habitude qui les tient
tellement féroces, ils ne savent plus s’arrêter.

G comme jungle
quoi qu’il en soit, la nuit se fait plus longue
il n’y a plus de règles
les contes de fées sont passées aux oubliettes
G comme guerre
et tout le monde tombe par terre
il ne suffit pas d’être à couvert
qui veut survivre doit changer

Yeux rouges
narines blanches
dents étincelantes
faux sourires
il y a une autre guerre dans la salle de réunion
une (guerre) dont tu es exclu de toutes manières
et je regarde dehors, juste ce qu’il faut
et assez caché pour ne pas être vu
tu pourrais être le prochain
ou alors leur prochain repas
et t’as beau crier fort, la jungle étouffe ta voix
mais il te laissent mettre ta foi en tous les “j’aime”

G comme jungle
quoi qu’il en soit, la nuit se fait plus longue
il n’y a plus de règles
les contes de fées sont passées aux oubliettes
G comme guerre
et tout le monde tombe par terre
il ne suffit pas d’être à couvert
qui veut survivre doit changer

S'enterrer vivant
James Delleck
- Dis, oncle James… C’est quoi l’amour ?
- L’amour ? L’amour. Pfff tu m’emmerdes !
Alors : « amorçage », « amocher », « amortisseur »…
« amour »
Nom masculin
Attraction passionnée
Attirance affective et sexuelle d’un être humain pour un autre être humain
Émotion pouvant déclencher des effets secondaires comme
Moiteur des mains et sécheresse buccale
Ton lobe frontal en discernement minimal
Pris dans la spirale du feu hormonal
Tes sautes d’humeur passent du sombre au boréal
Quand tes sentiments ne sont pas séminales
Il arrive que ton oeil devienne floral
Alors tu t’fous du lendemain le pouls en rafale
Fixant bêtement ton bol de céréale
Tu fais des poèmes avec ses initiales
Rêves de la dévorer façon rorqual
Ça s’emballe tu réduis ta focale
Toutes les autres te sont égales
Même les incassables sont friables
La pluie le vent te deviennent agréables
Vulnérable et animal
Dans ses interstices tu t’intercales
S’enterrer vivant
Devant son regard béant
Et laisser le temps en suspens
Jusqu'à faire bouillir ton sang
S’enterrer vivant
Succomber à bout touchant
Pour s’enterrer vivant
Dans son décolleté plongeant
Des ailes te poussent sur les cils
Toutes tes cicatrices deviennent fossiles
Ta flamme te consume de l’intérieur
Suffoquant tu t’habitues à la douleur
Tes crocs deviennent dociles
Son nombril est ta presqu’île
Du pire tu tires le meilleur
Pour une fois qu’tes peurs prennent des couleurs
Dressé comme une fleur réhydratée
Elle est ton arche tu es son Noé
Comme décapité d’la réalité
Irradié par un halo de barbelés
Fragile tel un bouton de rosier
Puissant comme un shoot bien dosé
Inconscient face aux dégâts causés
En amour il faut juste oser
S’enterrer vivant
Devant son regard béant
Et laisser le temps en suspens
Jusqu'à faire bouillir ton sang
S’enterrer vivant
Succomber à bout touchant
Pour s’enterrer vivant
Dans son décolleté plongeant
X 4

CUIZINIER
Je te fais le guerre au lance pierre,
Tu es forte mais tu perds,
Et quand tu pleures je te sers
Dans mes bras de grand frère.
Juste un bâtard sensible
À quoi bon être gentil
Je suis devenu comme ça après plusieurs comas idylliques.
Bâtard sensible
Comment se montrer horrible, invivable, méprisant,
Un macho, salaud
Et pleurer devant
"Autant en emporte le vent".
Fille ne casse pas mes plans
Dans la rue je suis un mac
Tu ne veux pas m'abandonner
Car au lit j'assure un max.
Mais rassure-moi
Tu n'es pas conne à ce point là,
Rassure-moi
À quoi d'autre sers-tu à part être bonne ?
Je me force parfois,
Je me cache derrière mes sentiments,
Obligé de ne pas t'en donner trop sinon c'est l'overdose
Il faut que tu restes accrochée.
Si je n'ai plus de cliente, j'irai voir ce qu'il reste à côté.
Est-ce d'accord ?
Tu préfères la porte ?

TEKI LATEX
Plaire à une femme... X2


TIDO BERMAN
Assoiffé de savoir je continue de me désaltérer
J'ai tété son mamelon
Léché ses seins il y avait du lait
Je boirais bien la mère à la paille si c'était du rhum
Ça me rappellerait ma jeunesse au deblè
Et de mauvaise humeur elle est quand elle a
Ses périodes elle devient capricieuse,
Elle a peur que je m'occupe et aille faire des trous autre part
Et que je tombe sur une bombe sexuelle,
Que je goutte son élixir dans un verre en cristal.
Des fois hyper sensible, super flexible
Mes poils se hérissent mes doigts je craque pour que ça me relaxe.
J'adore qu'elle se sente femme,
Tout comme je me sens homme.

REFRAIN
Plaire à une femme... X2

TEKI LATEX
Lorsque je pars tu me rattrapes,
Lorsque je viens tu me rejettes,
Tu me dis que tu ne me retiens
Pas puis tu fuis si je reviens.
Quand l'amour ne sera plus témoin
De nos retrouvailles impossibles
Moi pour cesser d'être invisible
Je me ferai bâtard sensible.
Quelques fois
Tu me trouves beau lorsque que je ne te regarde pas
Quelque part
Tu ne peux (pas) m'aimer si tu m'as
Quelques fois
Quelque part


REFRAIN :
Plaire à une femme...
x4

...Malgré soi.
x5