Les malentendus
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Les malentendus
Souffrez-vous des malentendus avec les « normopensants », des méprises et du rejet qui parfois en résulte au travail ou ailleurs ?
En effet, je travaille en équipe et souvent ce que j'explique est jugé compliqué, décalé... en tout cas, mal compris et mal pris.
Pour ma part prendre du recul à ce sujet m’est très difficile… même si j’y travaille.
En effet, je travaille en équipe et souvent ce que j'explique est jugé compliqué, décalé... en tout cas, mal compris et mal pris.
Pour ma part prendre du recul à ce sujet m’est très difficile… même si j’y travaille.
Invité- Invité
Re: Les malentendus
Souvent...
Parfois j'ai plutôt l'impression que les autres sont malentendants... cela revient peut-être au même puisque notre message est mal entendu...
En faisant quelques lectures, je me retrouve parfois pleinement dans le mythe de Cassandre... c personnage qui faisait des prédictions justes mais n'étais jamais écoutée...
Parfois j'ai plutôt l'impression que les autres sont malentendants... cela revient peut-être au même puisque notre message est mal entendu...
En faisant quelques lectures, je me retrouve parfois pleinement dans le mythe de Cassandre... c personnage qui faisait des prédictions justes mais n'étais jamais écoutée...
Mark Larx- Messages : 223
Date d'inscription : 03/11/2016
Age : 44
Localisation : sud deux sèvres
Re: Les malentendus
Oui , absolument.
Et dans ce cas, je me suis résolu à être très pragmatique.
J'ai une méthode propre à deux cas de figures : les personnes patientes, ouvertes, et les personnes "normales" qui se contentent de juger , ou au mieux, ne comprennent simplement pas qui je suis. (je vais faire un peu de hors sujet et je reviens dessus plus tard)
Je t'invite donc à t'orienter là dessus
D'une part , en quoi le regard des autres a-t-il vraiment de l'importance ? Tu sais que tu es "comme tu es", puisque tu es toi. Dans la mesure où tu t'accorde le droit d'exister, tu ne devrais pas être blessé par le jugement des autres (mais des fois ça pique un peu quand même ! )
D'autre part, soyons pratique
-Soit il existe une façon d'aborder les choses, pour être mieux compris
-Soit il n'en existe pas, et dans ce cas, on va forcément se prendre un joli malentendu dans la tronche .
Pour l'illustrer, je reprends l'exemple de la pluie : Soit tu as un anorak et tout se passe bien, soit tu n'en a pas , et tu te mouilles.
Admettons que tu trouve une façon d'être mieux compris par les autres : c'est ton anorak.
Mais souvent, dans la vraie vie, on se mouille. On se prend des sceaux d'eau dans la tronche.
Alors la question est : Veut -on éviter de "souffrir" ?
Ou , si la souffrance (la pluie) est inévitable, comment travailler sur soi pour "accepter" la pluie, et en faire une alliée ?
Pour ma part, je rencontre cette situation au boulot : si la personne est capable de m'accepter comme je suis , je tente d'expliquer, et de faire des efforts pour être "normal".
Si la personne n'en a rien a battre, je fais la même chose, et si elle comprends pas, j'en ai strictement rien à battre
Et dans ce cas, je me suis résolu à être très pragmatique.
J'ai une méthode propre à deux cas de figures : les personnes patientes, ouvertes, et les personnes "normales" qui se contentent de juger , ou au mieux, ne comprennent simplement pas qui je suis. (je vais faire un peu de hors sujet et je reviens dessus plus tard)
Je t'invite donc à t'orienter là dessus
D'une part , en quoi le regard des autres a-t-il vraiment de l'importance ? Tu sais que tu es "comme tu es", puisque tu es toi. Dans la mesure où tu t'accorde le droit d'exister, tu ne devrais pas être blessé par le jugement des autres (mais des fois ça pique un peu quand même ! )
D'autre part, soyons pratique
-Soit il existe une façon d'aborder les choses, pour être mieux compris
-Soit il n'en existe pas, et dans ce cas, on va forcément se prendre un joli malentendu dans la tronche .
Pour l'illustrer, je reprends l'exemple de la pluie : Soit tu as un anorak et tout se passe bien, soit tu n'en a pas , et tu te mouilles.
Admettons que tu trouve une façon d'être mieux compris par les autres : c'est ton anorak.
Mais souvent, dans la vraie vie, on se mouille. On se prend des sceaux d'eau dans la tronche.
Alors la question est : Veut -on éviter de "souffrir" ?
Ou , si la souffrance (la pluie) est inévitable, comment travailler sur soi pour "accepter" la pluie, et en faire une alliée ?
Pour ma part, je rencontre cette situation au boulot : si la personne est capable de m'accepter comme je suis , je tente d'expliquer, et de faire des efforts pour être "normal".
Si la personne n'en a rien a battre, je fais la même chose, et si elle comprends pas, j'en ai strictement rien à battre
-Benoit-- Messages : 971
Date d'inscription : 30/10/2016
Age : 32
Localisation : Je travaille à cahors (46), mais je suis aussi là : 24, 31, 34, 84, 87, bref, toute la moitié sud du pays !
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