Les gens
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Re: Les gens
Mystère Blue a écrit:J'ai pas de problèmes avec les gens, c'est eux qui ont un problème avec moi, ils devraient changer d'angle !
C'est ce que j'explique à mon psychologue. Bon, il me répond que comme je ne peux pas changer les gens, je dois changer mon angle d'approche. C'est le cercle vicieux.
Bon, maintenant, je vais mieux : je m'en fous ! Je suis responsable de ce que je dis et fais, pas de ce qu'autrui comprend et interprète.
Gabriel- Messages : 2311
Date d'inscription : 10/12/2015
Age : 52
Localisation : 59
Re: Les gens
Dans autrui, c'est comme la cochonne, tout est bon !
Mon psy, ch'uis pas sûr qu'il comprenait et interprétait tout bien, mais bon, je vais beaucoup mieux, j'en ai plus besoin, parce que je n'aime pas être sûr de me comprendre et de m'interpréter tout bien, j'aime bien me réserver des surprises !
Mon psy, ch'uis pas sûr qu'il comprenait et interprétait tout bien, mais bon, je vais beaucoup mieux, j'en ai plus besoin, parce que je n'aime pas être sûr de me comprendre et de m'interpréter tout bien, j'aime bien me réserver des surprises !
Invité- Invité
Re: Les gens
Aimer se surprendre, ca sonne bien à mes petites oreilles
Pola- Messages : 6058
Date d'inscription : 22/11/2013
Re: Les gens
Les gens sont par essence surprenant, je me désespère qu'un jour certains me surprennent, mais je sais que cela arrivera, hélas je ne serai peut être pas là pour le voir ?
Invité- Invité
Re: Les gens
Moi ma phrase fétiche en ce moment c'est : "t'es Tai-Chi ou t'es pas Tai-Chi ?"
Une collègue me parle souvent de ses cours de Tai-Chi. Ce que j'en ai pigé c'est que tu dois te servir de l'énergie de ton adversaire. Il faut s'effacer devant l'attaque et se repositionner, un truc dans le genre.
Alors, t'es Tai-Chi ?
Une collègue me parle souvent de ses cours de Tai-Chi. Ce que j'en ai pigé c'est que tu dois te servir de l'énergie de ton adversaire. Il faut s'effacer devant l'attaque et se repositionner, un truc dans le genre.
Alors, t'es Tai-Chi ?
Pola- Messages : 6058
Date d'inscription : 22/11/2013
ortolan- Messages : 13579
Date d'inscription : 31/07/2016
Localisation : 404 Not Found
Re: Les gens
Un maître Taï Chi chinois lui aurait dit que nous les français, nous ne savons pas apprécier la souffrance.
(Ca s'écrit comment Tai Chi )
(Ca s'écrit comment Tai Chi )
Pola- Messages : 6058
Date d'inscription : 22/11/2013
Re: Les gens
Pola a écrit:Un maître Taï Chi chinois lui aurait dit que nous les français, nous ne savons pas apprécier la souffrance.
(Ca s'écrit comment Tai Chi )
Tu vois, si quelqu'un me tient ce langage, je lui fous un grand coup pied dans les couilles de toutes mes forces, j'adore faire plaisir !
Invité- Invité
Re: Les gens
Moi j'aimerais bien qu'on m'accorde un peu de sous, France... Je crois que je saurais l'apprécier.
(suis chauve, m'enfous de la capillotraction...)
(suis chauve, m'enfous de la capillotraction...)
Invité- Invité
Re: Les gens
Je suis sûr que Macron pourra te renseigner à qui demander un prêt !
PS : J'ai cette image dans la tête où un journaliste tente d’interviewer un mec, le mec est tout sourire qu'on s'intéresse à lui, prêt à répondre au micro qui se tend vers sa bouche, à ce moment là, sa nana le chope par les couilles, le visage du type se métamorphose, devient sérieux, et il dit : " Non, rien ! ". Le journaleux n'essaye même pas de tendre le micro à la nana tellement son regard est éloquent ! Putain, je retrouve pas ces images !
On comprend très bien ce que c'est que d'avoir le pouvoir, c'est tenir dans ses mains la souffrance de l'autre !
PS : J'ai cette image dans la tête où un journaliste tente d’interviewer un mec, le mec est tout sourire qu'on s'intéresse à lui, prêt à répondre au micro qui se tend vers sa bouche, à ce moment là, sa nana le chope par les couilles, le visage du type se métamorphose, devient sérieux, et il dit : " Non, rien ! ". Le journaleux n'essaye même pas de tendre le micro à la nana tellement son regard est éloquent ! Putain, je retrouve pas ces images !
On comprend très bien ce que c'est que d'avoir le pouvoir, c'est tenir dans ses mains la souffrance de l'autre !
Invité- Invité
Re: Les gens
Je me mets dans la situation décrite par Paradoxa... Je suis dans mon appartement, seul. Je ne m'y sens pas forcément bien, parce que je ne suis quasiment jamais bien, mais enfin cela y ressemble en comparaison d'autres situations. C'est ma création, ma bulle, en effet : dans chaque appartement que j'ai habité, j'ai tenu non seulement à aménager les choses de façon personnelle mais aussi à changer tout ce qu'un locataire est autorisé à changer, et même au-delà.
C'est-à-dire aussi que j'assume toutes les fonctions traditionnellement dévolues à l'homme et à la femme dans le couple en ménage, les unes et les autres avec un certain plaisir. Et pourtant, j'ai toujours eu conscience que la façon dont j'aménage, dont je range, dont je remplis l'espace de mes choix, il me faudrait beaucoup en rabattre si je vivais durablement avec une femme, si ce n'était pas mon appartement où je l'accueillais mais notre appartement. C'est-à-dire que je suis prêt à admettre que je devrais lui laisser une initiative aussi importante que la mienne, voire davantage, dans l'aménagement de notre demeure.
Mais je n'ai jamais connu à l'âge adulte cette situation de vie durable dans un lieu avec une ou plusieurs personnes. Enfin, il me faut tout de même mentionner auparavant ma vie chez mes parents, jusqu'à 21 ans et un peu au-delà dans la mesure où, les premières années de mon installation à Paris, je revenais encore souvent chez eux. Là, je n'avais pas ce problème de cohabitation. Je partageais une chambre avec mon frère, ma sœur avait la sienne, mes parents la leur; c'était des domaines où nous passions les uns chez les autres mais avec des règles de bon voisinage en quelque sorte : entre mon frère, ma sœur et moi assez librement, chez nos parents moins et eux non plus pas tant que ça chez nous, enfin ma mère davantage que mon père. Et puis il y avait ces parties communes qu'étaient la cuisine, plutôt le domaine de ma mère, la salle de séjour, celui de mes deux parents, et le salon télévision, dans le principe celui des parents mais en pratique celui des enfants qui choisissaient le plutôt souvent le programme. C'était une répartition implicite qui semblait convenir assez bien à tous. Ce n'était qu'un appartement HLM de banlieue, mais qui réalisait un équilibre où le fait de vivre à plusieurs était davantage un atout qu'une gêne. Même le fait de partager une chambre avec mon frère, ce qui n'était pas toujours pratique, avait certains avantages. Enfants nous y avions joué ensemble, adolescents nous avions des devoirs scolaires et des occupations que nous pouvions mener en parallèle, silencieux le plus souvent, tout en échangeant quelques paroles, ce qui nous laissait libres sans être réduits à une solitude qui aurait pu être pesante. Il faut dire aussi que nous avions des caractères semblables, intellectuels, introvertis, sans tellement de goût pour la musiquette de notre époque, dont nous n'avions des échos qu'à la télévision.
Alors, depuis que je vis seul, j'ai souvent eu l'occasion d'accueillir pour quelques jours mon frère ou ma sœur, puis des amis de passage ou des amies avec qui j'avais une relation. Eh bien à chaque fois c'était agréable; mais, à part lors des sorties ou des soirées, je ne me sentais plus tout à fait chez moi. De même chez les autres je n'avais pas assez de liberté. Dans un cas comme dans l'autre je m'en fais une joie, comme si j'allais retrouver le naturel d'autrefois; et puis, quand ils sont partis, je regrette ces jours passés trop vite; mais durant leur séjour il y a toujours cet inachèvement. Ce n'est pas tant un besoin de solitude en tant que telle, qui ne me satisfait pas complètement, mais d'agir et de penser, et pas seulement d'être avec quelqu'un, notamment de devoir lui parler pour ne pas dire grand-chose, au détriment d'une activité solitaire ou commune. À ce propos je me souviens d'un reportage concernant des couples qui achetaient une maison et la rénovaient durant des années et puis, quand c'était fini, subissaient un vide et parfois divorçaient. Je serais assez comme ça je pense. J'ai besoin d'activités davantage que de loisirs, de faire plutôt que d'être. Ce que j'aimerais en fait, à défaut de pouvoir travailler ensemble, de façon manuelle ou intellectuelle, c'est de disposer d'une maison suffisamment grande pour que chacun ait ses appartements et que l'on passe l'un chez l'autre de temps en temps, mais sans le déranger.
C'est pour cela aussi que j'apprécie les forums de discussion et les rencontres qu'ils permettent, quand il se passe vraiment quelque chose. Quand je me contente de discuter face à face de tout et de rien, ce n'est pas souvent si intéressant, sinon les premières fois ou alors si l'on a des passions compatibles et du nouveau à apporter à chaque rencontre. Au contraire, par écrit, et plus encore dans l'écrit public, c'est à chaque fois un contexte et une construction nouvelle qui est offerte. Paradoxalement, même si c'est la situation la plus éloignée que j'ai connue depuis mon enfance, c'est celle qui m'en rapproche le plus quant à l'équilibre qu'elle me permet entre solitude et communication.
C'est-à-dire aussi que j'assume toutes les fonctions traditionnellement dévolues à l'homme et à la femme dans le couple en ménage, les unes et les autres avec un certain plaisir. Et pourtant, j'ai toujours eu conscience que la façon dont j'aménage, dont je range, dont je remplis l'espace de mes choix, il me faudrait beaucoup en rabattre si je vivais durablement avec une femme, si ce n'était pas mon appartement où je l'accueillais mais notre appartement. C'est-à-dire que je suis prêt à admettre que je devrais lui laisser une initiative aussi importante que la mienne, voire davantage, dans l'aménagement de notre demeure.
Mais je n'ai jamais connu à l'âge adulte cette situation de vie durable dans un lieu avec une ou plusieurs personnes. Enfin, il me faut tout de même mentionner auparavant ma vie chez mes parents, jusqu'à 21 ans et un peu au-delà dans la mesure où, les premières années de mon installation à Paris, je revenais encore souvent chez eux. Là, je n'avais pas ce problème de cohabitation. Je partageais une chambre avec mon frère, ma sœur avait la sienne, mes parents la leur; c'était des domaines où nous passions les uns chez les autres mais avec des règles de bon voisinage en quelque sorte : entre mon frère, ma sœur et moi assez librement, chez nos parents moins et eux non plus pas tant que ça chez nous, enfin ma mère davantage que mon père. Et puis il y avait ces parties communes qu'étaient la cuisine, plutôt le domaine de ma mère, la salle de séjour, celui de mes deux parents, et le salon télévision, dans le principe celui des parents mais en pratique celui des enfants qui choisissaient le plutôt souvent le programme. C'était une répartition implicite qui semblait convenir assez bien à tous. Ce n'était qu'un appartement HLM de banlieue, mais qui réalisait un équilibre où le fait de vivre à plusieurs était davantage un atout qu'une gêne. Même le fait de partager une chambre avec mon frère, ce qui n'était pas toujours pratique, avait certains avantages. Enfants nous y avions joué ensemble, adolescents nous avions des devoirs scolaires et des occupations que nous pouvions mener en parallèle, silencieux le plus souvent, tout en échangeant quelques paroles, ce qui nous laissait libres sans être réduits à une solitude qui aurait pu être pesante. Il faut dire aussi que nous avions des caractères semblables, intellectuels, introvertis, sans tellement de goût pour la musiquette de notre époque, dont nous n'avions des échos qu'à la télévision.
Alors, depuis que je vis seul, j'ai souvent eu l'occasion d'accueillir pour quelques jours mon frère ou ma sœur, puis des amis de passage ou des amies avec qui j'avais une relation. Eh bien à chaque fois c'était agréable; mais, à part lors des sorties ou des soirées, je ne me sentais plus tout à fait chez moi. De même chez les autres je n'avais pas assez de liberté. Dans un cas comme dans l'autre je m'en fais une joie, comme si j'allais retrouver le naturel d'autrefois; et puis, quand ils sont partis, je regrette ces jours passés trop vite; mais durant leur séjour il y a toujours cet inachèvement. Ce n'est pas tant un besoin de solitude en tant que telle, qui ne me satisfait pas complètement, mais d'agir et de penser, et pas seulement d'être avec quelqu'un, notamment de devoir lui parler pour ne pas dire grand-chose, au détriment d'une activité solitaire ou commune. À ce propos je me souviens d'un reportage concernant des couples qui achetaient une maison et la rénovaient durant des années et puis, quand c'était fini, subissaient un vide et parfois divorçaient. Je serais assez comme ça je pense. J'ai besoin d'activités davantage que de loisirs, de faire plutôt que d'être. Ce que j'aimerais en fait, à défaut de pouvoir travailler ensemble, de façon manuelle ou intellectuelle, c'est de disposer d'une maison suffisamment grande pour que chacun ait ses appartements et que l'on passe l'un chez l'autre de temps en temps, mais sans le déranger.
C'est pour cela aussi que j'apprécie les forums de discussion et les rencontres qu'ils permettent, quand il se passe vraiment quelque chose. Quand je me contente de discuter face à face de tout et de rien, ce n'est pas souvent si intéressant, sinon les premières fois ou alors si l'on a des passions compatibles et du nouveau à apporter à chaque rencontre. Au contraire, par écrit, et plus encore dans l'écrit public, c'est à chaque fois un contexte et une construction nouvelle qui est offerte. Paradoxalement, même si c'est la situation la plus éloignée que j'ai connue depuis mon enfance, c'est celle qui m'en rapproche le plus quant à l'équilibre qu'elle me permet entre solitude et communication.
Pieyre- Messages : 20908
Date d'inscription : 17/03/2012
Localisation : Quartier Latin
Re: Les gens
Mystère Blue a écrit:
On comprend très bien ce que c'est que d'avoir le pouvoir, c'est tenir dans ses mains la souffrance de l'autre !
C'est pas le pouvoir ca, c'est le contrôle !
Pola- Messages : 6058
Date d'inscription : 22/11/2013
Re: Les gens
Et le contrôle c'est le pouvoir, pourquoi multiplier les pains quand tu contrôles le prix du blé ?
Invité- Invité
Re: Les gens
Contrôle = Pouvoir
Ok, si tu le dis je suis d'accord
Ok, si tu le dis je suis d'accord
Pola- Messages : 6058
Date d'inscription : 22/11/2013
Re: Les gens
De toute façon, si tu contrôles pas tes pouvoirs, ils ne te servent à rien !
Invité- Invité
Re: Les gens
J'te contrôle, tu me contrôles par la barbicheeeette, le premier qui rira aura une tapette
Pola- Messages : 6058
Date d'inscription : 22/11/2013
Re: Les gens
Montaigne a écrit:Chacun d'entre nous porte la forme entière de l'humaine condition.
Les gens, c'est toi. Tu es les gens.
Ce que tu vois des gens sont des facettes de toi-même, des facettes de "l'humaine condition". Tu en détestes certaines, d'autres t'agacent, d'autres t'enthousiasment...
Et ne crois pas que ce que tu perçois d'eux est leur identité totale et immuable, ne leur colle pas d'étiquette, comme tu détestes qu'on t'en colle sur le front.
Je t'aime, j'ai confiance en toi. Je m'aime, j'ai confiance en moi.
dialogue avec moi-même
ps: Je retourne poser mon cul dans l'herbe tendre, sous un coin de ciel bleu (si, regarde, derrière les nuages !)
Nor- Messages : 23
Date d'inscription : 11/02/2017
Re: Les gens
Montaigne avait sans doute lu Térence : « Je suis homme, et rien de ce qui est humain ne m'est étranger. »
Il n'empêche que, pour dramatiser, si je suis potentiellement criminel, c'est à un degré faible; et que, si je peux faire l'effort de comprendre les criminels, cela n'implique pas que je doive vivre avec quelqu'un qui l'est à un degré important.
Ce que je veux dire c'est que, tout en portant la forme entière de l'humaine condition, ce n'est que la forme, qui est d'ordre qualitatif, et non que nous soyons tous semblables sur le plan quantitatif. Or, dans la vie pratique, c'est tout de même ce qui touche à la quantité qui importe le plus souvent. Si je constate que quelqu'un est violent ou sans-gêne, je lui colle l'étiquette violent ou sans-gêne, et s'il est simplement dans la norme concernant ces aspects mais que c'est moi qui suis particulièrement sensible au point de ne pas supporter y compris ce qui est normal, eh bien je vais tout de même lui coller cette étiquette, en pratique, tout en ayant conscience que c'est moi qui sur ce plan n'est pas dans la norme. Cela ne veut pas dire que je réduis les gens à une étiquette. Une étiquette, c'est juste un élément d'appréciation parmi d'autres, qui dépend de la personne, et soi et même de la situation. Je suis tout à fait conscient que celui dont je remarque une facette plus saillante que je ne le voudrais en aura d'autres qui seront en sens contraire.
Il n'empêche que, pour dramatiser, si je suis potentiellement criminel, c'est à un degré faible; et que, si je peux faire l'effort de comprendre les criminels, cela n'implique pas que je doive vivre avec quelqu'un qui l'est à un degré important.
Ce que je veux dire c'est que, tout en portant la forme entière de l'humaine condition, ce n'est que la forme, qui est d'ordre qualitatif, et non que nous soyons tous semblables sur le plan quantitatif. Or, dans la vie pratique, c'est tout de même ce qui touche à la quantité qui importe le plus souvent. Si je constate que quelqu'un est violent ou sans-gêne, je lui colle l'étiquette violent ou sans-gêne, et s'il est simplement dans la norme concernant ces aspects mais que c'est moi qui suis particulièrement sensible au point de ne pas supporter y compris ce qui est normal, eh bien je vais tout de même lui coller cette étiquette, en pratique, tout en ayant conscience que c'est moi qui sur ce plan n'est pas dans la norme. Cela ne veut pas dire que je réduis les gens à une étiquette. Une étiquette, c'est juste un élément d'appréciation parmi d'autres, qui dépend de la personne, et soi et même de la situation. Je suis tout à fait conscient que celui dont je remarque une facette plus saillante que je ne le voudrais en aura d'autres qui seront en sens contraire.
Pieyre- Messages : 20908
Date d'inscription : 17/03/2012
Localisation : Quartier Latin
Re: Les gens
Pieyre merci beaucoup pour cette nouvelle citation.
Oui il faut se protéger quand le danger est réel (cas des personnes violentes), c’est un rappel important.
Dans les cas moins « graves » (et les plus courants), je me sens mieux quand je regarde ces personnes comme une part de moi-même plutôt qu’en les repoussant. La cohabitation se passe mieux.
Et je vous assure, moi aussi je colle à la pelle des étiquettes (dans le sens de donner une identité globale et immuable). J’essaye aujourd’hui de freiner cette tendance, qui m’apporte peu de bien être.
Oui il faut se protéger quand le danger est réel (cas des personnes violentes), c’est un rappel important.
Dans les cas moins « graves » (et les plus courants), je me sens mieux quand je regarde ces personnes comme une part de moi-même plutôt qu’en les repoussant. La cohabitation se passe mieux.
Et je vous assure, moi aussi je colle à la pelle des étiquettes (dans le sens de donner une identité globale et immuable). J’essaye aujourd’hui de freiner cette tendance, qui m’apporte peu de bien être.
Nor- Messages : 23
Date d'inscription : 11/02/2017
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