définir "semblables" et "différents"
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définir "semblables" et "différents"
Et si je définissais les moldus – neurotypiques – normo-pensants ?
Je remarque que quand je dis « les gens sont tous pareils et je me sens différente » j'ai souvent comme réponse
soit que je me trompe parce que les gens sont tous différents,
soit que les gens sont tous semblables (on est tous humain) et que je suis donc plus semblable que je ne le crois, que je ne peux pas être si différente que ça.
Ça pourrait donc être utile de mettre du contenu dans les concepts « semblables » et « différents ».
Parce que « différents » ça peut tout aussi bien vouloir dire que certains aiment lire Harry Potter et d'autres aiment lire Trop intelligent pour être heureux, ou que certains aiment lire et d'autres aiment escalader des glaciers. De la même façon semblables peut vouloir dire qu'on a tous 206 os ou... autre chose.
Je me dis qu'il y a peu être une dispute sans fin autour de "on est tous humain !" "les normo-pensants sont des moldus !" parce que nous interprétons mal ce que les uns et les autres veulent dire.
■ Les moldus, quand ils sont enfants, perçoivent l'intérêt ou apprécient de se répartir dans un espace quand on leur en donne le droit. Par exemple à la récréation les enfants moldus se répartissent dans l'espace de la cour.
Un comportement non-moldu est de ne pas voir l'intérêt de cette répartition, de rester à la place où il faudra revenir quand on y sera appelé, ou de s'appuyer contre le bord de l'espace pour se sécuriser le dos.
On peut observer que même si les moldus sont tous différents, ils adoptent tous se comportement d’expansion dans l'espace et qu'un autre comportement est minoritaire.
Leurs répartitions d'enfants et d'adolescents, en groupes de trois à six individus en moyenne, se poursuit à l'âge adulte par une persistance des rassemblements en groupe de trois à six individus (ceci est à ce jour un des comportements moldus les plus inexpliqués pour moi T – T )
■ Les moldus ont des relations fonctionnelles entre eux. Par exemple ils aiment la femme qui est leur mère pour la raison qu'elle est leur mère. Ils peuvent avoir des difficultés émotionnelles avec le concept d'adoption ou pas, car les moldus sont un peu différents. Néanmoins on remarque une forte prédominance à donner de l'importance aux membres de la famille et ne pas donner d'importance à la famille est un comportement minoritaire.
■ Les moldus ont des relations hiérarchiques. Ils reconnaissent en général les hiérarchies selon l'âge et selon le grade au sein du système dont ils font partie (système = famille, école, entreprise, groupe identitaire). Ne pas respecter la hiérarchie tout en réussissant à lui faire admettre qu'on passe outre (la hiérarchie renonce à ses droits) est une expérience minoritaire. Les moldus vivent en général dans la crainte de la sanction.
■ Les moldus ont en général un système de croyance qui évolue de cette façon : croyance en ce qui est dit par les parents même si fantaisiste > croyance en ce qui est dit par leurs pairs même si en opposition aux anciennes croyances > croyance en ce qui émane d'une autorité supérieure, soit la science, soit un groupe idéologique. Fin de l'évolution. Bien que les moldus puissent avoir des contenus assez différents dans ces croyances, ce cheminement est majoritaire.
■ Les moldus ont un système sensoriel graduel entre ce qu'ils ne perçoivent pas et ce qui est douloureux d'intensité qui peut s'étaler sur un segment plus ou moins large mais dont la gradation est identique pour tous les moldus. Pour tous les moldus un bisous est moins douloureux qu'une baffe.
Ce sont les points communs que je peux ressortir rapidement, j'en ai peut être oublié par manque de présence d'esprit.
J'espère que ça apporte un éclaircissement assez clair à ceux que je désigne par neurotypiques, normo-pensants ou nouvellement « moldus » (je ne suis pas fan de l'univers d'Harry Potter).
Quand je dis qu'il existe bel et bien des consensus, un noyau dur qui fait que les gens vus de loin sont tous pareils, fonctionnent tous sur le même système, je pense à ces points.
Et si vous donniez vos propres définitions des normo-pensants, de ce qui nous rend différents et de ce qui nous rend semblables ?
Je remarque que quand je dis « les gens sont tous pareils et je me sens différente » j'ai souvent comme réponse
soit que je me trompe parce que les gens sont tous différents,
soit que les gens sont tous semblables (on est tous humain) et que je suis donc plus semblable que je ne le crois, que je ne peux pas être si différente que ça.
Ça pourrait donc être utile de mettre du contenu dans les concepts « semblables » et « différents ».
Parce que « différents » ça peut tout aussi bien vouloir dire que certains aiment lire Harry Potter et d'autres aiment lire Trop intelligent pour être heureux, ou que certains aiment lire et d'autres aiment escalader des glaciers. De la même façon semblables peut vouloir dire qu'on a tous 206 os ou... autre chose.
Je me dis qu'il y a peu être une dispute sans fin autour de "on est tous humain !" "les normo-pensants sont des moldus !" parce que nous interprétons mal ce que les uns et les autres veulent dire.
■ Les moldus, quand ils sont enfants, perçoivent l'intérêt ou apprécient de se répartir dans un espace quand on leur en donne le droit. Par exemple à la récréation les enfants moldus se répartissent dans l'espace de la cour.
Un comportement non-moldu est de ne pas voir l'intérêt de cette répartition, de rester à la place où il faudra revenir quand on y sera appelé, ou de s'appuyer contre le bord de l'espace pour se sécuriser le dos.
On peut observer que même si les moldus sont tous différents, ils adoptent tous se comportement d’expansion dans l'espace et qu'un autre comportement est minoritaire.
Leurs répartitions d'enfants et d'adolescents, en groupes de trois à six individus en moyenne, se poursuit à l'âge adulte par une persistance des rassemblements en groupe de trois à six individus (ceci est à ce jour un des comportements moldus les plus inexpliqués pour moi T – T )
■ Les moldus ont des relations fonctionnelles entre eux. Par exemple ils aiment la femme qui est leur mère pour la raison qu'elle est leur mère. Ils peuvent avoir des difficultés émotionnelles avec le concept d'adoption ou pas, car les moldus sont un peu différents. Néanmoins on remarque une forte prédominance à donner de l'importance aux membres de la famille et ne pas donner d'importance à la famille est un comportement minoritaire.
■ Les moldus ont des relations hiérarchiques. Ils reconnaissent en général les hiérarchies selon l'âge et selon le grade au sein du système dont ils font partie (système = famille, école, entreprise, groupe identitaire). Ne pas respecter la hiérarchie tout en réussissant à lui faire admettre qu'on passe outre (la hiérarchie renonce à ses droits) est une expérience minoritaire. Les moldus vivent en général dans la crainte de la sanction.
■ Les moldus ont en général un système de croyance qui évolue de cette façon : croyance en ce qui est dit par les parents même si fantaisiste > croyance en ce qui est dit par leurs pairs même si en opposition aux anciennes croyances > croyance en ce qui émane d'une autorité supérieure, soit la science, soit un groupe idéologique. Fin de l'évolution. Bien que les moldus puissent avoir des contenus assez différents dans ces croyances, ce cheminement est majoritaire.
■ Les moldus ont un système sensoriel graduel entre ce qu'ils ne perçoivent pas et ce qui est douloureux d'intensité qui peut s'étaler sur un segment plus ou moins large mais dont la gradation est identique pour tous les moldus. Pour tous les moldus un bisous est moins douloureux qu'une baffe.
Ce sont les points communs que je peux ressortir rapidement, j'en ai peut être oublié par manque de présence d'esprit.
J'espère que ça apporte un éclaircissement assez clair à ceux que je désigne par neurotypiques, normo-pensants ou nouvellement « moldus » (je ne suis pas fan de l'univers d'Harry Potter).
Quand je dis qu'il existe bel et bien des consensus, un noyau dur qui fait que les gens vus de loin sont tous pareils, fonctionnent tous sur le même système, je pense à ces points.
Et si vous donniez vos propres définitions des normo-pensants, de ce qui nous rend différents et de ce qui nous rend semblables ?
Invité- Invité
Re: définir "semblables" et "différents"
Pour moi, comme tout est relatif, tout dépend toujours du point de vue que l'on adopte. Effectivement nous sommes tous différents : goûts, aspect physique, histoire et façon de la vivre ou de l'écrire... Effectivement, nous sommes tous semblables : des humains avec globalement deux bras, deux jambes, deux yeux... un ADN proche à 99.99999%...
Alors pour moi, la distinction entre "normo-pensants" et "zèbres" se fonde d'abord sur une approche scientifique de QI. C'est plutôt dans la manière de vivre cette différence qu'il faudrait regarder, comme le fait d'avoir un handicap moteur peut ou non avoir un impact sur la façon de vire, comme le fait d'être brun ou blond peut avoir un impact ou non sur la façon de vivre...
Après, il y aurait de grands traits qui définiraient les caractères des "zèbres". Comme tous ces grands ensembles, je m'y retrouve à 60%, c'est peut-être suffisant pour valider l'ensemble. Je n'ai pas fait le tri avec les caractères des normo-pensants car ils ne sont pas définis.
Pour conclure, je me sens souvent en décalage par rapport aux gens qui m'entourent ce qui est un comportement social particulier peut-être expliqué par ma façon de penser mais aussi par mon histoire et par d'autres déterminants. La différence est pour moi une façon de voir, de percevoir les choses, la ressemblance est aussi pour moi une façon de voir et de percevoir les choses...
Alors pour moi, la distinction entre "normo-pensants" et "zèbres" se fonde d'abord sur une approche scientifique de QI. C'est plutôt dans la manière de vivre cette différence qu'il faudrait regarder, comme le fait d'avoir un handicap moteur peut ou non avoir un impact sur la façon de vire, comme le fait d'être brun ou blond peut avoir un impact ou non sur la façon de vivre...
Après, il y aurait de grands traits qui définiraient les caractères des "zèbres". Comme tous ces grands ensembles, je m'y retrouve à 60%, c'est peut-être suffisant pour valider l'ensemble. Je n'ai pas fait le tri avec les caractères des normo-pensants car ils ne sont pas définis.
Pour conclure, je me sens souvent en décalage par rapport aux gens qui m'entourent ce qui est un comportement social particulier peut-être expliqué par ma façon de penser mais aussi par mon histoire et par d'autres déterminants. La différence est pour moi une façon de voir, de percevoir les choses, la ressemblance est aussi pour moi une façon de voir et de percevoir les choses...
Mark Larx- Messages : 223
Date d'inscription : 03/11/2016
Age : 44
Localisation : sud deux sèvres
Re: définir "semblables" et "différents"
Il y a des moldus-zèbres
Et des non-moldus non-zèbres
Apport intéressant. Merci Miyuki pour ton analyse du moldu, que je découvre avec intérêt.
edit: les non-moldus ont l'air un peu flippants quand même
Et des non-moldus non-zèbres
Apport intéressant. Merci Miyuki pour ton analyse du moldu, que je découvre avec intérêt.
edit: les non-moldus ont l'air un peu flippants quand même
Invité- Invité
Re: définir "semblables" et "différents"
La différence est pour moi une façon de voir, de percevoir les choses, la ressemblance est aussi pour moi une façon de voir et de percevoir les choses...
En effet, mais la façon dont on perçoit les choses fait toute la réalité du monde qui nous entoure. Deux personnes peuvent vivre dans deux mondes très différents du fait de leurs façons différentes de le percevoir. De plus, on ne peut pas dire qu'une perception soit plus réelle qu'une autre, même si l'opinion général veut que le point de vue majoritaire soit le vrai, si on prend au niveau sensoriel par exemple, pour une personne qui ressent que les contacts effleurant lui font mal, même si tout le monde lui dit "c'est pas vrai t'as pas mal" ça changera pas sa vérité personnelle.
edit: les non-moldus ont l'air un peu flippants quand même
Oh que oui, au début, avant 6 ans, j'avais trop peur des autres pour imaginer qu'ils puissent avoir peur de moi, puis à partir de l'école primaire j'ai commencé à recevoir des confidences comme quoi je les faisais flipper, que ça avait été un défit pour eux de venir me parler (apparemment je fais moins peur après que le dialogue ait commencé, ce qui est quand même positif), au lycée j'ai commencé à prendre conscience que je pouvais utiliser ça pour faire valoir des revendication ou m'émanciper de certaines règles, sur Internet j'ai fait l'expérience que je peux très facilement "aller trop loin" (me faire unfollow ou ban pour des choses perso/intimes/non-politiques) et que je suis en général attirée par les joueurs qui se font ban sur les RP (rôle play) par exemple (le groupe veut s'en débarrasser en l'identifiant toxique et moi je suis là "mais vous déconnez: c'est la seule qui joue bien !" D'ailleurs j'ai eu de bon RP en privé en allant rattraper les exclus alors que j'ai fini par arrêter le RP vu que c'était difficile d'avoir de bons RP avec les joueurs qui ne se font pas exclure)
Un de mes problèmes c'est que quand je fais attention à ne pas faire flipper les gens je fini par me faire chier en leur compagnie parce que en plus, pratiquement tous les trucs qui me font rire ne les font pas rire du tout quand je les raconte, et l'inverse est aussi assez vrai, du coup je me retiens de dire tout ce qui me passe par la tête, encore plus de trucs me passent par la tête du fait de l'ennuis, je commence à rire toute seule et à avoir des expressions inappropriées et ça les fait flipper _(_ _)_ C'est con ce cercle vicieux.
Invité- Invité
Re: définir "semblables" et "différents"
Je sais pas si c'est du lard ou du R.P.
Tu sais d'où vient ton soucis avec les sensations ? Ça te fait ça depuis toujours (bisou/baffe) ?
Tu sais d'où vient ton soucis avec les sensations ? Ça te fait ça depuis toujours (bisou/baffe) ?
Invité- Invité
Re: définir "semblables" et "différents"
@Brume Je voulais répondre ce matin avant d'aller travailler mais j'ai fait une fausse manip qui a effacé mon message
Je suppose que c'est l'occasion de le réécrire en mieux ^^;
[quoteJe sais pas si c'est du lard ou du R.P. Razz
][/quote]
Comme je n'ai pas beaucoup d'expériences de relations sociales, j'analyse beaucoup ce qui se passe sur Internet. J'ai pas grand chose d'autre à analyser ^^;
La piste de l'autisme est la première a avoir un fort pouvoir explicatif sur ce point là. C'est pour ça que j'essaye de la creuser. Mais je trouve que c'est très très lent d'obtenir des rendez-vous, heureusement que les forums me permettent d'avoir des infos à me mettre sous la dent en attendant que les dates arrivent IRL !
ça me fait ça depuis toujours oui. J'aime les sensations "sourdes", l'impact d'une chute, le poids d'une vieille couverture en laine, les jets d'eau... et je déteste les sensations "aigus", les sons aigus comme les chants d'opéra, les bisous, les caresses (surtout celles qui passent et repassent au même endroit). Regarder des objets pointus est également difficile (ils sont "aigus").
Comme mes sensations ont toujours été niées il n'y a pas eu de recherches d'explications. Je n'ai jamais adhéré à l'explication comme quoi c'était de la timidité (je rejette le contact physique, les câlins, par timidité, c'était l'explication quand j'étais enfant) mais je n'avais pas d'arguments pour contrer l'explication que ce soit parce que j'avais mauvais caractère (quand c'était des gens random c'était par timidité mais quand c'était ma mère c'était parce que j'étais méchante, je voulais pas faire l'effort de supporter). De fait c'est vrai que quand je ne suis pas fatiguée et plutôt de bonne humeur je suis plutôt ouverte à faire l'effort de supporter puisque je sais que ça fait plaisir alors que quand je suis fatiguée et énervée c'est moins le cas. L'explication avait l'air de coller.
Je suppose que c'est l'occasion de le réécrire en mieux ^^;
[quoteJe sais pas si c'est du lard ou du R.P. Razz
][/quote]
Comme je n'ai pas beaucoup d'expériences de relations sociales, j'analyse beaucoup ce qui se passe sur Internet. J'ai pas grand chose d'autre à analyser ^^;
Tu sais d'où vient ton soucis avec les sensations ? Ça te fait ça depuis toujours (bisou/baffe) ?
La piste de l'autisme est la première a avoir un fort pouvoir explicatif sur ce point là. C'est pour ça que j'essaye de la creuser. Mais je trouve que c'est très très lent d'obtenir des rendez-vous, heureusement que les forums me permettent d'avoir des infos à me mettre sous la dent en attendant que les dates arrivent IRL !
ça me fait ça depuis toujours oui. J'aime les sensations "sourdes", l'impact d'une chute, le poids d'une vieille couverture en laine, les jets d'eau... et je déteste les sensations "aigus", les sons aigus comme les chants d'opéra, les bisous, les caresses (surtout celles qui passent et repassent au même endroit). Regarder des objets pointus est également difficile (ils sont "aigus").
Comme mes sensations ont toujours été niées il n'y a pas eu de recherches d'explications. Je n'ai jamais adhéré à l'explication comme quoi c'était de la timidité (je rejette le contact physique, les câlins, par timidité, c'était l'explication quand j'étais enfant) mais je n'avais pas d'arguments pour contrer l'explication que ce soit parce que j'avais mauvais caractère (quand c'était des gens random c'était par timidité mais quand c'était ma mère c'était parce que j'étais méchante, je voulais pas faire l'effort de supporter). De fait c'est vrai que quand je ne suis pas fatiguée et plutôt de bonne humeur je suis plutôt ouverte à faire l'effort de supporter puisque je sais que ça fait plaisir alors que quand je suis fatiguée et énervée c'est moins le cas. L'explication avait l'air de coller.
Invité- Invité
Re: définir "semblables" et "différents"
Si tu souffres avec des caresses, je ne comprends pas comment ça pourrait être de la timidité (après je ne connais pas ce type de phénomène, donc )
Il y a quand même un médecin qui a vérifié que tu n'avais pas de soucis nerveux ou un truc dans le genre? ... enfin peut-être une question bête, c'est peut-être différent/rien à voir.
J'hallucine un peu que tu te traines ça depuis si longtemps sans explications. J'espère que ta piste sera la bonne et que t'auras des éléments pour faire avec.
Enfin bon courage en tous cas.
Il y a quand même un médecin qui a vérifié que tu n'avais pas de soucis nerveux ou un truc dans le genre? ... enfin peut-être une question bête, c'est peut-être différent/rien à voir.
J'hallucine un peu que tu te traines ça depuis si longtemps sans explications. J'espère que ta piste sera la bonne et que t'auras des éléments pour faire avec.
Enfin bon courage en tous cas.
Invité- Invité
Re: définir "semblables" et "différents"
Il y a quand même un médecin qui a vérifié que tu n'avais pas de soucis nerveux ou un truc dans le genre?
Même pas
C'est vrai que c'est assez What the fuck
Mais il faut savoir que je n'ai presque pas eu de suivi médical entre mes 18 ans et il y a quelques mois où j'ai décidé d'essayer de suivre la procédure d'avoir un médecin traitant pour commencer un suivi psychologique. (finalement ça ne sert à rien d'avoir un médecin traitant, aucun psy ne me l'a demandé)
La timidité c'est une explication qui satisfait la nécessité d'expliquer ce qui est bizarre, c'est juste pratique. On me l'a sorti à toutes les sauces qu'il faudrait que je fasse de théâtre. Le théâtre "soigne" le harcèlement scolaire, la fatigue et les crises d'angoisses Mélenchon rendra le théâtre remboursé par la sécurité sociale si il est élu
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