Pas de projets
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Pas de projets
Salut à tous, je m'étais déjà inscrit sous un autre pseudo mais vu que je suis pas venu pendant un moment il a dû être désactivé...
En fait je reviens là car je n'arrive pas à avoir de projets concrets. J'ai 29 ans, bosse en intérim, vis chez mes parents et suis célibataire depuis de nombreuses années... J'ai la motivation mais je n'arrive pas à me fixer de réel objectif important qui me donnerait envie de me lever tôt (chose que j'ai du mal à faire mais suis bien obligé pour le boulot ^^)
D'autres ont ou ont eu des difficultés similaires dans leur vie ?
En fait je reviens là car je n'arrive pas à avoir de projets concrets. J'ai 29 ans, bosse en intérim, vis chez mes parents et suis célibataire depuis de nombreuses années... J'ai la motivation mais je n'arrive pas à me fixer de réel objectif important qui me donnerait envie de me lever tôt (chose que j'ai du mal à faire mais suis bien obligé pour le boulot ^^)
D'autres ont ou ont eu des difficultés similaires dans leur vie ?
David337- Messages : 244
Date d'inscription : 12/09/2013
Age : 36
Re: Pas de projets
Salut
Je ne suis pas sûre de pouvoir t'aider, mais je suis dans le même cas que toi, à la différence que je suis plus jeune (21 ans), et que je ne parviens pas à trouver de travail.
Après avoir arrêté les études pour cause de mal-être, je suis retournée chez mes parents, et je me retrouve vide, sans projet, avec en plus la pression de mes parents qui veulent bien me loger et me nourrir, mais pas m'aider financièrement si je pars de la maison (je pensais faire un service civique, c'est dédommagé autour de 500 euros par mois, c'est peu pour vivre (même si c'est possible de vivre avec, je sais bien que certains le font), et ils ne veulent pas m'aider). Or, chez moi il n'y a rien à faire, ni travail, ni études.
Comme toi, j'ai de la motivation, ou en tout cas je pense que j'en ai, mais je ne sais pas où la placer.
J'ai réfléchi à ce problème, et j'ai trouvé des pistes. C'est personnel, mais peut-être te retrouveras-tu dans ce que je vais dire. Je me bloque moi-même. Parfois, j'ai des idées, mais passé l'euphorie, je reviens dessus et me dis "non c'est nul, je serai malheureuse si je fais ça". Et je ne m'engage nulle part. Je pense que cette peur de m'engager vient du fait que j'ai très peur de l'échec, peur de décevoir mon entourage et de me décevoir moi-même. J'ai vécu une dépression durant mes études, due à une grosse remise en question de ma personne, de mon avenir, du sens de ma vie. Et depuis, il se passe deux choses:
- premièrement, j'ai très peur de replonger (j'ai réessayé les études, totalement autre chose, mais je me suis sentie redescendre et j'ai arrêté tout de suite). Je ne sais pas si tu as vécu cela, une dépression, ou simplement un gros moment de doute, de déprime, d'idées noires. J'en suis ressortie "traumatisée", fragile, et depuis, je fais tout pour m'éviter de retomber dans cette spirale infernale de fatigue, idées noires, idées suicidaires, angoisses... D'où une peur de m'engager, de sortir de ma zone de confort dans laquelle je sais que je ne crains rien (c'est-à-dire la maison de mes parents).
- deuxièmement, je me pose toujours ces questions-là, et je ne vois de sens nulle-part. Je ne trouve toujours pas d'intérêt à la vie, aux projets, au travail, si ce n'est la souffrance, et qui a envie de se faire souffrir ? Je sais que sur ce point, je suis dans le faux, que beaucoup sont heureux, trouvent leur bonheur justement dans les projets, et le travail. Dans le travail, je ne vois qu'une activité pénible qui occupe la moitié de notre temps et qui sert à gagner de l'argent pour survivre. Et survivre pour quoi ? Pour pouvoir retourner au travail le lendemain.
Je sais que mon raisonnement est biaisée, je sais que le but de la vie n'est pas dans le travail, ou qu'on peut trouver un travail épanouissant, et qu'on peut aussi avoir un travail chiant et s'épanouir dans des activités annexes. C'est ce qu'on dit en tout cas, mais je ne connais personne qui soit dans ce cas.
Je me doute également que par "projets" tu parlais de projets professionnels. Je parle de cela parce qu'à mon âge, c'est l'unique chose qui est censée nous préoccuper: se trouver un métier pour l'avenir, en gros, se trouver une case, une étiquette par laquelle on pourra nous désigner.
Je suis un peu énervée parce que j'ai rencontré un conseiller qui m'a dit que je devais justement sortir de ma zone de confort, me mettre en danger, chercher à aller vers les autres, à me mettre en avant, voire aller travailler avec des enfants (alors que je les déteste). Comme s'il n'avait pas compris que le simple fait de sortir de chez moi et de parler à quelqu'un relevait déjà de la mise en danger. Je suis énervée aussi parce qu'en voyant mes réticences, il m'a dit que je n'étais pas prête à me bouger pour faire quelque chose de ma vie. Évidemment que je ne suis pas prête à intégrer une équipe de 20 personnes ou à travailler avec des enfants. Jamais je ne serai prête. C'est ce qui m'amène à la troisième raison de mon blocage (qui rejoint un peu la deuxième):
- je n'ai pas envie de vivre dans ce monde en fait. Je ne me retrouve pas dans le schéma de la société, dans laquelle il faut se cacher, mentir sur qui on est, dans laquelle il faudra que je cache ma sensibilité, alors que je ne peux pas, dans laquelle je devrai porter un masque pour me faire accepter, dans laquelle je devrai travailler avec des gens que je n'aime pas, et surtout dans laquelle je devrai aider à tourner un système que je n'aime pas, que je ne cautionne pas. Ça pourrait me donner comme objectif d'essayer de changer le monde... Enfin bon je n'y crois pas trop.
Bref. Je ne sais pas si cela pourra t'aider. Je ne sais pas si tu as une idée de la provenance de tes difficultés. Personnellement, j'ai mis du temps à me rendre compte de tout ce que je viens de dire.
Je suis désolée de ne pas pouvoir t'apporter d'aide cependant. Mais si je peux t'aider à te comprendre, je serais déjà contente.
Je voudrais simplement te poser une dernière question: est-tu HP, et ton entourage le sait-il ? Il y a quelque chose de vicieux à ce propos, c'est qu'on a tendance à croire qu'avoir un haut potentiel signifie tout réussir haut la main, et ne pas avoir de difficultés. Même avant de savoir que j'étais HP, j'ai souvent entendu (à l'école notamment puisque j'avais de bonnes notes) que je pouvais tout réussir, que je n'avais pas de questions à me poser, limite que je n'avais même pas à me plaindre. Et cela me fait encore plus de mal quand je vois que, si, je peux échouer, que comme tout le monde, je fais des erreurs et rencontre des difficultés. Mon entourage a tendance à dire que ces difficultés ne sont pas graves puisqu'elles ne concernent pas mes capacités. C'est faux, nous restons des êtres humains, et nous avons besoin de soutien et d'aide aussi, et nous sommes plus que de simples performances (une idée qui malheureusement va à l'encontre de ce que pense la société).
Pour ce qui est des conseils, je n'en ai malheureusement pas beaucoup, mais voilà ce que je souhaitais dire:
Pour ce qui est de donner envie de me lever le matin, as-tu pensé à adopter un animal ? Peut-être que tu en as déjà un, je ne sais pas. À l'époque où je broyais du noir 24h/24 et que je passais les trois quarts de mon temps à dormir, j'ai pris un petit chat, en me disant que tout d'abord il apporterait un peu de vie et de joie à mon quotidien, et aussi pour me donner une raison de vivre, une raison de me lever. Avoir une responsabilité autre que la mienne (parce que la mienne je m'en fichais un peu) sur mes épaules, une raison de ne pas faire n'importe quoi dans la vie. Cela m'a beaucoup aidée.
Évidemment, il ne faut pas faire cela sur un coup de tête, il faut être certain qu'on pourra s'occuper d'un animal, avoir la capacité de l'accueillir, de le nourrir, de jouer avec, et aussi les moyens de le faire vacciner, castrer, garder quand on part en vacances etc... C'est une réelle responsabilité, parfois lourde, mais c'est ce qui m'a aidée.
Enfin, as-tu des passions, des intérêts, des choses qui te tiennent à cœur ? On sort du métier et du travail, qui pour toi semble purement alimentaire, et on entre dans ce qui te fait vraiment du bien, te fait vibrer. Peut-être un sport, la musique, les animaux... Essaie de consacrer du temps à ce que tu aimes. Je sais que beaucoup de HP changent souvent de centres d'intérêts et de passions parce qu'ils ont l'impression de faire trop vite le tour. Peut-être est-ce ton cas, peut-être pas. Personnellement, c'est mon cas, mais il me reste des passions qui restent toujours toujours. Pour raconter un peu plus ma vie, c'est la danse. Et justement, à la période où je suis tombée en dépression, j'avais arrêté la danse, pour diverses raisons. Je n'avais plus aucune raison de me lever le matin. J'ai rapidement repris dès que mon état de santé me l'a permis. C'est parfois difficile (beaucoup d'émotions), mais quelle bouffée d'air. Il y a une chose donc je suis certaine, c'est que plus jamais je n'arrêterai. Peut-être que je n'ai de raison de me lever qu'un jour par semaine aujourd'hui, mais c'est mieux que rien.
Tu peux aussi, si tu en as la possibilité selon l'endroit où tu vis, t'investir dans des associations. Peut-être es-tu touché par la pauvreté, par la condition des animaux, par l'environnement, ou tu as un fort engagement politique. Je n'ai pas trop cette possibilité parce que je vis à la campagne loin de tout, et parce que je me sens mal quand je suis entourée de monde (mais je peux aussi faire des choses chez moi toute seule), mais je pense que pour une cause qui te tient beaucoup à cœur, cela te fera du bien.
C'est à peu près tout ce que j'ai à dire. Je suis désolée si c'est long, j'ai de grosses difficultés à être concise. Comme tu peux le voir, tu n'es pas le seul à avoir ce genre de difficultés. Peut-être est-ce même un problème courant chez les HP, qui ont tendance plus que la moyenne à remettre en question et à chercher du sens avant de s'engager. Je suis désolée si je ne peux pas t'aider plus que cela. On ne cesse de me répéter que j'ai toutes les clés pour m'en sortir, mais j'ai plutôt le sentiment que ces clés m'échappent. Si quelqu'un d'autre te répond, je serais très heureuse de voir les solutions qui sont proposées (sans oublier que les solutions viennent toujours de nous-mêmes).
Bon courage, et bonne journée
Je ne suis pas sûre de pouvoir t'aider, mais je suis dans le même cas que toi, à la différence que je suis plus jeune (21 ans), et que je ne parviens pas à trouver de travail.
Après avoir arrêté les études pour cause de mal-être, je suis retournée chez mes parents, et je me retrouve vide, sans projet, avec en plus la pression de mes parents qui veulent bien me loger et me nourrir, mais pas m'aider financièrement si je pars de la maison (je pensais faire un service civique, c'est dédommagé autour de 500 euros par mois, c'est peu pour vivre (même si c'est possible de vivre avec, je sais bien que certains le font), et ils ne veulent pas m'aider). Or, chez moi il n'y a rien à faire, ni travail, ni études.
Comme toi, j'ai de la motivation, ou en tout cas je pense que j'en ai, mais je ne sais pas où la placer.
J'ai réfléchi à ce problème, et j'ai trouvé des pistes. C'est personnel, mais peut-être te retrouveras-tu dans ce que je vais dire. Je me bloque moi-même. Parfois, j'ai des idées, mais passé l'euphorie, je reviens dessus et me dis "non c'est nul, je serai malheureuse si je fais ça". Et je ne m'engage nulle part. Je pense que cette peur de m'engager vient du fait que j'ai très peur de l'échec, peur de décevoir mon entourage et de me décevoir moi-même. J'ai vécu une dépression durant mes études, due à une grosse remise en question de ma personne, de mon avenir, du sens de ma vie. Et depuis, il se passe deux choses:
- premièrement, j'ai très peur de replonger (j'ai réessayé les études, totalement autre chose, mais je me suis sentie redescendre et j'ai arrêté tout de suite). Je ne sais pas si tu as vécu cela, une dépression, ou simplement un gros moment de doute, de déprime, d'idées noires. J'en suis ressortie "traumatisée", fragile, et depuis, je fais tout pour m'éviter de retomber dans cette spirale infernale de fatigue, idées noires, idées suicidaires, angoisses... D'où une peur de m'engager, de sortir de ma zone de confort dans laquelle je sais que je ne crains rien (c'est-à-dire la maison de mes parents).
- deuxièmement, je me pose toujours ces questions-là, et je ne vois de sens nulle-part. Je ne trouve toujours pas d'intérêt à la vie, aux projets, au travail, si ce n'est la souffrance, et qui a envie de se faire souffrir ? Je sais que sur ce point, je suis dans le faux, que beaucoup sont heureux, trouvent leur bonheur justement dans les projets, et le travail. Dans le travail, je ne vois qu'une activité pénible qui occupe la moitié de notre temps et qui sert à gagner de l'argent pour survivre. Et survivre pour quoi ? Pour pouvoir retourner au travail le lendemain.
Je sais que mon raisonnement est biaisée, je sais que le but de la vie n'est pas dans le travail, ou qu'on peut trouver un travail épanouissant, et qu'on peut aussi avoir un travail chiant et s'épanouir dans des activités annexes. C'est ce qu'on dit en tout cas, mais je ne connais personne qui soit dans ce cas.
Je me doute également que par "projets" tu parlais de projets professionnels. Je parle de cela parce qu'à mon âge, c'est l'unique chose qui est censée nous préoccuper: se trouver un métier pour l'avenir, en gros, se trouver une case, une étiquette par laquelle on pourra nous désigner.
Je suis un peu énervée parce que j'ai rencontré un conseiller qui m'a dit que je devais justement sortir de ma zone de confort, me mettre en danger, chercher à aller vers les autres, à me mettre en avant, voire aller travailler avec des enfants (alors que je les déteste). Comme s'il n'avait pas compris que le simple fait de sortir de chez moi et de parler à quelqu'un relevait déjà de la mise en danger. Je suis énervée aussi parce qu'en voyant mes réticences, il m'a dit que je n'étais pas prête à me bouger pour faire quelque chose de ma vie. Évidemment que je ne suis pas prête à intégrer une équipe de 20 personnes ou à travailler avec des enfants. Jamais je ne serai prête. C'est ce qui m'amène à la troisième raison de mon blocage (qui rejoint un peu la deuxième):
- je n'ai pas envie de vivre dans ce monde en fait. Je ne me retrouve pas dans le schéma de la société, dans laquelle il faut se cacher, mentir sur qui on est, dans laquelle il faudra que je cache ma sensibilité, alors que je ne peux pas, dans laquelle je devrai porter un masque pour me faire accepter, dans laquelle je devrai travailler avec des gens que je n'aime pas, et surtout dans laquelle je devrai aider à tourner un système que je n'aime pas, que je ne cautionne pas. Ça pourrait me donner comme objectif d'essayer de changer le monde... Enfin bon je n'y crois pas trop.
Bref. Je ne sais pas si cela pourra t'aider. Je ne sais pas si tu as une idée de la provenance de tes difficultés. Personnellement, j'ai mis du temps à me rendre compte de tout ce que je viens de dire.
Je suis désolée de ne pas pouvoir t'apporter d'aide cependant. Mais si je peux t'aider à te comprendre, je serais déjà contente.
Je voudrais simplement te poser une dernière question: est-tu HP, et ton entourage le sait-il ? Il y a quelque chose de vicieux à ce propos, c'est qu'on a tendance à croire qu'avoir un haut potentiel signifie tout réussir haut la main, et ne pas avoir de difficultés. Même avant de savoir que j'étais HP, j'ai souvent entendu (à l'école notamment puisque j'avais de bonnes notes) que je pouvais tout réussir, que je n'avais pas de questions à me poser, limite que je n'avais même pas à me plaindre. Et cela me fait encore plus de mal quand je vois que, si, je peux échouer, que comme tout le monde, je fais des erreurs et rencontre des difficultés. Mon entourage a tendance à dire que ces difficultés ne sont pas graves puisqu'elles ne concernent pas mes capacités. C'est faux, nous restons des êtres humains, et nous avons besoin de soutien et d'aide aussi, et nous sommes plus que de simples performances (une idée qui malheureusement va à l'encontre de ce que pense la société).
Pour ce qui est des conseils, je n'en ai malheureusement pas beaucoup, mais voilà ce que je souhaitais dire:
Pour ce qui est de donner envie de me lever le matin, as-tu pensé à adopter un animal ? Peut-être que tu en as déjà un, je ne sais pas. À l'époque où je broyais du noir 24h/24 et que je passais les trois quarts de mon temps à dormir, j'ai pris un petit chat, en me disant que tout d'abord il apporterait un peu de vie et de joie à mon quotidien, et aussi pour me donner une raison de vivre, une raison de me lever. Avoir une responsabilité autre que la mienne (parce que la mienne je m'en fichais un peu) sur mes épaules, une raison de ne pas faire n'importe quoi dans la vie. Cela m'a beaucoup aidée.
Évidemment, il ne faut pas faire cela sur un coup de tête, il faut être certain qu'on pourra s'occuper d'un animal, avoir la capacité de l'accueillir, de le nourrir, de jouer avec, et aussi les moyens de le faire vacciner, castrer, garder quand on part en vacances etc... C'est une réelle responsabilité, parfois lourde, mais c'est ce qui m'a aidée.
Enfin, as-tu des passions, des intérêts, des choses qui te tiennent à cœur ? On sort du métier et du travail, qui pour toi semble purement alimentaire, et on entre dans ce qui te fait vraiment du bien, te fait vibrer. Peut-être un sport, la musique, les animaux... Essaie de consacrer du temps à ce que tu aimes. Je sais que beaucoup de HP changent souvent de centres d'intérêts et de passions parce qu'ils ont l'impression de faire trop vite le tour. Peut-être est-ce ton cas, peut-être pas. Personnellement, c'est mon cas, mais il me reste des passions qui restent toujours toujours. Pour raconter un peu plus ma vie, c'est la danse. Et justement, à la période où je suis tombée en dépression, j'avais arrêté la danse, pour diverses raisons. Je n'avais plus aucune raison de me lever le matin. J'ai rapidement repris dès que mon état de santé me l'a permis. C'est parfois difficile (beaucoup d'émotions), mais quelle bouffée d'air. Il y a une chose donc je suis certaine, c'est que plus jamais je n'arrêterai. Peut-être que je n'ai de raison de me lever qu'un jour par semaine aujourd'hui, mais c'est mieux que rien.
Tu peux aussi, si tu en as la possibilité selon l'endroit où tu vis, t'investir dans des associations. Peut-être es-tu touché par la pauvreté, par la condition des animaux, par l'environnement, ou tu as un fort engagement politique. Je n'ai pas trop cette possibilité parce que je vis à la campagne loin de tout, et parce que je me sens mal quand je suis entourée de monde (mais je peux aussi faire des choses chez moi toute seule), mais je pense que pour une cause qui te tient beaucoup à cœur, cela te fera du bien.
C'est à peu près tout ce que j'ai à dire. Je suis désolée si c'est long, j'ai de grosses difficultés à être concise. Comme tu peux le voir, tu n'es pas le seul à avoir ce genre de difficultés. Peut-être est-ce même un problème courant chez les HP, qui ont tendance plus que la moyenne à remettre en question et à chercher du sens avant de s'engager. Je suis désolée si je ne peux pas t'aider plus que cela. On ne cesse de me répéter que j'ai toutes les clés pour m'en sortir, mais j'ai plutôt le sentiment que ces clés m'échappent. Si quelqu'un d'autre te répond, je serais très heureuse de voir les solutions qui sont proposées (sans oublier que les solutions viennent toujours de nous-mêmes).
Bon courage, et bonne journée
Csilla- Messages : 97
Date d'inscription : 20/02/2017
Age : 28
Localisation : Lorraine
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