Comment savoir ce qui est bon pour nous ? pour prendre une direction ?
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_Noemie_
SB.ABcube
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Forum ZEBRAS CROSSING :: La zébritude :: Discussions générales relatives à la zébritude :: Caractéristiques liées à la douance
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Comment savoir ce qui est bon pour nous ? pour prendre une direction ?
Hello,
Je suis entrain de modifier pas mal de chose dans ma vie pro mais je ne sais pas si tout c'est changement son bon....
A la base je m'ennuie terriblement. Mais l'avantage du job c'est un max de temps libre (prof). La matière me saoul d'une force mais pas les jeunes.
Alors, je faisais plein d'activité en parallèle (gratuit).
Et toute ces activités m'ennuient également.
Donc changement et découverte de ma douance.
Disons que j'en ai marre de tout ces gens qui vivotent et ne travail pas beaucoup. Je rêve de bosser dans une équipe. Une vrai.
Je rêve aussi de faire moins de faute d'orthogiraffe.
Vous auriez des idées ou expériences ???
Je suis entrain de modifier pas mal de chose dans ma vie pro mais je ne sais pas si tout c'est changement son bon....
A la base je m'ennuie terriblement. Mais l'avantage du job c'est un max de temps libre (prof). La matière me saoul d'une force mais pas les jeunes.
Alors, je faisais plein d'activité en parallèle (gratuit).
Et toute ces activités m'ennuient également.
Donc changement et découverte de ma douance.
Disons que j'en ai marre de tout ces gens qui vivotent et ne travail pas beaucoup. Je rêve de bosser dans une équipe. Une vrai.
Je rêve aussi de faire moins de faute d'orthogiraffe.
Vous auriez des idées ou expériences ???
SB.ABcube- Messages : 212
Date d'inscription : 06/03/2016
Age : 45
Localisation : Entre le froid et le chaud mais plutôt froid
Re: Comment savoir ce qui est bon pour nous ? pour prendre une direction ?
Coucou!
Prof aussi. J'ai le même rêve!
Un rêve dans lequel la salle des profs n'est pas un petit centre de pouvoir véreux, dans lequel le budget est illimité pour toutes mes idées pédago, et l'équipe y est soudée et motivée, soucieuse du bien-être de chacun... Un établissement dans lequel les gens sont altruistes et réfléchissent avant de sortir des bêtises monumentales...
Si tu le trouves en vrai, pense à moi. J'adore enseigner mais pas comme ça. Je veux une équipe stimulante prête à rendre le monde meilleur.
Bref, j'ai un rêve moi aussi. Et ce serait bien qu'il se réalise avant que je ne m'enfuie de l'educ' nat'.
Prof aussi. J'ai le même rêve!
Un rêve dans lequel la salle des profs n'est pas un petit centre de pouvoir véreux, dans lequel le budget est illimité pour toutes mes idées pédago, et l'équipe y est soudée et motivée, soucieuse du bien-être de chacun... Un établissement dans lequel les gens sont altruistes et réfléchissent avant de sortir des bêtises monumentales...
Si tu le trouves en vrai, pense à moi. J'adore enseigner mais pas comme ça. Je veux une équipe stimulante prête à rendre le monde meilleur.
Bref, j'ai un rêve moi aussi. Et ce serait bien qu'il se réalise avant que je ne m'enfuie de l'educ' nat'.
_Noemie_- Messages : 38
Date d'inscription : 22/03/2017
Age : 39
Localisation : Rouen
Re: Comment savoir ce qui est bon pour nous ? pour prendre une direction ?
Bon et bien je crois que je suis pas tout seul Alors.....
Moi j'ai tout fait pour me sauver. alors proposition de poste à responsabilité, formateur, responsable recrutement, etc......
Sauf que mon profil zèbre et tout cela ne colle pas vraiment....
Au bout de 10 ans maintenant, je me retrouve à tenter un autre concours plus généraliste que ma matière qui me coince dans mon bahut en plus je suis en LP.
En gros j'ai un cdd longue duré même avec mon concours. On nous cravache pour que la section recrute du jeune sinon plus de job.....
Je te laisse imaginer ce que cela peut donner dans ma tête.
Dans la salle des profs c'est bagdad et j'ai de plus en plus de mal à y aller.
De plus, j'ai un collègue dépressif (un truc de fou) qui me plombe le moral mais d'une force....
Je fais tout pour me protéger mais là il est de pire en pire. Je n'ose même pas dire la teneur des propos tellement c'est chaud.
La découverte de ma douance n'a rien arrangé sur le point pro.
Alors je ne pleure pas mais j'essais de trouver des solutions. Mais c'est pas facile.
Enfin c'est surtout la décision a prendre qui n'est pas facile.
Moi j'ai tout fait pour me sauver. alors proposition de poste à responsabilité, formateur, responsable recrutement, etc......
Sauf que mon profil zèbre et tout cela ne colle pas vraiment....
Au bout de 10 ans maintenant, je me retrouve à tenter un autre concours plus généraliste que ma matière qui me coince dans mon bahut en plus je suis en LP.
En gros j'ai un cdd longue duré même avec mon concours. On nous cravache pour que la section recrute du jeune sinon plus de job.....
Je te laisse imaginer ce que cela peut donner dans ma tête.
Dans la salle des profs c'est bagdad et j'ai de plus en plus de mal à y aller.
De plus, j'ai un collègue dépressif (un truc de fou) qui me plombe le moral mais d'une force....
Je fais tout pour me protéger mais là il est de pire en pire. Je n'ose même pas dire la teneur des propos tellement c'est chaud.
La découverte de ma douance n'a rien arrangé sur le point pro.
Alors je ne pleure pas mais j'essais de trouver des solutions. Mais c'est pas facile.
Enfin c'est surtout la décision a prendre qui n'est pas facile.
SB.ABcube- Messages : 212
Date d'inscription : 06/03/2016
Age : 45
Localisation : Entre le froid et le chaud mais plutôt froid
Re: Comment savoir ce qui est bon pour nous ? pour prendre une direction ?
Je comprends... Mais il faut que tu fasses des efforts pour te protéger du collègue dépressif (un bonjour mais pas la question"ca va?", et éviter de passer du temps avec lui. Sinon ton empathie te rendra comme lui) et, je n'ai pas compris ce que tu fais exactement mais, tu ne voudrais pas préparer un concours qui te permette de fuir cet établissement? Y'en a d'autres ailleurs... Et les collèges sympas existent aussi ailleurs. La situation semble vraiment difficile à vivre...
_Noemie_- Messages : 38
Date d'inscription : 22/03/2017
Age : 39
Localisation : Rouen
Re: Comment savoir ce qui est bon pour nous ? pour prendre une direction ?
Beh oui!!!!
Je vais prendre mes zébrures et mon p'tit courage et en route....
Depuis quelques temps tout bouge beaucoup. La découverte de mes zébrures m'a fait découvrir qui j'étais et pourquoi j'étais comme cela.
Paradoxalement, j'ai une nature ultra positive bercée de bienveillance naturelle. (trop peu être)
Je m'éclate dans toutes mes passions qui sont nombreuses et variés. Cependant, j'ai et aurai toujours du mal à faire face sur la durée au gens négatif et difficultés relationnelles.
Les coups de blues sont durent à gérer malgré de nombreux efforts et parades.
L'orthogiraffe n'est pas mon ami.
Je dirai même les règles en générale. Pas envie d'être leader et pas envie d'être mené.
Juste envie de vivre à mon rythme.
Je vais prendre mes zébrures et mon p'tit courage et en route....
Depuis quelques temps tout bouge beaucoup. La découverte de mes zébrures m'a fait découvrir qui j'étais et pourquoi j'étais comme cela.
Paradoxalement, j'ai une nature ultra positive bercée de bienveillance naturelle. (trop peu être)
Je m'éclate dans toutes mes passions qui sont nombreuses et variés. Cependant, j'ai et aurai toujours du mal à faire face sur la durée au gens négatif et difficultés relationnelles.
Les coups de blues sont durent à gérer malgré de nombreux efforts et parades.
L'orthogiraffe n'est pas mon ami.
Je dirai même les règles en générale. Pas envie d'être leader et pas envie d'être mené.
Juste envie de vivre à mon rythme.
SB.ABcube- Messages : 212
Date d'inscription : 06/03/2016
Age : 45
Localisation : Entre le froid et le chaud mais plutôt froid
Re: Comment savoir ce qui est bon pour nous ? pour prendre une direction ?
Bonjour !
C'est le premier message que je poste sur le forum, et il n'apporte aucune réponse, j'en suis désolée d'avance.
Je suisinstit Professeure des Ecoles, pardon (T1), et j'ai 22ans.
J'ai perdu un (extrêmement) proche cet été, ce qui a déclenché chez-moi tout un tas de questions : Suis-je réellement vivante ? Qui suis-je ? Est-ce que les réussites que les autres voient chez moi sont-elles vraiment des réussites pour moi ? Mais pu...naise, quel est le sens de la vie ?! Qu'est-ce que je fais à l'EN alors que j'execre ce système profondément injuste ? Ce qui m'a menée à enfin me poser des questions sur une éventuelle douance, que l'on soupçonne chez moi depuis que je suis enfant, et que je n'ai jamais prise en considération (Moi ? Intelligente ?! Impossible). Je suis en pleine mue.
Du coup, comme toi, tout bouge beaucoup et je me retrouve à devoir faire des choix. Mais lesquels ? Comment être sûr que ce qu'on choisit, on le choisit vraiment ? Comment être sûr de ne pas faire un choix par conformisme, par besoin d'attention ? Alors oui, c'est la difficulté de la vie elle-même et j'en ai bien conscience. Mais quand tout arrive d'un seul coup et remet l'ensemble de notre vie en question, le cerveau ne sait plus où donner de la tête.
Alors, non je ne t'ai pas aidé(e). Mais j'avais besoin de réagir parce que je me pose beaucoup (trop) de questions en ce moment. Et j'ai fait déjà un choix, un grand pas : j'ai demandé ma disponibilité pour l'année prochaine. Ce n'est pas sûr qu'elle me soit accordée (mais le nombre d'arrêts que j'ai cumulés cette année devrait jouer en ma faveur...), mais si c'est le cas, ça me laissera le temps de reconsidérer ce qu'on entend par réussite, ce que je veux vraiment et personnellement faire de ma vie.
Bon courage
C'est le premier message que je poste sur le forum, et il n'apporte aucune réponse, j'en suis désolée d'avance.
Je suis
J'ai perdu un (extrêmement) proche cet été, ce qui a déclenché chez-moi tout un tas de questions : Suis-je réellement vivante ? Qui suis-je ? Est-ce que les réussites que les autres voient chez moi sont-elles vraiment des réussites pour moi ? Mais pu...naise, quel est le sens de la vie ?! Qu'est-ce que je fais à l'EN alors que j'execre ce système profondément injuste ? Ce qui m'a menée à enfin me poser des questions sur une éventuelle douance, que l'on soupçonne chez moi depuis que je suis enfant, et que je n'ai jamais prise en considération (Moi ? Intelligente ?! Impossible). Je suis en pleine mue.
Du coup, comme toi, tout bouge beaucoup et je me retrouve à devoir faire des choix. Mais lesquels ? Comment être sûr que ce qu'on choisit, on le choisit vraiment ? Comment être sûr de ne pas faire un choix par conformisme, par besoin d'attention ? Alors oui, c'est la difficulté de la vie elle-même et j'en ai bien conscience. Mais quand tout arrive d'un seul coup et remet l'ensemble de notre vie en question, le cerveau ne sait plus où donner de la tête.
Alors, non je ne t'ai pas aidé(e). Mais j'avais besoin de réagir parce que je me pose beaucoup (trop) de questions en ce moment. Et j'ai fait déjà un choix, un grand pas : j'ai demandé ma disponibilité pour l'année prochaine. Ce n'est pas sûr qu'elle me soit accordée (mais le nombre d'arrêts que j'ai cumulés cette année devrait jouer en ma faveur...), mais si c'est le cas, ça me laissera le temps de reconsidérer ce qu'on entend par réussite, ce que je veux vraiment et personnellement faire de ma vie.
Bon courage
dum.spiro.spero- Messages : 15
Date d'inscription : 28/04/2017
Age : 30
Localisation : Moitié Sud
Re: Comment savoir ce qui est bon pour nous ? pour prendre une direction ?
Depuis que je fréquente ce forum, je m'attache plus attentivement à lire des messages "inutiles" (soi-disant) comme le tien, qui injectent une dose sensible d'affect et d'humeur – de tempérament, de bon aloi, quoi ! Alors ne regrette et dévalorise surtout pas ton geste, parce qu’il se justifie totalement. Après tout, la requête du créateur de ce fil était bien : « Vous auriez des idées ou expériences ??? » Ton partage est donc ad hoc, très pertinent et intéressant. Et si, en outre, il procède d’une nécessité chez toi – verbaliser une fébrilité dans l’actuelle remise en question de ta carrière débutante, qui participe logiquement d’un rejet foncier de l’institution normative qui t’emploie –, alors les conditions requises pour un postage absolument légitime sont réunies.dum.spiro.spero a écrit:C'est le premier message que je poste sur le forum, et il n'apporte aucune réponse, j'en suis désolée d'avance. [...]
Alors, non je ne t'ai pas aidé(e). Mais j'avais besoin de réagir parce que je me pose beaucoup (trop) de questions en ce moment
Je compatis au deuil que tu relates là, qui dure sans doute encore, et qui est le substrat de cette grâce nouvelle en toi : le questionnement fondamental, enfin émergeant, à propos de ta singularité potentielle.
Un partage littéraire s’impose, peut-être, pour examiner ce qui, chez nous autres HP, procèdent de cette perpétuelle crispation mortifère autour de ce sentiment de légitimité, qui hypothèque nos élans, ruine nos aspirations profondes, nous fait embrasser des vocations frelatées, par conformisme et pusillanimité – et fouler au pied nos véritables envies, plus viscérales, faute de les assumer :
« Vous voyez, c'est important de comprendre à quel point les gens esquintés ne savent pas toujours dire "oui", ou sauter sur l'occasion de leur vie, même si elle est là, sous leur yeux. C'est de la honte qu'on porte. La honte de vouloir quelque chose de bien. La honte de ressentir quelque chose de bien. La honte de ne pas croire qu'on mérite d'être dans la même pièce au même titre que tous ceux qu'on admire. Un "A" rouge géant sur la poitrine. Je ne me suis jamais dit en grandissant : "Deviens avocate. Astronaute. Présidente. Scientifique. Médecin. Architecte." Je ne me disais même pas : "Deviens écrivain." L'aspiration reste coincée chez certains. C'est difficile de penser "oui". Vers le haut. Quand ce qu'on ressent n'est que le combat ou la fuite. » (Lidia Yuknavitch, La Mécanique des fluides)
Une violoniste suédoise (son nom m’échappe ! ) expliquait : « Il y a tant de choses qu’on rate quand on ne recherche que la beauté. » Gageons qu’on en loupe tout autant – les mêmes ? - en ne visant que la (bête) réussite.
MoojiKadja- Messages : 351
Date d'inscription : 21/05/2017
Localisation : Avant « Je Suis »
Re: Comment savoir ce qui est bon pour nous ? pour prendre une direction ?
Et oui une expérience c'est une expérience même aussi douloureuse soit elle.....malheureusement.
Elle participe à notre construction de vie, une brique après l'autre.
Moi dans mon cas plus jeune j'étais descendu tellement bas dans le niveau scolaire et estime de moi que juste de penser que j'aurai un jour un boulot était déjà un grand luxe.
J'ai même refusé d'entendre parlé de prépa et préféré galéré.....
Aujourd' hui, j'ai une nouvelle chance de part le découverte de ma douance et de ma ou mes positions pro. Je peux réellement tout faire, il suffit de faire un choix et oui un simple choix.
Je ne veux plus de belle réussite juste une vie équilibré et heureuse qui comble mes besoins de zèbre.
J'y suis presque, je pense à part ce coté pro qui même s'il marche plutôt bien me met mal à l'aise au vu des capacités de la bête.
Le plus difficile est d'accepté de faire un choix et de le vivre se choix.
Comment aller vers le haut quand le bas nous aspire ?? cette sensation d'être attiré par le néant.
C'est un peu comme avoir le vertige, on se retrouve sur un balcon devant une vue splendide et pas moyen d'apprécier.
Alors que la beauté du lieu nous tend les bras.
Je décèle chez moi une envie de souffrir plus que d'être heureux. Même si cette sensation et de moins en moins présente.
Arrêter de revivre son passé pour s'autoriser un avenir....Pas facile quand ton boulot et dans ton ancien bahut d'ado...
Il y a peut être un truc à creuser...non???
J'ai tout pour être heureux vraiment tout. Une femme extraordinaire, des enfants magnifique, une vie simple mais pleine de bonheur.
Une chose très très important pour tout les zèbres, il faut s'autoriser à être soi même et à accepter à être soi même.
C'est après la lecture de JUNG que je l'ai compris notamment tout ce qui concerne la pensée en arborescence. Tout les matins, je refais mon monde avec des idées et des idées.
Maintenant, je laisse tourner les idées et j'utilise mon intuition pour utiliser la bonne.
La solution pro, je la connais mais elle me fais peur. Peur d'être confronté à mes limites.
Peur d'exister et d'utiliser mon potentiel.
C'est un peu fouilli toutes ces pensées.....
Elle participe à notre construction de vie, une brique après l'autre.
Moi dans mon cas plus jeune j'étais descendu tellement bas dans le niveau scolaire et estime de moi que juste de penser que j'aurai un jour un boulot était déjà un grand luxe.
J'ai même refusé d'entendre parlé de prépa et préféré galéré.....
Aujourd' hui, j'ai une nouvelle chance de part le découverte de ma douance et de ma ou mes positions pro. Je peux réellement tout faire, il suffit de faire un choix et oui un simple choix.
Je ne veux plus de belle réussite juste une vie équilibré et heureuse qui comble mes besoins de zèbre.
J'y suis presque, je pense à part ce coté pro qui même s'il marche plutôt bien me met mal à l'aise au vu des capacités de la bête.
Le plus difficile est d'accepté de faire un choix et de le vivre se choix.
Comment aller vers le haut quand le bas nous aspire ?? cette sensation d'être attiré par le néant.
C'est un peu comme avoir le vertige, on se retrouve sur un balcon devant une vue splendide et pas moyen d'apprécier.
Alors que la beauté du lieu nous tend les bras.
Je décèle chez moi une envie de souffrir plus que d'être heureux. Même si cette sensation et de moins en moins présente.
Arrêter de revivre son passé pour s'autoriser un avenir....Pas facile quand ton boulot et dans ton ancien bahut d'ado...
Il y a peut être un truc à creuser...non???
J'ai tout pour être heureux vraiment tout. Une femme extraordinaire, des enfants magnifique, une vie simple mais pleine de bonheur.
Une chose très très important pour tout les zèbres, il faut s'autoriser à être soi même et à accepter à être soi même.
C'est après la lecture de JUNG que je l'ai compris notamment tout ce qui concerne la pensée en arborescence. Tout les matins, je refais mon monde avec des idées et des idées.
Maintenant, je laisse tourner les idées et j'utilise mon intuition pour utiliser la bonne.
La solution pro, je la connais mais elle me fais peur. Peur d'être confronté à mes limites.
Peur d'exister et d'utiliser mon potentiel.
C'est un peu fouilli toutes ces pensées.....
SB.ABcube- Messages : 212
Date d'inscription : 06/03/2016
Age : 45
Localisation : Entre le froid et le chaud mais plutôt froid
Re: Comment savoir ce qui est bon pour nous ? pour prendre une direction ?
[quote="Tikkoun Olam"]
Merci pour ta réaction enrichissante, déculpabilisante et profondément humaine. Et pour les citations littéraires, j'ai toujours ressenti (pluS que compris intellectuellement) la phrase de cette violoniste suédoise. Mais alors, quand on agit en fonction des normes et attentes de la société, parentales ou patronales, comment ne pas rechercher la beauté puisqu'elle ne peut découler de nos expériences ?
C'est bien là le problème, il me semble. En se conformant, on s'étouffe, et en s'étouffant, on ferme les yeux. Alors que nos yeux sont capables s'émerveiller de tellement de choses... Je me rends compte à quel point j'ai bridé mon hypersensibilité, puisqu'elle a toujours dérangé. Que la vie est terne quand on se coupe de notre moi le plus profond...
Faire des choix n'est jamais simple, sans ça, on ferait n'importe quoi. Mais les moments de crise ont ce pouvoir de nous faire autant de mal que de nous gonfler de courage. Quand tu dis "Je décèle chez moi une envie de souffrir plus que d'être heureux", moi j'ai envie de répondre que ce qui te fait souffrir est peut-être mis en place pour, justement, t'éviter de souffrir. Cet avis et personnel et mériterait un vrai débat, mais je crois que l'être humain ne cherche pas à souffrir, mais à moins souffrir. Et comme tu le dis : tu as peur d'exister et d'utiliser ton potentiel. Donc, peut-être que tu te réfugies dans un blocage, dans l'"inaction" pour t'éviter de souffrir. Non ?
dum.spiro.spero a écrit: Alors ne regrette et dévalorise surtout pas ton geste, parce qu’il se justifie totalement. Après tout, la requête du créateur de ce fil était bien : « Vous auriez des idées ou expériences ??? » Ton partage est donc ad hoc, très pertinent et intéressant. Et si, en outre, il procède d’une nécessité chez toi – verbaliser une fébrilité dans l’actuelle remise en question de ta carrière débutante, qui participe logiquement d’un rejet foncier de l’institution normative qui t’emploie –, alors les conditions requises pour un postage absolument légitime sont réunies.
Une violoniste suédoise (son nom m’échappe ! ) expliquait : « Il y a tant de choses qu’on rate quand on ne recherche que la beauté. » Gageons qu’on en loupe tout autant – les mêmes ? - en ne visant que la (bête) réussite.
Merci pour ta réaction enrichissante, déculpabilisante et profondément humaine. Et pour les citations littéraires, j'ai toujours ressenti (pluS que compris intellectuellement) la phrase de cette violoniste suédoise. Mais alors, quand on agit en fonction des normes et attentes de la société, parentales ou patronales, comment ne pas rechercher la beauté puisqu'elle ne peut découler de nos expériences ?
C'est bien là le problème, il me semble. En se conformant, on s'étouffe, et en s'étouffant, on ferme les yeux. Alors que nos yeux sont capables s'émerveiller de tellement de choses... Je me rends compte à quel point j'ai bridé mon hypersensibilité, puisqu'elle a toujours dérangé. Que la vie est terne quand on se coupe de notre moi le plus profond...
SB.ABcube a écrit: Je ne veux plus de belle réussite juste une vie équilibré et heureuse qui comble mes besoins de zèbre.
Le plus difficile est d'accepté de faire un choix et de le vivre se choix.
Je décèle chez moi une envie de souffrir plus que d'être heureux. Même si cette sensation et de moins en moins présente.
Une chose très très important pour tout les zèbres, il faut s'autoriser à être soi même et à accepter à être soi même.
Peur d'exister et d'utiliser mon potentiel.
C'est un peu fouilli toutes ces pensées.....
Faire des choix n'est jamais simple, sans ça, on ferait n'importe quoi. Mais les moments de crise ont ce pouvoir de nous faire autant de mal que de nous gonfler de courage. Quand tu dis "Je décèle chez moi une envie de souffrir plus que d'être heureux", moi j'ai envie de répondre que ce qui te fait souffrir est peut-être mis en place pour, justement, t'éviter de souffrir. Cet avis et personnel et mériterait un vrai débat, mais je crois que l'être humain ne cherche pas à souffrir, mais à moins souffrir. Et comme tu le dis : tu as peur d'exister et d'utiliser ton potentiel. Donc, peut-être que tu te réfugies dans un blocage, dans l'"inaction" pour t'éviter de souffrir. Non ?
dum.spiro.spero- Messages : 15
Date d'inscription : 28/04/2017
Age : 30
Localisation : Moitié Sud
Re: Comment savoir ce qui est bon pour nous ? pour prendre une direction ?
Je pense que oui. Le blocage me permet de ne pas me confronter à la réalité qui elle fait souffrir.
J'ai mis 3 ans à me faire tester alors que c'était une évidence que j'étais zèbre.
La peur de foirer de me tromper de route était grande voir insurmontable.
Imagine le passage du test de QI, une torture....
J'ai réussi à le passer dans les pires conditions possible.
-Loin de chez moi
- Connaissait pas le lieu
- Très très fatigué
- Il me manquait une dent (oui, une dent)
- etc, etc
Heureusement que la psy était de grande qualité
L'immobilisme me rassure, ce qui me fait peur et souffrir reste la même chose comme cela.
Par contre aucune évolution et grosse frustration.
En général, je bouge quand la frustration devient plus forte que la peur.
C'est brutal comme fonctionnement et énergivore.
J'ai des capacités, il faut que je m'en serve pour mieux vivre. Je connais le chemin idéal pour ma petite personne mais j'ai peur car c'est un chemin nouveau.
Il faut vraiment que je bouge, pas pour bouger mais pour me sauver de la mélasse dans la quel je me trouve.
Je me retrouve être le jouet d'un PN et c'est pas vraiment top. Il n'y a pas que cela (heureusement).
Si je continue comme cela c'est une carrière sans avenir qui se présente à moi.
Sans avenir. Beh c'est moins cool!!!
J'ai mis 3 ans à me faire tester alors que c'était une évidence que j'étais zèbre.
La peur de foirer de me tromper de route était grande voir insurmontable.
Imagine le passage du test de QI, une torture....
J'ai réussi à le passer dans les pires conditions possible.
-Loin de chez moi
- Connaissait pas le lieu
- Très très fatigué
- Il me manquait une dent (oui, une dent)
- etc, etc
Heureusement que la psy était de grande qualité
L'immobilisme me rassure, ce qui me fait peur et souffrir reste la même chose comme cela.
Par contre aucune évolution et grosse frustration.
En général, je bouge quand la frustration devient plus forte que la peur.
C'est brutal comme fonctionnement et énergivore.
J'ai des capacités, il faut que je m'en serve pour mieux vivre. Je connais le chemin idéal pour ma petite personne mais j'ai peur car c'est un chemin nouveau.
Il faut vraiment que je bouge, pas pour bouger mais pour me sauver de la mélasse dans la quel je me trouve.
Je me retrouve être le jouet d'un PN et c'est pas vraiment top. Il n'y a pas que cela (heureusement).
Si je continue comme cela c'est une carrière sans avenir qui se présente à moi.
Sans avenir. Beh c'est moins cool!!!
SB.ABcube- Messages : 212
Date d'inscription : 06/03/2016
Age : 45
Localisation : Entre le froid et le chaud mais plutôt froid
Re: Comment savoir ce qui est bon pour nous ? pour prendre une direction ?
Salut tout le monde !
Petite parenthèse dédiée à spiro :
C'est curieux, parce que je me suis retrouvé dans la même situation, mais en décalé : Par "conformisme", de façon inconsciente, je me suis lancé le défi d'être mécano sur avion . C'est chouette mais bon, on est en dehors des fondamentaux qui , pour moi, me font choisir un travail :
-être utile, servir à quelque chose ou quelqu'un
-évoluer, avoir une stimulation , impliquer la créativité.
-Trouver un travail en adéquation avec 3 points : mes valeurs, mes centres d'intérêts / passions , et surtout, dans un domaine pour lequel je suis naturellement doué (pas par fainéantise, mais par soucis d'être à ma place, et efficace dans ce que je fais)
Du coup, pendant que je réparais des avions, je me suis dis "mais qu'est ce qui cloche , pourquoi j'ai choisi ce métier ? Je l'aime bien, mais il manque un truc, je ne me sens pas accompli" .
Aujourd'hui, je sais qui je suis. J'ai une conscience et un recul qui me permettent de savoir à peu près comment le monde fonctionne, comment l'esprit humain fonctionne (comment hacker l'inconscient), quel est le sens de la vie etc.
Du coup, le fait d'avoir découvert qui j'étais (en l'occurrence, un zèbre), ça me donne envie d'être dans un milieu où je pourrais encadrer des enfants (normaux, surdoués, handicapés, n'importe... )
En fait, je me sens comme "missionné" pour accompagner les enfants.
Donc quand je te vois t'interroger sur "qu'est ce que je fais là, dans l'EN ?" , et bien je me dis , d'un côté
-waho, qu'est ce que c'est bizarre, c'est précisément le métier parfait !
-finalement, on s'est peut être gouré , y a peut être moyen de s'être, encore une fois, trompé de voie...
Mon aspiration profonde, je ne m'en cache pas, c'est de sauver le monde.
Et quand je vois comment fonctionne l'être humain, d'un point de vue historique, philosophique, psychologique etc, et bien mes conclusions sont d'une évidence : Je veux jouer mon rôle de colibri, et je veux me responsabiliser, être conscient de mon potentiel et l'utiliser au maximum, pour permettre aux enfants d'élever leur conscience, d'élever leur esprit, et d'être les futurs citoyens qui changeront le monde.
Si j'ai envie de travailler avec des enfants, c'est pas juste parce que je suis doué pour ça, ou que j'aime ça (même si c'est le cas, en fait) . En vrai, c'est surtout pour arriver à mes fins : repenser la société de demain, créer un monde libre.
Et vous autres, amis profs, vous avez le même état d'esprit que moi, ou vous êtes un peu largué ?
Petite parenthèse dédiée à spiro :
C'est curieux, parce que je me suis retrouvé dans la même situation, mais en décalé : Par "conformisme", de façon inconsciente, je me suis lancé le défi d'être mécano sur avion . C'est chouette mais bon, on est en dehors des fondamentaux qui , pour moi, me font choisir un travail :
-être utile, servir à quelque chose ou quelqu'un
-évoluer, avoir une stimulation , impliquer la créativité.
-Trouver un travail en adéquation avec 3 points : mes valeurs, mes centres d'intérêts / passions , et surtout, dans un domaine pour lequel je suis naturellement doué (pas par fainéantise, mais par soucis d'être à ma place, et efficace dans ce que je fais)
Du coup, pendant que je réparais des avions, je me suis dis "mais qu'est ce qui cloche , pourquoi j'ai choisi ce métier ? Je l'aime bien, mais il manque un truc, je ne me sens pas accompli" .
Aujourd'hui, je sais qui je suis. J'ai une conscience et un recul qui me permettent de savoir à peu près comment le monde fonctionne, comment l'esprit humain fonctionne (comment hacker l'inconscient), quel est le sens de la vie etc.
Du coup, le fait d'avoir découvert qui j'étais (en l'occurrence, un zèbre), ça me donne envie d'être dans un milieu où je pourrais encadrer des enfants (normaux, surdoués, handicapés, n'importe... )
En fait, je me sens comme "missionné" pour accompagner les enfants.
Donc quand je te vois t'interroger sur "qu'est ce que je fais là, dans l'EN ?" , et bien je me dis , d'un côté
-waho, qu'est ce que c'est bizarre, c'est précisément le métier parfait !
-finalement, on s'est peut être gouré , y a peut être moyen de s'être, encore une fois, trompé de voie...
Mon aspiration profonde, je ne m'en cache pas, c'est de sauver le monde.
Et quand je vois comment fonctionne l'être humain, d'un point de vue historique, philosophique, psychologique etc, et bien mes conclusions sont d'une évidence : Je veux jouer mon rôle de colibri, et je veux me responsabiliser, être conscient de mon potentiel et l'utiliser au maximum, pour permettre aux enfants d'élever leur conscience, d'élever leur esprit, et d'être les futurs citoyens qui changeront le monde.
Si j'ai envie de travailler avec des enfants, c'est pas juste parce que je suis doué pour ça, ou que j'aime ça (même si c'est le cas, en fait) . En vrai, c'est surtout pour arriver à mes fins : repenser la société de demain, créer un monde libre.
Et vous autres, amis profs, vous avez le même état d'esprit que moi, ou vous êtes un peu largué ?
-Benoit-- Messages : 971
Date d'inscription : 30/10/2016
Age : 32
Localisation : Je travaille à cahors (46), mais je suis aussi là : 24, 31, 34, 84, 87, bref, toute la moitié sud du pays !
Re: Comment savoir ce qui est bon pour nous ? pour prendre une direction ?
-Benoit- a écrit:Salut tout le monde !
Petite parenthèse dédiée à spiro :
C'est curieux, parce que je me suis retrouvé dans la même situation, mais en décalé : Par "conformisme", de façon inconsciente, je me suis lancé le défi d'être mécano sur avion . C'est chouette mais bon, on est en dehors des fondamentaux qui , pour moi, me font choisir un travail :
-être utile, servir à quelque chose ou quelqu'un
-évoluer, avoir une stimulation , impliquer la créativité.
-Trouver un travail en adéquation avec 3 points : mes valeurs, mes centres d'intérêts / passions , et surtout, dans un domaine pour lequel je suis naturellement doué (pas par fainéantise, mais par soucis d'être à ma place, et efficace dans ce que je fais)
Du coup, pendant que je réparais des avions, je me suis dis "mais qu'est ce qui cloche , pourquoi j'ai choisi ce métier ? Je l'aime bien, mais il manque un truc, je ne me sens pas accompli" .
Aujourd'hui, je sais qui je suis. J'ai une conscience et un recul qui me permettent de savoir à peu près comment le monde fonctionne, comment l'esprit humain fonctionne (comment hacker l'inconscient), quel est le sens de la vie etc.
Du coup, le fait d'avoir découvert qui j'étais (en l'occurrence, un zèbre), ça me donne envie d'être dans un milieu où je pourrais encadrer des enfants (normaux, surdoués, handicapés, n'importe... )
En fait, je me sens comme "missionné" pour accompagner les enfants.
Donc quand je te vois t'interroger sur "qu'est ce que je fais là, dans l'EN ?" , et bien je me dis , d'un côté
-waho, qu'est ce que c'est bizarre, c'est précisément le métier parfait !
-finalement, on s'est peut être gouré , y a peut être moyen de s'être, encore une fois, trompé de voie...
Mon aspiration profonde, je ne m'en cache pas, c'est de sauver le monde.
Et quand je vois comment fonctionne l'être humain, d'un point de vue historique, philosophique, psychologique etc, et bien mes conclusions sont d'une évidence : Je veux jouer mon rôle de colibri, et je veux me responsabiliser, être conscient de mon potentiel et l'utiliser au maximum, pour permettre aux enfants d'élever leur conscience, d'élever leur esprit, et d'être les futurs citoyens qui changeront le monde.
Si j'ai envie de travailler avec des enfants, c'est pas juste parce que je suis doué pour ça, ou que j'aime ça (même si c'est le cas, en fait) . En vrai, c'est surtout pour arriver à mes fins : repenser la société de demain, créer un monde libre.
Et vous autres, amis profs, vous avez le même état d'esprit que moi, ou vous êtes un peu largué ?
Salut Benoît !
Alors oui, je partage un peu les mêmes idées et aspirations : aider, apporter mon aide et ma personne pour faire évoluer la société, changer le monde de demain pour le rendre meilleur, plus juste, etc. Et les enfants, c'est clairement la population avec laquelle j'ai le plus de "facilités", c'est naturel, évident et ils me passionnent.
Mais... (oui, il y a un mais), dans l'EN, on se retrouve à adopter des comportements contraires à mes valeurs : accorder beaucoup d'importance aux connaissances plus qu'au vivre ensemble et au bien-être personnel; faire semblant de développer l'esprit critique mais au fond, les normaliser plus qu'autre chose : eh oui, que gagnerait la société à être composée d'êtres réfléchis, capables de dire "non" et de se rebeller ?; craquer et se mettre en colère contre untel qui te pousse à bout : alors que non, untel n'a que besoin d'une attention particulière, mais comme les 29 autres élèves de 2ans de ta classe (c'est difficilement gérable); répondre à des attentes diverses et variées, s'opposant souvent : celles des parents, des inspecteurs, de la société, des collègues... qui t'éloignent de ta créativité et de ton ressenti sur les besoins des élèves; etc.
Du coup, là, beaucoup de gens me disent "Va dans le privé !" (Montessori ou autre), mais ils ne comprennent pas que les enfants qui se retrouvent dans ces établissements sont les enfants qui, je généralise mais c'est l'idée, ont "le moins besoin" de moi. Moi, je veux aider les incompris, ceux qui ont des difficultés, ceux qui n'ont pas de cadre, ceux qui sont en errance... Oui, il y a de ces enfants de partout, et de toute manière, tous ont besoin d'attention. Mais d'autres encore plus, et eux, ils se retrouvent surtout dans ces quartiers joliment nommés "Zone violence" ou "Réseau d'Education Prioritaire".
Tu vois mieux ?
dum.spiro.spero- Messages : 15
Date d'inscription : 28/04/2017
Age : 30
Localisation : Moitié Sud
Re: Comment savoir ce qui est bon pour nous ? pour prendre une direction ?
Oh oui, je vois mieux
Celine Alvarez, sors de ce corps !
Celine Alvarez, sors de ce corps !
-Benoit-- Messages : 971
Date d'inscription : 30/10/2016
Age : 32
Localisation : Je travaille à cahors (46), mais je suis aussi là : 24, 31, 34, 84, 87, bref, toute la moitié sud du pays !
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