Dilemme : choix de raison ou mes envies
4 participants
Page 1 sur 1
Dilemme : choix de raison ou mes envies
Bonsoir tout le monde,
Je m'appelle Marion, j'ai 19 ans et je suis fraîchement bachelière (et diagnostiquée zèbre). J'ai passé divers concours Sc Po mais que je n'ai pas eu (manque certain de motivation), bref mes choix se sont donc rabattus sur mes demandes APB. J'ai eu diverses réponses positives dont 1 que j'ai finis par accepter après une longue hésitation : entrer en Prépa A/L au lycée du Parc. Je ne me suis jamais projetée en classe prépa mais j'ai tout de même postulée pour "faire plaisir" et pour garder un choix de "sécurité". Je ne me voyais en effet pas plus aller à la Fac, car j'ai un réel souci avec le besoin de toujours faire parti des meilleurs. Vient alors mon problème, j'ai un réel besoin (presque incontrolable) de reussite, entrer en classe prépa pourrait être à la fois instructeur ou destructeur... mais mes parents y voient une réelle opportunité à saisir. Je craint donc plus que tout cette rentrée, d'autant plus que je n'ai pas de réelle motivation de reussite d'un concours en particulier.
Mais voilà, je rêve depuis toujours de faire du journalisme, plus concrètement devenir grand reporter ou reporter de guerre. J'en vient souvent à me dire que parfois l'experience, l'audace pourrait m'être plus utile que 2 ans de prépa. J'aime la liberté, les voyages, l'aventure, le sport... j'ai peur de ne pas suivre mes réelles envies mais d'étudier plus pour "faire plaisir", pour obtenir une certaine reconnaissance mais de le regretter plus tard.
J'ignore si mon message est vraiment claire et si j'ai bien réussi à exprimer ma pensée mais je me sent réellement divisée et perdue entre ce que je devrai faire ou non...
J'espère de tout coeur trouver quelques conseils parmi vous.
Merci d'avance
Je m'appelle Marion, j'ai 19 ans et je suis fraîchement bachelière (et diagnostiquée zèbre). J'ai passé divers concours Sc Po mais que je n'ai pas eu (manque certain de motivation), bref mes choix se sont donc rabattus sur mes demandes APB. J'ai eu diverses réponses positives dont 1 que j'ai finis par accepter après une longue hésitation : entrer en Prépa A/L au lycée du Parc. Je ne me suis jamais projetée en classe prépa mais j'ai tout de même postulée pour "faire plaisir" et pour garder un choix de "sécurité". Je ne me voyais en effet pas plus aller à la Fac, car j'ai un réel souci avec le besoin de toujours faire parti des meilleurs. Vient alors mon problème, j'ai un réel besoin (presque incontrolable) de reussite, entrer en classe prépa pourrait être à la fois instructeur ou destructeur... mais mes parents y voient une réelle opportunité à saisir. Je craint donc plus que tout cette rentrée, d'autant plus que je n'ai pas de réelle motivation de reussite d'un concours en particulier.
Mais voilà, je rêve depuis toujours de faire du journalisme, plus concrètement devenir grand reporter ou reporter de guerre. J'en vient souvent à me dire que parfois l'experience, l'audace pourrait m'être plus utile que 2 ans de prépa. J'aime la liberté, les voyages, l'aventure, le sport... j'ai peur de ne pas suivre mes réelles envies mais d'étudier plus pour "faire plaisir", pour obtenir une certaine reconnaissance mais de le regretter plus tard.
J'ignore si mon message est vraiment claire et si j'ai bien réussi à exprimer ma pensée mais je me sent réellement divisée et perdue entre ce que je devrai faire ou non...
J'espère de tout coeur trouver quelques conseils parmi vous.
Merci d'avance
Malije- Messages : 6
Date d'inscription : 02/08/2017
Age : 26
Localisation : Francheville
Re: Dilemme : choix de raison ou mes envies
Bonjour,
Venant moi-même d'achever deux ans de prépa littéraire, je me permets de te répondre.
La première année est généraliste, on y brasse énormément de connaissances - sans la pression inhérente aux différents concours que tu passes en deuxième année. Quelle que soit ta décision à l'issue de cette première année, dans la perspective de faire du journalisme, ça ne semble pas un mauvais choix de suivre dans un premier temps cette formation.
Je peux aussi t'assurer que devant l'ampleur de la tâche, on apprend à relativiser ce "besoin de réussite" , mais je pense qu'être confronté à l'échec est aussi formateur, on est sans cesse appelés à se remettre en question et il est souvent gratifiant de constater les progrès effectués à la fin de l'année.
Vraiment, ça peut être très difficile psychologiquement. Je l'ai personnellement assez mal vécue les premiers mois (hypersensibilité+ éloignement géographique+ complexe d'infériorité+ nature stressée , ce n'était pas un très bon mélange de départ ) , mais il faut savoir prendre du recul , par rapport aux discours de certains profs, par rapport aux premières notes qui ne sont pas du tout significatives... L'important est de ne pas se décourager, et surtout de ne pas s'isoler des autres (certes il ne s'agit pas de fréquenter tout le monde, il y aussi des gens bêtes et particulièrement imbus d'eux-même en hypo comme partout - mais aussi de très belles personnes).
Ce n'est pas une année facile, mais on y apprend beaucoup sur soi-même, sur les autres et sur ses limites.
En revanche il faut y aller parce que TOI, tu en as envie , et non par besoin de "reconnaissance" . C'est une année de vie un peu "entre parenthèses" . Faire ce genre d'études pour "faire plaisir" est littéralement suicidaire si tu n'as pas toi-même d'intérêt pour ce qui y est enseigné , car c'est le moteur de la motivation (plus qu'indispensable pour survivre ) !
En revanche il faut avouer que la prépa ne fait pas une grande place à la liberté dans l'étude... c'est surtout un apprentissage par la rigueur (qui vire parfois en une forme d'académisme sclérosant qui peut être assez rébarbatif, mais bon ça permet d'acquérir des méthodes qui te seront utiles si tu veux par la suite passer des concours quels qu'ils soient ) .
Tout n'est pas rose, mais ce n'est pas l'enfer non plus !
Il faut essayer d'aborder sereinement cette année et d'en tirer le plus grand profit pour toi - et dis-toi que si tu vois que ça ne te convient pas , tu pourras toujours te réorienter, il n'y aucun enjeu vital ! Bon courage à toi.
Venant moi-même d'achever deux ans de prépa littéraire, je me permets de te répondre.
La première année est généraliste, on y brasse énormément de connaissances - sans la pression inhérente aux différents concours que tu passes en deuxième année. Quelle que soit ta décision à l'issue de cette première année, dans la perspective de faire du journalisme, ça ne semble pas un mauvais choix de suivre dans un premier temps cette formation.
Je peux aussi t'assurer que devant l'ampleur de la tâche, on apprend à relativiser ce "besoin de réussite" , mais je pense qu'être confronté à l'échec est aussi formateur, on est sans cesse appelés à se remettre en question et il est souvent gratifiant de constater les progrès effectués à la fin de l'année.
Vraiment, ça peut être très difficile psychologiquement. Je l'ai personnellement assez mal vécue les premiers mois (hypersensibilité+ éloignement géographique+ complexe d'infériorité+ nature stressée , ce n'était pas un très bon mélange de départ ) , mais il faut savoir prendre du recul , par rapport aux discours de certains profs, par rapport aux premières notes qui ne sont pas du tout significatives... L'important est de ne pas se décourager, et surtout de ne pas s'isoler des autres (certes il ne s'agit pas de fréquenter tout le monde, il y aussi des gens bêtes et particulièrement imbus d'eux-même en hypo comme partout - mais aussi de très belles personnes).
Ce n'est pas une année facile, mais on y apprend beaucoup sur soi-même, sur les autres et sur ses limites.
En revanche il faut y aller parce que TOI, tu en as envie , et non par besoin de "reconnaissance" . C'est une année de vie un peu "entre parenthèses" . Faire ce genre d'études pour "faire plaisir" est littéralement suicidaire si tu n'as pas toi-même d'intérêt pour ce qui y est enseigné , car c'est le moteur de la motivation (plus qu'indispensable pour survivre ) !
En revanche il faut avouer que la prépa ne fait pas une grande place à la liberté dans l'étude... c'est surtout un apprentissage par la rigueur (qui vire parfois en une forme d'académisme sclérosant qui peut être assez rébarbatif, mais bon ça permet d'acquérir des méthodes qui te seront utiles si tu veux par la suite passer des concours quels qu'ils soient ) .
Tout n'est pas rose, mais ce n'est pas l'enfer non plus !
Il faut essayer d'aborder sereinement cette année et d'en tirer le plus grand profit pour toi - et dis-toi que si tu vois que ça ne te convient pas , tu pourras toujours te réorienter, il n'y aucun enjeu vital ! Bon courage à toi.
Delfiris- Messages : 1
Date d'inscription : 16/09/2016
Age : 26
Localisation : Paris
Re: Dilemme : choix de raison ou mes envies
Bonjour,
Pour résumer:
As-tu au moins regardé où cela te mènerai ?
J'ai fouiller par curiosité et il me semble que tu peux par la suite postuler à un concours pour devenir journaliste ou re-postuler à Scie-po... (école d'ingé (bien que je ne sais pas si il existe un diplôme d'ingé en journalisme) ou non)
En faite, le problème n'est pas que tu devras être la meilleure, car je doute pas que tu sera l'une d'entre elle mais plutôt, est-ce que tu auras la motivation de travailler sur ce parcours ?
Faut te dire que la prépa, c'est quelques années à travailler d'arrache-pied en oubliant parfois ou longuement t'es envies ("J'aime la liberté, les voyages, l'aventure, le sport.") pour acquérir des compétences en journalisme et enfin obtenir ce que tu souhaites depuis toujours je suppose ^^
Pour t'aider dans ta motivation à aller au bout de tes rêves, j'ai trouvé ça sur le Lycée du parc de Lyon.
En espérant que cela t'aide à définir ce que tu veux devenir....
Il ne faut jamais désespérer à vouloir obtenir le meilleur pour soi. Seules ceux qui se bougent arrivent à de grandes choses.
"Soyez insatiables. Soyez fous. C'est le voeu que j'ai toujours formé pour moi. Et aujourd'hui, au moment où vous recevez votre diplôme qui marque le début d'une nouvelle vie, c'est ce que je vous souhaite." - Steve Jobs
Oui, j'adore déballer des citations comme ça sur le pavé mais ils ont tous un objectif profond :3
Bref, fais ce que ton cœur te dicte de faire
Courage !
Pour résumer:
C'est très clair !J'ignore si mon message est vraiment claire et si j'ai bien réussi à exprimer ma pensée mais je me sent réellement divisée et perdue entre ce que je devrai faire ou non...
As-tu au moins regardé où cela te mènerai ?
J'ai fouiller par curiosité et il me semble que tu peux par la suite postuler à un concours pour devenir journaliste ou re-postuler à Scie-po... (école d'ingé (bien que je ne sais pas si il existe un diplôme d'ingé en journalisme) ou non)
En faite, le problème n'est pas que tu devras être la meilleure, car je doute pas que tu sera l'une d'entre elle mais plutôt, est-ce que tu auras la motivation de travailler sur ce parcours ?
Faut te dire que la prépa, c'est quelques années à travailler d'arrache-pied en oubliant parfois ou longuement t'es envies ("J'aime la liberté, les voyages, l'aventure, le sport.") pour acquérir des compétences en journalisme et enfin obtenir ce que tu souhaites depuis toujours je suppose ^^
Pour t'aider dans ta motivation à aller au bout de tes rêves, j'ai trouvé ça sur le Lycée du parc de Lyon.
En espérant que cela t'aide à définir ce que tu veux devenir....
Il ne faut jamais désespérer à vouloir obtenir le meilleur pour soi. Seules ceux qui se bougent arrivent à de grandes choses.
"Soyez insatiables. Soyez fous. C'est le voeu que j'ai toujours formé pour moi. Et aujourd'hui, au moment où vous recevez votre diplôme qui marque le début d'une nouvelle vie, c'est ce que je vous souhaite." - Steve Jobs
Oui, j'adore déballer des citations comme ça sur le pavé mais ils ont tous un objectif profond :3
Bref, fais ce que ton cœur te dicte de faire
Courage !
Re: Dilemme : choix de raison ou mes envies
Bonjour,
Je me retrouve un peu dans ton cas. J'étais très bonne élève au lycée, je ne savais pas trop quoi faire, j'ai choisi une école d'ingénieur parce que c'était plus ou moins une voie toute tracée pour moi (j'avais une prépa BL en deuxième voeu). Pour "faire plaisir" aussi, à mes profs, à mes parents, et quelque part, pour moi aussi puisque je pensais que comme j'étais bonne, alors je devais faire de grandes études. J'ai bien été conditionnée. Au début je voulais faire ces études, mais elles ne correspondaient pas vraiment à ce que je voulais, et je ne me projetais pas du tout dans ce que je faisais. Je me suis rendue compte avec cette expérience que je suis incapable de faire une chose dans laquelle je ne me sens pas impliquée, et incapable de m'impliquer si je n'en ai pas envie.
Mais peut-être que tu ne fonctionnes pas comme moi, que tu es capable de faire abstraction pendant deux ans. Si je peux me permettre un conseil, je pense que tu devrais tenter la prépa. Comme dit au-dessus, tu pourras ensuite intégrer des écoles de journalisme si c'est toujours ce que tu souhaites faire après. Après la prépa, ou pas, rien n'empêche de se réorienter, tout ce que tu as appris ne sera pas perdu. Ou voyager, vivre des aventures faire du sport. Dans deux ans, il ne sera pas trop tard. Si vraiment cela ne te convient pas, tu peux aussi arrêter et suivre tes envies plus rapidement. Dans tout les cas, je ne pense pas que faire une classe prépa ne te fasse perdre deux ans.
Attention cependant. Je ne te connais pas, je ne sais pas à quel point tu es sensible, ou fragile (je ne dis pas ça dans un sens péjoratif), ou au contraire, résistante Je n'ai pas fait de prépa moi-même, mais j'ai entendu beaucoup de témoignages de gens qui ont été "brisés" par ce type d'études (il n'y a qu'à voir le nombre d'étudiants sous anxiolytiques). Moi-même, l'école d'ingénieur (entre autres choses évidemment) m'a permis d'apprendre beaucoup de choses, mais m'a aussi fait beaucoup de mal. Je te demande de faire attention à toi, de t'écouter, et de ne pas aller au-delà de ce que tu te sens capable de faire psychologiquement.
Bref, fais vraiment ce qui te semble être le mieux pour toi, va où tu te sentiras bien et apaisée. Courage à toi.
Je me retrouve un peu dans ton cas. J'étais très bonne élève au lycée, je ne savais pas trop quoi faire, j'ai choisi une école d'ingénieur parce que c'était plus ou moins une voie toute tracée pour moi (j'avais une prépa BL en deuxième voeu). Pour "faire plaisir" aussi, à mes profs, à mes parents, et quelque part, pour moi aussi puisque je pensais que comme j'étais bonne, alors je devais faire de grandes études. J'ai bien été conditionnée. Au début je voulais faire ces études, mais elles ne correspondaient pas vraiment à ce que je voulais, et je ne me projetais pas du tout dans ce que je faisais. Je me suis rendue compte avec cette expérience que je suis incapable de faire une chose dans laquelle je ne me sens pas impliquée, et incapable de m'impliquer si je n'en ai pas envie.
Mais peut-être que tu ne fonctionnes pas comme moi, que tu es capable de faire abstraction pendant deux ans. Si je peux me permettre un conseil, je pense que tu devrais tenter la prépa. Comme dit au-dessus, tu pourras ensuite intégrer des écoles de journalisme si c'est toujours ce que tu souhaites faire après. Après la prépa, ou pas, rien n'empêche de se réorienter, tout ce que tu as appris ne sera pas perdu. Ou voyager, vivre des aventures faire du sport. Dans deux ans, il ne sera pas trop tard. Si vraiment cela ne te convient pas, tu peux aussi arrêter et suivre tes envies plus rapidement. Dans tout les cas, je ne pense pas que faire une classe prépa ne te fasse perdre deux ans.
Attention cependant. Je ne te connais pas, je ne sais pas à quel point tu es sensible, ou fragile (je ne dis pas ça dans un sens péjoratif), ou au contraire, résistante Je n'ai pas fait de prépa moi-même, mais j'ai entendu beaucoup de témoignages de gens qui ont été "brisés" par ce type d'études (il n'y a qu'à voir le nombre d'étudiants sous anxiolytiques). Moi-même, l'école d'ingénieur (entre autres choses évidemment) m'a permis d'apprendre beaucoup de choses, mais m'a aussi fait beaucoup de mal. Je te demande de faire attention à toi, de t'écouter, et de ne pas aller au-delà de ce que tu te sens capable de faire psychologiquement.
Bref, fais vraiment ce qui te semble être le mieux pour toi, va où tu te sentiras bien et apaisée. Courage à toi.
Csilla- Messages : 97
Date d'inscription : 20/02/2017
Age : 28
Localisation : Lorraine
Re: Dilemme : choix de raison ou mes envies
Je vous remercie sincèrement Delfiris, detect et Csilla pour vos réponses et conseils ! Je pense aussi que quoi qu'il arrive ces potentielles 2 années ne seront pas perdues mais tout comme toi Csilla, j'arrive rarement à me maintenir impliquée dans quelque chose qui ne me correspond pas... en tout cas je vais relire vos messages et cogiter un petit moment dessus.
Merci encore, j'apprecie énormément l'écoute dont font preuve les personnes présentes sur ce forum.
Merci encore, j'apprecie énormément l'écoute dont font preuve les personnes présentes sur ce forum.
Malije- Messages : 6
Date d'inscription : 02/08/2017
Age : 26
Localisation : Francheville
Re: Dilemme : choix de raison ou mes envies
Je crois que lorsque l'on a une envie, elle nous cours après quoiqu'il arrive. J'ai toujours voulu faire plusieurs choses (aéronautique notamment). A presque 30 ans, ça me suit encore. Alors lorsque j'étais plus jeune, je n'ai pas eu l'occasion de faire ce que je voulais. Mais j'ai opté pour un plan de "secours".
C'est à dire que j'ai fait autre chose, mais une autre chose qui pourrait me permettre éventuellement de revenir vers mon souhait initial. Donc je dirais, pas grave si tu ne vas pas dans le journalisme directement, mais prend au moins le soins de faire quelque chose qui peut t'y conduire, même si ce ne sera pas de suite de suite, ni par la voie la plus directe.
Autre solution, l'armée. J'ai remarque que l'on pouvait dans l'armée plus facilement obtenir un poste sans le profil adéquat. Par exemple dans le privé, un poste en logistique ne sera pourvu avec un bonhomme qui a vraiment la formation et l'expérience en logistique. Alors que dans l'armée il y a plus de chance de pouvoir obtenir le job, même si l'on a un pedigree connexe. Ils ont souvent des postes en communication, journalisme en opérationnel ou en état major. Et ils restent ouverts puisqu'au delà du métiers tu restes pas moins militaire. Donc les éléments de comportement sont plus pondérés. Alors que dans une boîte privé, on va pas plus loin que bac+5 dans le domaine et 3/5 ans d'expérience dans le domaine (pour la plupart des cas, dans l'industrie du moins).
Enfin, j'ai un copain pompier volontaire, qui voulait devenir officier pompier. Il n'a pas pu, a échoué de peu au concours. Il est allé dans l'armée de l'air (faire pompier), et par ce moyen dérivé, désormais il a une énorme expertise et des compétences supplémentaires que n'ont pas les pompiers "normaux". Son itinéraire bis lui a finalement permis d'aller au delà de sa destination initiale.
Désolé, c'est très militaire tout ça ^^
C'est à dire que j'ai fait autre chose, mais une autre chose qui pourrait me permettre éventuellement de revenir vers mon souhait initial. Donc je dirais, pas grave si tu ne vas pas dans le journalisme directement, mais prend au moins le soins de faire quelque chose qui peut t'y conduire, même si ce ne sera pas de suite de suite, ni par la voie la plus directe.
Autre solution, l'armée. J'ai remarque que l'on pouvait dans l'armée plus facilement obtenir un poste sans le profil adéquat. Par exemple dans le privé, un poste en logistique ne sera pourvu avec un bonhomme qui a vraiment la formation et l'expérience en logistique. Alors que dans l'armée il y a plus de chance de pouvoir obtenir le job, même si l'on a un pedigree connexe. Ils ont souvent des postes en communication, journalisme en opérationnel ou en état major. Et ils restent ouverts puisqu'au delà du métiers tu restes pas moins militaire. Donc les éléments de comportement sont plus pondérés. Alors que dans une boîte privé, on va pas plus loin que bac+5 dans le domaine et 3/5 ans d'expérience dans le domaine (pour la plupart des cas, dans l'industrie du moins).
Enfin, j'ai un copain pompier volontaire, qui voulait devenir officier pompier. Il n'a pas pu, a échoué de peu au concours. Il est allé dans l'armée de l'air (faire pompier), et par ce moyen dérivé, désormais il a une énorme expertise et des compétences supplémentaires que n'ont pas les pompiers "normaux". Son itinéraire bis lui a finalement permis d'aller au delà de sa destination initiale.
Désolé, c'est très militaire tout ça ^^
Invité- Invité
Sujets similaires
» Ca roule (ma poule :) avec ou sans options :)
» Choix pro/choix de vie : choix difficile... impossible ?
» dilemme de zèbre
» le dilemme du prisonnier
» 48 ans dans quelques jours et toujours pas de voie professionnelle en vue...
» Choix pro/choix de vie : choix difficile... impossible ?
» dilemme de zèbre
» le dilemme du prisonnier
» 48 ans dans quelques jours et toujours pas de voie professionnelle en vue...
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum