Les psys spécialisés en douance sont-ils bons?

Bonjour.
Je suis adulte.
Je me demande depuis peu si je suis un zèbre.

Je n'ai pas encore eu le temps de regarder si les questions que je pose ont déjà été posées sur ce forum.

Je me suis documenté sur la douance via youtube principalement, via le témoignage de zèbres et des prises de paroles de psys spécialisées du domaine.



Ma première question est: vous qui connaissez depuis plus longtemps que moi et mieux le sujet de la douance, les professionels (psys) qui parlent du sujets sont-ils largués ou assez bons?
Ils me semlent plutôt bons car les zèbres qui témoignent disent la même chose que les psys.

Et aussi le test fait par professionels pour savoir si on est surdoué vous semble valable?

Avez-vous lus pas mal de livres sur la douance et constaté qu'un bon nombre de livres disant beaucoup de bétises ou sont-ils bons?




Merci de l'attention que vous m'avez accordé.
:-)

Je conseille la psy Gaêlle Dibou écoute et bous anciennement trajectoir.
De toute façon elle passer le test que si il y a une certitude que l'on soit HP

Invité a écrit:Je me demande depuis peu si je suis un zèbre.

=> Tu as combien de pattes ?

Ἑκάτη a écrit:

HS Pattes:

hahaha
Il semble que l'on parle de jambes chez le cheval par simple admiration de la bestiole, et cela n'est d'usage que chez les cavaliers. C'est donc une sorte d'adoubement de l'équidé pour bons et loyaux services.
Je viens de lire ceci, pour ceux qui tiennent à la précision des termes :
"Pour les zoologues, les animaux ont des membres quand au bout il y a des ongles, et des pattes quand au bout il y a des griffes."

La question reste donc ouverte pour l'humain qui a des moufles
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Haa, sacré Sphinx ! Lui ne s'est pas fait avoir par ces subtilités (tout au moins ceux qui l'ont traduit).



Pour revenir à la question d'origine de "Intivé"
-> Je n'ai jamais consulté de psy pour la douance (je n'aime pas ce terme), donc je n'ai pas d'avis directement sur cela.
-> Par contre, j'ai lu quelques bouquins dans lesquels je me suis reconnu quasiment à 100% "Je pense trop - de Christel PetitCollin". Mais ce n'était pas une découverte pour moi, si j'ai acheté ce livre, c'est parce que j'avais lu qu'elle y décrivait le mode de fonctionnement des gens normaux-pensants. C'était ça ma recherche à l'origine. J'étais un peu déçu car le chapitre est bref, mais ce n'est pas le sujet de son livre, donc c'est normal.

J'aurais tendance à penser que les seuls psy capables d'aborder la sur-efficience, doivent l'être eux-même, sans quoi ils ne pourraient probablement pas concevoir tous les aspects de ces personnalités hors norme, mais c'est peu être un préjugé. Cela ne t'avance pas bcp.

Alors, si tu cherches toujours, un bouquin excellent (j'ignore ce qu'en pensent les zèbres qui l'ont lu) :
"L'adulte surdoué" de Monique de Kermadec (psychologue clinicienne).

Il y en a 2 : "Comment faire simple quand on est compliqué" et "À la recherche du bonheur" (suis moins convaincue par le second, mais il ne s'agit plus, contrairement au premier, de définitions et de statistiques).

De mon côté, après avoir été une enfant ultra précoce (ce qui ne veut rien dire), et m'être sentie cependant en décalage avec le monde, différente sans qu'il s'agisse de ma couleur de peau, de mon origine, de mon orientation sexuelle, etc., ça a été le lecture de ce livre suite à une émission de radio (la Monique venant faire la promo de son 2e livre), et le statut confirmé par une psy que j'ai commencé à voir en thérapie quelques semaines plus tard (j'étais alors en dépression depuis plus de 3 ans et avait essayé différentes thérapies).

Me suis reconnue dans quasiment TOUS les traits, les comportements, les expériences, etc., des adultes surdoués... Je suis hyper critique et, de formation scientifique, je trouve ce livre très bien fait, rigoureux, etc.

Bonne recherche et bonne lecture !

Jusqu'à présent je ne voyais pas (pour moi) un réel intérêt à passer un test pour "certifier" ma différence. C'est vrai que je suis souvent confronté à un sentiment un peu ambivalent de type "mais tu le sais bien, à quoi bon, flatter ton orgueil ?" et là retours à la case départ. Mais de plus en plus je vois un intérêt, ne serait-ce que de ne pas vivre dans le fantasme, et poser des mots, même si au fond de moi j'ai des certitudes. D'une certaine manière, la reconnaissance est salvatrice et permet aussi d'avancer, peut être libérer des blocages ancrés depuis bien longtemps. Et de là la question du psy qui aurait une connaissance du sujet, et une capacité à interpréter correctement. Je n'ai jamais vu de psy flaggué "douance" dans ma région, donc l'approche est effectivement délicate.