Belletegeuse le retour
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Belletegeuse le retour
bonjour a tous. je reviens et cette fois, je lme présente. je ne sais pas trop quoi dire, je suis éducatrice. après vingt ans j'en ai eu marre de ce métier et j'ai repris mes études. Là, les "galères" ont commencé car je n'arrive pas à me faire aux standards d'aujourd'hui, de la même façon que je n'arrivais pas à me faire à ceux d'hier. Après un licenciement de l'éducation nationale, j'ai décidé de vivre en rase campagne, dans la Creuse, où je suis un peu artiste, un peu prof à domicile pour du suivi scolaire et où un heureux évènement est enfin arrivé dans ma vie puisque j'ai rencontré l'âme soeur, enfin presque. Du coup je suis reboostée, mais c'est un peu dur parfois donc j'ai décidé de rejoindre notre chère Communauté.
Re: Belletegeuse le retour
Rebienvenue à toi quoiqu'il en soit !
(la flemme de cherche si c'est "quoiqu'il" ou "quoi qu'il"... je sais jamais ^^)
(la flemme de cherche si c'est "quoiqu'il" ou "quoi qu'il"... je sais jamais ^^)
Bimbang- Messages : 6445
Date d'inscription : 31/07/2016
Localisation : 44
Re: Belletegeuse le retour
J’adore ca fait à peu près le Big bang qui répond à Betelgeuse (laquelle, cette énormissime bébête peut exploser à tout moment et illuminer nos cieux pour quelques longs mois).
Quoiqu’il en soit Belletegeuse ton étoile semble être à son firmament. Béni soit celui qui bouge dans sa vie.
Bienvenue ici.
Quoiqu’il en soit Belletegeuse ton étoile semble être à son firmament. Béni soit celui qui bouge dans sa vie.
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Invité- Invité
Re: Belletegeuse le retour
Merci pour ta réponse, Izo, c'est gentil. j'ai bien choisi mon psudo car ce que tu dis de mon astre, dont j'ai légèrement déformé le nom et qui est à l'origine masculin, me convient parfaitement et me permet de revenir sur ma présentation qui est un peu succinte.
J'ai été repérée zèbre très tôt, avant 4 ans, par des amis de mes parents qui étaient instituteurs. Mes parents étaient inquiets de mes possibilités et ne savaient pas quoi faire de moi car je voulais déjà aller à l'école avec mes camarades plus âgés,. Ces gens qui s'appelaient M et Mme Le Nestour, dans le Puy de Dôme à saint Germain l'Herm si mes souvenirs sont bons, ont affirmé à mes parents que cela existait, qu'il y avait d'autres enfants comme moi, qu'il fallait répondre à mes questions et me laisser m'engager où je désirais aller.
malheureusement mes parents ont déménagé un an plus tard et cela a été la chute. je suis devenue un "phénomène" dans ma nouvelle école, puis, à 10 ans, j'ai été testée pour mon départ en sixième et j'ai repris du poil de la bête pour gérer mon phénoménariat et me faire de nouveau respecter, j'ai mis à peu près 2 ans, cela m'a marquée malheureusement ainsi qu'un évènement à 13 ans quand un "porc" de 80 ans m'a dit des paroles que je ne balancerai pas ici.
Bref, après tout cela j'ai eu des vélléités artistiques, mais je n'ai pas osé en faire part à mes parents car ils n'auraient sûrement pas adhéré à ces projets, j'e me suis irentée vers l'enseignement; l'éducation, qui selon moi ne me prendrait pas trop de temps et laisserait libre cours à l'écriture, la peinture, la photographie qui me passionnaient.
malheureusement je n'ai pas pu devenir institutrice, c'est à ce moment que j'ai rencontré le père de ma fille qui était gendarme et buvait,. je l'ai quitté deux ans plus tard parce qu'en plus de cela il me battait. je suis retournée chez mes parents, et après un moment je suis devenue éducatrice. Mais j'ai réalisé que je ne resterais pas toute ma carrière dans ce milieu qui est à la fois trop déjanté et trop conservateur pour moi. j'ai repris mes études, en sociologie (pour comprendre comment tout ce foutu bazar humain fonctionne, et art, pour grandir, enfin.
j'ai alors obtenu mon CAPES d'arts plastiques mais j'ai échoué à la titularisation.
on ne veut pas de ce fichu truc anomique que je suis, trop ceci et pas assez cela.
Je me suis donc installée dans la Creuse, où j'ai une maison, et j'essaie de retorner dans une profession plus rémunératrice en même temps que je continue dans mon art.
Aujourd'hui, je vais tester la laine feutrée, une spécialité locale qui s'accorde à la fois au dessin minutieux, au travail en volume et aux travaux d'aiguille.
j'ai commencé les travaux d'zaiguille à 4 ans, ma grand mère, qui était certainement zèbre, voulait devenir couturière et n'a pas pu à cause de sa mère.
Je me suis du coup emparée des outils de la fatalité familiale pour la vaincre...
entre temps j'avais été mariée encore une fois avec quelqu'un qui m'a semblé êttre ce qu'on appelle ici et ailleurs un PN, mais il n'a pas pu toucher à mon art...
J'ai été repérée zèbre très tôt, avant 4 ans, par des amis de mes parents qui étaient instituteurs. Mes parents étaient inquiets de mes possibilités et ne savaient pas quoi faire de moi car je voulais déjà aller à l'école avec mes camarades plus âgés,. Ces gens qui s'appelaient M et Mme Le Nestour, dans le Puy de Dôme à saint Germain l'Herm si mes souvenirs sont bons, ont affirmé à mes parents que cela existait, qu'il y avait d'autres enfants comme moi, qu'il fallait répondre à mes questions et me laisser m'engager où je désirais aller.
malheureusement mes parents ont déménagé un an plus tard et cela a été la chute. je suis devenue un "phénomène" dans ma nouvelle école, puis, à 10 ans, j'ai été testée pour mon départ en sixième et j'ai repris du poil de la bête pour gérer mon phénoménariat et me faire de nouveau respecter, j'ai mis à peu près 2 ans, cela m'a marquée malheureusement ainsi qu'un évènement à 13 ans quand un "porc" de 80 ans m'a dit des paroles que je ne balancerai pas ici.
Bref, après tout cela j'ai eu des vélléités artistiques, mais je n'ai pas osé en faire part à mes parents car ils n'auraient sûrement pas adhéré à ces projets, j'e me suis irentée vers l'enseignement; l'éducation, qui selon moi ne me prendrait pas trop de temps et laisserait libre cours à l'écriture, la peinture, la photographie qui me passionnaient.
malheureusement je n'ai pas pu devenir institutrice, c'est à ce moment que j'ai rencontré le père de ma fille qui était gendarme et buvait,. je l'ai quitté deux ans plus tard parce qu'en plus de cela il me battait. je suis retournée chez mes parents, et après un moment je suis devenue éducatrice. Mais j'ai réalisé que je ne resterais pas toute ma carrière dans ce milieu qui est à la fois trop déjanté et trop conservateur pour moi. j'ai repris mes études, en sociologie (pour comprendre comment tout ce foutu bazar humain fonctionne, et art, pour grandir, enfin.
j'ai alors obtenu mon CAPES d'arts plastiques mais j'ai échoué à la titularisation.
on ne veut pas de ce fichu truc anomique que je suis, trop ceci et pas assez cela.
Je me suis donc installée dans la Creuse, où j'ai une maison, et j'essaie de retorner dans une profession plus rémunératrice en même temps que je continue dans mon art.
Aujourd'hui, je vais tester la laine feutrée, une spécialité locale qui s'accorde à la fois au dessin minutieux, au travail en volume et aux travaux d'aiguille.
j'ai commencé les travaux d'zaiguille à 4 ans, ma grand mère, qui était certainement zèbre, voulait devenir couturière et n'a pas pu à cause de sa mère.
Je me suis du coup emparée des outils de la fatalité familiale pour la vaincre...
entre temps j'avais été mariée encore une fois avec quelqu'un qui m'a semblé êttre ce qu'on appelle ici et ailleurs un PN, mais il n'a pas pu toucher à mon art...
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