De mes disparitions..
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De mes disparitions..
Dans l'éducatif on parle de travailler à sa disparition. Je crois que c'est Joseph Rouzel qui dit ça.
Ainsi j'étais éducateur et j'ai si bien travaillé à disparaître que j'ai disparu.
Hop envolé l'éduc.
Et dans la foulé j'ai disparu de la société bien pensante. Ca ne s'est pas fait sans efforts. J'y ai travaillé.
Et voilà que je trouve une nouvelle activité qui me motive et m'exalte tout plein dans ma tête.
Naturopathe. Je sais pas si vous connaissez le truc. On appelle ça parfois aussi un éduc de santé.
Vous devinez ? Et si j'allais pas recommencer à travailler pour disparaître.
Oui mais ça ne s'arrête pas là. C'est existentiel ce truc.
Voilà que dans mes amours aussi. Je tombe en pamoisson devant des sensibilités à fleur de peau, toutes cabossées.
Si belles et l'impression qu'on peut partager encore plus. Tomber en symbiose.
Et toutes ces attentions et tous ces soutiens et ces encouragements..
Forcément un jour, quand on arrive à se sentir dans un nid... on a envie de le quitter.
Et quand elles se sont envolées, moi je disparais.
C'était dans ma renault super 5 à nonente cinq sur l'autoroute que je me faisais tout ces liens. Je veux dire ça peut pas être un hasard.
C'est existentiel à ce niveau là. J'hallucine ?
C'est pas équilibré comme relation à moi même. Tant vouloir disparaître dans les gestes. J'ai intérêt à me mettre à exister à me représenter si je veux vivre un peu de bonheur un jour.
Ainsi j'étais éducateur et j'ai si bien travaillé à disparaître que j'ai disparu.
Hop envolé l'éduc.
Et dans la foulé j'ai disparu de la société bien pensante. Ca ne s'est pas fait sans efforts. J'y ai travaillé.
Et voilà que je trouve une nouvelle activité qui me motive et m'exalte tout plein dans ma tête.
Naturopathe. Je sais pas si vous connaissez le truc. On appelle ça parfois aussi un éduc de santé.
Vous devinez ? Et si j'allais pas recommencer à travailler pour disparaître.
Oui mais ça ne s'arrête pas là. C'est existentiel ce truc.
Voilà que dans mes amours aussi. Je tombe en pamoisson devant des sensibilités à fleur de peau, toutes cabossées.
Si belles et l'impression qu'on peut partager encore plus. Tomber en symbiose.
Et toutes ces attentions et tous ces soutiens et ces encouragements..
Forcément un jour, quand on arrive à se sentir dans un nid... on a envie de le quitter.
Et quand elles se sont envolées, moi je disparais.
C'était dans ma renault super 5 à nonente cinq sur l'autoroute que je me faisais tout ces liens. Je veux dire ça peut pas être un hasard.
C'est existentiel à ce niveau là. J'hallucine ?
C'est pas équilibré comme relation à moi même. Tant vouloir disparaître dans les gestes. J'ai intérêt à me mettre à exister à me représenter si je veux vivre un peu de bonheur un jour.
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Re: De mes disparitions..
Yeah !! trop styli Hyaden. La classe... Ceci étant dit, Caracol n'est pas mauvais non plus... *smiley acrobate*
soto²- Messages : 2760
Date d'inscription : 07/12/2016
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Re: De mes disparitions..
It's the beginning. There is a continuation. I needed a second post. Finally, images share more than just words. It's new to me.
And this moments where i fall and cry but i keep that for me.
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Re: De mes disparitions..
Oui je le crois aussi. I feel it. But i search again the jail's key today. I hope to find it quickly now.
I test
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Re: De mes disparitions..
- (:
- Today I vanish to go see this elsewhere where exist.
It's nice. You're welcome.
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Re: De mes disparitions..
Ce matin je n'avais pas le temps mais quelle envie,
La vie à ce don de nous présenter de surprenantes surprises.
A travers tes mots voir une espiègle ironie pointer le petit bout de son nez.
Irony is smile.
Are you nomad ?
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Re: De mes disparitions..
Et bien ces chapitres qui se ferment et ces chapitres qui s'ouvrent voient ils arriver toujours de nouveaux personnages et disparaître les anciens, idem pour les lieux ? Ca s'apparente presque à une forme de nomadisme dans ma tête. Nomade même dans son mode de vie, là où un nomade au sens traditionnel et plus casanier dans son nomadisme.
J'ai l'impression d'être dans une forme de nomadisme vu de cette façon. Ce qui est ironique parce que je suis plutôt casanier. Au final, ça doit me faire peur de finir ainsi. En une petite quinzaine d'années j'aurais vécu dans des régions très éloignées et différentes les unes des autres. J'aurais été un peu nomade, dans le temps, dans l'espace et dans la manière. J'aurais rencontré des gens très bien que je perds presque de vue, lié des belles relations qui sont difficiles à entretenir dans cette espace.
Et c'est étrange parce que j'ai ce goût du déjà vu. Je veux dire ce côté casanier c'est pas juste du désir de sécurité. J'aime revenir vers des lieux qui me parlent de ces souvenirs et retrouver ces gens que j'aime. Et au final je me retrouve tout à fait ailleurs toujours.
Et je commence tout juste à leEt bien ces chapitres qui se ferment et ces chapitres qui s'ouvrent voient ils arriver toujours de nouveaux personnages et disparaître les anciens, idem pour les lieux ? Ca s'apparente presque à une forme de nomadisme dans ma tête. Nomade même dans son mode de vie, là où un nomade au sens traditionnel et plus casanier dans son nomadisme.
J'ai l'impression d'être dans une forme de nomadisme vu de cette façon. Ce qui est ironique parce que je suis plutôt casanier. Au final, ça doit me faire peur de finir ainsi. En une petite quinzaine d'années j'aurais vécu dans des régions très éloignées et différentes les unes des autres. J'aurais été un peu nomade, dans le temps, dans l'espace et dans la manière. J'aurais rencontré des gens très bien que je perds presque de vue, lié des belles relations qui sont difficiles à entretenir dans cette espace.
Et c'est étrange parce que j'ai ce goût du déjà vu. Je veux dire ce côté casanier c'est pas juste du désir de sécurité. J'aime revenir vers des lieux qui me parlent de ces souvenirs et retrouver ces gens que j'aime. Et au final je me retrouve tout à fait ailleurs toujours.
Et je commence tout juste à le comprendre. Moi qui ne me croyait pas voyageur, je ne fais que cela. Ca s'appelle du tourisme éco-responsable ?
D'ailleurs j'essai d'organiser ma vie dans ce sens. Avoir un pied à terre pendant 5-7 mois. Naviguer entre ces endroits où je suis passé et aller mettre les pieds dans de nouveaux.
Mais dans la disparition la mécanique serait tout à l'inverse. Je disparais parce quelque chose à disparu. Quelque chose dont je suis rarement l'initiateur. Je m'attache difficilement je crois, mais quand ça lâche j'ai comme des envies de prendre l'air. Ce qui dans un sens ne me déplait pas, ça pourrait résonner comme une forme de lâcher prise non ? ou juste de non contrôle. Et ça entraîne des choix et positionnements intéressant.
comprendre. Moi qui ne me croyait pas voyageur, je ne fais que cela. Ca s'appelle du tourisme éco-responsable ?
D'ailleurs j'essai d'organiser ma vie dans ce sens. Avoir un pied à terre pendant 5-7 mois. Naviguer entre ces endroits où je suis passé et aller mettre les pieds dans de nouveaux.
Mais dans la disparition la mécanique serait tout à l'inverse. Je disparais parce quelque chose à disparu. Quelque chose dont je suis rarement l'initiateur. Je m'attache difficilement je crois, mais quand ça lâche j'ai comme des envies de prendre l'air. Ce qui dans un sens ne me déplait pas, ça pourrait résonner comme une forme de lâcher prise non ? ou juste de non contrôle. Et ça entraîne des choix et positionnements intéressant.
J'ai l'impression d'être dans une forme de nomadisme vu de cette façon. Ce qui est ironique parce que je suis plutôt casanier. Au final, ça doit me faire peur de finir ainsi. En une petite quinzaine d'années j'aurais vécu dans des régions très éloignées et différentes les unes des autres. J'aurais été un peu nomade, dans le temps, dans l'espace et dans la manière. J'aurais rencontré des gens très bien que je perds presque de vue, lié des belles relations qui sont difficiles à entretenir dans cette espace.
Et c'est étrange parce que j'ai ce goût du déjà vu. Je veux dire ce côté casanier c'est pas juste du désir de sécurité. J'aime revenir vers des lieux qui me parlent de ces souvenirs et retrouver ces gens que j'aime. Et au final je me retrouve tout à fait ailleurs toujours.
Et je commence tout juste à leEt bien ces chapitres qui se ferment et ces chapitres qui s'ouvrent voient ils arriver toujours de nouveaux personnages et disparaître les anciens, idem pour les lieux ? Ca s'apparente presque à une forme de nomadisme dans ma tête. Nomade même dans son mode de vie, là où un nomade au sens traditionnel et plus casanier dans son nomadisme.
J'ai l'impression d'être dans une forme de nomadisme vu de cette façon. Ce qui est ironique parce que je suis plutôt casanier. Au final, ça doit me faire peur de finir ainsi. En une petite quinzaine d'années j'aurais vécu dans des régions très éloignées et différentes les unes des autres. J'aurais été un peu nomade, dans le temps, dans l'espace et dans la manière. J'aurais rencontré des gens très bien que je perds presque de vue, lié des belles relations qui sont difficiles à entretenir dans cette espace.
Et c'est étrange parce que j'ai ce goût du déjà vu. Je veux dire ce côté casanier c'est pas juste du désir de sécurité. J'aime revenir vers des lieux qui me parlent de ces souvenirs et retrouver ces gens que j'aime. Et au final je me retrouve tout à fait ailleurs toujours.
Et je commence tout juste à le comprendre. Moi qui ne me croyait pas voyageur, je ne fais que cela. Ca s'appelle du tourisme éco-responsable ?
D'ailleurs j'essai d'organiser ma vie dans ce sens. Avoir un pied à terre pendant 5-7 mois. Naviguer entre ces endroits où je suis passé et aller mettre les pieds dans de nouveaux.
Mais dans la disparition la mécanique serait tout à l'inverse. Je disparais parce quelque chose à disparu. Quelque chose dont je suis rarement l'initiateur. Je m'attache difficilement je crois, mais quand ça lâche j'ai comme des envies de prendre l'air. Ce qui dans un sens ne me déplait pas, ça pourrait résonner comme une forme de lâcher prise non ? ou juste de non contrôle. Et ça entraîne des choix et positionnements intéressant.
comprendre. Moi qui ne me croyait pas voyageur, je ne fais que cela. Ca s'appelle du tourisme éco-responsable ?
D'ailleurs j'essai d'organiser ma vie dans ce sens. Avoir un pied à terre pendant 5-7 mois. Naviguer entre ces endroits où je suis passé et aller mettre les pieds dans de nouveaux.
Mais dans la disparition la mécanique serait tout à l'inverse. Je disparais parce quelque chose à disparu. Quelque chose dont je suis rarement l'initiateur. Je m'attache difficilement je crois, mais quand ça lâche j'ai comme des envies de prendre l'air. Ce qui dans un sens ne me déplait pas, ça pourrait résonner comme une forme de lâcher prise non ? ou juste de non contrôle. Et ça entraîne des choix et positionnements intéressant.
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Re: De mes disparitions..
Là d'où j'ai disparu, là d'où je vais disparaître.
https://www.zebrascrossing.net/t33378-et-vous-ou-avez-vous-vecu#1366174
https://www.zebrascrossing.net/t33378-et-vous-ou-avez-vous-vecu#1366174
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Re: De mes disparitions..
Elles sont là, mes disparitions. Elles me parlent m'interrogent. Elles empruntent aux mots des autres. Elles vivent, bougent, bousculent...
Hier, aujourd'hui, demain peut être encore, c'en est une parmi les autres qui me demande ceci.
" La disparition ça te ferait pas pleinement exister à tout hasard ?"
Peut être que j'ai une impression de ne plus pouvoir continuer à vraiment exister comme je l'envie profondément. Une envie sourde, silencieuse qui emporte tout.
Disparaître comme pour figer le temps. Laisser une trace, une image non pas indélébile mais inaltérable à ce moment d'accomplissement et de joie profonde d'être ce soi là.
Un refus d'être moins que ce que j'ai été.
Disparaître c'est un peu figer une empreinte.
Demain des réponses aux points d'interrogation.
Hier, aujourd'hui, demain peut être encore, c'en est une parmi les autres qui me demande ceci.
" La disparition ça te ferait pas pleinement exister à tout hasard ?"
Peut être que j'ai une impression de ne plus pouvoir continuer à vraiment exister comme je l'envie profondément. Une envie sourde, silencieuse qui emporte tout.
Disparaître comme pour figer le temps. Laisser une trace, une image non pas indélébile mais inaltérable à ce moment d'accomplissement et de joie profonde d'être ce soi là.
Un refus d'être moins que ce que j'ai été.
Disparaître c'est un peu figer une empreinte.
Demain des réponses aux points d'interrogation.
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Re: De mes disparitions..
Demain était plus loin, et il y a plus à dire, à écrire.
Au milieu de ces disparitions, ces pensées s'exacerbent, s'envolent, se bousculent, se rencontre et au milieu de ce chambardement arrive à naître parfois dans un petit écrin de clarté une formulation, une pensée, fluide et limpide, une étape au milieu du voyage, un promontoire d'où trouver les bon repères.
Jusqu'à aujourd'hui, ces mouvements s'imposent d'eux mêmes. Ils ne sont ni calmes, ni prévenant. Ils ne laissent que l'urgence face à la tempête. C'est impressionnant, il y a même une certaine forme de majesté quand on la regarde de trop près. Dans ces moments, c'est comme si tout ce qui s'était éteint en moi qui se réveille. Un flot de pensée, une certaine exaltation à se sentir vivre, penser et se déployer de la sorte, percevoir ces solutions qui s'écrivent, qui prennent d'intelligentes directions. Une course qui s'enclenche. Du frisson le long de l'échine, une peur instinctive qui s'apprivoise doucement.
Il y a des gens qui disparaissaient malgré moi, d'autre que je fais disparaître et enfin aujourd'hui quelques uns avec lesquels on joue au chat et à la souris.
Au milieu de ces disparitions, ces pensées s'exacerbent, s'envolent, se bousculent, se rencontre et au milieu de ce chambardement arrive à naître parfois dans un petit écrin de clarté une formulation, une pensée, fluide et limpide, une étape au milieu du voyage, un promontoire d'où trouver les bon repères.
Jusqu'à aujourd'hui, ces mouvements s'imposent d'eux mêmes. Ils ne sont ni calmes, ni prévenant. Ils ne laissent que l'urgence face à la tempête. C'est impressionnant, il y a même une certaine forme de majesté quand on la regarde de trop près. Dans ces moments, c'est comme si tout ce qui s'était éteint en moi qui se réveille. Un flot de pensée, une certaine exaltation à se sentir vivre, penser et se déployer de la sorte, percevoir ces solutions qui s'écrivent, qui prennent d'intelligentes directions. Une course qui s'enclenche. Du frisson le long de l'échine, une peur instinctive qui s'apprivoise doucement.
Il y a des gens qui disparaissaient malgré moi, d'autre que je fais disparaître et enfin aujourd'hui quelques uns avec lesquels on joue au chat et à la souris.
Dernière édition par Caracol le Sam 30 Déc 2017 - 19:04, édité 3 fois (Raison : ..)
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Re: De mes disparitions..
Tout n'est pas clair, mais c'est beau.
Putain que c'est beau
Je me retrouve aussi dans ce que tu décris
Un peu
mais je me suis laissée bercer par ta prose, surtout
Putain que c'est beau
Je me retrouve aussi dans ce que tu décris
Un peu
mais je me suis laissée bercer par ta prose, surtout
*Wish*- Messages : 15
Date d'inscription : 25/12/2017
Age : 34
Localisation : Paris
Re: De mes disparitions..
Cette conversation était trop "cute". On aurait dit "le sud" de Ferrer ou un matin d’automne sur une plage du nord entre châles et merveilleux vent salé. Et le coup du parapluie j'a-do-re! Et puis...Caracol a ouvert la bouche, trop, et puis Hyaden, super mignonne et qui a bien tenté de traduire, n'a plus rien rien compris...
@Hyaden semblait offrir un joli parapluie, pas une compréhension fine de ton naufrage "ouragan" du moment @Caracol.
@Caracol, courage, changes de job si tu penses que c'est mieux pour toi, fais ce que tu aimes faire, vois les gens que tu aimes et qui t'aiment, tu vas peut-être perdre des choses/personnes mais en gagner d'autres, affirmes toi si tu as l'impression de "disparaitre". Pour l'épanchage de ce qui se passe dans ton intérieur chaotique du moment, je ne saurai que trop te conseiller le salon "travail sur soi" pour ce genre de questions, et là tu pourras t’épancher et même poster ta vidéo "ouragan" sans faire peur à personne... Cela passera j'en suis certaine, quand tu auras trouvé tes solutions et l'énergie de les mettre à exécution/à réflexion. Il sera (peut-être) d'ailleurs plus simple pour le reste de ta vie de te poser ces questions profondes (qui peuvent parfois secouer fort un être car il devient encore bien plus "conscient" alors) à 33 plutôt qu'à 60 (peut-être car à 60 tu en auras peut-être d'autres je l'ignore).
@Hyaden je ne pense pas qu'il soit "limite" lool (Pardon @Caracol ).., je comprends beaucoup ton " " (traduction (probable) du smiley : j'y capte plus rien), je pense à vue de nez : perdu dans ses profondes et intimes réflexions existentielles car c'est le moment pour lui, c'est bien probable (peut-être) :- ) donc ben un chouia "bizarre" ou "pas clair" dans le discours surtout si tu es pas fana de métaphores.
@Caracol Courage pour ta tempête, plonges dedans s'il le faut, parfois aller au fond du fin fond c'est cela le courage de se voir et se connaitre, personne n'ayant jamais trouvé ou retrouvé la paix intérieure sur un tapis de yoga rose bonbon quand tout va bien, et si tu fais gaffe un minimum à pas te noyer dedans (j'insiste), et bien l'ombre ou la "tempête" tu la connaitras, et avec un peu de chance, elle sera pas si terrible que cela, et fort de l'avoir rencontré et affronté ta "tempête" (je prends tes mots), alors n'en doutes pas une seconde, le printemps reviendra, niché au fond de toi même, et alors encore plus conscient, plus centré ou "reconnecté à toi même" (je reprends ton expression) il te sera bien utile ce doux et encore plus lumineux printemps, pas seulement pour savourer puissance x100 tes moments d'été ou d'automne mais aussi utile dans tes moments d'hivers (car on ne vit pas dans le monde des bisounours)
Pardon pour le grain de sel, mais c'était si "cute" de vous lire
@Hyaden semblait offrir un joli parapluie, pas une compréhension fine de ton naufrage "ouragan" du moment @Caracol.
@Caracol, courage, changes de job si tu penses que c'est mieux pour toi, fais ce que tu aimes faire, vois les gens que tu aimes et qui t'aiment, tu vas peut-être perdre des choses/personnes mais en gagner d'autres, affirmes toi si tu as l'impression de "disparaitre". Pour l'épanchage de ce qui se passe dans ton intérieur chaotique du moment, je ne saurai que trop te conseiller le salon "travail sur soi" pour ce genre de questions, et là tu pourras t’épancher et même poster ta vidéo "ouragan" sans faire peur à personne... Cela passera j'en suis certaine, quand tu auras trouvé tes solutions et l'énergie de les mettre à exécution/à réflexion. Il sera (peut-être) d'ailleurs plus simple pour le reste de ta vie de te poser ces questions profondes (qui peuvent parfois secouer fort un être car il devient encore bien plus "conscient" alors) à 33 plutôt qu'à 60 (peut-être car à 60 tu en auras peut-être d'autres je l'ignore).
@Hyaden je ne pense pas qu'il soit "limite" lool (Pardon @Caracol ).., je comprends beaucoup ton " " (traduction (probable) du smiley : j'y capte plus rien), je pense à vue de nez : perdu dans ses profondes et intimes réflexions existentielles car c'est le moment pour lui, c'est bien probable (peut-être) :- ) donc ben un chouia "bizarre" ou "pas clair" dans le discours surtout si tu es pas fana de métaphores.
@Caracol Courage pour ta tempête, plonges dedans s'il le faut, parfois aller au fond du fin fond c'est cela le courage de se voir et se connaitre, personne n'ayant jamais trouvé ou retrouvé la paix intérieure sur un tapis de yoga rose bonbon quand tout va bien, et si tu fais gaffe un minimum à pas te noyer dedans (j'insiste), et bien l'ombre ou la "tempête" tu la connaitras, et avec un peu de chance, elle sera pas si terrible que cela, et fort de l'avoir rencontré et affronté ta "tempête" (je prends tes mots), alors n'en doutes pas une seconde, le printemps reviendra, niché au fond de toi même, et alors encore plus conscient, plus centré ou "reconnecté à toi même" (je reprends ton expression) il te sera bien utile ce doux et encore plus lumineux printemps, pas seulement pour savourer puissance x100 tes moments d'été ou d'automne mais aussi utile dans tes moments d'hivers (car on ne vit pas dans le monde des bisounours)
Pardon pour le grain de sel, mais c'était si "cute" de vous lire
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