La Cigale qui fourmillait d'idées
+10
Darth Lord Tiger Kalthu
Paradox25
Sun Simiao
ortolan
Patate
Miss aux yeux arc-en-ciel
Chuna
Poisson zèbre
Justine974
holokian
14 participants
Page 6 sur 6
Page 6 sur 6 • 1, 2, 3, 4, 5, 6
Re: La Cigale qui fourmillait d'idées
Tiens, tiens, on parle de moi ?La Cata Cyclique a écrit:https://www.rtl.fr/actu/international/egypte-un-zoo-soupconne-d-avoir-fait-passer-un-ane-pour-un-zebre-7794241227
@kalthu : PourQuoi t'as fait ça ?
Invité- Invité
Re: La Cigale qui fourmillait d'idées
Doux manteau bleu et boutons blancs
Ses lumières pales subliment l'âme
Je glisse en elle, invente gammes
Cruelle amie de mes jours sans
La chanson de la nuit- 2017
Ses lumières pales subliment l'âme
Je glisse en elle, invente gammes
Cruelle amie de mes jours sans
La chanson de la nuit- 2017
Invité- Invité
Re: La Cigale qui fourmillait d'idées
Fable de rien :
Un aigle royal, aux ergots acérés,
Epiait la montagne pour emplir son gosier
Là-haut, il nichait, dominant la falaise
Son envol provoquant la terreur, le malaise
Les ailes brunes, et le cou fort
Le roi trônait avec sa taille
Il s'imposait de tout son corps
On le disait féroce prédateur
On l'isolait de tous
dans les glaciales hauteurs
Mais nul en plaine ne l'avait croisé
On racontait en bas
Qu'il était comme l'ogre
Sans pitié sans égard
Son repaire une morgue.
Un lapin plus hardi
ou plus fou que les autres,
Decide d'en faire fi
Sur l'herbe folle se vautre
Ses jeux l'amènent haut
Il répand son odeur
Éveille le grand Aigle
Inconscient du malheur
Sa majesté repère sa proie
Plonge sur elle, lui laisse peu de chance
Mais croisant les yeux
affolés par l'effroi
Se résigne, s'incline
Et tire sa révérence
"Je ne peux broyer ta chair tendre
Je ne suis pas le Mal qu'il semble tous attendre.
Va, l'intrépide, cours retrouve la forêt
Et tache bien de taire mon émotivité"
Un aigle royal, aux ergots acérés,
Epiait la montagne pour emplir son gosier
Là-haut, il nichait, dominant la falaise
Son envol provoquant la terreur, le malaise
Les ailes brunes, et le cou fort
Le roi trônait avec sa taille
Il s'imposait de tout son corps
On le disait féroce prédateur
On l'isolait de tous
dans les glaciales hauteurs
Mais nul en plaine ne l'avait croisé
On racontait en bas
Qu'il était comme l'ogre
Sans pitié sans égard
Son repaire une morgue.
Un lapin plus hardi
ou plus fou que les autres,
Decide d'en faire fi
Sur l'herbe folle se vautre
Ses jeux l'amènent haut
Il répand son odeur
Éveille le grand Aigle
Inconscient du malheur
Sa majesté repère sa proie
Plonge sur elle, lui laisse peu de chance
Mais croisant les yeux
affolés par l'effroi
Se résigne, s'incline
Et tire sa révérence
"Je ne peux broyer ta chair tendre
Je ne suis pas le Mal qu'il semble tous attendre.
Va, l'intrépide, cours retrouve la forêt
Et tache bien de taire mon émotivité"
Invité- Invité
Re: La Cigale qui fourmillait d'idées
Ah oui faUt Que je rédige une morale.
Sur les apparences trompeuses
Simple
Basique
Basique
Simple
Sur les apparences trompeuses
Simple
Basique
Basique
Simple
Dernière édition par La Cata Cyclique le Jeu 30 Aoû 2018 - 12:44, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: La Cigale qui fourmillait d'idées
Peur
il y avait une brouillonne idée de ce qui suit.
Un nettoyage d'ardoise pour ne pas obscurcir le sens d'un texte sur l'insécurité administrative et matérielle.
il y avait une brouillonne idée de ce qui suit.
Un nettoyage d'ardoise pour ne pas obscurcir le sens d'un texte sur l'insécurité administrative et matérielle.
Dernière édition par La Cata Cyclique le Jeu 30 Aoû 2018 - 12:46, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: La Cigale qui fourmillait d'idées
-----------
Peur
La faux scille devant la gorge
Sa lame brille sous l'effroi
C'est la peur de la rue
Qui nous ronge
C'est l'enfant sans le toit
Qui sanglote sans fin
Moi je me lève tous les matins
Payer pour une vie de rien
Mais tu as un toit
De l'eau Pour tes mains
C'est cette peur Qui me ronge
Qu'on t'enlève demain
C'est mardi,
L'école m'a écrit
Ils ont dit q't'es un bon petit
"Papa pleure" t'aurais ecrit
Ton pantalon est troué
Tes chaussures sont usées
Les crayons trop cassés
Mais j'ai dl'eau Pour tes mains
Et la peur Qui me ronge
de vivre sans toit demain
Et cette peur Qui me ronge
De vivre sans toi demain
Version terminée-
Peur
La faux scille devant la gorge
Sa lame brille sous l'effroi
C'est la peur de la rue
Qui nous ronge
C'est l'enfant sans le toit
Qui sanglote sans fin
Moi je me lève tous les matins
Payer pour une vie de rien
Mais tu as un toit
De l'eau Pour tes mains
C'est cette peur Qui me ronge
Qu'on t'enlève demain
C'est mardi,
L'école m'a écrit
Ils ont dit q't'es un bon petit
"Papa pleure" t'aurais ecrit
Ton pantalon est troué
Tes chaussures sont usées
Les crayons trop cassés
Mais j'ai dl'eau Pour tes mains
Et la peur Qui me ronge
de vivre sans toit demain
Et cette peur Qui me ronge
De vivre sans toi demain
Version terminée-
Dernière édition par La Cata Cyclique le Mar 28 Aoû 2018 - 8:58, édité 2 fois
Invité- Invité
Re: La Cigale qui fourmillait d'idées
Cynthia
Elle est prolixe, elle se confie
Devant des caméras pour la télé
Pro dans le X, elle imagine
Une carrière acidulée
Elle est jolie, elle se maquille
Brosse ses cheveux sable nacré
Elle est vulgaire, elle se dandine
Sur ses talons trop aiguisés
Des mouchoirs blancs pour purifier
Ses cuisses ouvertes au monde entier
Elle se dit pas qu'elle sera mere
Elle pense ne pas le mériter
Puis vient le soir, met ses baskets
Une queue de cheval et sa casquette
Elle a vingt ans l'âge ou l'on rêve
Eux ne comptent plus toutes celles qui crèvent.
Elle est prolixe, elle se confie
Devant des caméras pour la télé
Pro dans le X, elle imagine
Une carrière acidulée
Elle est jolie, elle se maquille
Brosse ses cheveux sable nacré
Elle est vulgaire, elle se dandine
Sur ses talons trop aiguisés
Des mouchoirs blancs pour purifier
Ses cuisses ouvertes au monde entier
Elle se dit pas qu'elle sera mere
Elle pense ne pas le mériter
Puis vient le soir, met ses baskets
Une queue de cheval et sa casquette
Elle a vingt ans l'âge ou l'on rêve
Eux ne comptent plus toutes celles qui crèvent.
Invité- Invité
Re: La Cigale qui fourmillait d'idées
Pornographie
Hercule tu lui fais mal
Pas de brevet, je te recale
Quand à elle, tu te colles
Meurtrissant ses corolles
Ère du cul, vulgaire
Culture que le cul tue
Sans culte, va , erre
Jouis de ces chairs
sculptés et nus
Porcs sans graphisme
Sans rêve sans âme
Pas d'arôme dans l'aromantisme
JuSte une mort sur le macadam
Moi je veux mourir de tes yeux
De tes mains tendres et de ta peau
Baise mon esprit , de ton doux pieux
M'évanouir à ta grace,
Fondre dans ton repos.
Hercule tu lui fais mal
Pas de brevet, je te recale
Quand à elle, tu te colles
Meurtrissant ses corolles
Ère du cul, vulgaire
Culture que le cul tue
Sans culte, va , erre
Jouis de ces chairs
sculptés et nus
Porcs sans graphisme
Sans rêve sans âme
Pas d'arôme dans l'aromantisme
JuSte une mort sur le macadam
Moi je veux mourir de tes yeux
De tes mains tendres et de ta peau
Baise mon esprit , de ton doux pieux
M'évanouir à ta grace,
Fondre dans ton repos.
Invité- Invité
Re: La Cigale qui fourmillait d'idées
C'est très beau. Bravo de réussir à extraire des souffrances et de la médiocrité de nos temps modernes parfois décourageants un peu de poésie et d'art. Une allégorie de l'idée que la beauté et le meilleur peuvent naître de tout, même du pire !
Lyhan- Messages : 118
Date d'inscription : 02/06/2014
Localisation : ---
Re: La Cigale qui fourmillait d'idées
Merci lyhan, ce qui tu écris la me touche tellement.
J'essaie l'existentialisme, la fable, le classique, j'aime tout faire !
J'essaie l'existentialisme, la fable, le classique, j'aime tout faire !
Invité- Invité
Re: La Cigale qui fourmillait d'idées
L'angoisse comme un monstre, la bête infernale
Je la sens qui me ronge, sa cadence létaleFait mouvoir tout mon corps, s'émouvoir tous mes sensLe noir devient la mort, j'y couche mon errance.Les Poisons dans mon âme en torrents se répandentLeurs flots comme incessants me clouent et je quémandeTon existence encore pour une heure ou Bien deuxTes beaux yeux grand ouverts, te voir encore un peu.Cherir ma vérité mais que valent mes vœuxJe m'en irai demain le corps trop douloureuxDois je donc maudire dois je donc me taireMe débattre ou rester immobile et à terreIl n'est pas raisonnable de défier les dieuxIl est moins sage encore de supporter le feuPour te toucher encor, donner mon âme au diablePactiserai ce soir autour de cette tableDans les affres profonds d'un enfer bien gardéL'élégante Malice proposa le marché- Donne-moi cher sujet deux ans de jeunesse et tu retrouveras pour autant une part d'allégresseTo be continued.
Invité- Invité
Re: La Cigale qui fourmillait d'idées
Une finL'ombre d'un lien sur les parois de ton âmeTu redoutes la réalité, et pourtantL'histoire est finie. Les flammesL'ont brûlée et réduite à néantSuis la trace de son doigt sur le tableau,Regarde l'etheree gracile, comme elle vaS'éloigner de toi d'un pas leger et fluide.Ta fée contourne cailloux et fatras.Captive mais, devant sa fenêtreSe yeux perdus vers l'horizon,Elle a déjà des ailleurs en tête,Dessine loin de cette maison.Sans mur , sur un fil multicolore,Elle rêve de toujours et d'encore,Court loin d'un passé mort.Son coeur a ses raisons,Que plus rien n'endort.Et de reproches en désarroi,De belle danse en décadence,De supplications en silences,Les maux ont volé votre éclat.Quelques vers sur la fin d'un amour,Une banale histoire d'un jour.Quelques plumes sur un coeur lourd,Quelques étoiles dans des yeux velours
Dernière édition par La Cata Cyclique le Mar 28 Aoû 2018 - 13:35, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: La Cigale qui fourmillait d'idées
Elle dort.
La rue s'anime,
Le téléphone sonne,
Le chat crie famine,
Elle dort.
Sur sa table de nuit,
Elle a laissé une lettre,
Elle y dit qu'elle s'ennuie,
Qu'elle a Mal à son être,
En silence, hier soir
Elle a pensé à tout,
A rangé le bazar
Mis de jolis dessous.
Assise en dedans de son lit,
Vivre son dernier jour
C'est Sans larme, qu'elle a pris
Un aller sans retour,
Elle disait "- je voudrais m'endormir
Et ne jamais me réveiller,
Vivre c'est trop souffrir."
Elle dort, Pour l'éternité.
09:02:58
La rue s'anime,
Le téléphone sonne,
Le chat crie famine,
Elle dort.
Sur sa table de nuit,
Elle a laissé une lettre,
Elle y dit qu'elle s'ennuie,
Qu'elle a Mal à son être,
En silence, hier soir
Elle a pensé à tout,
A rangé le bazar
Mis de jolis dessous.
Assise en dedans de son lit,
Vivre son dernier jour
C'est Sans larme, qu'elle a pris
Un aller sans retour,
Elle disait "- je voudrais m'endormir
Et ne jamais me réveiller,
Vivre c'est trop souffrir."
Elle dort, Pour l'éternité.
09:02:58
Dernière édition par La Cata Cyclique le Jeu 30 Aoû 2018 - 12:31, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: La Cigale qui fourmillait d'idées
Je pense à l'ardeur de vos bras, mais je
Suis si lasse à l'idée de l'attente infinie, et
Folle que m'imposera l'hiver loin de vous
Amoureuse de vos mots, j'imagine aussi la solitude
De votre coeur alangui et violent, souffrant probablement .
Vous me manquez.
Comme George Sand-Acrostiche-
Suis si lasse à l'idée de l'attente infinie, et
Folle que m'imposera l'hiver loin de vous
Amoureuse de vos mots, j'imagine aussi la solitude
De votre coeur alangui et violent, souffrant probablement .
Vous me manquez.
Comme George Sand-Acrostiche-
Invité- Invité
Re: La Cigale qui fourmillait d'idées
Nature, rien de toi ne m'émeut, ni les champs
Nourriciers, ni l'écho vermeil des pastorales
Siciliennes, ni les pompes aurorales,
Ni la solennité dolente des couchants.
Je ris de l'Art, je ris de l'Homme aussi, des chants,
Des vers, des temples grecs et des tours en spirales
Qu'étirent dans le ciel vide les cathédrales,
Et je vois du même oeil les bons et les méchants.
Je ne crois pas en Dieu, j'abjure et je renie
Toute pensée, et quant à la vieille ironie,
L'Amour, je voudrais bien qu'on ne m'en parlât plus.
Lasse de vivre, ayant peur de mourir, pareille
Au brick perdu jouet du flux et du reflux,
Mon âme pour d'affreux naufrages appareille.
P. Verlaine
Nourriciers, ni l'écho vermeil des pastorales
Siciliennes, ni les pompes aurorales,
Ni la solennité dolente des couchants.
Je ris de l'Art, je ris de l'Homme aussi, des chants,
Des vers, des temples grecs et des tours en spirales
Qu'étirent dans le ciel vide les cathédrales,
Et je vois du même oeil les bons et les méchants.
Je ne crois pas en Dieu, j'abjure et je renie
Toute pensée, et quant à la vieille ironie,
L'Amour, je voudrais bien qu'on ne m'en parlât plus.
Lasse de vivre, ayant peur de mourir, pareille
Au brick perdu jouet du flux et du reflux,
Mon âme pour d'affreux naufrages appareille.
P. Verlaine
Invité- Invité
Re: La Cigale qui fourmillait d'idées
Les vignerons
Du clocher du village chante un carillon
Les vignes ambres ornées de grappes d'or
Embaument le sucre; et quelle perfection !
Quand le raisin éclate, sur la langue d'abord.
Le jus du raisin tiède, se coule dans la gorge
Prolonge le plaisir, dans notre chair enfouie
Gourmande je saisis le grain blond qui regorge
Du doux liquide blanc, nectar des plus exquis.
Autour du feu de joie, nous célébrons Bacchus
Nous mettons nos plus fines et belles robes blanches
Ils mettent des costumes, quand sonne l'angelus.
Nous nous tenons la main, quand notre tête flanche
Qu'on la nomme Cochelet ou Bien encore Paulée
Elle finira toujours, en bruyante tablée
Depuis des millénaires , la tradition ne change
Et l'on fête toujours la fin de nos vendanges
Du clocher du village chante un carillon
Les vignes ambres ornées de grappes d'or
Embaument le sucre; et quelle perfection !
Quand le raisin éclate, sur la langue d'abord.
Le jus du raisin tiède, se coule dans la gorge
Prolonge le plaisir, dans notre chair enfouie
Gourmande je saisis le grain blond qui regorge
Du doux liquide blanc, nectar des plus exquis.
Autour du feu de joie, nous célébrons Bacchus
Nous mettons nos plus fines et belles robes blanches
Ils mettent des costumes, quand sonne l'angelus.
Nous nous tenons la main, quand notre tête flanche
Qu'on la nomme Cochelet ou Bien encore Paulée
Elle finira toujours, en bruyante tablée
Depuis des millénaires , la tradition ne change
Et l'on fête toujours la fin de nos vendanges
Invité- Invité
Re: La Cigale qui fourmillait d'idées
Je les regarde
Je les regarde.
Comment font-elles, elles ?
Elles veillent, toutes celles que je croise ont ce même regard rassurant, souriant sur le petit qu'elles ont mis au monde. Ce regard Qui en une seconde se charge d'inquiétude ou d'horreur .
J'aime les regarder, les autres femelles, les mères .
L'enfantement dans la douleur et le sang.
Elles sont parfois seules, lui est parti.
Mais elles jamais. Je sais à leur détermination, à la force leur amour, que certaines pourraient tuer pour l'enfant. Je suis de celles la .
Oui, je pourrais tuer pour les défendre .
Comment vivent-elles cette transe ultime avec un être ; je crois qu'une mere normale ne sait se détacher de son enfant, parce qu'elle voit toujours ce moment où elle a senti la douce peau encore moite d'elle, contre elle. Parce qu'elle a senti son odeur. Parce qu'elle a pris le petit corps dans ses bras et a su à cette seconde que la Vie du nouveau ne dépendait que d'elle .
Son torse se modifie pour le nourrir , c'est absolument magnifique .
Meme fatiguée elle tient debout pour eux, meme usée, elle saura se priver.
Cet amour, cette fusion amene parfois au pire .
Quand elle ne va pas bien, elle se cache de l'enfant, et ne l'abandonne pas meme dans la mort.
J'aimerais réfléchir plus avant à cet amour infini, inconditionnel et animal.
Il me fascine car je crois ne rien connaître de plus pur et de plus puissant
Je reve souvent de la main de la mere qui nourrit l'enfant de deux ans ou trois. Patiente , elle attend . Chaque bouchée avalée est une victoire vers la croissance et l'accomplissement de celui auquel elle se consacre.
Parfois aussi, la Mort lui arrache brusquement l'enfant .
Et la j'ai pas le courage de decrire l'éclatement du ventre , du coeur , de sa chair meurtrie jusqu'à la nécrose, de la respiration qui devient l'effort physique le plus douloureux .
Dernière édition par La Cata Cyclique le Jeu 30 Aoû 2018 - 12:38, édité 2 fois
Invité- Invité
Re: La Cigale qui fourmillait d'idées
S'incarner dans des pensées, dans ce qui brûle un etre. A tant y penser, nul n'est epagné par la douleur.
Et si c'était cela etre vivant ?
Les peurs et les ratés marquent l'esprit et le rendent obscur, parfois Pour un temps, parfois à jamais.
On a dit de l'espoir qu'il faisait vivre, nietchze disait que c'était lui qui causait nos malheurs.
Comment concilier cette condamnation à souffrir et l'espoir quand celui ci meme est une vague création de l'esprit nourrie par un instinct primaire de survie.
L'homme n'a de cesse de lutter contre sa conscience qu'il est condamné.
Je me demande si la conscience de la fin, la sienne mais aussi celle de ceux que l'on admire ou l'on aime existe chez d'autres espèces.
On cherche à s'apaiser auprès d'un Dieu, auprès de l'Amour, de paradis artificiels.
Le plus souvent.
Il est certains jourS ou les flammes de l'enfer lèchent mes jambes, menacent de ravager la lumière Qui filtre encore derrière mes paupières.
Brûlent ma plume, et me font me courber.
Et si c'était cela etre vivant ?
Les peurs et les ratés marquent l'esprit et le rendent obscur, parfois Pour un temps, parfois à jamais.
On a dit de l'espoir qu'il faisait vivre, nietchze disait que c'était lui qui causait nos malheurs.
Comment concilier cette condamnation à souffrir et l'espoir quand celui ci meme est une vague création de l'esprit nourrie par un instinct primaire de survie.
L'homme n'a de cesse de lutter contre sa conscience qu'il est condamné.
Je me demande si la conscience de la fin, la sienne mais aussi celle de ceux que l'on admire ou l'on aime existe chez d'autres espèces.
On cherche à s'apaiser auprès d'un Dieu, auprès de l'Amour, de paradis artificiels.
Le plus souvent.
Il est certains jourS ou les flammes de l'enfer lèchent mes jambes, menacent de ravager la lumière Qui filtre encore derrière mes paupières.
Brûlent ma plume, et me font me courber.
Mais je tiens car je ne sais rien faire de mieux qu'aimer.
Invité- Invité
Re: La Cigale qui fourmillait d'idées
La Cata Cyclique a écrit:je ne sais rien faire de mieux qu'aimer.
Ces mots m'ont rappelé une chanson...
Miss aux yeux arc-en-ciel- Messages : 1496
Date d'inscription : 21/04/2016
Age : 105
Localisation : Rêves enchantés
Re: La Cigale qui fourmillait d'idées
Charmant tableau de l'amour amoureux cette balade.
Mais Ca ne me parle pas ! C'est dangereux de *n'être bonne qu'à aimer un seul sujet*
T'aimer de tout mon etre, je ne suis bonne qu'à ça.
Haha, non vraiment pas !
------------
Aimer est-ce que je fais de mieux !
Aimer ou mourir.
L'amour auquel je fais référence est plus universel.
Un regard un peu adouci sur les hommes et un sentiment de plénitude à contempler les offrandes de la Nature.
Ne pas se laisser attendrir par l'amertume et la vengeance, ou la haine.
Ne pas se laisser endormir par l'indifférence.
Je sais faire, mais je sais encore mieux aimer.
C'est le sens de cette phrase.
-------------
En lien :
L'homme est il une anomalie dans ce système ?
Est il logique qu'une espèce détruise son environnement ?
À quelle cause métaphysique cela obéit il ?
Mais Ca ne me parle pas ! C'est dangereux de *n'être bonne qu'à aimer un seul sujet*
T'aimer de tout mon etre, je ne suis bonne qu'à ça.
Haha, non vraiment pas !
------------
Aimer est-ce que je fais de mieux !
Aimer ou mourir.
L'amour auquel je fais référence est plus universel.
Un regard un peu adouci sur les hommes et un sentiment de plénitude à contempler les offrandes de la Nature.
Ne pas se laisser attendrir par l'amertume et la vengeance, ou la haine.
Ne pas se laisser endormir par l'indifférence.
Je sais faire, mais je sais encore mieux aimer.
C'est le sens de cette phrase.
-------------
En lien :
L'homme est il une anomalie dans ce système ?
Est il logique qu'une espèce détruise son environnement ?
À quelle cause métaphysique cela obéit il ?
Invité- Invité
Re: La Cigale qui fourmillait d'idées
J'ai souvent l'impression de vivre dans une dimension fractale.
Les mêmes schémas qui se reproduisent en boucle infinie.
Infinie parce qu'on n'imagine pas Que ca s'arreteraun jour.
L'Humanite qui constituerait LE Meta groupe social, conscient que sa propre survie dépend du comportement de chacun de ses éléments n'est pas une réalité constatée, malgré les moyens de communications et les connecting people.
Les groupes sociaux se décomposent en entité dont les forces s'opposent, on n'est pas câblés pour autre chose, naturellement j'entends.
Qui est assez sage pour effacer sa culture, les acquis transmis par ses parents, qui accueille vraiment la difference au fond de lui en étant prêt à renoncer à certains privilèges que lui confère sa naissance.
L'éducation de l'homme pourrait elle casser cela ? Et quelle éducation ?
Qu'enseigner ? Que dire ? Quel modèle prévaut sur l'autre ?
Des millénaires qu'on pense un absolu de bonheur universel, l'évolution est lente pour certains, elle est trop rapide pour la planète.
Je crois bien que ces problématiques disparaîtront avec l'homme mais qu'on ne solutionnera pas ces paradoxes.
Les mêmes schémas qui se reproduisent en boucle infinie.
Infinie parce qu'on n'imagine pas Que ca s'arreteraun jour.
L'Humanite qui constituerait LE Meta groupe social, conscient que sa propre survie dépend du comportement de chacun de ses éléments n'est pas une réalité constatée, malgré les moyens de communications et les connecting people.
Les groupes sociaux se décomposent en entité dont les forces s'opposent, on n'est pas câblés pour autre chose, naturellement j'entends.
Qui est assez sage pour effacer sa culture, les acquis transmis par ses parents, qui accueille vraiment la difference au fond de lui en étant prêt à renoncer à certains privilèges que lui confère sa naissance.
L'éducation de l'homme pourrait elle casser cela ? Et quelle éducation ?
Qu'enseigner ? Que dire ? Quel modèle prévaut sur l'autre ?
Des millénaires qu'on pense un absolu de bonheur universel, l'évolution est lente pour certains, elle est trop rapide pour la planète.
Je crois bien que ces problématiques disparaîtront avec l'homme mais qu'on ne solutionnera pas ces paradoxes.
Invité- Invité
Re: La Cigale qui fourmillait d'idées
Qui est assez fou pour croire qu'on accueille vraiment la différence au fond de soi en effaçant sa propre culture et ce que nous ont légué nos ancêtres? Comment accueillir cette différence si l'on ne sait pas qui l'on est et d'où l'on vient, ou plutôt comment l'accueillir autrement que sur le mode d'un conflit d'autant plus viscéral et instinctif qu'on en sait pas ce qui nous constitue? Comment rêver d'évoluer sans se connaître?
Lorelei- Messages : 1414
Date d'inscription : 15/08/2016
Age : 36
Localisation : Sion, 1950 CH
Re: La Cigale qui fourmillait d'idées
Il faut, je crois, concéder un effacement partiel.
Je m'explique :
Admettre qu'il n'y a pas de hiérarchie, de meilleur modèle. C'est un peu le sens de l'ataraxie.
Effacement entendu comme modération.
Tout cela n'est pas naturel en effet puisque cette appartenance nousvient de celle par Qui on vient, la première cellule sociale est Bien la famille.
Il s'agit là encore d'un casse tete insoluble ( pardon ^^)
Il n'y a pas de nouveau modèle à inventer et encore moins à imposer.
Réussir à accepter l'existant à valeur égale est deja une gageure.
Je m'explique :
Admettre qu'il n'y a pas de hiérarchie, de meilleur modèle. C'est un peu le sens de l'ataraxie.
Effacement entendu comme modération.
Tout cela n'est pas naturel en effet puisque cette appartenance nousvient de celle par Qui on vient, la première cellule sociale est Bien la famille.
Il s'agit là encore d'un casse tete insoluble ( pardon ^^)
Il n'y a pas de nouveau modèle à inventer et encore moins à imposer.
Réussir à accepter l'existant à valeur égale est deja une gageure.
Invité- Invité
Re: La Cigale qui fourmillait d'idées
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=264020.html
Je vais voir ce film/docu là.
Tout prochainement.
Plonger au coeur de cette réalité, en prendre pleine conscience, meme si ne vaut pas l'expérience.
Je vais voir ce film/docu là.
Tout prochainement.
Plonger au coeur de cette réalité, en prendre pleine conscience, meme si ne vaut pas l'expérience.
Invité- Invité
Re: La Cigale qui fourmillait d'idées
J'ai, en fait, deviné ce que tu voulais dire -je voulais relever que la formulation était bien maladroite, et en même temps approfondir la question pour mieux comprendre ton point de vue, qui n'est pas exactement le mien.
Je n'emploierais pas le mot effacement, mais celui de dépassement. Je pense que la pensée doit à la fois se baser dans les premiers temps sur des cadres préétablis qui la structure pour ensuite, de son propre chef -et non par une utopique pédagogie de la créativité ou de la remise en question- dépasser autant qu'elle le peut les limitations inhérentes au cadre qui a permit sa croissance. Un peu comme un plante qu'on cultiverait en pot avant de la planter en pleine terre.
S'ouvrir à la différence, c'est aussi accepter que certains son encore dans leur pot, qu'ils soient de notre culture ou d'une autre. Je suis bien d'accord que hiérarchiser les pots a priori n'a pas de sens, mais cela ne signifie ni que nous devons abandonner le nôtre, ni qu'il n'est pas légitime de vouloir l'améliorer pour l'adapter mieux au présent, tâche difficile et remplie de pièges car l'on risque de le détériorer sans gain, ni qu'il n'est pas légitime de constater que certains pots sont véritablement peu efficaces pour faire pousser de belles plantes.
Ceci dit, la manière d'être des individus est beaucoup plus importante que leur culture, et sous toutes les latitudes le séquoia se différencie toujours nettement du bambou.
En fait, je ne vois pas où il y aurait un "problème" ou un "casse-tête". Rencontrer un autre, de sa culture ou d'une autre, c'est exactement pareil si l'on veut le rencontrer vraiment. Ce n'est pas facile mais c'est la chose la plus passionnante dans la vie (car toute activité ou l'on n'est pas seul producteur -lire, écouter de la musique... est une rencontre d'un autre).
Lorelei- Messages : 1414
Date d'inscription : 15/08/2016
Age : 36
Localisation : Sion, 1950 CH
Re: La Cigale qui fourmillait d'idées
.
Dernière édition par ortolan le Mer 13 Nov 2019 - 20:00, édité 1 fois
ortolan- Messages : 13579
Date d'inscription : 31/07/2016
Localisation : 404 Not Found
Re: La Cigale qui fourmillait d'idées
J'entends parfaitement ton point de vue lorelei, mais on ne parle pas du même sujet.
Si la rencontre d'un individu ou groupe d'individus restreint et d'une culture ( c'est un raccourci mais tu comprendras, globalement le sens de ce que j'ai en tete) me semble aisée, d'autant plus qu'elle est volontaire, il n'en est pas de meme de la rencontre des peuples à une échelle plus globale.
(La métaphore du contenant, du contenu et de son augmentation par la création ou l'integration d'une nouveauté est assez belle.)
Nous ne vivons pas tous sur cette planète dans les mêmes conditions, certains continents en dominent d'autres, certains peuples sont oppresses, d'autres ne connaissent pas l'état de droit.
Des minorités sont bafouées, au nom des religions, de certains enjeux économiques...
L'acceptation de la difference commence évidemment à l'échelle individuelle.
Il est malheureusement humain de classer, hiérarchiser les valeurs et chacun préférera celles que sa famille lui a transmises.
Dans certaines cultures, la loi du talion est logique car elle ramène l'équilibre dans la douleur ; pour nous occidentaux, le système diffère.
Les passions, l'affect, la loyauté, l'esprit de clan sont, me semble t il, terriblement inhérent à notre instinct grégaire et de ce fait, peu compatibles avec la quête du bonheur universel des peuples.
Il s'agit peut être d'une pensée d'objecteur de conscience.
Mais c'est en cela que le casse tete me semble sans solution.
Sauf à considérer la sage et modérée pensée. Concilier l'existant donc.
Si la rencontre d'un individu ou groupe d'individus restreint et d'une culture ( c'est un raccourci mais tu comprendras, globalement le sens de ce que j'ai en tete) me semble aisée, d'autant plus qu'elle est volontaire, il n'en est pas de meme de la rencontre des peuples à une échelle plus globale.
(La métaphore du contenant, du contenu et de son augmentation par la création ou l'integration d'une nouveauté est assez belle.)
Nous ne vivons pas tous sur cette planète dans les mêmes conditions, certains continents en dominent d'autres, certains peuples sont oppresses, d'autres ne connaissent pas l'état de droit.
Des minorités sont bafouées, au nom des religions, de certains enjeux économiques...
L'acceptation de la difference commence évidemment à l'échelle individuelle.
Il est malheureusement humain de classer, hiérarchiser les valeurs et chacun préférera celles que sa famille lui a transmises.
Dans certaines cultures, la loi du talion est logique car elle ramène l'équilibre dans la douleur ; pour nous occidentaux, le système diffère.
Les passions, l'affect, la loyauté, l'esprit de clan sont, me semble t il, terriblement inhérent à notre instinct grégaire et de ce fait, peu compatibles avec la quête du bonheur universel des peuples.
Il s'agit peut être d'une pensée d'objecteur de conscience.
Mais c'est en cela que le casse tete me semble sans solution.
Sauf à considérer la sage et modérée pensée. Concilier l'existant donc.
Invité- Invité
Re: La Cigale qui fourmillait d'idées
Je ne vois pas en quoi il y aurait un problème à préférer le mode de vie de sa culture d'origine, ni en quoi cela serait contraire au bonheur des peuples --bien au contraire.
Les problèmes me semblent venir de l'impérialisme qui consiste à la domination d'un peuple par un autre par l'imposition d'une culture étrangère ; ainsi que des questions démographiques qui peuvent les poser dans des pays multiculturels.
Certes, le monde "multipolaire" est long à se dessiner mais lentement et sûrement, au fil du déclin américain, il se forme sous nos yeux, notamment autour des BRICS.
L'idée que le bonheur sur Terre viendrait du partage d'une culture et de valeurs commune est on ne peut plus éloignée de ma vision des choses. Je ne vois pas les oppositions entre individus et entre classes sociales --l'histoire mouvementée de la France montre bien ce que des antagonismes peuvent produire comme horreurs au seins d'un seule et même peuple, d'une seule culture-- moins fortes que celles entre peuples et cultures différentes : mais je crois, peut-être à tort, qu'un équilibre est trouvable entre ceux-ci sur la planète.
J'espère aussi que les conflits et les guerres de l'histoire de l'humanité ont été avant tout dû à des questions démographiques et que la disparition de ce facteur entraînera un apaisement généralisé des rapports entre les peuples.
Qui vivra verra.
Lorelei- Messages : 1414
Date d'inscription : 15/08/2016
Age : 36
Localisation : Sion, 1950 CH
Re: La Cigale qui fourmillait d'idées
Note Pour moi :
* passion des hommes vs ataraxie :Check
* ataraxie et tolérance : Check
* lissage des différences par la mondialisation et les moyens de communication, portée : à développer.
* bonheur des peuples et développement économique sans nouveau modèle, impact planète, portée : à développer.
* démographie et guerre : pas compris.
* passion des hommes vs ataraxie :Check
* ataraxie et tolérance : Check
* lissage des différences par la mondialisation et les moyens de communication, portée : à développer.
* bonheur des peuples et développement économique sans nouveau modèle, impact planète, portée : à développer.
* démographie et guerre : pas compris.
Invité- Invité
Re: La Cigale qui fourmillait d'idées
Parfois développer par ecrit est Bien long et fastidieux pour le peu que l'on a à raconter.
J'aimerais mieux Parler Avec toi lorelei
Ajuster sa pensée en temps reel fluidifie les Echanges.
Bonne journée à toi si tu lis ceci.
J'aimerais mieux Parler Avec toi lorelei
Ajuster sa pensée en temps reel fluidifie les Echanges.
Bonne journée à toi si tu lis ceci.
Invité- Invité
Re: La Cigale qui fourmillait d'idées
In my head, its sometimes like this, but feel get lucky
Invité- Invité
Re: La Cigale qui fourmillait d'idées
Dans la chaleur de ses Bras un dimanche comme les autres.
Invité- Invité
Re: La Cigale qui fourmillait d'idées
La meritocratie à ses limites, et elles sont infranchissables.
Le juste est une invention de l'esprit trop logique, le sens des equililibres, une aspiration nue, pure, mais idéaliste.
Je crois qu'aujourd'hui je n'ai plus la force de démontrer que cela pourrait être.
Le juste est une invention de l'esprit trop logique, le sens des equililibres, une aspiration nue, pure, mais idéaliste.
Je crois qu'aujourd'hui je n'ai plus la force de démontrer que cela pourrait être.
Invité- Invité
Re: La Cigale qui fourmillait d'idées
La lucarne luisait d'ombres imparfaites
Était ce là mon âme que je voyais vaine
De feindre un joyeux en ces tristes fêtes
Noyée dans l'alcool d'un verre trop plein ?
Je sortis du bar sombre, dégoûtée des bruits
Des odeurs acres des chairs oubliant leur ennui
Je respirais l'air frais, les idées éclatantes
Je trouvais ma terre vierge de toute déchéance
Je savais dans le fond qu'un jour je vaincrai
Était ce là mon âme que je voyais vaine
De feindre un joyeux en ces tristes fêtes
Noyée dans l'alcool d'un verre trop plein ?
Je sortis du bar sombre, dégoûtée des bruits
Des odeurs acres des chairs oubliant leur ennui
Je respirais l'air frais, les idées éclatantes
Je trouvais ma terre vierge de toute déchéance
Je savais dans le fond qu'un jour je vaincrai
Invité- Invité
Re: La Cigale qui fourmillait d'idées
Et voici que se présente à moi la plus belle opportunité professionnelle Que j'ai eue jusqu'à lors.
Je disais le 11/10 Que je vaincrai.
Je n'y suis pas tout à fait.
Le mérite, la confiance, tout cela prend du temps.
Puis mon fichu caractère, mes intransigeances ne vont ils pas me trahir ? Ou plutôt serai je capable de maîtriser la fournaise que je ressens comme une onde devant une situation criante d'injustice ou aberrante ?
Depuis le temps, je n'explose plus, mais mon indignation transparaît. Pas vraiment compatible avec le monde de l'entreprise ou l'on doit être sans cesse en représentation. Ou l'on doit être ce qu'on attend de vous.
Je n'ai pas d'ambition particulière mais j'aime les défis, Ca se rejoint mais l'objectif n'est pas vraiment le meme : se surpasser, évoluer, se confronter et gagner la partie. Ca c'est stimulant !
Je disais le 11/10 Que je vaincrai.
Je n'y suis pas tout à fait.
Le mérite, la confiance, tout cela prend du temps.
Puis mon fichu caractère, mes intransigeances ne vont ils pas me trahir ? Ou plutôt serai je capable de maîtriser la fournaise que je ressens comme une onde devant une situation criante d'injustice ou aberrante ?
Depuis le temps, je n'explose plus, mais mon indignation transparaît. Pas vraiment compatible avec le monde de l'entreprise ou l'on doit être sans cesse en représentation. Ou l'on doit être ce qu'on attend de vous.
Je n'ai pas d'ambition particulière mais j'aime les défis, Ca se rejoint mais l'objectif n'est pas vraiment le meme : se surpasser, évoluer, se confronter et gagner la partie. Ca c'est stimulant !
Invité- Invité
Re: La Cigale qui fourmillait d'idées
Asperger et thqi.
Manque affectif durant l'enfance.
Quelles implications dans la vie professionnelle, sociale et amoureuse ?
Je vais poser des mots sur mon cas, un de ces jours. J'espère partager avec des gens qui ont ce profil.
Et le cra qui me rappelle pour faire un bilan suite aux stratégies mises en place. Bah j'ai rien fait, je continue à prendre un traitement contre l'anxiété, je prends sur moi, et je m'accroche. Donc j'irai pas à leur rendez-vous. Une fois qu'on vous dit ca, on vous donne une liste de médecins plus ou moins éloignés de votre domicile et débrouillez vous.
Manque affectif durant l'enfance.
Quelles implications dans la vie professionnelle, sociale et amoureuse ?
Je vais poser des mots sur mon cas, un de ces jours. J'espère partager avec des gens qui ont ce profil.
Et le cra qui me rappelle pour faire un bilan suite aux stratégies mises en place. Bah j'ai rien fait, je continue à prendre un traitement contre l'anxiété, je prends sur moi, et je m'accroche. Donc j'irai pas à leur rendez-vous. Une fois qu'on vous dit ca, on vous donne une liste de médecins plus ou moins éloignés de votre domicile et débrouillez vous.
Invité- Invité
Re: La Cigale qui fourmillait d'idées
La Cata Cyclique a écrit:Asperger et thqi.
Manque affectif durant l'enfance.
Quelles implications dans la vie professionnelle, sociale et amoureuse ?
Je vais poser des mots sur mon cas, un de ces jours. J'espère partager avec des gens qui ont ce profil.
Et le cra qui me rappelle pour faire un bilan suite aux stratégies mises en place. Bah j'ai rien fait, je continue à prendre un traitement contre l'anxiété, je prends sur moi, et je m'accroche. Donc j'irai pas à leur rendez-vous. Une fois qu'on vous dit ca, on vous donne une liste de médecins plus ou moins éloignés de votre domicile et débrouillez vous.
Je crois que chacun avec notre ou nos particularités, c'est toujours et encore le système D...
Miss aux yeux arc-en-ciel- Messages : 1496
Date d'inscription : 21/04/2016
Age : 105
Localisation : Rêves enchantés
Page 6 sur 6 • 1, 2, 3, 4, 5, 6
Page 6 sur 6
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum