des Zebres qui dorment bien la nuit?

bonjour à tous et toutes,

je voudrais savoir si parmi vous il existe des zèbres qui dorment assez bien la nuit. Dans mon questionnement je precise que je stresse et fait du tricot cerebral toute la journée,des le réveil et que je fais des séances de sieste des que possible (pas toujours concluantes).
je ne lis que des temoignages de sommeil chaotique ou de difficultés à s'endormir d’où mon questionnement.
avez vous des témoignages. Je vous remercie et bonne journée à tous

Si je comprends bien tu n'as pas particulièrement de problèmes de sommeil ?
Je dors plutôt bien, il est rare que je tarde à m'endormir. Selon les périodes, je peux en revanche me réveiller trop tôt et me mettre à cogiter à partir de là.
En règle générale, je dirais que j'aime dormir, c'est un repos bénéfique pour moi, un peu comme l'impression de me baigner dans une eau fraîche et bienfaisante.

De manière générale c'est "assez bien" avec endormissement pas facile mais pas trop difficile. Par périodes de quelques semaines, j'ai des pics d'hyper activité cérébrale et là c'est l'enfer: endormissement compliqué, réveil systématique vers 3-4h.
Je suis contre les solutions médicamenteuses, donc quand ça arrive, j'utilise mon spray de melatonine et ça fonctionne bien. Quitte à en reprendre si je me réveille en pleine nuit, pour me rendormir, car je supporte très mal le manque de sommeil dans la journée.
Le spray c'est mieux que le cachet de melatonine, ça agit plus vite grâce aux capteurs qu'on a ds la bouche.

J'ai également un rituel strict avant de me coucher, qui fonctionne "bien". Plus d'écran quand je suis au lit. Lumière très tamisée voire bougie. Lire, même juste une ou deux pages si je me sens exténuée, mais lire qd mm. En général, c'est suffisant pour que mon cerveau se détourne de ses réflexions... Incessantes!!!

merci de vos témoignages j'ai bien dormi
j'aime le sommeil également, quand je dors je ne "pense pas" alors quel plaisir "aussi"...cela m'a valu des périodes d'hypersomnie. je pense que d'etre consciens de ça m'"excite à vouloir entrer en phase de sommeil" (eh bien elle est bien bonne celle là!!! ). alors c est un peu comme un switch on/off.

Je reviens lire, et je confirme pour les rituels, notamment le fait de lire. J'ai toujours lu avant de m'endormir, et ça crée par la force de l'habitude une sorte d'auto-hypnose. Quand ma fille aînée a eu des problèmes d'endormissement, l'infirmier du collège m'a conseillé de la laisser s'endormir en lisant, même tard (23 h au début). Petit à petit, elle s'est recalée sur des horaires plus acceptables, vers 21 h 30.
Un produit qui marche bien aussi, c'est le spray Rescue des fleurs de Bach. Il en existe un pour la nuit, et même en cas de réveil précoce, pour moi ça marche.
Je n'ai jamais pratiqué, mais peut-être qu'un temps de méditation avant de dormir peut aider à apaiser le mental ?

Salut,

Bien dormir est mieux accessible à température agréable, dans le calme, et le ventre léger.

Puisqu'on commence évoquer les produits, j'ai spécialement apprécié les tisanes de Caléa Zacatechichi pour la sieste.

Perso moi c'est très variable. Quand je suis seul je traîne, genre des fois jusqu'à 4h du mat' (séries TV). Bizarrement, quand je suis avec ma copine, qui elle est vraiment naturellement couche-tard ("night owl" comme disent intelligemment les anglophones), je m'endors beaucoup plus tôt, au point qu'elle me le reproche car je m'empafe devant le 3eme épisode de Big Bang Theory de la soirée... à 22h30. J'ai un pote chez qui le même mécanisme est à l'œuvre. J'imagine que l'oxyocine a son rôle à jouer dans tout ça également.

Hello Crescendo,
pareil que ce qui a été écrit, j'aime dormir, et je pense avoir de gros besoin en sommeil.
ça dépend des périodes mais si la machine à penser se met en route au moment de l'endormissement, ou vers 3-4h du mat', c'est foutu... en général je lis le soir jusqu'à tomber de sommeil (m'abrutir le cerveau). Mais pour les réveils nocturnes j'ai rien trouvé.

Mon enfant probable zèbre dort peu depuis sa naissance (une vraie galère la première année - était stimulé par tout son environnement) et est aussi sujet à difficultés d'endormissement ou réveils trop tôt donc je pense que c'est une caractéristique...

mmashoro tu parles d'ocytocine, mon interprétation c'est que quand je suis accompagnée les angoisses nocturnes sont moins vives... mais y'a peut-être aussi combinaison avec un facteur hormonal en effet...

Je n'ai jamais pratiqué, mais peut-être qu'un temps de méditation avant de dormir peut aider à apaiser le mental ?

J'ai remarqué que ça n'aidait pas. J'ai eu cette tendance pour calmer mes pensées en période hyper active, mais le truc c'est qu'après la méditation, mon cerveau est clair, réveillé, et n'a pas du tout envie de s'endormir. Je suis restée parfois très longtemps ainsi, allongée, calme, mais pas du tout en phase "sommeil".

Quand je suis seul je traîne, genre des fois jusqu'à 4h du mat' (séries TV). Bizarrement, quand je suis avec ma copine, qui elle est vraiment naturellement couche-tard ("night owl" comme disent intelligemment les anglophones), je m'endors beaucoup plus tôt, au point qu'elle me le reproche car je m'empafe devant le 3eme épisode de Big Bang Theory de la soirée... à 22h30. J'ai un pote chez qui le même mécanisme est à l'œuvre. J'imagine que l'oxyocine a son rôle à jouer dans tout ça également.

Alors ça, ça me cause, mais pas dans les mêmes circonstances.
Dans la semaine, j'ai envie de trainer, alors que c'est là que je devrais aller au lit de bonne heure. C'est comme une frustration de ne pas avoir eu assez de temps pour moi, comme une impression de "voler" du temps de plaisir, et ça me plait ^^
Arrive le vendredi où je pourrais me permettre de me coucher tard, mais là, bizarrement, j'ai envie de dormir beaucoup plus tôt. Y a pas d'enjeu, un truc comme ça.
Perso, j'ai l'impression que c'est un truc de gosse. Une sorte de caprice enfantin ou remontant à l'enfance.

Bimbang > Haha, oui, je comprends totalement ça. J'ai un peu la même chose, en ça que j'ai pas envie de bosser la semaine, contrairement au dimanche. Un genre d'esprit de contradiction. D'ailleurs, dès que je me dis "aujourd'hui je bosse pas, je chill", bizarrement, ma motivation à faire des trucs "productifs" remonte en flèche. C'est très perturbant. Je crois que je ne tolère pas du tout la contrainte, même venant de moi (surtout venant de moi ?).

Et quant au sommeil, si j'ai longtemps pensé être un couche-tard, je me vois aujourd'hui beaucoup plus comme biphasique, car j'ai généralement de l'énergie le matin, le soir, mais pas du tout dans l'après-m. Je compte émigrer vers l'Espagne pour que le style de vie ambiant s'accorde mieux avec ma nature.

Les naturopathes, il me semble, utilisent ces données (coup de mou) pour faire un diagnostic sur des dysfonctionnements probables de tel ou tel organe. Chaque organe à son heure de prédilection.
Renseigne toi, on ne sait jamais.

Sommeil chaotique depuis nourrisson. Dans mon enfance je m'endormais tard (le cliché de la tête qui ne veut pas s'arrêter et qu'on voudrait exploser contre les murs) et je me réveillais vers 3h à 4h du matin donc cela me faisait entre 3 et 5h de sommeil par nuit, ce qui n'était pas du tout suffisant pour moi. Le sommeil était également de mauvaise qualité, je me réveillais la tête toujours aussi pleine (jamais connu l'état "c'estlematinjevousmangesivousmapprochez", je suis alerte dès la première seconde où j'ouvre les yeux). le "max 5h de sommeil" (ça arrivait que je dorme plus mais c'était honnêtement relativement rare hélas) a continué encore et encore.

Parfois je ne fermais plus du tout l'oeil de la nuit, il me prenait fréquemment l'envie irrépressible de me relever pour aller modifier un détail sur une de mes maquettes par exemple.
J'avais la sensation atroce de perdre du temps en dormant. l'école me prenait déjà plus de 10h par jour (en comptant les trajets), il m'était inconcevable de laisser tomber ce qui était véritablement important pour moi et j'avais vraiment besoin de décompresser de cet ennui. Mon gros défaut c'est qu'apprendre ne m'a jamais comblée, il m'a toujours fallu des actions concrètes à côté. Or il faut du temps pour "faire" en plus d'apprendre.

Je suis presque née avec la sensation d'être déjà au terme de ma vie (j'exagère, je l'ai conscientisé en maternelle) alors je ressentais une impatience à agir très impérieuse, omniprésente, tyrannique. Impossible de me détourner d'elle, c'était comme un élément inconnu qui s'ajoutait à mon environnement et modifiait jusqu'à mes mouvements (dans le sens où ça pourrait être perçu comme une seconde peau avec une physique particulière).

C'était un cercle vicieux car j'étais fatiguée en permanence et je m'écroulais parfois.

Tenez, c'est marrant, ça me fait penser à quelqu'un qui marchait avec moi en altitude et qui s'essoufflait car elle plaçait mal sa respiration et qui m'avait dit "non mais je sais que je suis en tort, en plus de ne pas savoir placer ma respiration je veux déjà être arrivée avant d'avoir commencé à marcher !". Quand on sait déjà ce qu'on veut et ce qu'on ne veut pas dans la vie, j'ai la sensation que c'est un peu le même souci qui survient : on veut déjà être arrivés avant même d'avoir commencé ! On le veut mais aussi on l'est (déjà arrivés) car il y a comme une dissociation entre le corps et l'esprit (un peu comme les problématiques de vivre dans le futur alors que nous sommes malgré nous dans le présent). Je crois que ça a été mon souci dès la prime enfance et c'est ce qui a dû jouer sur la sensation d'être déjà au terme de ma vie (et donc d'être très pressée car je manquais de temps).

J'ai eu beaucoup d'angoisses nocturnes avec cette sensation de perdre du temps. Perdre du temps pour en gagner au final était très dur à accepter.
Je n'aimais pas du tout non plus le fait d'être si vulnérable durant mon sommeil. J'avais peur qu'on me tue, qu'on me prenne le peu de temps qu'il me restait déjà.

Bref, toute une myriade de choses a joué.

Au-delà de la dimension psychologique, il y avait aussi le fait que j'ai toujours eu un gros déficit en vitamine D. Cela fait un peu plus d'un an que je me complémente en vitamine D3 et les résultats sur mon sommeil ont été spectaculaires. J'ai trouvé le sommeil pour la première fois de ma vie. Avant c'était lui qui me traquait. Je suis toujours alerte dès la première seconde de mon éveil mais je dors régulièrement plus de 7h, avec un sommeil de qualité honorable par rapport à ce que j'ai pu connaître auparavant.

Bref, superbe évolution pour moi sur ce point et j'en suis très heureuse ! Je souhaite à tous ceux qui ont mauvais sommeil d'avoir un jour le plaisir d'aller le trouver et de lui tendre la main plutôt que d'être sa proie.

Très difficile d' "éteindre" le cerveau

Excellent sommeil pendant près 40 ans avec de gros besoins (loooongues nuits) et ce, malgré une vie très stressante depuis le début (je dirais même 9 mois avant, si on appelle le "début" le jour de la naissance). Sommeil exécrable depuis 10 ans, mais pour des raisons physiologiques.

Beaucoup de terreurs nocturnes étant petit,cauchemars recurrents, somnambulisme aussi.
A l'heure actuelle le moindre bruit est amplifié ( hyperacousie?). Du coup l'endormissement est perturbé. Pas mal de reveils en pleine nuit et de pensées obsessionnelles. Sinon tout va bien...

J’en suis, à bien dormir la nuit.

Desolé je viens de me rendre compte que mon post n'etait pas directement en rapport avec le sujet.

Je m'endormais relativement tard jusqu'à mes 14 ans environ : quelques terreurs nocturnes, quelques apnées du sommeil, et le plus souvent mon esprit divaguait dans des pensées anxieuses ou des mondes imaginaires que j'avais élaboré dans ma tête.

Aujourd'hui, il m'arrive encore de mal dormir, mais en général je récupère la nuit d'après. La manière la plus efficace de tomber dans les bras de Morphée est de lire, ou bien d'avoir couru ou nagé. Selon l'activité physique, ça me booste et je n'ai plus envie de dormir, ou bien ça m'assomme et je tombe vite de sommeil.

J'ai besoin de 7-8h de sommeil, et mon pic d'énergie est plutôt en soirée.

Je dors super bien la nuit, mais j'ai un truc quasi impératif : m'occuper le cerveau pour m'endormir...

Quand j'étais tout petit (avant de savoir compter), je m'inventais des histoires (généralement je sauvais la vie d'une fille de l'école en me pétant un bras et elle tombait folle amoureuse de moi).

Quand j'ai su compter j'ai commencé à me poser des équations de plus en plus compliquées. Le classique c'était la division au pif genre 37534 / 17, j'allais le plus loin possible après la virgule.

Et puis j'ai découvert les audiobooks... Je fais ça depuis une quinzaine d'années je dirais. Harry Potter ou Tolkien en anglais, récemment Game of Thrones (romans bien entendu).

Et dernièrement je me suis mis à Star Talk, une émission de vulgarisation scientifique de radio fabuleuse de Neil DeGrasse Tyson (mon idole). Je l'écoute depuis plusieurs années, mais je n'avais pas essayé pour dormir, et c'est génial.

Enfant, j'avais des difficultés à m'endormir, maintenant ça va mieux (tant que j'évite le café à partir de 15h, qui est souvent fatal à l'endormissement chez moi). Parfois, un peud e mal à m'endormir, je prends un Aspegic (aspirine en poudre) et ça m'aide. Un autre truc, sans médicament : me concentrer sur ma respiration. Le but c'est de focaliser ma pensée sur les mouvements liés à la respiration, sentir l'air passer dans le nez, etc. Ainsi occupé, le cerveau "réfléchit moins" et ça aide à s'endormir. En complément : double éclairage dans le salon (un puissant en lumière du jour et un faible en lumière incandescente, utilisé le soir à partir du repas), et logiciel f.lux sur le pc pour adapter la température de couleur à l'heure de la journée.

Pourquoi en particulier la nuit ? C'est très mauvais pour la santé pour environ un tiers des personnes, intelligentes ou non. Idéal pour les vrais diurnes et indifférent pour les autres (adaptables ou ni totalement diurnes, ni totalement nocturnes, ils peuvent y arriver sans trop de difficulté mais avec un temps pour bien se réveiller).

Le plus important est de dormir suffisamment, quel que soit le moment de la journée. Cela aide beaucoup quand vous travaillez de nuit. La durée est fonction de la qualité du repos et la qualité de ce dernier de la capacité à se détendre suffisamment pour se déconnecter. C'est donc l'habitude à s'endormir à une heure précise qui joue au long terme. Au court terme, des efforts plus importants forçant le corps à récupérer et à enlever ou mettre en arrière-plan ce qui peut vous peser.

Des artifices sont possibles mais je trouve qu'ils ne sont pas bons car ils conditionnent l'obtention du sommeil (alimentation, lecture, ... Etc.). Hormis les problématiques de santé se répercutant sur le sommeil, je pense que cela vaut mieux que de se laisser envahir par l'insomnie via pensées envahissantes, histoire de se changer les idées ou de répondre à une demande.

La vraie origine du problème n'est pas de dormir ou de ne pas arriver à dormir. Ce n'est qu'une conséquence, conséquence mauvaise pour la santé mais résultat de ce que la plupart n'arrivent pas à faire silence en eux et autour d'eux. On dort donc toujours mieux en campagne assez isolée qu'en ville et c'est effectivement la nuit que c'est le plus calme car il y a toujours des gros cons, intelligents ou pas, qui font chier les autres en parlant pour ne rien dire ou qui parlent trop au lieu d'agir.

Quant à ceux qui ne pensent qu'à leur gueule ou leur formatage en imposant les horaires de sommeil à l'entourage, quitte à ne rien branler d'autre qu'à faire du bruit pour aider l'autre soit à dormir plus, soit à dormir moins, soit à ne plus accepter un travail de nuit ou encore à se caler sur ses propres horaires, ce ne sont que des salopards incapables de bien se réveiller, ce qui est pire...

T'en avais gros sur la patate!

J'ai toujours la patate et c'est ça qui me sauve. J'ai même la chance de programmer la durée de mon sommeil en fonction de mon emploi du temps, de façon à pouvoir jouer la carte de l'excellence dans ce que je fais ou alors de ne pas rester à rien faire, c'est selon.

Si je veux me disperser en pensées, je me disperse... Si je veux me concentrer, je me concentre... Et si je veux faire le vide, je fais le vide (ou alors je dors sans tarder si je suis épuisé quand je fais ce vide car selon le corps, c'est une autorisation de l'esprit qui lui dit : "Activez le processus d'endormissement du corps et d'éveil de la conscience !").

Non pas que j'en avais gros sur la patate mais plutôt que je voyais grand de l'arène... étant à l'époque fou de l'arène...

ocefuxus, WOW, c'est quoi ce super pouvoir ?? Je suis trop jaloux !

J'ai énormément de mal a m'endormir, depuis toujours. Ta réflexion "pourquoi en particulier la nuit" me semble assez pertinente.. en tout cas dans mon cas puisuqe j'ai l'impression de ne jamais aussi bien dormir que pendant la journée !

J'ai toujours eu régulièrement du mal à dormir, depuis ma petite enfance... Mais dernièrement j'ai appris à essayer de plus penser à rien ou à me concentrer sur une forme imaginaire ou un petit bruit (comme dans la médiation) et ça marche très bien quand je sens que mon cerveau est en survoltage (oui bon ça prend quand même du temps, le temps déjà que je prenne conscience qu'il faudrait mieux dormir que de penser, le temps que mon cerveau m'écoute, qu'il m’obéisse et ensuite que ça marche...). Mais je sens que je commence à avoir un début de maitrise sur cet animal sauvage qu'est mon cerveau.

Pour vous ajouter mon témoignage : ça fait des années que je dors super bien.

Je peux m'endormir partout, n'importe quand. Je peux même me rendormir après 10 heures de sommeil si j'ai encore l'envie de dormir.

et après 6 heures de sommeil je ne suis pas fatigué pour autant...

Ceci dit, tout ça a bien évolué avec le temps ! Lorsque j'étais ado, par exemple, j'avais vraiment besoin de dormir au moins 8h45 et lorsque j'étais enfant je mettais des heures à m'endormir : puisque j'étais trop occupé à faire des réunions avec tous mes amis imaginaires pour debriefer ma journée

Perso, si je ne lis pas au minimum 2 pages (en étant bourré ... on compense comme on peut, le reste du temps c'est plutôt une cinquantaine) il est extrêmement rare que je m'endorme sans lire, cela me met dans un état de déconnection avec la journée et me prépare au sommeil