harcèlement

Bonsoir

Mon fils vit un harcèlement au collége
je ne sais plus comment faire ? il refuse d'y aller mais étant seule avec ses frère et soeurs a la maison, je peux pas le garder chez moi
c'est ce que je faisais avant, quand j'étais pas encore seule

Perso je n'ai vécu ça qu'une fois au lycée et il a fallu l'intervention d'adultes
mais la, je vais tout le temps parler à l'équipe, et ils semblent tous aveugles, incapables de savoir ce qu'il se passe au milieu de 700 tetes

il est en sixieme, ça fait trois mois qu'il est dans ce college, aucun ami, il cherche meme pas
son retour sur le collège : tous très betes, vulgaires, bébés et grotesques, très très betes, aucune envie d'aller vers eux, pas un pour sauver l'autre
et en plus ils s'en prennent à l'handicapé et à ...lui, qui bien sur ne ferait pas de mal à une mouche

Soit vous le faitese changer d'établissement
Soit s'adresser au chef d'établissement immédiatement afin qu'il résoude le problème
Soit Prier

Merci pour ta réaction petit zèbre
c'est la fin de l'année et comme a dit la conseillère d'orientation, on fait "tenir" jusque la fin d'année avec le bilan psy dont le test WAIS
la chef, a l'air paumée et incompétente, mais bon
prier, c'est sur !

apprendre la psychologie, à deux.

la parole forte. parfois suffit. la parole vraie. toujours est droite.

mais cela demande de l'envie de construire au lieu de l'envie de ne pas détruire.

belle journée.

Coucou !
Sur le sujet.. Je m'y connais. 7 ans d'harcèlement scolaire sans avoir reçu d'aide.. oui oui .. Sans aide. Mais aujourd'hui je m'en suis ressorti, même si j'ai encore des séquelles.
Ton fils est au collège, avec des enfants puérils .. Il doit déjà être très mature pour son âge, et cela ne doit pas plaire à tout le monde. Il doit aimer apprendre, et cela ne plait sûrement pas non plus. Que dit-il des professeurs ? Est-il à l'aise en classe ?

Le changement d'établissement peut-être une bonne solution. Et encore que.. imagine, si, les autres enfants du collège lui demande pourquoi il est ici ? Que va t-il répondre ?
Le changement peut-être bien, mais attention, un enfant dit "zèbre" aime pas vraiment les changements. Moi, par exemple, si dans mon emploi du temps du lycée un prof est absent, ça fait du changement, et je suis stressée.

Une autre solution :
Aller voir la CPE, lui dire que votre enfant est victime de harcèlement.. etc
Pour le changer d'établissement : Il va lui falloir un certificat du médecin, pour montrer que c'est vraiment du harcèlement (cela appuieras le dossier pour la future école.. Mon petit frère a connu ça aussi)

Si d'autre question, n'hésitez pas!

la scolarisation à domicile peut aussi être une solution, j'ai aussi vécu le harcèlement scolaire au collège au point que je me faisais dessus dès que je passais la porte de l'appartement familial, petit village et forcement mes harceleurs habitaient à côté. J'ai eu la chance de pouvoir être suivie si l'on peut dire par une psy au sein de l'établissement ce qui fait que je m'y réfugiais la plupart du temps... dans mon cas, on m'a toujours considéré comme étant hautaine alors que pas du tout :s , je m'entendais très bien avec mes professeurs ce qui est comme d'autres te l'on dit plus haut mal vu bien évidemment, du moment où tu t'intéresses pas au dernier truc à la mode de ton âge tu passes pour un être à part et ceux la ils en prennent plein la tête ... courage a ton petit bonhomme

Le harcèlement scolaire est malheureusement un point qui revient quasi systématiquement pour les enfants porteurs d'une différence et auquel il est très difficile de lutter en raison du fait que l'éducation nationale a une fâcheuse tendance à fermer les yeux dessus, car pour elle "tout le monde est identique et rentre dans le moule"
le seul objectif de l'école étant de clôturer un programme identique pour tous et non d'apprendre également aux enfants à s'aimer et a se respecter entre eux (surtout au collège, âge critique), les gens n'ont pas la notion de ce qu'est le respect de la différence et les conséquences psychologiques que peuvent par la suite entraîner le harcèlement.
Avez-vous la possibilité de mettre votre enfant dans une école pour enfants précoces ? Ou de lui donner des cours à domicile par des enseignants spécialisés dans ce domaine ?
Éventuellement, de lui faire rencontrer des enfants zèbres par le biais de parents dans la même situation ?
Sinon, trouver des solutions avec le personnel du collège (mieux surveiller, sanctionner) mais je ne sais pas si le résultat sera là.
Je reste dubitative pour ma part sur le changement d'établissement car les élèves seront malheureusement les mêmes partout... après c'est une hypothèse bien entendu, il se peut que ça se calme s'il change d'école.
Dans tous les cas l'essentiel est qu'il ne perde pas son estime personnelle, qu'il arrive à comprendre pourquoi ça lui arrive et qu'il garde en tête la valeur qu'il possède
C'est une épreuve difficile mais il se reconstruira je n'en doute pas !
J'espère que ma réponse a pu vous aider

Comment ce harcèlement se met-il en place ? Est-ce qu'il y a des violences (sévices, bousculades), des moqueries ?
Il y a un site où trouver des conseils :
https://www.nonauharcelement.education.gouv.fr/que-faire/mon-enfant-est-victime/

On est certes en fin d'année, toutefois, il n'est pas dit que vous puissiez changer votre fils d'établissement, même s'il est HPI. Il est en 6ème, et ça va continuer les années suivantes, si l'administration laisse faire. Ils ne peuvent pas ne rien faire ! Vous pouvez demander une médiation académique pour les obliger à bouger.

Enfin, la méthode recommandée pour "casser" le harcèlement est la méthode Pikas : elle consiste à s'entretenir avec chacun(e) des harceleurs(euses), et de leur demander de trouver des solutions pour réparer. Je mets deux liens ci-dessous, vous pourriez essayer d'en parler à l'équipe. je vous recommande en priorité l'infirmière et le médecin scolaire, en prenant RV.
http://cpe.ac-dijon.fr/spip.php?article752
https://www.reseau-canope.fr/climatscolaire/agir/ressource/ressourceId/la-methode-de-la-preoccupation-partagee.html

Par contre, il me paraît évident qu'il vaudrait mieux que votre fils cesse d'exprimer son mépris envers l'immaturité de ses camarades. Il aurait peut-être besoin d'autres activités à sa mesure (échecs, club de sciences... ?), pour fréquenter en dehors du collège des élèves plus matures, avec des centres d'intérêt qui rejoignent les siens).

Hum... J'ai vécu une situation de harcèlement, dès le primaire et jusqu'à mon redoublement, en seconde. Période très pénible, d'autant qu'elle a été accompagnée d'une phobie scolaire, qui m'a conduit 2 mois en HP, au début de la sixième (que j'ai faite au CNED, du coup.)
Les enfants sont durs entre eux. En disant cela, je ne t'apprends rien... Pour reprendre les propos de Darlène, je dirais aussi qu'il faut éviter d'alimenter sa différence, par le mépris, par exemple, envers l'immaturité de ses camarades. A 15 /16 ans, je me voyais comme une pure victime. Aujourd'hui, je m'aperçois que la situation était bien plus complexe, à envisager sous un angle plus systémique : mes camarades me rejetaient, certes, mais j'alimentais moi-même le rejet, par mon attitude parfois hautaine, un rien méprisante. Sans, bien sûr, "renier" ce qu'il est, se "normaliser" de force, il faut peut-être que ton fils comprenne l'impact que sa différence peut avoir sur ses camarades, qu'il se mette, sans condescendance  ni jugement, à leur niveau. Faut qu'il travaille sur ce qu'il peut changer : il ne changera pas ses camarades, leur attitude.... lui, par contre, peut changer, s'adapter, prendre conscience de ce qui dans son comportement, provoque le rejet !
J'ai testé pendant 2 ans les cours à domicile (en 6ème, à cause de cette phobie scolaire, en 1ère S, suite à un grave accident de la route.) Bien sûr, cela m'a convenu ! Très indépendant, je m'organisais comme je le souhaitais et travaillais très bien. A mon sens, l'inconvénient, c'est le déficit social que provoque cette situation scolaire : il faut apprendre à composer avec les autres, à décoder leurs attentes, à s'y adapter....Quand on est seul à la maison, et même avec pas mal d'activités extra-scolaire, c'est difficile ! Le risque, c'est, si cette situation perdure, de se retrouver à l'âge adulte sans aucune maîtrise des règles du jeu des interactions sociales. Ce qui provoque beaucoup de souffrance et n'aide pas à alimenter l'estime de soi ( malaise en société, sentiment d'être un OVNI...)

Coucou, j'ai moi aussi été victime de harcèlement et c'était ma hantise pour mon loulou alors j'ai acheté deux livres d'Emmanuelle Piquet.
- "Te laisse pas faire": c'est un livre pour les parents
- "Je me défends du harcèlement": c'est pour les enfants

Le deuxième, il faut le lire avec ton petit et ne pas le laisser le lire seul. Et il faut en parler avec lui.
En préventif j'ai trouvé ça très bien.
En curatif je ne sais pas ...

nikko76 a écrit:Hum... J'ai vécu une situation de harcèlement, dès le primaire et jusqu'à mon redoublement, en seconde. Période très pénible, d'autant qu'elle a été accompagnée d'une phobie scolaire, qui m'a conduit 2 mois en HP, au début de la sixième (que j'ai faite au CNED, du coup.)
Les enfants sont durs entre eux. En disant cela, je ne t'apprends rien... Pour reprendre les propos de Darlène, je dirais aussi qu'il faut éviter d'alimenter sa différence, par le mépris, par exemple, envers l'immaturité de ses camarades. A 15 /16 ans, je me voyais comme une pure victime. Aujourd'hui, je m'aperçois que la situation était bien plus complexe, à envisager sous un angle plus systémique : mes camarades me rejetaient, certes, mais j'alimentais moi-même le rejet, par mon attitude parfois hautaine, un rien méprisante. Sans, bien sûr, "renier" ce qu'il est, se "normaliser" de force, il faut peut-être que ton fils comprenne l'impact que sa différence peut avoir sur ses camarades, qu'il se mette, sans condescendance  ni jugement, à leur niveau. Faut qu'il travaille sur ce qu'il peut changer : il ne changera pas ses camarades, leur attitude.... lui, par contre, peut changer, s'adapter, prendre conscience de ce qui dans son comportement, provoque le rejet !
J'ai testé pendant 2 ans les cours à domicile (en 6ème, à cause de cette phobie scolaire, en 1ère S, suite à un grave accident de la route.) Bien sûr, cela m'a convenu ! Très indépendant, je m'organisais comme je le souhaitais et travaillais très bien. A mon sens, l'inconvénient, c'est le déficit social que provoque cette situation scolaire : il faut apprendre à composer avec les autres, à décoder leurs attentes, à s'y adapter....Quand on est seul à la maison, et même avec pas mal d'activités extra-scolaire, c'est difficile ! Le risque, c'est, si cette situation perdure, de se retrouver à l'âge adulte sans aucune maîtrise des règles du jeu des interactions sociales. Ce qui provoque beaucoup de souffrance et n'aide pas à alimenter l'estime de soi ( malaise en société, sentiment d'être un OVNI...)

Souvent, surdoué et harcèlement, ça va de pair... Même si tous les surdoués ne sont pas harcelés et qu'il peut aussi en exister qui harcèlent (bien que je n'en aie jamais entendu parler jusque-là).
Un enfant/adolescent surdoué est de lui-même beaucoup plus sensible et empathique et outre sa zébritude qui le rend original, donc différent, donc "inacceptable" aux yeux de ses pairs qui fonctionnent dans l'uniformité totale, il n'aura pas la réaction adéquate face à l'agression et être paradoxalement immature affectivement, mal armé pour y faire face. Il en est conscient et en souffre, s'efforce même de s'adapter, de s'abaisser au niveau des autres enfants pour être accepté, mais même cela est insuffisant car ce changement "sonne faux" pour les autres enfants, qui le savent définitivement différent quoi qu'il fasse...
Tout ce harcèlement, répété, non résolu, finit par le faire craquer tôt ou tard, affecter aussi les résultats scolaires et même déclencher une phobie scolaire. Mais mes parents, lorsque ça m'est arrivé (en 3ème) ont refusé le CNED malgré mes supplications et préféré me mettre dans le privé et en internat (dès mon redoublement de 3ème). Je ne sais ps comment j'ai tenu à prendre sur moi (malgré je voyais un psy tous les 15 jours) et n'ai eu droit au CNED qu'au redoublement du Bac L. Effectivement cela m'avait mieux convenu, d'autant que non seulement j'arrivais mieux à gérer mon travail, mais je ne repassais que les matières <10/20 et conservais celles où j'avais eu > 10/20. Et je suis d'accord avec @nikko76, le CNED ne doit durer qu'un an ou 2, le temps de surmonter le traumatisme et de se faire soigner psychologiquement...

J'ai été harcelé aussi, mais, je ne sais pas pourquoi, ça n'a jamais eu d'impact sur ma scolarité, et mon statut d’éternel premier de la classe. On est tous différents, je suppose, malgré nos points communs. Je suppose que ma classe 100% germanophones au collège m'a protégé(le niveau était nettement supérieur, et les non-zébres n'étaient pas là pour rigoler).

Une des raisons du harcèlement que nous subissons est que tout le monde joue à un jeu avec les mêmes règles - sauf nous. Par notre simple existence, nous montrons l'aspect arbitraires des règles. Et ça, c'est perçu comme une violence par les autres - alors mêmes que nous n'avons aucune intention violente. Ceux qui nous cartonnent ont l'impression de se protéger.

Oui comme si nous représentions un danger quelconque...

Un autre raison du harcèlement, à mon avis, est l'utilisation d'un bouc-émissaire pour fédérer un groupe: un groupe ayant un ennemi commun est plus uni qu'un groupe n'en ayant pas. Du coup, quand il n'y a pas d'ennemi déjà existant, le groupe va choisir quelque chose ou quelqu'un pour jouer ce rôle. C'est le cas dans pas mal de sociétés animales (par exemple il y a très fréquemment dans les meutes de loups un animal "béta" qui se fait régulièrement agresser par les autres) et aussi dans les groupes humains. Comme les zèbres sont souvent un peu (ou beaucoup) originaux et différents, ils sont les bouc-émissaires tout désignés.

Proxima a écrit:Oui comme si nous représentions un danger quelconque...

Nous représentons un danger. Dans leurs têtes, en tous cas. L'ordre établi, les règles, il s'y coulent pour s'y sentir bien. Nous avons besoin de les contourner pour nous sentir bien. Le simple fait de nous voir faire autrement les prive de leur sentiment que tout va bien, que tout est sous contrôle, que les règles communes sont indépassables.

C'est hyper compliqué parce-que dans l'absolu nous n'avons rien à nous reprocher - et qu'ils ressentent un préjudice quand même du fait de notre simple existence.

Exemple vécu : au CM1, au vu d'un énoncé peu clair, j'ai décidé de me croiser les bras  ostensiblement au lieu d'essayer de trouver la solution à un problème mal posé(ce qui était crétin, dans la vraie vie, tous les problèmes sont mal posés - mais je n'avais pas le recul pour le savoir). Je n'ai directement apporté aucun préjudice à mes petits camarades. J'ai notamment laissé la place à la deuxième de la classe habituelle pour finir première, pour une fois. Après trois essais infructueux(normal, trouver la solution dun problème mal posé, ça ne se fait pas du premier coup), elle a proposé une quatrième solution à la prof - qui l'a félicitée pour avoir trouvé la solution(qui n'avait aucun sens par rapport à l'énoncé, comme je l'avais prédit). Et elle m'a jeté un regard de haine pure. Elle n'a ressenti aucun plaisir à me battre, ou à être félicitée par l'instit, que de la douleur à l'idée que j'avais bafoué les règles non-écrites(i.e. il faut se battre, même si l'exercice proposé est absurde).

Le préjudice qu'elle a reçu était purement de l'ordre du confort psychologique. Et, d'une certaine manière, je n'ai pas à me le reprocher. J'ai eu un E, comme je m'y attendais, qui faisait tâche dans ma longue litanie de A. Sans état d'âme. Conséquence logique de mes choix. Mais un normo-pensant n'est pas équipé pour accepter ça. Je n'ai commis aucun crime, mais elle a quand même reçu un préjudice. Il m'a fallu des décennies pour comprendre ça.

EDIT : et en plus il y a la satisfaction de trouver un bouc émissaire - vite choisi quand un zèbre est dans les parages - comme le souligne justement @Zoune. J'explique juste ci-dessus pourquoi le bouc émissaire est si souvent le zèbre.

J'ai été diagnostiquée tardivement (à 24 ans), mais avec une scolarité cahotique (2 mois de CE1 anticipé puis renvoi en CP puis + tard suite au harcèlement scolaire et à la dépression, redoublements de 3ème, 2e terminale et 1ère année de fac). Au collège, jusqu'en toute fin de 4ème donc, j'étais très bonne élève sauf en maths (ni en sport, technologie et arts plastiques du fait de ma forte maladresse). Et de toute ma scolarité collégienne, il y avait dans ma classe un garçon qui n'avait ABSOLUMENT AUCUNE note < 17/20 et ce dans TOUTES les matières (sauf en sport où il avait récolté une SEULE fois un 8/20 ! Il n'était pas très sportif mais quand même meilleur que moi qui n'avais jamais plus de... 3/20).
Il se trouvait que S (le garçon en question), petit dernier de 5 enfants d'une famille d'agriculteurs, était assez apprécié de tout le monde dans la classe (contrairement à moi), mais il était aussi un peu vaniteux et arrogant (pas très sympathique avec moi bien qu'il ne m'ait jamais harcelée proprement dit) et que mon père et le sien se connaissaient un peu (maire d'un petit village voisin). 
Le père de S avait un jour raconté au mien que 3 de ses 5 enfants étaient "avancés" et qu'il avait fait passer des tests à S pour voir s'il était surdoué et... Il n'en était rien ! Je n'ai jamais trop bien su ce qu'il est devenu par la suite, sinon vaguement qu'il avait fait des études d'ingénieur très poussées...
Ca prouve quelque part qu'être zèbre ou surdoué ne veut pas forcément dire "être-1er-de-la-classe-avec-20/20-partout"...

Proxima a écrit:(.../...)Ca prouve quelque part qu'être zèbre ou surdoué ne veut pas forcément dire "être-1er-de-la-classe-avec-20/20-partout"...

Certes, mais ça aide, quand le résultat tombe tout cuit dans ton cerveau. Cela étant, je suis d'accord : nombre des meilleurs en école d'ingé(mines, quand même)n'avaient rien de zebresque. Juste des gens intelligents et bosseurs.

être différent n'est pas facile tous les jours mais il faut avoir le courage et la force de montrer aux autres ce qu'on est réellement sans faux self.

.

Demande un rdv avec le ou la principale.
Si rien de concret est fait PORTE PLAINTE
et si possible pas contre X....

Le. Harcèlement a beau être la cause 1ere de lutte ds l'éducation nationale... Ce n'est jamais traité.
moi je suis prof et par deux fois cette année on a demandé aux élèves harcelé de démissionner alors qu'on a gardé les élèves harceleur violent pénible....

Donc porte plainte et en urgence.

.

C'est societal. On exclut les faibles.
Un harcelé c'est un faible... Qqn qui n'a pas, de caractère, qui ne sait pas, se défendre, un original, qqn qui n'a pas voulu rentrer ds le moule....

Ce n'est pas moi qui dit ça. Loin de là.
Parce que pour moi, le faible c'est celui qui s'en prend à plus faible que qoi