Présentation
4 participants
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Présentation
Bonjour à toutes et à tous,
J'ai une grosse quarantaine, et pour la faire courte j' suis sensé démarrer un traitement au Concerta à partir de demain matin.
('fin demain ...)
Et j' me r'trouve là, en convaincu d'puis "toujours" d'être HP, ou HQI, ou tout autre acronyme genre TDA qui expliquerait pourquoi cette sensation de perception des différences a toujours été si présente, constamment, à chialer en naviguant péniblement, entre zèbres et TDA.
J' sais pas trop quoi dire d'autre, si c' n' est que diagnostic ou pas, test ou pas, médication ou pas, TCC ou pas, j' voulais vous dire merci d'être là.
D' ici demain (^^), j' espère pondre un truc un peu plus constructif, mais j' aurais tant d' questions à vous poser que là tout d' suite ça va pas être faisable, et j' voulais être sûr que ça, au moins, ce s'rait (enfin) fait.
Un Oupas-oupas qui n' s'ignore pas,
J'ai une grosse quarantaine, et pour la faire courte j' suis sensé démarrer un traitement au Concerta à partir de demain matin.
('fin demain ...)
Et j' me r'trouve là, en convaincu d'puis "toujours" d'être HP, ou HQI, ou tout autre acronyme genre TDA qui expliquerait pourquoi cette sensation de perception des différences a toujours été si présente, constamment, à chialer en naviguant péniblement, entre zèbres et TDA.
J' sais pas trop quoi dire d'autre, si c' n' est que diagnostic ou pas, test ou pas, médication ou pas, TCC ou pas, j' voulais vous dire merci d'être là.
D' ici demain (^^), j' espère pondre un truc un peu plus constructif, mais j' aurais tant d' questions à vous poser que là tout d' suite ça va pas être faisable, et j' voulais être sûr que ça, au moins, ce s'rait (enfin) fait.
Un Oupas-oupas qui n' s'ignore pas,
Allan Kardec- Messages : 3
Date d'inscription : 20/07/2018
Re: Présentation
merci d'être là
Hello Allan Kardec,
Merci à toi pour la visite!
Demain est un autre jour...
Ou pas.
[N'hésite pas à passer par la section TDA/H.]
Hello Allan Kardec,
Merci à toi pour la visite!
Demain est un autre jour...
Ou pas.
[N'hésite pas à passer par la section TDA/H.]
LaArchiMadOldR- Messages : 817
Date d'inscription : 09/03/2014
Re: Présentation
Bienvenue Allan
Mille- Messages : 914
Date d'inscription : 16/07/2018
Localisation : Dans la stratosphère
Re: Présentation
Hortense a écrit:concerto ? Quel concerto ?
Je me posais un peu la même question...
Le 18? Ou peut-être le 36?
LaArchiMadOldR- Messages : 817
Date d'inscription : 09/03/2014
Re: Présentation
Bienvenue à toi !
J'espère que tu pourras trouver des réponses pour avancer ici
J'espère que tu pourras trouver des réponses pour avancer ici
Elliot- Messages : 1177
Date d'inscription : 06/06/2018
Age : 43
Localisation : Dans la stratosphère
Re: Présentation
Merci
quelques heures de sommeil en moins plus tard, me voilà donc r'viendu, poussé probablement autant par ce fucking besoin d' reconnaissance, d' appartenance, que par l'anxiété qui accompagne la première prise de cette putain d' pilule magique (Concerta, une espèce d' amphét sensée m'aider à m' sortir les doigts du fion plus surement qu' n' importe quelle crise hémorroïdaire, en concertation avec mon neuro-psy, mais un brin en contradiction avec c' que j' pense de ... toussa )...
mais pas que
après ces heures à errer entre les forêts denses qui abritent votr' troupeau et mes pensées (heures auxquelles il va falloir ensuite ajouter l' temps que j' mettrai à écrire ce -probablement- long petit texte, et celui qu' i' m' faudra pour le poster), j' suis bien obligé d' admettre qu' avéré, ou pas, j' m' identifie zèbre
pas qu' ce soit une réelle surprise, en soit, mais c' qui m'a frappé, sonné, c'est le pourquoi d' cette identification aussi subite, brutale même: la conviction (l'intuition ? la sensation ? l' auto-persuasion ?) d'être -enfin- tombé sur "des gens comme moi", c'est-à-dire des personnes qui cherchent obstinément (ou pas) des réponses plus ou moins rationnelles, voir scientifiques à des interrogations en fin d' compte profondément métaphysiques, personnelles, intimes, uniques ? et/ou inversement
que'qu' chose comme une espèce d' intégrité intellectuelle
ou pas ?
mais c' n'est pas ça qu'on appelle se présenter, alors rev'nons à vous autres équidés, l' plus simple pour moi étant d' tâcher d' vous retranscrire le plus succinct'ment c' qui m'amène par chez vous, mon parcours de vie, et, disons l' bilan actuel (non-exhaustif) de c' que j' en pense, pour peu qu' ça intéresse un brin un lecteur ou deux en quête de temps perdu (comme si on pouvait faire autr' chose que littéralement perdre son temps), ou pas.
depuis je n' sais combien d' temps, je vois dans l' déroulement d' mon histoire comme une succession d' vies distinctes, presque séparées, que j' "résumerais" ainsi, commentaires contemporains inclus:
- la p'tite enfance, caractérisée par une absence totale de souvenirs, un seul flash, probablement plus que moins reconstitué, celui de c' qui marque et termine cette période: le départ, l' abandon de notre mère autour de mes 4 ans
- la quasi-enfance, caractérisée par "la quasi",déjà, hein, c'est-à-dire l' intuition (la croyance ? l'interprétation ? la réaction infantile ?) que l' insouciance m'est interdite, que "c' n' est ni normal ni grave, mais juste comme ça", et une très faible quantité d' souvenirs visuels
mais un souv'nir très net des sensations, d' la solitude, surtout, au milieu d'une famille plutôt nombreuse et bizarrement cabossée quoique (re)soudée, et d' un monde qui m' assaille, qui m' agresse, que j' fuis dés que j' le peux, quitte à m' cacher à l' intérieur de moi
seul avec ou sans "les autres"
cette période-ci est marquée par des traumatismes émotionnels disons nombreux, consécutifs, et s' termine avec l'un d'entre eux (je n' fais en rien mon mystérieux, mais n' sachant pas où s'arrête votre pudeur, je n' sais où placer la mienne, n'en ayant plus aucune dès qu'il s'agit d' parler d' moi), concomitamment d' mes premières rencontres avec de grands philosophes tels que Roger Lecureux, Gotlib, Sempé, entre autres, d'abord, puis Leblanc, Simenon, Poe, re-entre autres, et enfin Hugo, dont la lecture s'ra mon premier "vrai (très) gros orgasme intellectuel"
c'est aussi globalement au milieu d' cette période (qui s' termine donc autour de mes 9/10 ans, àune vache un zèbre près) que j' prends réellement conscience de mes troubles du sommeil, pour le moins liés à des crises d'asthme répétées, qui m' clouent d' peur et d' douleur, assis sur mon lit, à bout d' souffle pendant c' qui r'ssemble à des années - probablement un peu moins, culpabilisant, terrifié, enragé, hébété, paralysé d'vant cette vie, devant ma vie, face à c' truc comme en d'dans (la vie ? moi ?), forcé à m' battre contre moi, à entrer en moi, sans lumière, sans indice, et sans arme
et d' où viennent toutes ces souffrances, tous ces "trop", tous ces "pas assez", tous ces chocs au corps et à ... l'âme ? la conscience ? la foi ? en quoi ? de quoi ? de soi ? et si c' n' était pas ça ? i' rest'rait quoi ? je n' sais pas, alors au pire bah, on verra ...
- une construction de "moi" fondée sur l'introspection (ou les tentatives à), caractérisée par une boulimie d' lecture de plus en plus dévorante (bien aidée par des insomnies désormais bien installées, asthme ou pas), et un sentiment d' urgence à trouver en moi-même (pourquoi, comment, en quoi le "en moi" est-il si primordial ? est-ce que c' est juste ? est-ce que c' est bien ?) des solutions à défaut d' réponses "certaines" (objectives ? révélées ? ça aussi ça existerait ? incontestablement ?), et la certitude (conviction ? foi ? intuition ?) que, le devant (ou croyant le devoir) sans le pouvoir (ou croyant, redoutant de n' pas l' pouvoir) seul, il va m' falloir trouver des alliés, aussi fiables que stables, avec lesquels j' pourrais monologuer à volonté, sans jamais avoir à craindre d'autres lassitudes ou changements (abandons ?) que les miens, dont j' crois pressentir qu' ils seront autant les plus simples que les plus difficiles à affronter, et que, conséquemment, pensé-je, je dois impérativement m'y préparer
premières véritables stratégies planifiées d' évitement, de survie, ou d' compensation ? ok mon capitaine, un peu des trois, mais dans quel ordre ? quelle proportion ? et, pour changer, pourquoi est-ce si important, omniprésent, conscientisé, chez moi, alors que pour "les autres" c'est globalement quelque part entre inconscience et sans importance, quand ça n' leur est pas tout simplement juste comme une banale évidence ?
c'est lors de cette vie-là que j' me (dé)marque volontairement (vraiment ?), que j' fonde mes premiers paradigmes, sur les ruines des batailles qui s' jouent et se nouent entre mots des uns, maux "des autres", et les miens
j' dois avoir aux alentours des 13 piges, j' vais bientôt entrer au Lycée, avec un an d' avance (rien d' bien glorieux, un passage d' la moyenne section à la primaire, principalement à cause/grâce à la facilitation organisationnelle que c'la r'présentait pour notre père à cette époque), perclus d' complexes, de questionn'ments, de paradoxes, de troubles (non exhaustif), et d' une certitude, aussi: je saurai faire en sorte que personne n'y voit rien, le plus difficile devrait être de subir mon propre regard - que j' vois borgne (rapport au royaume hein, pas à une infirmité réelle ... 'fin quoique, mais non ... désolé^^)
quant à essayer d' comprendre pourquoi c' est si important pour moi d' rester caché, d' être persuadé d' devoir à tout prix m' faire passer pour l'un d' entre "eux", on verra ça plus tard hein, avec le reste ...
comme une impression d' (déjà) vieux moteur qui crache et tousse, claque, grince et s' crispe avant d'enfin démarrer, et d' prendre son rythme, jusqu'au prochain arrêt, forcément inéluctable, régulièrement imprévisible, ou d' une espèce de (pas trop) grosse bestiole qui sortirait d' sa tanière, en prenant l' temps et l' soin d' humer l' air nouveau, de bailler quelques fois en grognant d' satisfaction, pour finir par s' ébrouer lentement avant d' aller paisiblement reprendre son ch'min, celui d' la quête de ses besoins primaires, celui qu' elle a instinctivement désigné comme celui où elle a l' plus de chances d' y parvenir, et conséquemment celui par lequel elle a l' plus de chances de croiser ses prédateurs
- les expérimentations, et autres ajustements, vont s'étaler grosso merdo jusqu'à mes 18/19 ans
c'est l' époque des essais en tous genres, des excès, et des comportements à risque, mais c' est aussi une période de véritable insouciance, certes largement empreinte d' une certaine inconscience conscientisée, mais ça marche, et je n' boude pas mon plaisir, une lente et profonde respiration apaisante, grisante, inespérée, inattendue
et qui finit même en véritable petit miracle quand j' en profite pour croiser l' Amour, celui qui est simplement là, celui dont je n' pensais pas qu'il existe ailleurs que dans les contes, celui dont on est persuadé, d' innocemment à naïv'ment, que rien n' saurait v'nir l'interrompre
évidemment, la fin s' jouera dans une toute autre tonalité, celle de la déception du PrinceQuiS'VoudraitAussiCharmantQu'ChevalierBlanc, sur un air de trahisons enfantines, bien l' merci Walt !
mais après tout, qu' importe, puisque C' est là, que j' L' ai rencontré, que Ca je n' L' oublierai pas, jamais, j' me l' jure sur ma tête, j' n' en suis plus à une résilience près, et maint'nant que j' sais qu' Ca existe, vraiment, indéniablement, alors c' est à travers Lui que j' me révélerai à moi-même, que j' m' épanouirai avec d' Autres, un jour, peut-être, ou pas, qui pourrait prédire, mais qu' aurais-je peur de perdre face à c' que j' aurais à y gagner ?
j' me mets à La guetter plus qu'à La chercher
j' me cherche encore, toujours si seul, mais j' m' affirme, et crois enfin m' trouver, dans l' dénuement matériel, la résistance non-violente, la tolérance, le détach'ment intellectuel, et l' humour
- Zeu big morceau d' ma vie: pour pas verser trop d'eau d' rose, en gros j' la rencontre Elle, celle qui m' voit sans m' juger, et qui m' Aime comme ça, malgré ça, pour ça ?
on a une fille très rapidement, 20ans, pas une thune, et des rapports avec nos parents aussi compliqués qu' lointains, mais qu 'importe, dès qu' notre fille a été là, tous les doutes étaient envolés: j' étais là pour Ca, j' existais pour Ca, et malgré toutes les difficultés, tous les risques, tous les sacrifices, toutes les éventualités possibles, je savais, j' étais certain qu 'on y' arriv'rait, à nous seuls
passons sur les détails, global'ment, on s' en sort, mais comme il s'agit d' ma présentation à moi, j' vais tacher d' me r'centrer sur le sujet
si l' Amour que nous nous échangeons au foyer, et ma proximité avec nos enfants ont d' loin dépassé toutes mes espérances, mon mode de fonctionnement (alternance des boulots donc irrégularité des rev'nus, marginalisation sociale, incapacités administrativo-économiques, addictions diverses, dette de sommeil de plus en plus lourde, etc) est d' moins en moins compatible avec des enfants qui grandissent, et Elle qui s' épuise à compenser mes errances, mes incapacités, mon irresponsabilité, mon refus des compromis avec cette société qu' j' exècre, mon refus d' tout compromis tout court, drapé dans mon intégrité intellectuelle, bien planqué derrière mes idéaux et mes rêves éveillés d' absolu
mes frustrations s' accumulent, ma colère augmente sourdement: pourquoi toussa n' me suffit pas ? pourquoi ça n' marche pas ? pourquoi j' ai toujours aussi mal ? pourquoi j' me sens toujours aussi seul ? pourquoi j' continue sans cesse à m' demander pourquoi ? pourquoi ça gueule de plus en plus fort en-d'dans ? pourquoi j' ai toujours aussi peur ? et de quoi ?
comme Elle le voit, et n' arrive plus à tout compenser, à bout d' forces et de nerfs, Elle finit par prendre des m'sures, ses affaires et notre p'tit dernier, et faire c' qu' Elle peut pour mettre toussa à l'abri d' moi
pour changer, Elle a raison, juste à temps
après plus d' vingt ans d' tensions internes, et d' pressions externes, la machine finit par s' arrêter, la tête et les jambes, rideau
- ça f'ra bientôt 2 ans, et la carcasse n' s' est toujours pas r'mise en route
2 ans à peine, et la désocialisation est ach'vée: plus d' boulot, plus d' foyer, plus rien d' matériel à part quelques fringues, une statue d' Ganesh, et un p'tit sac pour mettre toussa, plus rien qu' moi, à l' ancienne, assis dans l' noir à m' parler tout seul en attendant qu' ça passe
pourtant, Elle n' m' a pas abandonné, au contraire, c' est même grâce à Elle si j' ai pu sombrer sans m' noyer, mais rien à faire, même Ca n' me suffit pas
comme si, cette fois, j' étais plongé si profond en moi qu' plus rien n' pouvait m' atteindre, rien à part la peur de r'monter à la surface
hauts les coeurs ! quand on en est là i' n' reste plus tant d' options, et j' ai fini par choisir celle qui passe par l' aide médicale, avec curatelle, médocs, et tout c' qui va avec
impossible de dire pour le moment où toussa m' mén'ra, mais qu' importe en fait, à coup sûr vers une nouvelle vie, ni meilleure ni pire, alors, promis juré, dès qu' le ciel s'ra dégagé j' me r'choisirais une étoile, un cap, et on verra bien dans quel port j' arriv'rai !
pourvu qu' Elle y soit avec moi ...
Ouf ! Enfin fini (avouez, j' vous r'tire les touches du clavier) !
#sefoutreàpoildevantuntroupeaudinconnus: done
enfin à poil ... disons qu' j'ai r'tiré l' manteau, et posé l' sac sans l' ouvrir ^^
mais au fait, pourquoi ? à quoi ça sert toussa, aussi ? quel étrange besoin a bien pu m' pousser à écrire toussa, et à vous l' livrer ? sincèr'ment, j' n' en sais trop rien pour le moment, mais j' suis quand même au moins un peu content d' avoir réussi à m' présenter sans faux-semblant, et plus gobal'ment qu' je n' l' avais jamais fait auprès d'gens équidés qu' j' aim'rais apprendre à connaître, avec lesquels j' ai envie d' partager l' plus simplement possible sur nos complexités et les difficultés qu' elles entraînent
'fin, un truc dans l' genre koa ...
alors pardon pour la manière, un rien cavalière, pour la longueur (lourdeur ?), pour les sensibilités qu' auraient pu être heurtées, pour les yeux qui saignent, pour les neurones qui grognent, pour l' bordel auquel ça doit r'ssembler, pour toutes ces portes ouvertes enfoncées, pour tout c' temps d' plus en moins, pour .. j' sais pas, p't-être pardon d' être là, en fait, mais, quoiqu' il advienne, merci quand même
PS ("Pendant" Scriptum): marrant ça, pas eu l' temps d' finir avant d' devoir vouloir prendre une pilule, et d' me rendre compte que j' n' avais plus qu' l' emballage, qu' est-ce que j'ai bien pu foutre de c' flacon ?
PS2: évidemment, à proximité d' ma femelle, de 2 d' nos mômes, et des animaux, en plus du reste, pas facile d' en v'nir à bout d' cette présentation, d'autant moins qu' i' faut croire qu' la pilule magique n'a pas tant d' incidence que ça, j' sais pas trop si ça m' fait plaiz ou chier
PS3: plus d' 12h maint'nant que j' tache d' en finir avec cette présentation, est-ce bien raisonnable ? TDA ? HP ? HQI ? Autisme ? Hypersensibilité ? "Simples" névroses (psychoses ?) ou tous autres traumatismes, stigmates, syndromes, obsessions, pathologies, troubles, neurodéveloppementaux ou pas (tiens ? ça existerait donc un truc qui n' le soit pas ? ), quelle importance, au fond, puisqu' il n' est, à ma connaissance, pas possible de déterminer précisément et avec certitude où commencent certaines conséquences, où s' terminent d' autres causes, sauf à tout réduire en voulant simplifier ? probablement un truc pas bien plus compliqué à admettre, à intégrer, qu' une histoire d'oeuf et d' poule, d'évolution, ou d' positionnement par rapport à la notion d'infini, et pourtant... mais j' m'égare
PS4: Euh ... comment qu' on fait quand on sait, qu' on voit, qu' on sent l' eau qui s' écoule du robinet qu' on a oublié d' fermer, mais qu' on reste juste comme un con d'vant, à l' implorer secrèt'ment pour qu' il veuille bien s' fermer, peu importe comment, pourvu qu' on n' ait pas à l' faire, ou en tout cas pas maint'nant, peut-être parc' qu'on n' en aurait pas la force, le courage, la capacité en somme, ou tout simplement parc' qu'à c' moment-là on y s'rait "obligé", contraint ? Impossible pour moi d' être aussi prévoyant et méticuleux en tactiques que … doué (sérieusement ?) en stratégies en tous genres
PS5: @Hortense: promis, tu n' as pas besoin d' tout lire pour avoir une réponse
PS6: et sinon, tant qu'à n' pas vraiment commencer à finir, pas grand' chose à voir (encore que ^^), mais j' suis en train d' me dire qu'à de -très- rares exceptions près, je n' me souviens ni ne m' suis jamais souv'nu de mes "vrais" rêves - ceux qu'on est sensé faire quand on dort, à votre connaissance, cela pourrait-il changer ? (no troll pliz, au "pire" ce s'ra pour moi juste une façon comme une autre de remplir n'importe comment une de ces listes que j' aime à perdre (ou appris, résolu, à aimer perdre ?)
PS7: @LaArchiMadOldR: le 18, 1x/j pour commencer, avec rdv hebdomadaire et suivi à la culotte
PS8: re-@Hortense: merci pour les quelques minutes si agréablement perdues pendant l' écoute
PS9: @Elliot: merci ! comme disait l' autre pas beau, c' est une évidence, on avance, on avance
PS10: 06:48, 'faut vraiment qu' j'aille siester avant d' finir, comme le disait un lointain et méconnaissable descendant d' Kunta Kinté au charismatique Christ écossais, j' suis trop vieux pour ces conn'ries ... ou pas ?
PS11: minuit passée, j' m'y r'mets
quelques heures de sommeil en moins plus tard, me voilà donc r'viendu, poussé probablement autant par ce fucking besoin d' reconnaissance, d' appartenance, que par l'anxiété qui accompagne la première prise de cette putain d' pilule magique (Concerta, une espèce d' amphét sensée m'aider à m' sortir les doigts du fion plus surement qu' n' importe quelle crise hémorroïdaire, en concertation avec mon neuro-psy, mais un brin en contradiction avec c' que j' pense de ... toussa )...
mais pas que
après ces heures à errer entre les forêts denses qui abritent votr' troupeau et mes pensées (heures auxquelles il va falloir ensuite ajouter l' temps que j' mettrai à écrire ce -probablement- long petit texte, et celui qu' i' m' faudra pour le poster), j' suis bien obligé d' admettre qu' avéré, ou pas, j' m' identifie zèbre
pas qu' ce soit une réelle surprise, en soit, mais c' qui m'a frappé, sonné, c'est le pourquoi d' cette identification aussi subite, brutale même: la conviction (l'intuition ? la sensation ? l' auto-persuasion ?) d'être -enfin- tombé sur "des gens comme moi", c'est-à-dire des personnes qui cherchent obstinément (ou pas) des réponses plus ou moins rationnelles, voir scientifiques à des interrogations en fin d' compte profondément métaphysiques, personnelles, intimes, uniques ? et/ou inversement
que'qu' chose comme une espèce d' intégrité intellectuelle
ou pas ?
mais c' n'est pas ça qu'on appelle se présenter, alors rev'nons à vous autres équidés, l' plus simple pour moi étant d' tâcher d' vous retranscrire le plus succinct'ment c' qui m'amène par chez vous, mon parcours de vie, et, disons l' bilan actuel (non-exhaustif) de c' que j' en pense, pour peu qu' ça intéresse un brin un lecteur ou deux en quête de temps perdu (comme si on pouvait faire autr' chose que littéralement perdre son temps), ou pas.
depuis je n' sais combien d' temps, je vois dans l' déroulement d' mon histoire comme une succession d' vies distinctes, presque séparées, que j' "résumerais" ainsi, commentaires contemporains inclus:
- la p'tite enfance, caractérisée par une absence totale de souvenirs, un seul flash, probablement plus que moins reconstitué, celui de c' qui marque et termine cette période: le départ, l' abandon de notre mère autour de mes 4 ans
- la quasi-enfance, caractérisée par "la quasi",déjà, hein, c'est-à-dire l' intuition (la croyance ? l'interprétation ? la réaction infantile ?) que l' insouciance m'est interdite, que "c' n' est ni normal ni grave, mais juste comme ça", et une très faible quantité d' souvenirs visuels
mais un souv'nir très net des sensations, d' la solitude, surtout, au milieu d'une famille plutôt nombreuse et bizarrement cabossée quoique (re)soudée, et d' un monde qui m' assaille, qui m' agresse, que j' fuis dés que j' le peux, quitte à m' cacher à l' intérieur de moi
seul avec ou sans "les autres"
cette période-ci est marquée par des traumatismes émotionnels disons nombreux, consécutifs, et s' termine avec l'un d'entre eux (je n' fais en rien mon mystérieux, mais n' sachant pas où s'arrête votre pudeur, je n' sais où placer la mienne, n'en ayant plus aucune dès qu'il s'agit d' parler d' moi), concomitamment d' mes premières rencontres avec de grands philosophes tels que Roger Lecureux, Gotlib, Sempé, entre autres, d'abord, puis Leblanc, Simenon, Poe, re-entre autres, et enfin Hugo, dont la lecture s'ra mon premier "vrai (très) gros orgasme intellectuel"
c'est aussi globalement au milieu d' cette période (qui s' termine donc autour de mes 9/10 ans, à
et d' où viennent toutes ces souffrances, tous ces "trop", tous ces "pas assez", tous ces chocs au corps et à ... l'âme ? la conscience ? la foi ? en quoi ? de quoi ? de soi ? et si c' n' était pas ça ? i' rest'rait quoi ? je n' sais pas, alors au pire bah, on verra ...
- une construction de "moi" fondée sur l'introspection (ou les tentatives à), caractérisée par une boulimie d' lecture de plus en plus dévorante (bien aidée par des insomnies désormais bien installées, asthme ou pas), et un sentiment d' urgence à trouver en moi-même (pourquoi, comment, en quoi le "en moi" est-il si primordial ? est-ce que c' est juste ? est-ce que c' est bien ?) des solutions à défaut d' réponses "certaines" (objectives ? révélées ? ça aussi ça existerait ? incontestablement ?), et la certitude (conviction ? foi ? intuition ?) que, le devant (ou croyant le devoir) sans le pouvoir (ou croyant, redoutant de n' pas l' pouvoir) seul, il va m' falloir trouver des alliés, aussi fiables que stables, avec lesquels j' pourrais monologuer à volonté, sans jamais avoir à craindre d'autres lassitudes ou changements (abandons ?) que les miens, dont j' crois pressentir qu' ils seront autant les plus simples que les plus difficiles à affronter, et que, conséquemment, pensé-je, je dois impérativement m'y préparer
premières véritables stratégies planifiées d' évitement, de survie, ou d' compensation ? ok mon capitaine, un peu des trois, mais dans quel ordre ? quelle proportion ? et, pour changer, pourquoi est-ce si important, omniprésent, conscientisé, chez moi, alors que pour "les autres" c'est globalement quelque part entre inconscience et sans importance, quand ça n' leur est pas tout simplement juste comme une banale évidence ?
c'est lors de cette vie-là que j' me (dé)marque volontairement (vraiment ?), que j' fonde mes premiers paradigmes, sur les ruines des batailles qui s' jouent et se nouent entre mots des uns, maux "des autres", et les miens
j' dois avoir aux alentours des 13 piges, j' vais bientôt entrer au Lycée, avec un an d' avance (rien d' bien glorieux, un passage d' la moyenne section à la primaire, principalement à cause/grâce à la facilitation organisationnelle que c'la r'présentait pour notre père à cette époque), perclus d' complexes, de questionn'ments, de paradoxes, de troubles (non exhaustif), et d' une certitude, aussi: je saurai faire en sorte que personne n'y voit rien, le plus difficile devrait être de subir mon propre regard - que j' vois borgne (rapport au royaume hein, pas à une infirmité réelle ... 'fin quoique, mais non ... désolé^^)
quant à essayer d' comprendre pourquoi c' est si important pour moi d' rester caché, d' être persuadé d' devoir à tout prix m' faire passer pour l'un d' entre "eux", on verra ça plus tard hein, avec le reste ...
comme une impression d' (déjà) vieux moteur qui crache et tousse, claque, grince et s' crispe avant d'enfin démarrer, et d' prendre son rythme, jusqu'au prochain arrêt, forcément inéluctable, régulièrement imprévisible, ou d' une espèce de (pas trop) grosse bestiole qui sortirait d' sa tanière, en prenant l' temps et l' soin d' humer l' air nouveau, de bailler quelques fois en grognant d' satisfaction, pour finir par s' ébrouer lentement avant d' aller paisiblement reprendre son ch'min, celui d' la quête de ses besoins primaires, celui qu' elle a instinctivement désigné comme celui où elle a l' plus de chances d' y parvenir, et conséquemment celui par lequel elle a l' plus de chances de croiser ses prédateurs
- les expérimentations, et autres ajustements, vont s'étaler grosso merdo jusqu'à mes 18/19 ans
c'est l' époque des essais en tous genres, des excès, et des comportements à risque, mais c' est aussi une période de véritable insouciance, certes largement empreinte d' une certaine inconscience conscientisée, mais ça marche, et je n' boude pas mon plaisir, une lente et profonde respiration apaisante, grisante, inespérée, inattendue
et qui finit même en véritable petit miracle quand j' en profite pour croiser l' Amour, celui qui est simplement là, celui dont je n' pensais pas qu'il existe ailleurs que dans les contes, celui dont on est persuadé, d' innocemment à naïv'ment, que rien n' saurait v'nir l'interrompre
évidemment, la fin s' jouera dans une toute autre tonalité, celle de la déception du PrinceQuiS'VoudraitAussiCharmantQu'ChevalierBlanc, sur un air de trahisons enfantines, bien l' merci Walt !
mais après tout, qu' importe, puisque C' est là, que j' L' ai rencontré, que Ca je n' L' oublierai pas, jamais, j' me l' jure sur ma tête, j' n' en suis plus à une résilience près, et maint'nant que j' sais qu' Ca existe, vraiment, indéniablement, alors c' est à travers Lui que j' me révélerai à moi-même, que j' m' épanouirai avec d' Autres, un jour, peut-être, ou pas, qui pourrait prédire, mais qu' aurais-je peur de perdre face à c' que j' aurais à y gagner ?
j' me mets à La guetter plus qu'à La chercher
j' me cherche encore, toujours si seul, mais j' m' affirme, et crois enfin m' trouver, dans l' dénuement matériel, la résistance non-violente, la tolérance, le détach'ment intellectuel, et l' humour
- Zeu big morceau d' ma vie: pour pas verser trop d'eau d' rose, en gros j' la rencontre Elle, celle qui m' voit sans m' juger, et qui m' Aime comme ça, malgré ça, pour ça ?
on a une fille très rapidement, 20ans, pas une thune, et des rapports avec nos parents aussi compliqués qu' lointains, mais qu 'importe, dès qu' notre fille a été là, tous les doutes étaient envolés: j' étais là pour Ca, j' existais pour Ca, et malgré toutes les difficultés, tous les risques, tous les sacrifices, toutes les éventualités possibles, je savais, j' étais certain qu 'on y' arriv'rait, à nous seuls
passons sur les détails, global'ment, on s' en sort, mais comme il s'agit d' ma présentation à moi, j' vais tacher d' me r'centrer sur le sujet
si l' Amour que nous nous échangeons au foyer, et ma proximité avec nos enfants ont d' loin dépassé toutes mes espérances, mon mode de fonctionnement (alternance des boulots donc irrégularité des rev'nus, marginalisation sociale, incapacités administrativo-économiques, addictions diverses, dette de sommeil de plus en plus lourde, etc) est d' moins en moins compatible avec des enfants qui grandissent, et Elle qui s' épuise à compenser mes errances, mes incapacités, mon irresponsabilité, mon refus des compromis avec cette société qu' j' exècre, mon refus d' tout compromis tout court, drapé dans mon intégrité intellectuelle, bien planqué derrière mes idéaux et mes rêves éveillés d' absolu
mes frustrations s' accumulent, ma colère augmente sourdement: pourquoi toussa n' me suffit pas ? pourquoi ça n' marche pas ? pourquoi j' ai toujours aussi mal ? pourquoi j' me sens toujours aussi seul ? pourquoi j' continue sans cesse à m' demander pourquoi ? pourquoi ça gueule de plus en plus fort en-d'dans ? pourquoi j' ai toujours aussi peur ? et de quoi ?
comme Elle le voit, et n' arrive plus à tout compenser, à bout d' forces et de nerfs, Elle finit par prendre des m'sures, ses affaires et notre p'tit dernier, et faire c' qu' Elle peut pour mettre toussa à l'abri d' moi
pour changer, Elle a raison, juste à temps
après plus d' vingt ans d' tensions internes, et d' pressions externes, la machine finit par s' arrêter, la tête et les jambes, rideau
- ça f'ra bientôt 2 ans, et la carcasse n' s' est toujours pas r'mise en route
2 ans à peine, et la désocialisation est ach'vée: plus d' boulot, plus d' foyer, plus rien d' matériel à part quelques fringues, une statue d' Ganesh, et un p'tit sac pour mettre toussa, plus rien qu' moi, à l' ancienne, assis dans l' noir à m' parler tout seul en attendant qu' ça passe
pourtant, Elle n' m' a pas abandonné, au contraire, c' est même grâce à Elle si j' ai pu sombrer sans m' noyer, mais rien à faire, même Ca n' me suffit pas
comme si, cette fois, j' étais plongé si profond en moi qu' plus rien n' pouvait m' atteindre, rien à part la peur de r'monter à la surface
hauts les coeurs ! quand on en est là i' n' reste plus tant d' options, et j' ai fini par choisir celle qui passe par l' aide médicale, avec curatelle, médocs, et tout c' qui va avec
impossible de dire pour le moment où toussa m' mén'ra, mais qu' importe en fait, à coup sûr vers une nouvelle vie, ni meilleure ni pire, alors, promis juré, dès qu' le ciel s'ra dégagé j' me r'choisirais une étoile, un cap, et on verra bien dans quel port j' arriv'rai !
pourvu qu' Elle y soit avec moi ...
Ouf ! Enfin fini (avouez, j' vous r'tire les touches du clavier) !
#sefoutreàpoildevantuntroupeaudinconnus: done
enfin à poil ... disons qu' j'ai r'tiré l' manteau, et posé l' sac sans l' ouvrir ^^
mais au fait, pourquoi ? à quoi ça sert toussa, aussi ? quel étrange besoin a bien pu m' pousser à écrire toussa, et à vous l' livrer ? sincèr'ment, j' n' en sais trop rien pour le moment, mais j' suis quand même au moins un peu content d' avoir réussi à m' présenter sans faux-semblant, et plus gobal'ment qu' je n' l' avais jamais fait auprès d'
'fin, un truc dans l' genre koa ...
alors pardon pour la manière, un rien cavalière, pour la longueur (lourdeur ?), pour les sensibilités qu' auraient pu être heurtées, pour les yeux qui saignent, pour les neurones qui grognent, pour l' bordel auquel ça doit r'ssembler, pour toutes ces portes ouvertes enfoncées, pour tout c' temps d' plus en moins, pour .. j' sais pas, p't-être pardon d' être là, en fait, mais, quoiqu' il advienne, merci quand même
PS ("Pendant" Scriptum): marrant ça, pas eu l' temps d' finir avant d' devoir vouloir prendre une pilule, et d' me rendre compte que j' n' avais plus qu' l' emballage, qu' est-ce que j'ai bien pu foutre de c' flacon ?
PS2: évidemment, à proximité d' ma femelle, de 2 d' nos mômes, et des animaux, en plus du reste, pas facile d' en v'nir à bout d' cette présentation, d'autant moins qu' i' faut croire qu' la pilule magique n'a pas tant d' incidence que ça, j' sais pas trop si ça m' fait plaiz ou chier
PS3: plus d' 12h maint'nant que j' tache d' en finir avec cette présentation, est-ce bien raisonnable ? TDA ? HP ? HQI ? Autisme ? Hypersensibilité ? "Simples" névroses (psychoses ?) ou tous autres traumatismes, stigmates, syndromes, obsessions, pathologies, troubles, neurodéveloppementaux ou pas (tiens ? ça existerait donc un truc qui n' le soit pas ? ), quelle importance, au fond, puisqu' il n' est, à ma connaissance, pas possible de déterminer précisément et avec certitude où commencent certaines conséquences, où s' terminent d' autres causes, sauf à tout réduire en voulant simplifier ? probablement un truc pas bien plus compliqué à admettre, à intégrer, qu' une histoire d'oeuf et d' poule, d'évolution, ou d' positionnement par rapport à la notion d'infini, et pourtant... mais j' m'égare
PS4: Euh ... comment qu' on fait quand on sait, qu' on voit, qu' on sent l' eau qui s' écoule du robinet qu' on a oublié d' fermer, mais qu' on reste juste comme un con d'vant, à l' implorer secrèt'ment pour qu' il veuille bien s' fermer, peu importe comment, pourvu qu' on n' ait pas à l' faire, ou en tout cas pas maint'nant, peut-être parc' qu'on n' en aurait pas la force, le courage, la capacité en somme, ou tout simplement parc' qu'à c' moment-là on y s'rait "obligé", contraint ? Impossible pour moi d' être aussi prévoyant et méticuleux en tactiques que … doué (sérieusement ?) en stratégies en tous genres
PS5: @Hortense: promis, tu n' as pas besoin d' tout lire pour avoir une réponse
PS6: et sinon, tant qu'à n' pas vraiment commencer à finir, pas grand' chose à voir (encore que ^^), mais j' suis en train d' me dire qu'à de -très- rares exceptions près, je n' me souviens ni ne m' suis jamais souv'nu de mes "vrais" rêves - ceux qu'on est sensé faire quand on dort, à votre connaissance, cela pourrait-il changer ? (no troll pliz, au "pire" ce s'ra pour moi juste une façon comme une autre de remplir n'importe comment une de ces listes que j' aime à perdre (ou appris, résolu, à aimer perdre ?)
PS7: @LaArchiMadOldR: le 18, 1x/j pour commencer, avec rdv hebdomadaire et suivi à la culotte
PS8: re-@Hortense: merci pour les quelques minutes si agréablement perdues pendant l' écoute
PS9: @Elliot: merci ! comme disait l' autre pas beau, c' est une évidence, on avance, on avance
PS10: 06:48, 'faut vraiment qu' j'aille siester avant d' finir, comme le disait un lointain et méconnaissable descendant d' Kunta Kinté au charismatique Christ écossais, j' suis trop vieux pour ces conn'ries ... ou pas ?
PS11: minuit passée, j' m'y r'mets
Allan Kardec- Messages : 3
Date d'inscription : 20/07/2018
Re: Présentation
Ça valait le coup d'attendre ton retour.
Je ne reviens pas sur tout
(quoique, ce serait drôle...).
PS3: plus d' 12h maint'nant que j' tache d' en finir avec cette présentation, est-ce bien raisonnable ? TDA ? HP ? HQI ? Autisme ? Hypersensibilité ? "Simples" névroses (psychoses ?) ou tous autres traumatismes, stigmates, syndromes, obsessions, pathologies, troubles, neurodéveloppementaux ou pas (tiens ? ça existerait donc un truc qui n' le soit pas ?), quelle importance, au fond, puisqu' il n' est, à ma connaissance, pas possible de déterminer précisément et avec certitude où commencent certaines conséquences, où s' terminent d' autres causes, sauf à tout réduire en voulant simplifier ?
1)
Je suis une bille en autogaffe,
alors il ne faut pas le prendre mal,
mais tu ne taches pas, tu tâches,
c'est-à-dire, tu ne fais pas tache.
Et tu rayes sûrement pas mal,
à prendre comme compliment ici.
2)
J'ai soumis la même liste à un bon psy,
la réponse a été "un peu de tout ça".
Il n'y a plus qu'à attaquer un peu tout ça.
3)
Le méthylphénidate m'a changé la vie
(avant que la vie ne change la donne ).
C'est déjà bien si tu ne vois pas de 'blème.
Si ça marche, tu pourras fermer le robinet,
sans avoir à lutter en vain pendant 30 ans,
trop bien, n'est-ce pas?
Tout de bon à toi anyway,
et au plaisir de te recroiser!
LaArchiMadOldR- Messages : 817
Date d'inscription : 09/03/2014
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