juste des notes :bball:
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juste des notes :bball:
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...
HAHAHA mais non pardi !
Il s'agit de feuilles que j'ai retrouvées par CENTAINES, non, par MILLIERS dans une pochette mystérieusement scellée par une clé (souvenez vous !) où sont écrites des choses absolument RIGOLOTES et LUDIQUES !
Pour donner une autre forme à ces choses parfois illisibles je vais tenter (mais vais-je y arriver ?) de les retranscrire ici !
Attention à vous il peut se trouver sur cet étrange territoire des formules magiques à ne pas prononcer à voix haute dans n'importe quel lieu ou face à n'importe qui !
LOL !
__________________________________________________
1.
Un axiome se déduit du vrai développé-
on ne part donc pas d'axiomes supposés vrais, mais du faux, [un trait mène à ceci: "partir du faux càd commencer tout simplement"]
de l'immédiat, du vrai abstrait, auquel manque la "concrétion",
le développement, la "libération" disons[?] etc, etc etc.
[entourés, ces mots:] habitudes
rituels
etc [gros "?" autour de ces mots]
a besoin de règles bref etc
Tout règle a besoin de métarègle pour comprendre [multiples gribouillages sur la droite]
le message de la règle (où donc le langage est lui-même
son propre méta etc)(et n'est pas une règle)(l'humain subit il ses outils? --> naturel jaja. [un trait mène à : "Trotsky et toute une envolée en urss vers une nouvelle "nature humaine", voire son dépassement, signification de son échec?"] pas l'humain (esc)
catégorie très utile ursss yeltsin effondrement des règles implicites [gribouillage sans motif en dessous et à droite]
________________________________
2.
[recopiage de "nocturne vulgaire" avec gribouillages (ronds répétés) un peu partout]
[au dos] che vuoi che vuoi dis que veux tu dire
[dessin INCROYABLE (en vrai pas terrible) d'une pièce architecturale qu'on voit sur les bords d'une église probablement]
[tentatives très laides de reproduire cet exploit]
[multiples dessins ratés de pieds de pont]
_________________________________________________
3.
les blagues simplifient grandement le développement requis à un argument
"kant? une douzaine de blagues" -------- en quoi? la philosophie n'est "claire" qu'en tant qu'exhaustive (asympt) [?] sans quoi la
recherche s'interrompt sur la mort du monde [ ] Mais une symphonie d'une journée
Midi Le pont du soir au matin
Madame. Monsieur
Madame
Madame
Madame
Madame Monsieur Monsieur
--------- Monsieur
Madame Monsieur
[il me semble qu'il s'agissait de m'entrainer à faire des "M", il y en a de plusieurs types...je ne comprends pas]
parler s'entend et brise "intimité"
parler passe dans l'intimité fausse par la suppression de
cet attribut : langage sens parole
d'un autre côté la parole atteint hors des murs
Quand parlons nous "vrai"
quand parlons nous pour être entendu peu importe le "vrai" de la forme quel vrai de cette forme etc [un mot illisible, quel dommage]
_________________________________________
4.
que l'oreille évolue, change, c'est certain. mais le respect dû aux compositeurs restera- Mais qu'en est il des retranscriptions, par exemple de Liszt
peut on changer une note par ci etc? a t il été "exact" ?
[de travers : "où se situe le tps réponse évidente : Nature, mais la question reste... concept même existant (logique ?) même prédicat que 'homme (esprit ?)
"que" - concept - abstrait
(pour soi) - en soi - nature - moralité
(parfois)
-----------------------
Nous n'avons que 3 sens, tactile (matière corps [illisible])
idem odeur gout "gaz"
idem yeux oreilles (vibrations)
couleur
organe des maths ? "entendement"?
de quoi fais tu abstraction pour sentir : du reste"]
[de travers (d'un autre) : "temps - Histoire d'avant la liberté
Temps (pré histoire)
Histoire (liberté)
réalisation de la liberté (hors du temps?) [un trait mène à : "càd hors de l'humain)]
amour
catégorie pouvant sauver par l'oubli
popularité des super héros, etc, retour à l'animalité, distinction par propriété de ce type, zoologiste ne demande pas s'il s'agit d'un animal"]
[encore d'une autre manière à l'envers : une liste de course qui me fait saliver]
[sur un autre morceau : "ethos --- de l'immédiat-
de "ce qui est" erreur de traduction : de l'étant plus correct mais moins élégant on ne sais pas s'il est de l'ordre de l'être de l'apparaître de l'illusion etc"]
______________________________________________
5.
-abstrait est également essentiel et doit tout autant être attentivement examiné : nous disions qu'au sens banal, lors de son usage formel simple, la question traitait
formellement d'une forme générale, la politesse : voilà un aspect dont il ne faut pas penser qu'il soit bien connu pour autant qu'il l'est. Nous avions extrait aussi la question de son origine, de la forme de son expression ; mais encore une fois, comment dire ici qu'il s'agit d'un inessentiel et continuer de se servir pour son exposer de cette exacte même forme ?
Chaque chose son moment - Nous pourrions dire "attendez, patience, nous étions vous avez raison de le signaler sur le mode abstrait, le mode partiel de la réponse qui doit éclairer - ne vous attendez pas à un enfumage : les questions nouvellement formées ici seront traitées en réalité bien en amont de celle que nous nous proposions de résoudre...
_c'est donc que vous aviez déjà pour vous répondu ?
_exact. mais pour y venir, il me fallait vous y amener- or vous y voilà : vos questions sont véritablement philosophiques
_auriez vous traverser le pont sans m'attendre ? je suis rendu à mes premiers doutes, avec l'impression que j'aurais à franchir seul le chemin qui nous sépare
_faites donc. je vous ai suffisamment tenu la main. n'avez vous pas déjà entendu le beau refrain de nos pairs ? sapere aude♫ etc-
_la belle affaire..." [tentative de dessiner le visage de lucien bramar]
De ce brouillard, de cette grisaille il nous semble en général pouvoir conclure que nous sommes bien en vérité sur le terrain de la philosophie. Or c'est exactement l'inverse que nous posions comme sa détermination principale, à laquelle nous aboutirons promis, qui est de traiter exclusivement de ce qu'il y a d'essentiel en tout, du vrai, du concret dans chaque chose. Or seul le tout est concret...
_"Attendez !... traiterons nous donc de ce tout d'abord ? avant la partie qu'est la question que nous posions en exemple ?
_Il y a tout lieu de le penser... l'entrée en matière est particulièrement laborieuse comme vous pouvez le constater, la confusion est un moment très humain : il sera notre point de départ et notre moteur en tout, mais donnons lui cet autre nom : il portera celui de faux. Et puis... ne dit on pas qu'une des principales qualité
________________________________________________
6.
de la matière est son impénétrabilité ? Voyez Schopy, chapitre 4 paragraphe 959 alinéa 12 verset 14, ligne 5, lettre b (etccc)
_Ah vous y voilà ! des références ! ne prenez vous pas la chose dans son sérieux ?
_le sérieux qu'elle invoque est extérieur, ne vous laissez pas, avant tout, impressionner : vous n'aurez affaire qu'à vous même-"
(_à moi? mais qui? etc hystérique)
Aboutir coûte que coûte à du faux ; c'est à dire du vrai abstrait - en arriver à dire la vérité en sa particularité, l'attraper là où elle surgit, la surprendre. Il peut paraitre inapproprié de donner l'image d'une chasse, d'une course par pallié, à cette activité souvent comparée à la médecine (kant, wittg). Marcher dans une rivière, au hasard - parfois de la profondeur, ici une corde accrochée par des nageurs à l'arbre, là une truite dans un coin, mais partout le courant qui fait lever le pied- y a t il une meilleure image qu'une rivière d'une eau limpide et fraiche et...
_"c'est d'héraclite je crois non ?
_vous vous moquiez des références !
_c'est que vous moquiez celle dont vous vous serviez, et, il m'a semblé, à juste titre...
_exact. mais je ne suis pas contre le fait de rendre hommage (et autres multiples détours) aux plus féconds de ceux qui etc. Héraclite !... saviez vous qu'il ne reste que quelques mots, quelques grains de sable, de la plage qu'avaient réunis les "Physiciens" devant cet océan que nous appelions la "rivière" ? Encore un coup de la grande humilité qui les a tous inspirée... mais vous savez après tout, ce qui s'est dit de plus sublime dans cette recherche toujours renouvellée, ce sont des renouvellements- moi je préfère les prendre comme des réécritures : chaque fois, c'est l'un d'eux qu'on ressuscite un peu, mais peu importe l'individu.
_Nous perdons pied
_Hé! n'est ce pas bon signe ?"
Kant appelait à user de la philosophie comme materia medica : thérapeutiquement. Dispensaires, feuilles de soin, diagnostique, traitement...hygiène philosophique... c'est rappeler Socrate, mais d'une toute autre manière : kant visait là à la détermination du charlatanisme, à l'ennoblissement de la pratique - Socrate mettait en lumière la présence en chacun de l'enfant vérité, dont la gestation, oubliée ou refoulée, consistait en la famosa pulsion de mort incomprise, d'abord, puis douloureuse. C'est qu'il y a des oublieux pathologiques. morbides. et d'autres qui conservent leurs excréments.
___________________________________________
7.
kant voyait que le pas gagné était à tenir - Peut être se méfiait il légitimement. Il apercevait en tout cas que ce dont il avait été gros dépendrait des soins les plus délicats, pour les premières années de croissance. l'histoire des idées ne déçoit jamais que par ses longueurs, ses stations- l'horizon de kant n'a pas été laissé sans soins. L'enfant est devenu robuste, il est à notre époque un homme pleinement développé. Mais il regarde en arrière : il attend une prochaine révolution.
La plupart des enthousiastes de kant refusent de voir l'homme, saisissent de la terre et de l'eau foulée par le bon emmanuel, et essayent en faisant de leur mieux d'en prendre des soins exagérés, exacerbés par l'impuissance d'en faire une matière vivante autonome- Certains d'entre eux aussi pourtant parviennent à cette fin- y avait il eu deux fils ?
_"Vous m'avez totalement perdu
_c'est qu'il faudra passer par une brève histoire du moyen
_du moyen?
_Nous avions pris le bout final tout à l'heure, et vous me le reprochiez... Passons par cette route intermédiaire, quitte à repasser ici avec des yeux nouveaux plus tard
_Bien."
Reposons donc la question en partant de son milieu, sans en donner trop vite une qualité d'inessentialité
Or il y a là différents "milieux". La question en tant que telle, telle qu'elle est posée est évidemment un milieu vers une fin. Aussi bien possède t elle pour milieu ce qui la présupposent (moyen de son "existence")- Et aussi bien parlons nous de milieu pour désigner le contexte, l'environnement de la question... Appelons ce dernier milieu la raison. Ainsi nous libérons la problématique : reste la première idée. Le milieu est situé au centre de deux chose : fin visée, fin réalisée. Envoi, réception, pour prendre une image : la question est donc posée en provenance d'une fin visée (présupposition double : ) en vue d'une réalisation : qu'appellerons nous ici la réalisation de la fin ? La question dans son caractère de formule
[au dos :
Avoir les "idées courtes", une maladie ?
Une société arrivée --- principe, fondement, dès qu'il est vrai... est également faux
Répétitions vocabulaire articulations d'idées étriquées
la devise
"...devra d'abord laisser place au sérieux de la vie"
"s'y abandonner"
"j'en appelle ici à l'esprit de la jeunesse ! elle est ce beau moment de la vie, etc capable de s'abandonner à l'étude d'une science !"
fleuve du chant hymnique
éducation, ne part jamais de zéro
"plutôt que de s'embêter"]
_________________________________________________________
8.
_"Nous voilà donc avec trois intermédiaires... et même pouvons nous les multiplier encore, en considérant que tout ce qui est ainsi mit de côté sert de moyen au moyen !
_exact... je vous avouerai ici que c'est vous qui me perdez[?] !
_mais.. n'est il pas évident qu'un moyen n'est moyen qu'en présupposant ses propres moyens ?
_Tout est moyen pour ce qui le constitue comme chaque partie est moyen du tout... [???]
_Et il n'y a plus qu'à supposer que chaque chose, sous un aspect, peut être autre que moyen, comme elle le serait sous un autre : identique mais prise extérieurement à un autre
_Mais quel autre ?"
S'arrêter doit toujours ouvrir à l'identification du vrai (abstrait disions nous) qui nous sert de borne. Nous entrons là dans le moderne "tout est connaissable" ou simplement "nous y sommes... plutôt "voilà qui convient" ? ça "colle" ? Notre affaire n'est autre qu'une enquête. Sous ces traits. Mais une situation même exhaustive suffit elle à conclure ? Est elle l'équivalent exact de la limite radicale qu'on a nommée "absolu" ? Il ne doit plus s'agit d'une question : la question de base nous apparait là en tant que question, en tant qu'affaire. énonciation. grammaire.
_"Oui, tout n'est il pas mot ?
_voilà une piste intéressante !"
Le savoir absolu est un point de départ débouchant sur le vide du sujet.
_"encore un 'arrivé de toujours qui s'en ira partout...?'
_attendez un peu je... cogite..."
schopenhauer p78..."voilà les faits, aucun doute là dessus" et innombrables tournures identiques
____________________________________________________
9.
s'arrêter
la terre est bien ronde
_"c'est si peu ! rien du tout"
_commence par...
_"c'est trop"
_"où en est le sens commun ?
_monsieur désir que je l'invoque ?
_faites
_...
_me voici
_Bien. dis moi que sais tu ?
_tout.
_Tout ?
_oui.
_Bah ! ce n'est pas de ça que je souhaite m'informer, mais du concret, du réel !
_je ne peux rien vous en dire - il y règne parait il, ténèbres et confusion..
_Sors."
---
_"Où en est la science ?
_mais monsieur.. vous venez de la renvoyer...
_quelle époque !"
des personnages de transfert. chaque fois le transfert est manifeste (de l'auteur à sa créature ?)
rendue manifeste par un personnage secondaire nécessairement
le personnage secondaire peut avoir plusieurs formes, être plusieurs personnages et que sous un certain aspect tel psg etc
le narrateur de poe, watson, sheppard, wilson etc sont atteints de cet "amour"
nous sommes tous inscrit sur une ligne de la phénoménologie de l'esprit ; à chaque heure nous avancons, reculons
au réveil, nouveau départ, endormi, idem
__________________________________________________________
10.
[à gauche : un "a" entouré] 1. Ce que je présuppose est su. (càd syst de la science) (dire le concept ou ce qui précède ce dire)[?]
1.1. Absolument parlant (radicalement, "en allant au bout"), il n'y a de présupposé que pour un état en soi antérieur à ce prédicat. []
[à gauche : "position, état, détermination"] 1.11. Une présupposition implique une borne, une pause, une station dans le mouvement de la conscience. (figures, en tant que complètes : ouverture) --------- c'est d'un sujet qu'on parle en parlant du concept
[à gauche : "limite"] 1.12. Cette borne est savoir.
1.13. "Faire-retour", réfléchir, ne peut pas être exhaustif. (le vecteur nul peut être négation ou affirmation infinie ; l'abstraction y est universel : c'est une abstraction immédiate, càd absolue indétermination, ou l'être pur, le néant pur, le vide : position difficilement tenable, mais présupposée partout, en même temps que dépassée, contenue, abolie)
1.2. Savoir une chose qui en présuppose une autre est oubli de celle-ci.
1.21. Elle est tout aussi bien comprise que prise pour elle-même ; mais elle est inconsciente.
[à gauche : "s'exprime, se développe, se déploie, moyen langage - savoir. abs. précède le logique"]1.3. Le savoir est remémoration continue. Absolument parlant, il n'a donc pas de contenu, mais est tautologie : vérité ou erreur, ces notions n'ont d'application que temporellement. Elles s'affirment dans le Tout qui s'exprime hors de la présupposition, la connait, et non plus la sait ; la contemple et la voit, et non plus y croit.
2. Ce que je dis est connu.
[à gauche "dianoia"]
2.01. Un sujet commence par la présupposition.
2.011. Un sujet n'est pas sans sujet.
["abstractions"] 2.012. Un sujet ne peut s'isoler des sujets et/ou de l'objet sans s'évaporer en tant que sujet, ou sans devenir pur esprit.
2.0121. Je sans l'autre mais avec l'objet est révélation (impossibilité du partage) ; Je sans l'objet mais avec l'autre est erreur ; Je isolé de l'autre qu'accompagne l'objet est folie.
["où est ce là ?"]["connaissance"] 2.02. Là où rien n'est présupposé, il n'y a pas d'objet.
2.1. Ce que je dis est l'inverse de ce que je sais.
2.101. Je ne dis qu'en me laissant dire. Dire en tant qu'action (opposée à "passion", "passivité") est oubli. Mais ce qui se dit passe dans le savoir.
connaiss est sans objet
sujet y est moyen
soi immédiatement autre ou aboli, aufheben
__________________________________________________________
11.
2.1011. L'éducation effective remplie le contenu de l'oubli.
2.102. L'acte de dire est une borne, une station, dans le langage.
["en soi (essence)"] 2.11. "Je est dit" est la formule exotérique de la spécificité humaine telle qu'on l'a fait savoir. (expressio)
["pour soi (négatif)"] 2.111. "Je se trouve dit" en est la formule ésotérique. (intensité)
["en et pour soi"] 2.112. "Je qui est un nous, nous qui est un je", la formule spirituelle. ("intervidualité"?)
["la vérité-- ens"] 2.2. Ce que je dis est ce que je dé-montre.
2.21. Ce que je dis est donc, absolument parlant, sous la forme de la réflexion du réfléchit.
2.3. Ce qui est présupposé, quand il se rapporte à l'action, est démontré.
2.301. Le langage, la politesse, et autres, sont de cet ordre : ces présuppositions ont leur démonstration dans leur utilisation.
["dév"] 2.302. Raison pour laquelle (voir §1.21) on n'interroge pas le moyen sur son moyen.
2.31. Ce qui est présupposé, quand il se rapporte à la passion, est oublié.
3. Sur ce qui ne va pas va ce qui va.
3.01. ce qui ne va pas passe ; ce qui passe doit arriver pour passer (bornes présupposées)
3.02 La rétro activité d'un prédicat est renversement tautologique. Il s'agit du passage du faux. Il ne peut y avoir qu'un résultat.
sa forme est riche de son contenu. rien n'est à abstraire du vrai, ni l'erreur ni l'illusion. Ils se positionnent face à un moment
qui les précède, les contient et les dépasse : ils se trouvent dans ce dépassement de soi. Le moment supérieur leur appartient
3.1 Le réel est l'impossible
3.101. l'impossible arrive
3.12. à toute déterminabilité est assérée l'impossibilité (ou, d'une suite dans l'identité est assérée une suite dans la différence)
3.2. l'extériorité est une borne dans la déterminabilité. c'est l'en soi de l'existence, ou de la réalité
3.21. l'extériorité s'apparait et se répond (nuit du monde). l'écho revient modifiée, sa voix change, les mots s'interprètent et s'entendent
différemment. l'extériorité est son propre autre. il n'y a pas d"apparition sans réflexion du réfléchit.
3.22. ce qui s'apparait n'apparait qu'à soi
3.23. rien n'apparait qu'un réfléchit
?. La cause est l'effet rétroactif de ses effets
le moyen de la réflexion. négation
présupposition du
[divers schémas illisibles]
le moyen prit comme moyen se passe de moyen, ?il est prit comme et fin visée
_______________________________________________________________
12.
biologie hégélienne?
syllogismes?
1 s o a, rép[étition] (nature)
2 o sp(soa) a(sp) vie (dialectique ? concept? infinité etc ?) moyen - outil"
3 a s o (a/soa) fin (dieu?)
syll syll
1 : 1. s. 2. o. 3. a. ---> s / s // s
2 : 1. o. 2. sp. ---> s. 3 a ----> a / o (sp)(soa) // sp
3 : 1. a. 2. s. 3. o. ---> a ----> a // soa
[...bon]
de quoi peut on faire abstraction ? Une abstraction n'apparait qu'une fois qu'une non-abstraction a été posée : c'est à dire qu'elle dépend immédiatement de son contraire, qui peut par là être compris comme un acte double, la détermination : posons "chien-bleu" : pour être clair il me faut abstraire le plus universellement possible. C'est à dire que l'universel posé doit tendre à la singularité. qu'appelle t on déterminer une singularité. elle ne se détermine que médiatisée par elle même en se différenciant. Nous n'avons posé ni une abstraction plus forte que tout autre en quantité, ou en degré, ni en qualité ou en signification. Si c'est moi qui pose une détermination, c'est moi l'abstrait.
nous pouvions faire sens facilement de tout depuis longtemps ; mais voilà que nous pouvons maintenant de tout faire sens vrai
le sens vrai résultat du système de la science
tout est faux car tout est partiel
c'est de cette condition réelle des choses que la détermination stable atteint le vrai
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ça suffit pour le moment
24/100
17/20
...
HAHAHA mais non pardi !
Il s'agit de feuilles que j'ai retrouvées par CENTAINES, non, par MILLIERS dans une pochette mystérieusement scellée par une clé (souvenez vous !) où sont écrites des choses absolument RIGOLOTES et LUDIQUES !
Pour donner une autre forme à ces choses parfois illisibles je vais tenter (mais vais-je y arriver ?) de les retranscrire ici !
Attention à vous il peut se trouver sur cet étrange territoire des formules magiques à ne pas prononcer à voix haute dans n'importe quel lieu ou face à n'importe qui !
LOL !
__________________________________________________
1.
Un axiome se déduit du vrai développé-
on ne part donc pas d'axiomes supposés vrais, mais du faux, [un trait mène à ceci: "partir du faux càd commencer tout simplement"]
de l'immédiat, du vrai abstrait, auquel manque la "concrétion",
le développement, la "libération" disons[?] etc, etc etc.
[entourés, ces mots:] habitudes
rituels
etc [gros "?" autour de ces mots]
[à côté un "dessin brouillon"]
[ici "I'm ok to forget
but I will never forgive you
let's forget it
but I will"]
toute société ou [illisible] etcbut I will never forgive you
let's forget it
but I will"]
a besoin de règles bref etc
Tout règle a besoin de métarègle pour comprendre [multiples gribouillages sur la droite]
le message de la règle (où donc le langage est lui-même
son propre méta etc)(et n'est pas une règle)(l'humain subit il ses outils? --> naturel jaja. [un trait mène à : "Trotsky et toute une envolée en urss vers une nouvelle "nature humaine", voire son dépassement, signification de son échec?"] pas l'humain (esc)
catégorie très utile ursss yeltsin effondrement des règles implicites [gribouillage sans motif en dessous et à droite]
[multiples "|" et "c"]
quel langue écrite avec uniquement des l et des c
[récitation flamboyante de l'alphabet en majuscules et minuscules]
quel langue écrite avec uniquement des l et des c
[récitation flamboyante de l'alphabet en majuscules et minuscules]
________________________________
2.
[recopiage de "nocturne vulgaire" avec gribouillages (ronds répétés) un peu partout]
[au dos] che vuoi che vuoi dis que veux tu dire
[dessin INCROYABLE (en vrai pas terrible) d'une pièce architecturale qu'on voit sur les bords d'une église probablement]
[tentatives très laides de reproduire cet exploit]
[multiples dessins ratés de pieds de pont]
[ici ; "lumière peinture
matière résistante pensante architect sculpt
reste à sa place
rendre visible les objets
sa manifestation
l'obscur
le clair
identité dans la nature
lumière
nature passe dans la subjectivité
dimensions (du solide) ♂ ------- c'est le moi[?] physique en gén.
--------- ni partie ni indiv encore moins et concentration en soi même Mais: )
--------- qui détruit la spl[?] objectivité et extériorité]
matière résistante pensante architect sculpt
reste à sa place
rendre visible les objets
sa manifestation
l'obscur
le clair
identité dans la nature
lumière
nature passe dans la subjectivité
dimensions (du solide) ♂ ------- c'est le moi[?] physique en gén.
--------- ni partie ni indiv encore moins et concentration en soi même Mais: )
--------- qui détruit la spl[?] objectivité et extériorité]
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3.
les blagues simplifient grandement le développement requis à un argument
"kant? une douzaine de blagues" -------- en quoi? la philosophie n'est "claire" qu'en tant qu'exhaustive (asympt) [?] sans quoi la
recherche s'interrompt sur la mort du monde [ ] Mais une symphonie d'une journée
Midi Le pont du soir au matin
Madame. Monsieur
Madame
Madame
Madame
Madame Monsieur Monsieur
--------- Monsieur
Madame Monsieur
[il me semble qu'il s'agissait de m'entrainer à faire des "M", il y en a de plusieurs types...je ne comprends pas]
parler s'entend et brise "intimité"
parler passe dans l'intimité fausse par la suppression de
cet attribut : langage sens parole
d'un autre côté la parole atteint hors des murs
Quand parlons nous "vrai"
quand parlons nous pour être entendu peu importe le "vrai" de la forme quel vrai de cette forme etc [un mot illisible, quel dommage]
_________________________________________
4.
que l'oreille évolue, change, c'est certain. mais le respect dû aux compositeurs restera- Mais qu'en est il des retranscriptions, par exemple de Liszt
peut on changer une note par ci etc? a t il été "exact" ?
[de travers : "où se situe le tps réponse évidente : Nature, mais la question reste... concept même existant (logique ?) même prédicat que 'homme (esprit ?)
"que" - concept - abstrait
(pour soi) - en soi - nature - moralité
(parfois)
-----------------------
Nous n'avons que 3 sens, tactile (matière corps [illisible])
idem odeur gout "gaz"
idem yeux oreilles (vibrations)
couleur
organe des maths ? "entendement"?
de quoi fais tu abstraction pour sentir : du reste"]
[de travers (d'un autre) : "temps - Histoire d'avant la liberté
Temps (pré histoire)
Histoire (liberté)
réalisation de la liberté (hors du temps?) [un trait mène à : "càd hors de l'humain)]
amour
catégorie pouvant sauver par l'oubli
popularité des super héros, etc, retour à l'animalité, distinction par propriété de ce type, zoologiste ne demande pas s'il s'agit d'un animal"]
[encore d'une autre manière à l'envers : une liste de course qui me fait saliver]
[sur un autre morceau : "ethos --- de l'immédiat-
de "ce qui est" erreur de traduction : de l'étant plus correct mais moins élégant on ne sais pas s'il est de l'ordre de l'être de l'apparaître de l'illusion etc"]
______________________________________________
5.
-abstrait est également essentiel et doit tout autant être attentivement examiné : nous disions qu'au sens banal, lors de son usage formel simple, la question traitait
formellement d'une forme générale, la politesse : voilà un aspect dont il ne faut pas penser qu'il soit bien connu pour autant qu'il l'est. Nous avions extrait aussi la question de son origine, de la forme de son expression ; mais encore une fois, comment dire ici qu'il s'agit d'un inessentiel et continuer de se servir pour son exposer de cette exacte même forme ?
Chaque chose son moment - Nous pourrions dire "attendez, patience, nous étions vous avez raison de le signaler sur le mode abstrait, le mode partiel de la réponse qui doit éclairer - ne vous attendez pas à un enfumage : les questions nouvellement formées ici seront traitées en réalité bien en amont de celle que nous nous proposions de résoudre...
_c'est donc que vous aviez déjà pour vous répondu ?
_exact. mais pour y venir, il me fallait vous y amener- or vous y voilà : vos questions sont véritablement philosophiques
_auriez vous traverser le pont sans m'attendre ? je suis rendu à mes premiers doutes, avec l'impression que j'aurais à franchir seul le chemin qui nous sépare
_faites donc. je vous ai suffisamment tenu la main. n'avez vous pas déjà entendu le beau refrain de nos pairs ? sapere aude♫ etc-
_la belle affaire..." [tentative de dessiner le visage de lucien bramar]
De ce brouillard, de cette grisaille il nous semble en général pouvoir conclure que nous sommes bien en vérité sur le terrain de la philosophie. Or c'est exactement l'inverse que nous posions comme sa détermination principale, à laquelle nous aboutirons promis, qui est de traiter exclusivement de ce qu'il y a d'essentiel en tout, du vrai, du concret dans chaque chose. Or seul le tout est concret...
_"Attendez !... traiterons nous donc de ce tout d'abord ? avant la partie qu'est la question que nous posions en exemple ?
_Il y a tout lieu de le penser... l'entrée en matière est particulièrement laborieuse comme vous pouvez le constater, la confusion est un moment très humain : il sera notre point de départ et notre moteur en tout, mais donnons lui cet autre nom : il portera celui de faux. Et puis... ne dit on pas qu'une des principales qualité
________________________________________________
6.
de la matière est son impénétrabilité ? Voyez Schopy, chapitre 4 paragraphe 959 alinéa 12 verset 14, ligne 5, lettre b (etccc)
_Ah vous y voilà ! des références ! ne prenez vous pas la chose dans son sérieux ?
_le sérieux qu'elle invoque est extérieur, ne vous laissez pas, avant tout, impressionner : vous n'aurez affaire qu'à vous même-"
(_à moi? mais qui? etc hystérique)
Aboutir coûte que coûte à du faux ; c'est à dire du vrai abstrait - en arriver à dire la vérité en sa particularité, l'attraper là où elle surgit, la surprendre. Il peut paraitre inapproprié de donner l'image d'une chasse, d'une course par pallié, à cette activité souvent comparée à la médecine (kant, wittg). Marcher dans une rivière, au hasard - parfois de la profondeur, ici une corde accrochée par des nageurs à l'arbre, là une truite dans un coin, mais partout le courant qui fait lever le pied- y a t il une meilleure image qu'une rivière d'une eau limpide et fraiche et...
_"c'est d'héraclite je crois non ?
_vous vous moquiez des références !
_c'est que vous moquiez celle dont vous vous serviez, et, il m'a semblé, à juste titre...
_exact. mais je ne suis pas contre le fait de rendre hommage (et autres multiples détours) aux plus féconds de ceux qui etc. Héraclite !... saviez vous qu'il ne reste que quelques mots, quelques grains de sable, de la plage qu'avaient réunis les "Physiciens" devant cet océan que nous appelions la "rivière" ? Encore un coup de la grande humilité qui les a tous inspirée... mais vous savez après tout, ce qui s'est dit de plus sublime dans cette recherche toujours renouvellée, ce sont des renouvellements- moi je préfère les prendre comme des réécritures : chaque fois, c'est l'un d'eux qu'on ressuscite un peu, mais peu importe l'individu.
_Nous perdons pied
_Hé! n'est ce pas bon signe ?"
Kant appelait à user de la philosophie comme materia medica : thérapeutiquement. Dispensaires, feuilles de soin, diagnostique, traitement...hygiène philosophique... c'est rappeler Socrate, mais d'une toute autre manière : kant visait là à la détermination du charlatanisme, à l'ennoblissement de la pratique - Socrate mettait en lumière la présence en chacun de l'enfant vérité, dont la gestation, oubliée ou refoulée, consistait en la famosa pulsion de mort incomprise, d'abord, puis douloureuse. C'est qu'il y a des oublieux pathologiques. morbides. et d'autres qui conservent leurs excréments.
___________________________________________
7.
kant voyait que le pas gagné était à tenir - Peut être se méfiait il légitimement. Il apercevait en tout cas que ce dont il avait été gros dépendrait des soins les plus délicats, pour les premières années de croissance. l'histoire des idées ne déçoit jamais que par ses longueurs, ses stations- l'horizon de kant n'a pas été laissé sans soins. L'enfant est devenu robuste, il est à notre époque un homme pleinement développé. Mais il regarde en arrière : il attend une prochaine révolution.
La plupart des enthousiastes de kant refusent de voir l'homme, saisissent de la terre et de l'eau foulée par le bon emmanuel, et essayent en faisant de leur mieux d'en prendre des soins exagérés, exacerbés par l'impuissance d'en faire une matière vivante autonome- Certains d'entre eux aussi pourtant parviennent à cette fin- y avait il eu deux fils ?
_"Vous m'avez totalement perdu
_c'est qu'il faudra passer par une brève histoire du moyen
_du moyen?
_Nous avions pris le bout final tout à l'heure, et vous me le reprochiez... Passons par cette route intermédiaire, quitte à repasser ici avec des yeux nouveaux plus tard
_Bien."
Reposons donc la question en partant de son milieu, sans en donner trop vite une qualité d'inessentialité
Or il y a là différents "milieux". La question en tant que telle, telle qu'elle est posée est évidemment un milieu vers une fin. Aussi bien possède t elle pour milieu ce qui la présupposent (moyen de son "existence")- Et aussi bien parlons nous de milieu pour désigner le contexte, l'environnement de la question... Appelons ce dernier milieu la raison. Ainsi nous libérons la problématique : reste la première idée. Le milieu est situé au centre de deux chose : fin visée, fin réalisée. Envoi, réception, pour prendre une image : la question est donc posée en provenance d'une fin visée (présupposition double : ) en vue d'une réalisation : qu'appellerons nous ici la réalisation de la fin ? La question dans son caractère de formule
[au dos :
Avoir les "idées courtes", une maladie ?
Une société arrivée --- principe, fondement, dès qu'il est vrai... est également faux
Répétitions vocabulaire articulations d'idées étriquées
la devise
"...devra d'abord laisser place au sérieux de la vie"
"s'y abandonner"
"j'en appelle ici à l'esprit de la jeunesse ! elle est ce beau moment de la vie, etc capable de s'abandonner à l'étude d'une science !"
fleuve du chant hymnique
éducation, ne part jamais de zéro
"plutôt que de s'embêter"]
_________________________________________________________
8.
_"Nous voilà donc avec trois intermédiaires... et même pouvons nous les multiplier encore, en considérant que tout ce qui est ainsi mit de côté sert de moyen au moyen !
_exact... je vous avouerai ici que c'est vous qui me perdez[?] !
_mais.. n'est il pas évident qu'un moyen n'est moyen qu'en présupposant ses propres moyens ?
_Tout est moyen pour ce qui le constitue comme chaque partie est moyen du tout... [???]
_Et il n'y a plus qu'à supposer que chaque chose, sous un aspect, peut être autre que moyen, comme elle le serait sous un autre : identique mais prise extérieurement à un autre
_Mais quel autre ?"
S'arrêter doit toujours ouvrir à l'identification du vrai (abstrait disions nous) qui nous sert de borne. Nous entrons là dans le moderne "tout est connaissable" ou simplement "nous y sommes... plutôt "voilà qui convient" ? ça "colle" ? Notre affaire n'est autre qu'une enquête. Sous ces traits. Mais une situation même exhaustive suffit elle à conclure ? Est elle l'équivalent exact de la limite radicale qu'on a nommée "absolu" ? Il ne doit plus s'agit d'une question : la question de base nous apparait là en tant que question, en tant qu'affaire. énonciation. grammaire.
_"Oui, tout n'est il pas mot ?
_voilà une piste intéressante !"
Le savoir absolu est un point de départ débouchant sur le vide du sujet.
_"encore un 'arrivé de toujours qui s'en ira partout...?'
_attendez un peu je... cogite..."
schopenhauer p78..."voilà les faits, aucun doute là dessus" et innombrables tournures identiques
____________________________________________________
9.
s'arrêter
"mourir, dormir... rêver ? _oh non ! pas rêver !"
la route reprisela terre est bien ronde
_"c'est si peu ! rien du tout"
_commence par...
_"c'est trop"
du désir de résoudre [une flèche relie à :
"en lieu des solutions données"
[une flèche relie à "du désir de résoudre"]]
"elle est désir..." IV"en lieu des solutions données"
[une flèche relie à "du désir de résoudre"]]
_"où en est le sens commun ?
_monsieur désir que je l'invoque ?
_faites
_...
_me voici
_Bien. dis moi que sais tu ?
_tout.
_Tout ?
_oui.
_Bah ! ce n'est pas de ça que je souhaite m'informer, mais du concret, du réel !
_je ne peux rien vous en dire - il y règne parait il, ténèbres et confusion..
_Sors."
---
_"Où en est la science ?
_mais monsieur.. vous venez de la renvoyer...
_quelle époque !"
des personnages de transfert. chaque fois le transfert est manifeste (de l'auteur à sa créature ?)
rendue manifeste par un personnage secondaire nécessairement
le personnage secondaire peut avoir plusieurs formes, être plusieurs personnages et que sous un certain aspect tel psg etc
le narrateur de poe, watson, sheppard, wilson etc sont atteints de cet "amour"
nous sommes tous inscrit sur une ligne de la phénoménologie de l'esprit ; à chaque heure nous avancons, reculons
au réveil, nouveau départ, endormi, idem
__________________________________________________________
10.
[à gauche : un "a" entouré] 1. Ce que je présuppose est su. (càd syst de la science) (dire le concept ou ce qui précède ce dire)[?]
1.1. Absolument parlant (radicalement, "en allant au bout"), il n'y a de présupposé que pour un état en soi antérieur à ce prédicat. []
[à gauche : "position, état, détermination"] 1.11. Une présupposition implique une borne, une pause, une station dans le mouvement de la conscience. (figures, en tant que complètes : ouverture) --------- c'est d'un sujet qu'on parle en parlant du concept
[à gauche : "limite"] 1.12. Cette borne est savoir.
1.13. "Faire-retour", réfléchir, ne peut pas être exhaustif. (le vecteur nul peut être négation ou affirmation infinie ; l'abstraction y est universel : c'est une abstraction immédiate, càd absolue indétermination, ou l'être pur, le néant pur, le vide : position difficilement tenable, mais présupposée partout, en même temps que dépassée, contenue, abolie)
1.2. Savoir une chose qui en présuppose une autre est oubli de celle-ci.
1.21. Elle est tout aussi bien comprise que prise pour elle-même ; mais elle est inconsciente.
[à gauche : "s'exprime, se développe, se déploie, moyen langage - savoir. abs. précède le logique"]1.3. Le savoir est remémoration continue. Absolument parlant, il n'a donc pas de contenu, mais est tautologie : vérité ou erreur, ces notions n'ont d'application que temporellement. Elles s'affirment dans le Tout qui s'exprime hors de la présupposition, la connait, et non plus la sait ; la contemple et la voit, et non plus y croit.
2. Ce que je dis est connu.
[à gauche "dianoia"]
2.01. Un sujet commence par la présupposition.
2.011. Un sujet n'est pas sans sujet.
["abstractions"] 2.012. Un sujet ne peut s'isoler des sujets et/ou de l'objet sans s'évaporer en tant que sujet, ou sans devenir pur esprit.
2.0121. Je sans l'autre mais avec l'objet est révélation (impossibilité du partage) ; Je sans l'objet mais avec l'autre est erreur ; Je isolé de l'autre qu'accompagne l'objet est folie.
["où est ce là ?"]["connaissance"] 2.02. Là où rien n'est présupposé, il n'y a pas d'objet.
2.1. Ce que je dis est l'inverse de ce que je sais.
2.101. Je ne dis qu'en me laissant dire. Dire en tant qu'action (opposée à "passion", "passivité") est oubli. Mais ce qui se dit passe dans le savoir.
connaiss est sans objet
sujet y est moyen
soi immédiatement autre ou aboli, aufheben
__________________________________________________________
11.
2.1011. L'éducation effective remplie le contenu de l'oubli.
2.102. L'acte de dire est une borne, une station, dans le langage.
["en soi (essence)"] 2.11. "Je est dit" est la formule exotérique de la spécificité humaine telle qu'on l'a fait savoir. (expressio)
["pour soi (négatif)"] 2.111. "Je se trouve dit" en est la formule ésotérique. (intensité)
["en et pour soi"] 2.112. "Je qui est un nous, nous qui est un je", la formule spirituelle. ("intervidualité"?)
["la vérité-- ens"] 2.2. Ce que je dis est ce que je dé-montre.
2.21. Ce que je dis est donc, absolument parlant, sous la forme de la réflexion du réfléchit.
2.3. Ce qui est présupposé, quand il se rapporte à l'action, est démontré.
2.301. Le langage, la politesse, et autres, sont de cet ordre : ces présuppositions ont leur démonstration dans leur utilisation.
["dév"] 2.302. Raison pour laquelle (voir §1.21) on n'interroge pas le moyen sur son moyen.
2.31. Ce qui est présupposé, quand il se rapporte à la passion, est oublié.
3. Sur ce qui ne va pas va ce qui va.
3.01. ce qui ne va pas passe ; ce qui passe doit arriver pour passer (bornes présupposées)
3.02 La rétro activité d'un prédicat est renversement tautologique. Il s'agit du passage du faux. Il ne peut y avoir qu'un résultat.
sa forme est riche de son contenu. rien n'est à abstraire du vrai, ni l'erreur ni l'illusion. Ils se positionnent face à un moment
qui les précède, les contient et les dépasse : ils se trouvent dans ce dépassement de soi. Le moment supérieur leur appartient
3.1 Le réel est l'impossible
3.101. l'impossible arrive
3.12. à toute déterminabilité est assérée l'impossibilité (ou, d'une suite dans l'identité est assérée une suite dans la différence)
3.2. l'extériorité est une borne dans la déterminabilité. c'est l'en soi de l'existence, ou de la réalité
3.21. l'extériorité s'apparait et se répond (nuit du monde). l'écho revient modifiée, sa voix change, les mots s'interprètent et s'entendent
différemment. l'extériorité est son propre autre. il n'y a pas d"apparition sans réflexion du réfléchit.
3.22. ce qui s'apparait n'apparait qu'à soi
3.23. rien n'apparait qu'un réfléchit
?. La cause est l'effet rétroactif de ses effets
le moyen de la réflexion. négation
présupposition du
[divers schémas illisibles]
le moyen prit comme moyen se passe de moyen, ?il est prit comme et fin visée
_______________________________________________________________
12.
biologie hégélienne?
syllogismes?
1 s o a, rép[étition] (nature)
2 o sp(soa) a(sp) vie (dialectique ? concept? infinité etc ?) moyen - outil"
3 a s o (a/soa) fin (dieu?)
syll syll
1 : 1. s. 2. o. 3. a. ---> s / s // s
2 : 1. o. 2. sp. ---> s. 3 a ----> a / o (sp)(soa) // sp
3 : 1. a. 2. s. 3. o. ---> a ----> a // soa
[...bon]
de quoi peut on faire abstraction ? Une abstraction n'apparait qu'une fois qu'une non-abstraction a été posée : c'est à dire qu'elle dépend immédiatement de son contraire, qui peut par là être compris comme un acte double, la détermination : posons "chien-bleu" : pour être clair il me faut abstraire le plus universellement possible. C'est à dire que l'universel posé doit tendre à la singularité. qu'appelle t on déterminer une singularité. elle ne se détermine que médiatisée par elle même en se différenciant. Nous n'avons posé ni une abstraction plus forte que tout autre en quantité, ou en degré, ni en qualité ou en signification. Si c'est moi qui pose une détermination, c'est moi l'abstrait.
nous pouvions faire sens facilement de tout depuis longtemps ; mais voilà que nous pouvons maintenant de tout faire sens vrai
le sens vrai résultat du système de la science
tout est faux car tout est partiel
c'est de cette condition réelle des choses que la détermination stable atteint le vrai
___________________________________________________________________
ça suffit pour le moment
Zeuxis- Messages : 17
Date d'inscription : 09/10/2017
Sarty- Messages : 509
Date d'inscription : 03/01/2019
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Sarty- Messages : 509
Date d'inscription : 03/01/2019
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Sarty- Messages : 509
Date d'inscription : 03/01/2019
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Re: juste des notes :bball:
do do fa fa sol sol si la do si la
ok je sors c'était tentant désolé
ok je sors c'était tentant désolé
Invité- Invité
Sarty- Messages : 509
Date d'inscription : 03/01/2019
Age : 27
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Re: juste des notes :bball:
Le meilleur des plans n'est-ce pas Rantanplan ?
«réflexion reflet réfléchir» C'est étonnant ces termes de flexion, de fléchir (qui contient flèche ?)
Cela signifie-t-il se replier ? Comme les circonvolutions du cerveau ? Et se redresser, s'éjecter dans un "Eureka !"
«réflexion reflet réfléchir» C'est étonnant ces termes de flexion, de fléchir (qui contient flèche ?)
Cela signifie-t-il se replier ? Comme les circonvolutions du cerveau ? Et se redresser, s'éjecter dans un "Eureka !"
Sarty- Messages : 509
Date d'inscription : 03/01/2019
Age : 27
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Re: juste des notes :bball:
Ceci t'intéressera peut-être :
C'est un autre aspect de la communication, du langage.
C'est un autre aspect de la communication, du langage.
Re: juste des notes :bball:
je ne comprends pas bien de quoi il s'agit
Sarty- Messages : 509
Date d'inscription : 03/01/2019
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Localisation : lyon
Re: juste des notes :bball:
Il s'agit de sortir de son corps, et d'aller ainsi explorer le monde, et rencontrer également d'autres entités.
Où est le sujet dans ce cas ? Dans une deuxième interview on comprend bien la difficulté à exprimer des choses que parfois il ressent lors de ses voyages.
Comme si on pouvait transmettre des images, des ressentis sans langage, en se glissant dans le corps de l'autre pour acquérir ce qu'il voulait partager. Comme une zone de libre échange en chacun de nous.
Il parle également de la difficulté à se rétrécir pour retourner dans son corps.
Comme tu parlais d'universel et d'individu j'ai cru que cela t'intéresserait. Mais il n'y a pas de schéma, désolé, je peux l'enlever si tu préfères.
Où est le sujet dans ce cas ? Dans une deuxième interview on comprend bien la difficulté à exprimer des choses que parfois il ressent lors de ses voyages.
Comme si on pouvait transmettre des images, des ressentis sans langage, en se glissant dans le corps de l'autre pour acquérir ce qu'il voulait partager. Comme une zone de libre échange en chacun de nous.
Il parle également de la difficulté à se rétrécir pour retourner dans son corps.
Comme tu parlais d'universel et d'individu j'ai cru que cela t'intéresserait. Mais il n'y a pas de schéma, désolé, je peux l'enlever si tu préfères.
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