La guerre de l'art et la résistance

Une personne (que je remercie !) à qui je racontais récemment mes difficultés à me projeter actuellement dans l'avenir et sa conséquence pour moi : la procrastination m'a conseillé de lire "La Guerre de l'art" de Steven Pressfield (que je ne parviens pas à trouver en ligne pfft..).

Il y est question de "La résistance" décrite ici comme "une force harcelante et hargneuse qui va puissamment à l’encontre de l’accomplissement du travail. La résistance est une force abominable, elle est l’ennemie numéro 1 de n’importe quel entrepreneur, créateur ou écrivain."
Je ne l'avais jusqu'ici jamais connue, c'est donc tout nouveau mais arf.. j'en suis victime car c'est exactement ce que je vis depuis quelques (longs) mois.

je sais que j'ai un travail à faire mais je procrastine en attendant que les choses se fassent toutes seules....
L'auteur écrit "“Le professionnel a appris que le succès, comme le bonheur, vient comme un sous-produit du travail. Le professionnel se concentre sur le travail et autorise la récompense à venir ou ne pas venir, peu importe ce qu’ils veulent. »

« Êtes-vous paralysé par la peur? C’est un bon signe. La peur est bonne. Comme le doute sur soi-même, la peur est une indicatrice. La peur nous dit que ce nous avons à faire. Souvenez-vous de l’une des règles d’or: plus vous nous sommes effrayé par un travail ou par un appel, plus nous certains que nous avons à le faire"

Ce livre met un nom sur ce comportement humain qui consiste à commencer des choses auxquelles nous aspirons, mais à ne jamais les finir par peur, par résistance au changement.

Il s'avère que Tout a changé dans ma vie depuis 2 ans, vie familiale, amoureuse, professionnelle et ça se poursuit avec la vente de ma boîte qui devrait être finalisée d'ici mi mai.
Tout est à réinventer, à recommencer et entre le manque d'envie, le trop d'envies et la trouille ..... je suis paralysée !
Bref, de pro, je suis devenue un amateur, c'est pas glorieux...

Si quelqu'un sait où je peux me procurer ce bouquin (et en français.. ), ça devient urgent.
Si vous avez conseils et astuces en attendant, je prends aussi.

Merci de votre aide.

https://medium.com/essentiels/la-guerre-de-lart-comment-lib%C3%A9rer-sa-cr%C3%A9ativit%C3%A9-et-exprimer-son-talent-3c7273d423cb

En anglais, ou format Kindle

https://aimeeknight.files.wordpress.com/2016/01/the-war-of-art_fastpencil_pbo.pdf

https://www.amazon.fr/Guerre-lArt-R%C3%A9sum%C3%A9-traduction-Pressfield-ebook/dp/B07MK9PBWV

merci , tu es trop fort !

Et tu serais un ange si tu me le traduisais (mon anglais étant ahem.. approximatif..)

Hirondelle123 a écrit:merci , tu es trop fort !

Et tu serais un ange si tu me le traduisais

Je suis plus proche du démon que de l'ange moi....

Le kindle il est en monoglotte français, hein...et il ne vaut même pas 2€

Si tu m'en donne 2000, alors je veux bien le payer, le télécharger, faire un copier-coller...et encaisser la différence  

Sinon, tu peux essayer par là

http://monlivre.regen2017.co.uk/livre/B07MK9PBWV-la-guerre-de-l-art-resume-et-traduction-de-the-war-of-art-de-steven-pressfield.html

Mais je ne garantis rien...

salut p2m,
je crois que c'est le mal du siècle : cette perte de sens dont tu parles.
Après, il y a les observateurs / spectateurs qui vont analyser, décrypter les choses et le pourquoi des choses mais pas dans le sens de leur utilité (pour quoi) mais juste le pourquoi.
Et puis il y a les acteurs, ceux qui comme moi ont besoin de donner du sens au chaos, transformer le chaos en une œuvre qui fait sens.
On peut ne pas être pas un artiste aux yeux des autres et savoir au fond de soi qu'on en est un car l'art et la création est partout.

L'amateurisme ne permet pas la reconnaissance dont j'ai besoin perso car c'est elle qui va donner de la valeur à ce que je fais.

Stegos a écrit:

Hirondelle123 a écrit:merci , tu es trop fort !

Et tu serais un ange si tu me le traduisais

Je suis plus proche du démon que de l'ange moi....

Bien essayé mais à d'autres

c'est le printemps, pas de doute

p2m a écrit:

Un penseur qui me semblé intéressant est Bernard Stiegler. Il a l'air de penser très global, sans arrangement cosmétique, complaisance.

Par rapport à la "gloire" du professionalisme, Bernard Stiegler pense justement que la seule sortie vers haut de la sclérose provoquée par les lignes de force majeures de la société actuelle est justement l'amateurisme...

je lis rapidement au sujet de Bernard Stiegler.

"Qu'est-ce qu'un artiste ? C'est quelqu'un qui travaille avec des artifices. Uniquement. (...) Aujourd'hui, les artifices deviennent des poisons, dans tous les domaines. Bernard Stiegler "
Je pense que l'art comme toute création peut être subversif.
Que c'est même le seul moyen de servir des causes sans user de violence ou de guerre.

Je ne comprends pas pourquoi on devrait glorifier l'art amateur uniquement ?

D’où tu tires cette citation?

Quid de l'art mateur ?

p2m a écrit:D’où tu tires cette citation?

ici : https://www.franceculture.fr/emissions/la-grande-table-2eme-partie/lart-se-met-il-au-vert

Saxifrage* a écrit:Quid de l'art mateur ?

C'est du l'art ou du cochon ?

Si dans ce puits sans fond, vous trouvez une échelle, une corde invisible qui pend ou bien un passage secret pour en sortir, je veux bien la soluce car je bloque sur ce niveau... Merci d'avance

La solution a des problèmes concrets

Hirondelle123 a écrit:

Saxifrage* a écrit:Quid de l'art mateur ?

C'est du l'art ou du cochon ?

Les 2 mon capitaine !

En fait, si je comprends bien, on reprocherait au pro de chercher de la reconnaissance à l'opposé de l'amateur qui n'en chercherait pas.
je traduis : Le pro serait bouffi d'orgueil tandis que l'amateur serait un pur artiste.

C'est caricatural et injuste.

Car oui, contrairement à l'amateur, le pro risquerait d'en recevoir puisqu'il prendrait le risque de s'exposer.
En quoi cette audace aurait elle pour conséquence de le décrédibiliser ? Ce devrait être le contraire, non ?

Nolimit a écrit:Si dans ce puits sans fond, vous trouvez une échelle, une corde invisible qui pend ou bien un passage secret pour en sortir, je veux bien la soluce car je bloque sur ce niveau... Merci d'avance

La solution a des problèmes concrets

De ce que j'entrevois, la défaillance de confiance en soi nous pousserait à aller chercher de la reconnaissance et ce serait l'angoisse de ne pas l'obtenir qui nous paralyserait.
S'affranchir du besoin de reconnaissance serait le but à atteindre.


Comment on fait ça ?

euuuhhhh..

Pro ou amateur, la différence est dans la rémunération ou non. Mais même en amateur, la recherche et l'exigence peuvent être les mêmes, non ?

Nolimit a écrit:Pro ou amateur, la différence est dans la rémunération ou non. Mais même en amateur, la recherche et l'exigence peuvent être les mêmes, non ?

je reposte ça ici du coup qui explique la différence :

"L’argent ne fait pas le bonheur, même si il y contribue grandement. Le véritable accomplissement de la vie est d’être en bonne santé, de développer des liens sociaux et émotionnels durables, et d’éprouver de la joie lorsque nous travaillons chaque jour.
Devenir professionnel

La meilleure manière de combattre la Résistance est de devenir un professionnel. Dans Turning Pro, Pressfield dit qu’est professionnel toute personne qui est tellement investie à son art que cet idéal à temps plein en devient réel et rémunérateur.

Les qualités qui définissent un artiste professionnel :

Ils se présentent tous les jours et qu’importe ce qui peut arriver (météo, course poursuite avec la police, invasion de sauterelles).
Ils restent au travail toute la journée.
Ils sont engagés sur le long terme, car les enjeux sont réels et authentiques.
Ils acceptent la rémunération pour le labeur. Ils ne sont pas là pour le plaisir, mais pour l’argent.
Ils ont du recul pour ne pas trop s’identifier avec le travail.
Ils maîtrisent la technique que nécessite leur travail.

Pour l’amateur, c’est tout le contraire.

L’amateur n’a pas maîtrisé la technique de son art. Il ne s’expose pas non plus au jugement dans le monde réel. Montrer ce que vous faites à vos amis est biaisé, ils vous diront qu’ils adorent pour ne pas vous froisser. Rien n’est aussi efficace que la validation du monde réel, même s’il s’agit d’un échec.

Pour qu’un livre (ou un projet ou une entreprise) puisse attirer notre attention sur le temps qu’il faut pour se déployer, il doit se brancher sur une certaine perplexité interne ou une passion qui nous revêt d’une importance primordiale.

La plus grande différence qui distingue le professionnel de l’amateur est que le professionnel n’a pas abandonné son art. Il aime tellement ce qu’il fait qu’il a décidé de consacrer sa vie à cela. Son engagement est à plein temps.

L’artiste qui fait le choix de la vocation s’est porté volontaire pour l’enfer : un régime d’isolement, de rejet, de doute, de désespoir, de ridicule, de mépris et d’humiliation. Mais c’est la voie à suivre pour atteindre l’excellence."

Hirondelle123 a écrit:Pour qu’un livre (ou un projet ou une entreprise) puisse attirer notre attention sur le temps qu’il faut pour se déployer, il doit se brancher sur une certaine perplexité interne ou une passion qui nous revêt d’une importance primordiale.

La plus grande différence qui distingue le professionnel de l’amateur est que le professionnel n’a pas abandonné son art. Il aime tellement ce qu’il fait qu’il a décidé de consacrer sa vie à cela. Son engagement est à plein temps.

En bon professionnel, faites une bonne communication, sachez gérer votre réseau, connaissez votre éco système, vous serez un bon professionnel si vos compétence sont à niveau. Et si vous savez vous libérer des contigences quotidiennes, vous pourrez vous livrer à toutes vos excentricités.

Consacrez tout votre temps à la passion qui vous brûle, vous serez un ermite inconnu dont la vision sera peut être reconnu, un jour...peut être

Je ne connais perso aucun entrepreneur ou artiste ayant réussi ou échoué qui n'a pas consacré tout son temps et son énergie à son projet.
Perso, j'ai mis 2 ans avant de pouvoir me verser un minable salaire.
Les efforts sont nécessaires mais rarement suffisants.

Hirondelle123 a écrit:Je ne connais perso aucun entrepreneur ou artiste ayant réussi ou échoué qui n'a pas consacré tout son temps et son énergie à son projet.
Perso, j'ai mis 2 ans avant de pouvoir me verser un minable salaire.
Les efforts sont nécessaires mais rarement suffisants.

Je suis bien d'accord.... Les efforts sont une condition nécessaire mais pas suffisante

Réussir à échouer, c'est tout un art !

Et encore... J'ai fais parfois de superbe réussite sans efforts et des efforts qui non jamais été vu ni m^me perçus...

Nolimit a écrit:Et encore... J'ai fais parfois de superbe réussite sans efforts et des efforts qui non jamais été vu ni m^me perçus...

C'est ça et c'est là mon problème... lorsque mon besoin de reconnaissance n'est pas satisfait, je ne vois plus de sens à ce que je fais.

Victoria's a écrit:Réussir à échouer, c'est tout un art !

y a de vrais artistes de l'auto-sabotage mais combien l'assument ?

Je galère depuis plusieurs années sur le sujet..... Et si je reprends??? Vive '1984' ou 'La mort est mon métier'... Pourtant je suis et était reconnu...

L'algorithme est comme un poème...bien c'est pourri les poèmes

Nolimit a écrit: 'La mort est mon métier'...

la vie et l'amour, le mien ^^
t'es thanatopracteur ?

Je comprends d'autant plus ce que tu exprimes qu'il y a beaucoup de similitudes avec mon fonctionnement.
Arghhhh la mauvaise foi m’horripile au moins autant que l'absence totale de bon sens.
J'ai mis des années à déléguer car je me dis qu'on n'est jamais mieux servi que par soi-même et je mets longtemps à accorder ma confiance (et elle n'est jamais complètement aveugle).
Le ROI dont tu parles me cause complètement.
J'ai choisi un métier car chaque action y est mesurable, quantifiable, ce n'est pas pour rien.
J'ai du mal aussi quand tout ce que j'obtiens de la part de mon père ou de mes exs (ahaha) c'est "bah, c'est bien mais t'auras pas une médaille, hein.." tandis qu'on va célébrer un exploit minable de la part d'un(e) autre (bah oui lui/elle n'a pas tes "facilités"..).
Bref, j'ai toujours été aux yeux des autres un cheval de course condamné à sauter de plus en plus haut.... mais je réalise que c'est parce que je cours après ma médaille !
Je suis esclave de ce besoin de reconnaissance que je me crée moi-même et qui perd son sens dès lors que je n'ai plus personne pour me féliciter ou pire, lorsque j'échoue et les déçois.
Je suis toujours mon pire juge.

ça, je le sais depuis déjà un bout de temps mais je prends conscience qu'il y a peut être une autre façon de voir les choses que de se dire que sans public ni médaille, ni reconnaissance, je ne suis rien car cette pensée revient à se construire sa propre prison.
Comment sortir de l'aliénation à son besoin de reconnaissance, qu'il soit positif ou négatif d'ailleurs (car ça marche dans les deux sens), est la question.

tu es l'incarnation même de l'esprit de synthèse en image

Hirondelle123 a écrit:
tu es l'incarnation même de l'esprit de synthèse en image

oui il parait, puis je suis trop feignasse pour ecrire

sur l'art, ceci est très intéressant

désolée, je peux pas visionner ça... autant j'aime les artistes , autant l'intello qui parle de l'art.. il me fait le même effet que le mec qui te demande après "alors, heureuse ? " ou le débat après le film

ok
C'est clair... Je respecte...
J'ouvrirai éventuellement un autre sujet pour comprendre ce qui est entendu par "intello"

p2m a écrit:ok
C'est clair... Je respecte...
J'ouvrirai éventuellement un autre sujet pour comprendre ce qui est entendu par "intello"

Il y a les artistes, il y a le public et il y a les intellos : "ceux qui savent" mieux que l'artiste ce qu'il a voulu exprimer et mieux que le public ce qu'il a bien pu ressentir.

ok. Concentrons nous sur ta thématique...

ok
merci

Hirondelle123 a écrit:

Nolimit a écrit: 'La mort est mon métier'...

la vie et l'amour, le mien ^^
t'es thanatopracteur ?

Theochomdupracteur ... C'est possible çà ?


'La mort est mon métier' Christophe Merle... Pas mal sur les notions des besoins de reconnaissance et de réponse un ordre établi

Un type qui a commis des atrocités au nom d'une idéologie Nazi
Tu veux parler de de la manipulation des foules comme dérive possible du besoin de reconnaissance ?

peux tu expliquer le fond de ta pensée, je ne saisis pas ?

Aie... Je n'ai pas trop le temps pour une longue explication. 

Non, pas la manipulation des foules... Juste l'usage ou l'utilisation par autrui de notre besoin de reconnaissance individuelle utilisée à des fins qui n'ont pas forcement de sens pour soi.


Pas sur d'être plus clair. Je te dois une réponse plus construite

je comprends que ce besoin de reconnaissance nous rende influençable et donc manipulable et que finalement on puisse s'y perdre soi même, puisque comment faire la distinction entre nos désirs et ceux de celui à qui on veut continuer de plaire ?
C'est le danger que peut représenter le couple par exemple mais c'est aussi ce qui peut constituer le moteur.

Cette envie de se dépasser pour l'autre, que ce soient mes enfants, mes parents, mes amoureux, mes associés, mes amis, mes salariés m'ont longtemps poussé à donner le meilleur de moi même.
Ils m'ont portée tout autant que je les ai portés.

Avoir des enfants, aimer, transmettre, tout ça a jusqu'à maintenant donné un sens à mes actions.
Tout ça avait du sens pour moi.

Chercher la reconnaissance, c'est être dépendante du regard de l'autre dont on espère l'approbation, c'est se fier à son jugement, c'est lui accorder du crédit.
mais attention, l'autre à qui on donne soi même la légitimité de vous juger peut la perdre bien plus rapidement que le temps qu'il aura mis à l'obtenir.
C'est là une limite à son pouvoir de manipulation : son propre jugement de sa propre valeur.

C'est pourquoi je n'associe pas forcément le besoin de reconnaissance à une mésestime de soi.

D'ailleurs, pourquoi les gens sont-ils si frileux en compliments ?
Pourquoi la plupart des gens ne veulent pas recevoir des compliments ou ne savent pas en faire ?

Pourquoi s'interdire de dire qu'on aime quand on aime ?

Quel souci y aurait-il dans le fait de reconnaître l'autre ?

Hirondelle, je t'aime.

Savoir que tu existes, lire tes doutes et tes questions, si proches des miens - mais quand bien même ne le seraient-ils pas, qu'importe, au fond -, voilà qui me fait sentir moins seul au monde, voilà qui pourrait, j'espère, te faire sentir moins seule au monde. Je veux dire : ce n'est pas une question de se/te/me rassurer, non (quel besoin, d'ailleurs ?) ; simplement, reconnaître (la vache que c'est nouveau pour moi ! et ZC y a largement contribué) reconnaître que, oui, il existe la possibilité d'un nous. C'est doux.

Plutôt que la peur de se faire bouffer par l'autre, manipuler par l'autre, dominer par l'autre, je suis passé du côté de ceux qui choisissent la peur de n'être pas aimés assez, de ne pas aimer assez ; une peur de n'être pas à la hauteur, oui ; mais cette peur-là n'est pas paralysante, elle stimule, elle challenge, elle élève ; ce n'est pas exactement un choix, "ça" s'est imposé. J'ai peur de ne pas dire assez je t'aime, peur de ne pas dire assez combien je te trouve beau, brillant, magnifique, inouï, époustouflant... Fut-ce à un inconnu, fut-ce à quelqu'un que je ne rencontrerai sans doute jamais, fut-ce à quelqu'un qui me quitte, fut-ce à une Hirondelle de passage.
Loin de me retrancher quoi que ce soit, loin de me sentir ce faisant mis en danger, cela me rend plus... plus fort ? Plus moi-même ? plus aimable ? Cela me rend plus, en tout cas. Et ça fait tomber les forteresses sclérosantes, les bunkers étouffants, qu'on peut alors abandonner comme une vieille mue, qui n'a plus de raison d'être.
Lire, écouter, rencontrer, partager un bout de route, voire aimer un autrui plus grand que moi, voilà qui m'élève. Merci !



Bon, à part ça, j'ai encore procrastiné velu en passant par ici, passque j'ai du boulot zalimentaire à abattre... ZC et Hirondelle, je vous déteste ! (lol, of course...)

Pffff… tu gâches toutes mes bonnes ondes !!!!

Tout le monde a droit a un câlin

Quoi, tu n'apprécie pas que l'Ovni envoie des vers ?