Envie de rien, peur de tout
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Envie de rien, peur de tout
Bonjour à tous,
Je me demandais si certains d'entre vous s'étaient déjà retrouvé dans la même situation que moi.
Je vous expose la situation :
J'ai commencé récemment un nouveau travail dans une grosse boite et c'est un peu ce que certains appelleraient le "dream job". Je n'ai pas postulé, c'est par une amie en commun avec ma boss actuelle que je suis rentré dans le processus de recrutement et à ma grande surprise j'ai eu le boulot. Un recrutement complètement inattendu et inédit puisque je faisais quelque chose de totalement différent avant. C'est pour moi une reconversion totale et pour eux un pari sur un asset non formaté. Je m'ennuyais beaucoup dans mon ancien job et j'ai vu ici l'opportunité d'apprendre quelque chose de complètement différent.
Cela fait maintenant 4 mois que j'y suis et je viens de valider ma période d'essai. Tout le monde est très content de moi et mes qualités personnelles semblent en adéquation avec ce qu'ils recherchent. J'apprends vite, je suis autonome, humble, curieux, capable de gérer plusieurs projets en même temps... C'est le feed back que j'ai eu, je n'ai pas du tout le même sentiment et la vision que j'ai de moi est bien plus négative et je pense étouffer par le syndrome de l'imposteur.
J'ai peur d'être démasqué, je ne me sens pas à la hauteur en face de gens qui maîtrise leur sujet. Le boulot est intéressant mais je me sens souvent dépassé, je ne pourrais pas tout faire comme je le souhaite et ça me décourage. J'ai envie d'arrêter et de ne jamais revenir. Plus généralement je me demande vraiment ce que je fais là. Le travail est intéressant mais à quoi bon ? Je me dis qu'une vie meilleure m'attend sûrement quelque part, mais où ? M'arrêter pour faire quoi ? Je n'ai pas de passion particulière et je dois quand même travailler. Est-ce que le prochain job ne me donnera pas le même sentiment ? Je me demande parfois si l'obligation de devoir interagir en permanence, donner mon avis ne me font pas peur. Je me suis toujours senti à l'abris professionnelement, couvert, et là j'ai le sentiment d'être exposé, dépassé. En gros j'aime qu'on me laisse tranquille
Pour me rassurer, je me dis que je ne ferai ça qu'un temps, il y aura sûrement ensuite quelque chose qui va me passionner. Mais rien n'y fait, chaque matin j'aimerais claquer ma démission. Je n'arrive pas à me persuader que c'est ça ma vie et je n'arrive surtout pas à savoir si ma vie est vraiment ailleurs ou si c'est l'exposition potentielle relative à ce travail qui me terrifie, si c'est le fait que je me fasse un montagne de pas grand chose qui m'épuise ou si collaborer sans avoir le sentiment d'avancer m'agace.
Est-ce que ma situation parle à quelqu'un ici ?
Bonne soirée à tous et merci les zèbres
M.
Je me demandais si certains d'entre vous s'étaient déjà retrouvé dans la même situation que moi.
Je vous expose la situation :
J'ai commencé récemment un nouveau travail dans une grosse boite et c'est un peu ce que certains appelleraient le "dream job". Je n'ai pas postulé, c'est par une amie en commun avec ma boss actuelle que je suis rentré dans le processus de recrutement et à ma grande surprise j'ai eu le boulot. Un recrutement complètement inattendu et inédit puisque je faisais quelque chose de totalement différent avant. C'est pour moi une reconversion totale et pour eux un pari sur un asset non formaté. Je m'ennuyais beaucoup dans mon ancien job et j'ai vu ici l'opportunité d'apprendre quelque chose de complètement différent.
Cela fait maintenant 4 mois que j'y suis et je viens de valider ma période d'essai. Tout le monde est très content de moi et mes qualités personnelles semblent en adéquation avec ce qu'ils recherchent. J'apprends vite, je suis autonome, humble, curieux, capable de gérer plusieurs projets en même temps... C'est le feed back que j'ai eu, je n'ai pas du tout le même sentiment et la vision que j'ai de moi est bien plus négative et je pense étouffer par le syndrome de l'imposteur.
J'ai peur d'être démasqué, je ne me sens pas à la hauteur en face de gens qui maîtrise leur sujet. Le boulot est intéressant mais je me sens souvent dépassé, je ne pourrais pas tout faire comme je le souhaite et ça me décourage. J'ai envie d'arrêter et de ne jamais revenir. Plus généralement je me demande vraiment ce que je fais là. Le travail est intéressant mais à quoi bon ? Je me dis qu'une vie meilleure m'attend sûrement quelque part, mais où ? M'arrêter pour faire quoi ? Je n'ai pas de passion particulière et je dois quand même travailler. Est-ce que le prochain job ne me donnera pas le même sentiment ? Je me demande parfois si l'obligation de devoir interagir en permanence, donner mon avis ne me font pas peur. Je me suis toujours senti à l'abris professionnelement, couvert, et là j'ai le sentiment d'être exposé, dépassé. En gros j'aime qu'on me laisse tranquille
Pour me rassurer, je me dis que je ne ferai ça qu'un temps, il y aura sûrement ensuite quelque chose qui va me passionner. Mais rien n'y fait, chaque matin j'aimerais claquer ma démission. Je n'arrive pas à me persuader que c'est ça ma vie et je n'arrive surtout pas à savoir si ma vie est vraiment ailleurs ou si c'est l'exposition potentielle relative à ce travail qui me terrifie, si c'est le fait que je me fasse un montagne de pas grand chose qui m'épuise ou si collaborer sans avoir le sentiment d'avancer m'agace.
Est-ce que ma situation parle à quelqu'un ici ?
Bonne soirée à tous et merci les zèbres
M.
mott88- Messages : 3
Date d'inscription : 11/05/2019
Age : 41
Localisation : Paris
Re: Envie de rien, peur de tout
Salut,
Est-ce que ce sont les interractions qui te fatiguent ? Est-ce que tu es trop sollicité (j'ai cru comprendre que oui en te lisant) ?
Tu as eu de très bon retour et personne ne se doute que tu stresses beaucoup, si ?
Peut-être que tu es maintenant précieux pour leur équipe et qu'ils t'aiment bien. Cela vaudrait le coup de réfléchir à ce qui pourrait améliorer ton état de stress, et aussi réfléchir à en faire part à quelqu'un qui gère sur place (sup ou RH, je suppose, une personne qui sera apte à comprendre, dans l'idéal) pour changer ton environnement dans le bon sens.
Si tu pars, ce ne sera sans doute pas réellement compris, si tu n'as pas tenté de t'exprimer avant l'implosion.
Autres questions : te sens tu dépassé et est-ce que ça te poursuit hors du boulot ? Genre tu te sens dépassé à un moment précis et ensuite tu deviens incapable de gérer des situations de la vie courante que tu gérais sans aucun problème habituellement ?
Est-ce que tu te fais bombarder d'infos au travail, et même si tu finis par gérer, préférerais-tu que l'on t'explique les choses autrement ? plus dans le détail ?
Est-ce que ce sont les interractions qui te fatiguent ? Est-ce que tu es trop sollicité (j'ai cru comprendre que oui en te lisant) ?
Tu as eu de très bon retour et personne ne se doute que tu stresses beaucoup, si ?
Peut-être que tu es maintenant précieux pour leur équipe et qu'ils t'aiment bien. Cela vaudrait le coup de réfléchir à ce qui pourrait améliorer ton état de stress, et aussi réfléchir à en faire part à quelqu'un qui gère sur place (sup ou RH, je suppose, une personne qui sera apte à comprendre, dans l'idéal) pour changer ton environnement dans le bon sens.
Si tu pars, ce ne sera sans doute pas réellement compris, si tu n'as pas tenté de t'exprimer avant l'implosion.
Autres questions : te sens tu dépassé et est-ce que ça te poursuit hors du boulot ? Genre tu te sens dépassé à un moment précis et ensuite tu deviens incapable de gérer des situations de la vie courante que tu gérais sans aucun problème habituellement ?
Est-ce que tu te fais bombarder d'infos au travail, et même si tu finis par gérer, préférerais-tu que l'on t'explique les choses autrement ? plus dans le détail ?
Invité- Invité
Re: Envie de rien, peur de tout
Hello,
Non c'est plutôt la sensation de ne rien voir avancer et d'avoir le sentiment qui c'est de ma faute si c'est le cas. Pour eux c'est tout à fait normal que les choses avancent de cette manière, c'est dans ma tête que rien ne va.
Je suis beaucoup sollicité oui, mais je crois que je veux trop bien faire. Découvrant tous les sujets, je donne plus que les autres pour le même résultat.
En effet personne ne se doute de rien, je partage mes questions et mes inquiétudes mais globalement les journées se passent bien. Je m'en fais des montagnes quand je n'y suis pas mais dès que je suis dans le vif du sujet, plus de stress, juste parfois l'impression de mal priorisé ou de prendre trop de temps sur des sujets secondaires.
Le sentiment d'être dépassé ne me poursuit pas hors du boulot car je me laisse un peu vivre. Quand je m'imagine entreprendre quelque chose je vois vite le bout de l'histoire et je me dis que ça ne vaut pas le coup, je n'en vois pas l'intérêt. Pour la vie courante ça va, il faut juste que je me mette des coups de pied au cul de temps en temps !
Oui je suis bombardé d'infos, ce qui laisse peut de temps pour qu'on me les explique dans le détail et pour les digérer. Il faut très vite être opérationnel et la quantité de sujets à gérer empêche de s'attarder trop longtemps sur les détails. Je comprends, j'avance, je ne comprends pas, je demande, je comprends et j'avance...
Non c'est plutôt la sensation de ne rien voir avancer et d'avoir le sentiment qui c'est de ma faute si c'est le cas. Pour eux c'est tout à fait normal que les choses avancent de cette manière, c'est dans ma tête que rien ne va.
Je suis beaucoup sollicité oui, mais je crois que je veux trop bien faire. Découvrant tous les sujets, je donne plus que les autres pour le même résultat.
En effet personne ne se doute de rien, je partage mes questions et mes inquiétudes mais globalement les journées se passent bien. Je m'en fais des montagnes quand je n'y suis pas mais dès que je suis dans le vif du sujet, plus de stress, juste parfois l'impression de mal priorisé ou de prendre trop de temps sur des sujets secondaires.
Le sentiment d'être dépassé ne me poursuit pas hors du boulot car je me laisse un peu vivre. Quand je m'imagine entreprendre quelque chose je vois vite le bout de l'histoire et je me dis que ça ne vaut pas le coup, je n'en vois pas l'intérêt. Pour la vie courante ça va, il faut juste que je me mette des coups de pied au cul de temps en temps !
Oui je suis bombardé d'infos, ce qui laisse peut de temps pour qu'on me les explique dans le détail et pour les digérer. Il faut très vite être opérationnel et la quantité de sujets à gérer empêche de s'attarder trop longtemps sur les détails. Je comprends, j'avance, je ne comprends pas, je demande, je comprends et j'avance...
mott88- Messages : 3
Date d'inscription : 11/05/2019
Age : 41
Localisation : Paris
Re: Envie de rien, peur de tout
Bonjour mott88,
Oh que oui cette situation me parle..!
Mon boulot actuel… Au départ, je ne pensais pas du tout postuler, par manque de compétences. Mais la nana dont j'ai pris la place quittait ce job pour une meilleure opportunité, on avait sympathisé auparavant, et quand j'ai perdu mon boulot précédent, me mettant dans une situation précaire, elle m'a poussé à postuler et a appuyé ma candidature.
J'ai été prise, plus par affinité que pour mes compétences qui, comme je l'ai dit, sur le papier ne feraient fantasmer aucun patron..!
Mes collègues sont ravis de mon travail, mes "supérieurs" aussi, quand moi je trouve que je stagne, que je devrais en faire plus et mieux… Je me mets une grosse pression pour "être à la hauteur". Mais quand je m'en suis ouvert à mes collègues (qui sont vraiment super !!), ils ont été très étonnés de mon stress et de mon manque de confiance, m'assurant que je suis celle qui bosse le plus efficacement parmi mes prédécesseuses et avec qui le feeling passe au top..!
J'ai cette chance-là, d'avoir des collègues compréhensifs. Qu'en est-il de ton côté ? Peux-tu t'ouvrir à quelqu'un dans ta boîte ?
Bon, après, les avantages de ce job et mes responsabilités familiales m'ont permis d'y tenir un peu plus de 4 ans. Mais je l'avoue, au prix de frôlages très réguliers de burn-out… Mais je pense que c'est surtout dû au rythme de ma vie en général.
Toujours est-il que je sais que ce job n'est pas, malgré tous ses avantages, un job dans lequel je pourrait m'épanouir (argggg plus de 7h/jour le cul sur une chaise derrière un écran d'ordi quand je ne rêve que de Nature, c'est dur…!). Mais comme je ne peux pas tout de suite m'en passer, j'aurai au moins évolué en compétences et en connaissance de moi dans le cadre professionnel. Bon, le sentiment d'imposture est toujours là malgré tout… mais de temps en temps j'ose m'en ouvrir aux collègues et comme ils voient parfois que je pourrais sombrer dans le burn-out, ils m'encouragent et on discute de ce qui pourrait être modifié dans ma façon de travailler pour que je le vive mieux.
Je ne me lâche pas souvent, hein, je le précise, mais il suffit de s'ouvrir de temps en temps, avant de lâcher complètement prise, pour retrouver l'énergie d'avancer encore de quelques pas.
Après, si je n'avais pas mes enfants à ma seule charge, aurais-je perdurer dans ce job ?... Je ne pense pas, pas aussi longtemps en tout cas. Mais dans tout les cas, j'ai beaucoup de chance de vivre cette expérience pro. En tout cas, j'essaye d'en tirer le meilleur parti.
Bon, tout ça pour dire, non tu n'es pas seul à vivre ce genre de chose. Je n'ai pas vraiment de conseils à donner, tant de paramètres rentrent en ligne de compte… Mais le plus important selon moi; c'est que tu vois si tu peux partager tes doutes et ressentis avec un(e) de tes collègues, quelqu'un en qui tu aurais confiance pour ne pas te sentir juger.
Bon courage !
(pinaise, c'est pas tout les jours que je pose un pavé, et en général quand je le fais, je trouve que ça n'a ni queue ni tête donc si je ne suis pas claire (bien que je n'amène rien d'éclairant !^^), désolée ! ^^)
Oh que oui cette situation me parle..!
Mon boulot actuel… Au départ, je ne pensais pas du tout postuler, par manque de compétences. Mais la nana dont j'ai pris la place quittait ce job pour une meilleure opportunité, on avait sympathisé auparavant, et quand j'ai perdu mon boulot précédent, me mettant dans une situation précaire, elle m'a poussé à postuler et a appuyé ma candidature.
J'ai été prise, plus par affinité que pour mes compétences qui, comme je l'ai dit, sur le papier ne feraient fantasmer aucun patron..!
Mes collègues sont ravis de mon travail, mes "supérieurs" aussi, quand moi je trouve que je stagne, que je devrais en faire plus et mieux… Je me mets une grosse pression pour "être à la hauteur". Mais quand je m'en suis ouvert à mes collègues (qui sont vraiment super !!), ils ont été très étonnés de mon stress et de mon manque de confiance, m'assurant que je suis celle qui bosse le plus efficacement parmi mes prédécesseuses et avec qui le feeling passe au top..!
J'ai cette chance-là, d'avoir des collègues compréhensifs. Qu'en est-il de ton côté ? Peux-tu t'ouvrir à quelqu'un dans ta boîte ?
Bon, après, les avantages de ce job et mes responsabilités familiales m'ont permis d'y tenir un peu plus de 4 ans. Mais je l'avoue, au prix de frôlages très réguliers de burn-out… Mais je pense que c'est surtout dû au rythme de ma vie en général.
Toujours est-il que je sais que ce job n'est pas, malgré tous ses avantages, un job dans lequel je pourrait m'épanouir (argggg plus de 7h/jour le cul sur une chaise derrière un écran d'ordi quand je ne rêve que de Nature, c'est dur…!). Mais comme je ne peux pas tout de suite m'en passer, j'aurai au moins évolué en compétences et en connaissance de moi dans le cadre professionnel. Bon, le sentiment d'imposture est toujours là malgré tout… mais de temps en temps j'ose m'en ouvrir aux collègues et comme ils voient parfois que je pourrais sombrer dans le burn-out, ils m'encouragent et on discute de ce qui pourrait être modifié dans ma façon de travailler pour que je le vive mieux.
Je ne me lâche pas souvent, hein, je le précise, mais il suffit de s'ouvrir de temps en temps, avant de lâcher complètement prise, pour retrouver l'énergie d'avancer encore de quelques pas.
Après, si je n'avais pas mes enfants à ma seule charge, aurais-je perdurer dans ce job ?... Je ne pense pas, pas aussi longtemps en tout cas. Mais dans tout les cas, j'ai beaucoup de chance de vivre cette expérience pro. En tout cas, j'essaye d'en tirer le meilleur parti.
Bon, tout ça pour dire, non tu n'es pas seul à vivre ce genre de chose. Je n'ai pas vraiment de conseils à donner, tant de paramètres rentrent en ligne de compte… Mais le plus important selon moi; c'est que tu vois si tu peux partager tes doutes et ressentis avec un(e) de tes collègues, quelqu'un en qui tu aurais confiance pour ne pas te sentir juger.
Bon courage !
(pinaise, c'est pas tout les jours que je pose un pavé, et en général quand je le fais, je trouve que ça n'a ni queue ni tête donc si je ne suis pas claire (bien que je n'amène rien d'éclairant !^^), désolée ! ^^)
Invité- Invité
Re: Envie de rien, peur de tout
[quote="mott88"
Non c'est plutôt la sensation de ne rien voir avancer et d'avoir le sentiment qui c'est de ma faute si c'est le cas. Pour eux c'est tout à fait normal que les choses avancent de cette manière, c'est dans ma tête que rien ne va.
Je suis beaucoup sollicité oui, mais je crois que je veux trop bien faire. Découvrant tous les sujets, je donne plus que les autres pour le même résultat.
quote]
Ne serais-tu pas comme beaucoup de zèbres, perfectionniste ?
Si tes collègues et tes supérieurs considèrent que tu fais du bon boulot et que "les choses avancent normalement", j'en déduit que tu mets la barrière trop haute et que tu te dévalorises. Rassures toi, nous sommes nombreux dans ce cas et moi la première.
C'est avant tout un problème de confiance en soi et surtout d'estime de soi.
Je n'ai pas trouvé de réelles solutions hormis relativiser et alterner périodes de "paresse" et périodes de travail intense ; cela me permet de ne pas trop stresser. Désolée de ne pas pouvoir t'aider d'avantages.
Bon courage à toi
Non c'est plutôt la sensation de ne rien voir avancer et d'avoir le sentiment qui c'est de ma faute si c'est le cas. Pour eux c'est tout à fait normal que les choses avancent de cette manière, c'est dans ma tête que rien ne va.
Je suis beaucoup sollicité oui, mais je crois que je veux trop bien faire. Découvrant tous les sujets, je donne plus que les autres pour le même résultat.
quote]
Ne serais-tu pas comme beaucoup de zèbres, perfectionniste ?
Si tes collègues et tes supérieurs considèrent que tu fais du bon boulot et que "les choses avancent normalement", j'en déduit que tu mets la barrière trop haute et que tu te dévalorises. Rassures toi, nous sommes nombreux dans ce cas et moi la première.
C'est avant tout un problème de confiance en soi et surtout d'estime de soi.
Je n'ai pas trouvé de réelles solutions hormis relativiser et alterner périodes de "paresse" et périodes de travail intense ; cela me permet de ne pas trop stresser. Désolée de ne pas pouvoir t'aider d'avantages.
Bon courage à toi
Christlau- Messages : 62
Date d'inscription : 12/12/2017
Age : 54
Localisation : Périphérie de Lyon
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