nulle de chez nulle concernant les rapports humains...
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nulle de chez nulle concernant les rapports humains...
...
Dernière édition par anais le Mer 14 Sep 2011 - 1:24, édité 1 fois
anais- Messages : 129
Date d'inscription : 13/03/2010
Re: nulle de chez nulle concernant les rapports humains...
(reine)
la trouille...
(ça peut donner ce genre de réactions brusques).
Dernière édition par Wise le Jeu 22 Sep 2011 - 0:29, édité 1 fois
Re: nulle de chez nulle concernant les rapports humains...
merci ça m'aide beaucoup...
anais- Messages : 129
Date d'inscription : 13/03/2010
Re: nulle de chez nulle concernant les rapports humains...
le muttisme et lisolement est importé de l'occident.
Re: nulle de chez nulle concernant les rapports humains...
Et le troll s'exporte partout.
Yack- Messages : 720
Date d'inscription : 14/04/2011
Age : 40
Localisation : Paris
Re: nulle de chez nulle concernant les rapports humains...
Je suis dans ce cas je suis trop exigent trop spontané avec les gens que j'apprécie et parfois je pense seul je suis dans mon monde et donc ca fait bizarre. Il ne faut pas me laisser seul sinon je m'isole je commence à penser trop et la c'est la cata. Je rentre dans une sorte d'autisme
Badsmile- Messages : 10
Date d'inscription : 03/11/2011
Re: nulle de chez nulle concernant les rapports humains...
Bonjour,
Il a fallu que j'attende d'avoir 26 pour enfin commencer à m'ouvrir aux autres.
J'avais toujours l'impression que les gens de moquaient de moi ou me jugeaient.
A bientôt,
Alexis
Il a fallu que j'attende d'avoir 26 pour enfin commencer à m'ouvrir aux autres.
J'avais toujours l'impression que les gens de moquaient de moi ou me jugeaient.
A bientôt,
Alexis
Re: nulle de chez nulle concernant les rapports humains...
Ce problème de la sociabilisation revient souvent sur le forum;et je me demande si l'on aborde le sujet comme il faut;car souvent j'ai l'impression qu'il y a comme un sentiment de culpabilité engendrée par notre asociabilité.
Alors,en toute prétention,je me permets d'aborder cela sous un autre angle:
-ne pourrait on pas imaginer que notre" problème" ne vient pas d'un manque de sociabilité,mais qu'au contraire nous le serions trop ;sociable:.
Ouverture d'esprit,empathie,respect de l'intégrité de l'autre,sont les minimas pour une socièté agréable:et je ne pense pas etre misanthrope en affirmant que ces trois qualités ne sont pas unanimement partagées.
Le jour ou je me retrouve enfermé dans une cage avec des singes,sans doute ne me mettrai-je pas à hurler comme eux,ni à flairer le cul de la première gueunon qui passe;bref je serais donc encore asociable .
Alors,en toute prétention,je me permets d'aborder cela sous un autre angle:
-ne pourrait on pas imaginer que notre" problème" ne vient pas d'un manque de sociabilité,mais qu'au contraire nous le serions trop ;sociable:.
Ouverture d'esprit,empathie,respect de l'intégrité de l'autre,sont les minimas pour une socièté agréable:et je ne pense pas etre misanthrope en affirmant que ces trois qualités ne sont pas unanimement partagées.
Le jour ou je me retrouve enfermé dans une cage avec des singes,sans doute ne me mettrai-je pas à hurler comme eux,ni à flairer le cul de la première gueunon qui passe;bref je serais donc encore asociable .
cleobule- Messages : 200
Date d'inscription : 01/05/2010
Age : 54
Localisation : kemper
Re: nulle de chez nulle concernant les rapports humains...
Interessant, oui.
Tellement intéressant : c'est le drame de ma vie et sans doute de nos vies.
Trop d'émotions engendre trop de douleurs ou trop de joie(s). Ce qui effraie les normaux.
+1 pour la note d'humour de Cleobulle sur fond d'évidence pragmatique chez les primates.
Je souffre si intensément, si intimement et si continuellement de ces rapports "humains" justement. J'en ai besoin, je les recherche, ils sont mon essence même. Pourtant je me noie à vouloir les voir, les trouver, les comprendre, les entretenir, les créer, les chercher, les améliorer, les disséquer pour ne plus jamais avoir à en souffrir par mon erreur ou par une mauvaise interprétation... Moi qui ne demande qu'à partager et échanger spontanément, naturellement et sincèrement sans même y penser.
Avec ma famille (zebrée certainement) : de l'incompréhension, des heurts incessants, des blessures involontaires reconnues ensuite ou non... de la souffrance et donc de la fuite (cercle négatif) - trop peu de plaisirs ou de bons moments car le souvenir de la douleur même passée est présent derrière les mots.
Avec mes enfants (nous communiquons sur un mode intensif et totalement excessif voire violent pour les lambda) tout est rapide, percutant, et très certainement blessant ; les jeux comme les paroles ou les actions. Pourtant nous nous aimons avec passion. intensément solidaires et protectrices nous nous sentons incomprises même au sein de la maisonnée et nous pouvons même être destructrices pour nous sauver nous même d'une agressions subie bien qu'involontairement portée.
Chaque fois, nous réalisons nos erreurs et nos blessures et nous nous en repentons. Nous nous cajôlons, nous nous rassurons, nous nous pardonnons et nous nous plaignons de cet état de fait et de ce cercle vicieux de folie (????) que nous n'arrivons pas à briser. C'est la douche écossaise en permanence... c'est épuisant et par instinct de survie on n'a pas envie de s'y frotter à nouveau, pourtant il le faut bien. Souvent je me demande ce que les voisins peuvent bien penser de nous et de nos sautes d'humeurs...
Inadapté avec les voisins, connaisances, collègues et amis.
J'ai le sentiment que tous savent le "mode" à utiliser sur l'instant...
Mode connaissance ami : gentillesse, communion et flaterie, que je traduis parfois quand j'y assiste par de l'hypocrisie, de la manipulation et du déguisement de personalité => abject !
Mode collègue : illusion de performance, concurrence, fausse courtoisie, mensonges, malhonnêteté intellectuelle et humaine => écoeurant.
Tous le savent et le reconnaissent, c'est la règle... il s'y adaptent sans aucun état d'âme. Pourquoi pas moi ?
Ils savent switcher de l'un à l'autre là où moi, je mélange tous les modes.
Je me réconforte en affirmant que je suis une personne entière (je suis la même en toute circonstance) - mais ça ne leurre que moi car à l'évidence je ne m'adapte pas en étant moi-même. Pire : ceux à qui je m'en suis ouverte considèrent tristement qu'il ne peut pas en être autrement, que c'est bien dommâge pour moi et que je dois absolument, si je veux y arriver dans la vie, adopter le bon sens commun !!!
Ce dont je conviens car raisonnablement, c'est vrai, c'est ainsi qu'il faut faire. Mais j'en suis incapable durablement.
J'y parviens le temps d'un entretien ou sur une ou plusieurs journées, mais j'ai découvert que la proximité durable (collègue) faisait vite sauter ce "vernis" et je redeviens vite "à fleur de peau" sans recul sur le contexte (travail par exemple).
Et là, je fais peur, j'impressionne avec mes certitudes (qui pourtant n'en sont pas mais plutôt le fruits de réflexions personnelles) avec ma rapidité (parce qu'une évidence ne se réfléchit pas) ou mon bon sens (inné mais pas compris car trop intuitif) - envahissant aussi car si je suis moi même je prends trop de place et donc je me mets sciemment en retrait, donc, je souffre de cette inhibition forcée bien que voulue et consentie, socialement correcte. On me rejette, je me replie ou tente de m'imposer maladroitement... "faussement" gentille mais terriblement blessée et humiliées pour la énième fois.
Toujours ce fameux albatros qui me tarraude : comment ouvrir mes ailes sans faire souffrir. Faut-il les garder plier ? pour toujours ? est-il possible de les ouvrir et les fermer sans conséquences préjudiciables ?
Je dois revêtir un costume et déguiser ma personalité - porter un masque - et j'y arrive de moins en moins.
Au passage, je commence à rejoindre ceux parmis nous qui sont devenus un peu hostile à la société... et ça m'effraie.
Ce serait donc du théatre... un costume, une réplique préparée... 1000 répliques, 1000 masques... ou encore peut-être comme jouer au monopoly ? On suit les règles du jeu, même si parfois on convient que ce n'est ni adapté ni équitable ? on joue au Monopoly, donc on en accepte les règles...
Mais ... alors, SAVONS nous (nous les zèbres) vraiment "jouer" ???
Ma psy me dit : attention à votre perception des événements ! Ce que j'ai perçu d'une situation n'est pas la situation en elle même... j'interprête avec mes intruments personnels (mes moyens) des mots, des échanges qui ont été émis avec des moyens différents (ceux des autres)... Pour moi il n'y a pas de jeux là dedans ou plutôt, je ne sais pas mettre de jeux dans ce domaine, c'est pour moi trop douloureux, trops sérieux car il y a trop d'enjeux personnels.
Oui... notre système de câblage est différent. Elle me dit qu'on ne peut pas brancher la fiche en "T" d'une box sur le réseau EDF... et qu'après ça tout est dit !!!
L'Analyse Transactionnelle (un exemple de règle du jeux ?) m'a un peu apporté car elle décortique les positionnements de chacun des intervenants dans un contexte. Mais c'est très difficile de garder ces informations présentes à l'esprit en même temps qu'on vit une situation parfois génératrice de tensions internes...
Pour y remédier, je pense de plus en plus à l'Hypnose... très sérieusement, même.
Tellement intéressant : c'est le drame de ma vie et sans doute de nos vies.
Trop d'émotions engendre trop de douleurs ou trop de joie(s). Ce qui effraie les normaux.
+1 pour la note d'humour de Cleobulle sur fond d'évidence pragmatique chez les primates.
Je souffre si intensément, si intimement et si continuellement de ces rapports "humains" justement. J'en ai besoin, je les recherche, ils sont mon essence même. Pourtant je me noie à vouloir les voir, les trouver, les comprendre, les entretenir, les créer, les chercher, les améliorer, les disséquer pour ne plus jamais avoir à en souffrir par mon erreur ou par une mauvaise interprétation... Moi qui ne demande qu'à partager et échanger spontanément, naturellement et sincèrement sans même y penser.
Avec ma famille (zebrée certainement) : de l'incompréhension, des heurts incessants, des blessures involontaires reconnues ensuite ou non... de la souffrance et donc de la fuite (cercle négatif) - trop peu de plaisirs ou de bons moments car le souvenir de la douleur même passée est présent derrière les mots.
Avec mes enfants (nous communiquons sur un mode intensif et totalement excessif voire violent pour les lambda) tout est rapide, percutant, et très certainement blessant ; les jeux comme les paroles ou les actions. Pourtant nous nous aimons avec passion. intensément solidaires et protectrices nous nous sentons incomprises même au sein de la maisonnée et nous pouvons même être destructrices pour nous sauver nous même d'une agressions subie bien qu'involontairement portée.
Chaque fois, nous réalisons nos erreurs et nos blessures et nous nous en repentons. Nous nous cajôlons, nous nous rassurons, nous nous pardonnons et nous nous plaignons de cet état de fait et de ce cercle vicieux de folie (????) que nous n'arrivons pas à briser. C'est la douche écossaise en permanence... c'est épuisant et par instinct de survie on n'a pas envie de s'y frotter à nouveau, pourtant il le faut bien. Souvent je me demande ce que les voisins peuvent bien penser de nous et de nos sautes d'humeurs...
Inadapté avec les voisins, connaisances, collègues et amis.
J'ai le sentiment que tous savent le "mode" à utiliser sur l'instant...
Mode connaissance ami : gentillesse, communion et flaterie, que je traduis parfois quand j'y assiste par de l'hypocrisie, de la manipulation et du déguisement de personalité => abject !
Mode collègue : illusion de performance, concurrence, fausse courtoisie, mensonges, malhonnêteté intellectuelle et humaine => écoeurant.
Tous le savent et le reconnaissent, c'est la règle... il s'y adaptent sans aucun état d'âme. Pourquoi pas moi ?
Ils savent switcher de l'un à l'autre là où moi, je mélange tous les modes.
Je me réconforte en affirmant que je suis une personne entière (je suis la même en toute circonstance) - mais ça ne leurre que moi car à l'évidence je ne m'adapte pas en étant moi-même. Pire : ceux à qui je m'en suis ouverte considèrent tristement qu'il ne peut pas en être autrement, que c'est bien dommâge pour moi et que je dois absolument, si je veux y arriver dans la vie, adopter le bon sens commun !!!
Ce dont je conviens car raisonnablement, c'est vrai, c'est ainsi qu'il faut faire. Mais j'en suis incapable durablement.
J'y parviens le temps d'un entretien ou sur une ou plusieurs journées, mais j'ai découvert que la proximité durable (collègue) faisait vite sauter ce "vernis" et je redeviens vite "à fleur de peau" sans recul sur le contexte (travail par exemple).
Et là, je fais peur, j'impressionne avec mes certitudes (qui pourtant n'en sont pas mais plutôt le fruits de réflexions personnelles) avec ma rapidité (parce qu'une évidence ne se réfléchit pas) ou mon bon sens (inné mais pas compris car trop intuitif) - envahissant aussi car si je suis moi même je prends trop de place et donc je me mets sciemment en retrait, donc, je souffre de cette inhibition forcée bien que voulue et consentie, socialement correcte. On me rejette, je me replie ou tente de m'imposer maladroitement... "faussement" gentille mais terriblement blessée et humiliées pour la énième fois.
Toujours ce fameux albatros qui me tarraude : comment ouvrir mes ailes sans faire souffrir. Faut-il les garder plier ? pour toujours ? est-il possible de les ouvrir et les fermer sans conséquences préjudiciables ?
Je dois revêtir un costume et déguiser ma personalité - porter un masque - et j'y arrive de moins en moins.
Au passage, je commence à rejoindre ceux parmis nous qui sont devenus un peu hostile à la société... et ça m'effraie.
Ce serait donc du théatre... un costume, une réplique préparée... 1000 répliques, 1000 masques... ou encore peut-être comme jouer au monopoly ? On suit les règles du jeu, même si parfois on convient que ce n'est ni adapté ni équitable ? on joue au Monopoly, donc on en accepte les règles...
Mais ... alors, SAVONS nous (nous les zèbres) vraiment "jouer" ???
Ma psy me dit : attention à votre perception des événements ! Ce que j'ai perçu d'une situation n'est pas la situation en elle même... j'interprête avec mes intruments personnels (mes moyens) des mots, des échanges qui ont été émis avec des moyens différents (ceux des autres)... Pour moi il n'y a pas de jeux là dedans ou plutôt, je ne sais pas mettre de jeux dans ce domaine, c'est pour moi trop douloureux, trops sérieux car il y a trop d'enjeux personnels.
Oui... notre système de câblage est différent. Elle me dit qu'on ne peut pas brancher la fiche en "T" d'une box sur le réseau EDF... et qu'après ça tout est dit !!!
L'Analyse Transactionnelle (un exemple de règle du jeux ?) m'a un peu apporté car elle décortique les positionnements de chacun des intervenants dans un contexte. Mais c'est très difficile de garder ces informations présentes à l'esprit en même temps qu'on vit une situation parfois génératrice de tensions internes...
Pour y remédier, je pense de plus en plus à l'Hypnose... très sérieusement, même.
Marsienne- Messages : 356
Date d'inscription : 04/11/2010
Age : 55
Localisation : 92 en géo mais d'ailleurs en réalité
Re: nulle de chez nulle concernant les rapports humains...
Salut Marsienne!
Je suis d'accord avec toi sur l'histoire de switcher de modes...peut-être que les zèbres sont trop honnêtes et 'ouverts' (dans le sens on l'on est connecté à trop de choses pour s'enfermer dans un rôle) pour s'adapter sans heurts.
pourtant je pense que justement nos qualités de zèbres doivent nous aider, pas forcément à jouer un rôle, mais du moins mieux communiquer non?
Je suis d'accord avec toi sur l'histoire de switcher de modes...peut-être que les zèbres sont trop honnêtes et 'ouverts' (dans le sens on l'on est connecté à trop de choses pour s'enfermer dans un rôle) pour s'adapter sans heurts.
pourtant je pense que justement nos qualités de zèbres doivent nous aider, pas forcément à jouer un rôle, mais du moins mieux communiquer non?
jj82- Messages : 23
Date d'inscription : 20/11/2011
Localisation : Montpellier
Re: nulle de chez nulle concernant les rapports humains...
Oui vive la communucation;
Le seul souci c'est qu'en tant que zébre je retiens surtout la première partie du mot communiquer:
-:mettre en commun,
-or, il est fréquent de rencontrer des gens qui eux s'attachent surtout à la deuxième partie du mot.
Le seul souci c'est qu'en tant que zébre je retiens surtout la première partie du mot communiquer:
-:mettre en commun,
-or, il est fréquent de rencontrer des gens qui eux s'attachent surtout à la deuxième partie du mot.
cleobule- Messages : 200
Date d'inscription : 01/05/2010
Age : 54
Localisation : kemper
Re: nulle de chez nulle concernant les rapports humains...
oui c'est vrai....
(je découvre ma peut-être zébritude, donc j'en suis pas à ce point de réflexion, pas encore)
mais de façon générale, les gens restent sur des échanges très basiques en effet, boulot ,foot....
(je découvre ma peut-être zébritude, donc j'en suis pas à ce point de réflexion, pas encore)
mais de façon générale, les gens restent sur des échanges très basiques en effet, boulot ,foot....
jj82- Messages : 23
Date d'inscription : 20/11/2011
Localisation : Montpellier
Re: nulle de chez nulle concernant les rapports humains...
Basique,on l'est tous par moments;basique ou léger pourrait on dire;
-pour moi le vrai probléme c'est l'insincérité consciente ou pas;entre les manipulateurs,et ceux qui se révent plus qu'il ne se voit il est difficile d'avoir un échange honnéte.
-et,il faut bien reconnaitre que l'on peut etre très très chiant avec notre besoin de comprendre et d'analyser,la plupart des gens sont si bien aux chauds dans leurs mensonges et fantasmes.
ils jouissent de leur cécité,et nous('moi),on est attiré par la lumière,meme si on doit se bruler les ailes.
Un papillon peut il communiquer avec une taupe?
-pour moi le vrai probléme c'est l'insincérité consciente ou pas;entre les manipulateurs,et ceux qui se révent plus qu'il ne se voit il est difficile d'avoir un échange honnéte.
-et,il faut bien reconnaitre que l'on peut etre très très chiant avec notre besoin de comprendre et d'analyser,la plupart des gens sont si bien aux chauds dans leurs mensonges et fantasmes.
ils jouissent de leur cécité,et nous('moi),on est attiré par la lumière,meme si on doit se bruler les ailes.
Un papillon peut il communiquer avec une taupe?
cleobule- Messages : 200
Date d'inscription : 01/05/2010
Age : 54
Localisation : kemper
Re: nulle de chez nulle concernant les rapports humains...
Peut-être que ce ne sont pas des mensonges ni des fantasme pour eux, mais leur façon de voir la réalité...ils ne sont pas forcément hypocrites ou manipulateurs...enfin je dis ça mais j'ai autant de mal que toi...
jj82- Messages : 23
Date d'inscription : 20/11/2011
Localisation : Montpellier
Re: nulle de chez nulle concernant les rapports humains...
Ah!Je devrai me taire...........
Mais,j'insiste:j'ai rarement vu la sincérité en face de moi(et pourtant je me rase tous les matins devant mon ignoble miroir),et le pire (pervers mis à part)c'est que nos mensonges sont sincères.
Je crois que l'on est tous un peu perdu dans cet univers si vaste pour nos, encore,faibles cerveaux.
Si bien que l'on se doit de réinventer un monde à notre mesure ;et à chacun sa mesure, à chacun son univers.
Une discussion, une rencontre c'est la colision entre deux univers,et la ou l'homme est grand c'est que de ce choc il invente l'amour,l'amitié.
Mais,j'insiste:j'ai rarement vu la sincérité en face de moi(et pourtant je me rase tous les matins devant mon ignoble miroir),et le pire (pervers mis à part)c'est que nos mensonges sont sincères.
Je crois que l'on est tous un peu perdu dans cet univers si vaste pour nos, encore,faibles cerveaux.
Si bien que l'on se doit de réinventer un monde à notre mesure ;et à chacun sa mesure, à chacun son univers.
Une discussion, une rencontre c'est la colision entre deux univers,et la ou l'homme est grand c'est que de ce choc il invente l'amour,l'amitié.
cleobule- Messages : 200
Date d'inscription : 01/05/2010
Age : 54
Localisation : kemper
Re: nulle de chez nulle concernant les rapports humains...
Du haut de mes petits 17 ans, j'ai l'impression que le sentiment d'associabilité est lié à un certain nombre de chose :
-la tendance à parler beaucoup d'une certaine chose. Beaucoup de personne ne supportent pas de parler trop longtemps de la même chose, alors que je pourrais parler de physique ou de programmation pendant des heures.
-Le sentiment, comme çela a été dit plus haut, que tous le monde se fout de nous( ce que j'ai du subir au collège), ce qui rend parano et nous pousse à éviter de parler aux gens de peur de se faire critiquer ou rembarrer.
-La différence de sympathie : certains des gens que je côtoie n'arretes pas de se moquer de certaines personnes pour différentes raisons(moches, chinois, ...), ce que je trouve completement débile et surtout pas sympa pour la personne concerné (le fait d'avoir l'habitude d'être LE gars bizarre y est probablement pour quelque chose)
Après, j'ai l'impression qu'un autre problème est que certaines personnes ont peur de dire quelque chose de con, et d'être catalogué comme stupide.
Ma méthode perso consiste à balancer une bonne connerie, pour tout de suite me mettre dans le bain : si la personne se marre ou continue la discussion, j'ai trouvé un ami potentiel, sinon, je sais que l'autre n'est pas "compatible" avec moi
Par contre, n'étant pas zebre "agrégé" (juste des suppositions, jamais passé de test), je réponds peut-être totalement à coté de la plaque. Mais bon, j'aurais essayé d'aider.
-la tendance à parler beaucoup d'une certaine chose. Beaucoup de personne ne supportent pas de parler trop longtemps de la même chose, alors que je pourrais parler de physique ou de programmation pendant des heures.
-Le sentiment, comme çela a été dit plus haut, que tous le monde se fout de nous( ce que j'ai du subir au collège), ce qui rend parano et nous pousse à éviter de parler aux gens de peur de se faire critiquer ou rembarrer.
-La différence de sympathie : certains des gens que je côtoie n'arretes pas de se moquer de certaines personnes pour différentes raisons(moches, chinois, ...), ce que je trouve completement débile et surtout pas sympa pour la personne concerné (le fait d'avoir l'habitude d'être LE gars bizarre y est probablement pour quelque chose)
Après, j'ai l'impression qu'un autre problème est que certaines personnes ont peur de dire quelque chose de con, et d'être catalogué comme stupide.
Ma méthode perso consiste à balancer une bonne connerie, pour tout de suite me mettre dans le bain : si la personne se marre ou continue la discussion, j'ai trouvé un ami potentiel, sinon, je sais que l'autre n'est pas "compatible" avec moi
Par contre, n'étant pas zebre "agrégé" (juste des suppositions, jamais passé de test), je réponds peut-être totalement à coté de la plaque. Mais bon, j'aurais essayé d'aider.
hardkey- Messages : 227
Date d'inscription : 01/05/2011
Age : 30
Localisation : Dans la boite avec ce fucking chat mort vivant.
Re: nulle de chez nulle concernant les rapports humains...
Il est possible de bien s'entendre avec tout le monde. nous sommes tous fondamentalement bienveillants.
La "méchanceté" n'existe pas.
tous les humains sont fondamentalement bienveillants.
il faut privilégier le dialogue.
c'est en s'expliquant qu'on résoud les malentendus.
Les gens font ce qu'ils font car ils pensent que c'est ce qu'il faut faire. même en faisant quelque chose de mal, ils croient bien faire.
on agit en fonction de nos croyances.
être méfiant rend les autres méfiants.
si vous rencontrez quelqu'un en ayant des préjugés sur lui, il va percevoir que vous ne lui faites pas confiance.
vous allez être mal perçu, et lui se fera des préjugés sur vous.
Faites confiance par défaut, dès le début, à tous les gens que vous rencontrez,
Rassurez ! montrez votre bienveillance.
et tout se passe bien dans 100 % des cas.
je sais je le fais !
Je m'entends bien avec tout le monde.
je n'ai aucun ennemi.
j'aime tout le monde.
Re: nulle de chez nulle concernant les rapports humains...
Je m'entends bien avec tout le monde.
je n'ai aucun ennemi.
j'aime tout le monde.
J'aime tout le monde, mais, j'aimerais bien m'entendre avec tout le monde.... Je n'ai pas d'ennemis mais je suis l’ennemi de d'autres... c'est nulle lol
qwertyuioplkjhf- Messages : 668
Date d'inscription : 26/05/2011
Re: nulle de chez nulle concernant les rapports humains...
S'entendre avec tout le monde...je ne pense pas ça possible.
Tu peux arriver avec toute la bienveillance que tu veux, la personne en face peut être dans un certain état, avoir ses préjugés, ses soucis, ses tensions, voire ses problèmes mentaux. Parfois le dialogue n'est même pas possible.
Je sais pas, ma dernière expérience sur le sujet remonte à une semaine. Je suis rentrée dans une salle de sport pour rejoindre mon groupe de training de danse. Attirée par la musique et les silhouettes que je vois danser, je vais directement à la seconde porte menant à la salle de danse et zappant qu'il y a un type à l'accueil (qui est en retrait et quasi dans l'obscurité...). Bah je me suis faite engueulée comme du poisson pourri par ce type, j'ai à peine réussi à caser que je ne l'avais pas vu et que je m'excusais, le type il m'a fait la leçon et il s'est énervé tout seul. J'ai laissé couler, je ne me suis pas énervée, aussi parce qu'il est important que je ne fasse pas d'histoire sinon adieu le training (la salle de danse nous étant prêtée gracieusement).
Je ne dis pas qu'à long terme, on ne finira pas par s'entendre et se respecter mutuellement mais bon, faut que les deux côtés soient open.
Tu peux arriver avec toute la bienveillance que tu veux, la personne en face peut être dans un certain état, avoir ses préjugés, ses soucis, ses tensions, voire ses problèmes mentaux. Parfois le dialogue n'est même pas possible.
Je sais pas, ma dernière expérience sur le sujet remonte à une semaine. Je suis rentrée dans une salle de sport pour rejoindre mon groupe de training de danse. Attirée par la musique et les silhouettes que je vois danser, je vais directement à la seconde porte menant à la salle de danse et zappant qu'il y a un type à l'accueil (qui est en retrait et quasi dans l'obscurité...). Bah je me suis faite engueulée comme du poisson pourri par ce type, j'ai à peine réussi à caser que je ne l'avais pas vu et que je m'excusais, le type il m'a fait la leçon et il s'est énervé tout seul. J'ai laissé couler, je ne me suis pas énervée, aussi parce qu'il est important que je ne fasse pas d'histoire sinon adieu le training (la salle de danse nous étant prêtée gracieusement).
Je ne dis pas qu'à long terme, on ne finira pas par s'entendre et se respecter mutuellement mais bon, faut que les deux côtés soient open.
Helix- Messages : 129
Date d'inscription : 14/11/2011
Age : 44
Localisation : Tarn
Re: nulle de chez nulle concernant les rapports humains...
dans ce cas il faut prendre le temps, et la mettre à l'aise. pour ça : sophrologie, et communication non-violente.Helix a écrit:la personne en face peut être dans un certain état, avoir ses préjugés, ses soucis, ses tensions
ce n'est pas grave.Helix a écrit:Parfois le dialogue n'est même pas possible.
je ne vais pas détester ou rejetter la personne pour ça.
Pour qu'il y ait une engueulade il faut forcément participer à l'alimenter, on a forcément sa part (inconsciente) de responsabilité.
donc je confirme, avec moi ça ne se passe jamais mal.
soit il ne se passe rien, soit je m'entends bien avec la personne.
Et si c'est moi qui suis mal, alors je ne cherche pas le contact avec les autres, et je fais en sorte d'aller mieux.
(en rencontrant des gens quand je vais mal ça se passe mal. mais je croise les doigts c'est du passé.).
Re: nulle de chez nulle concernant les rapports humains...
Que tous les gens sont bienveillants? Je ne crois?
Tout le monde a croisé des pervers-narcissiques, des gens aigris, méchants et autres.
Ou bien il suffit de regarder l'histoire: hitler, mobutu, étaient ils bienveillants?
That's the point.
L'être humain n'est pas un gentil (dévoyé par la société comme dirait rousseau).
Il peut être profondément infect. C'est ce qui nous distingue des animaux, qui ne tuent que pour manger.
Tout le monde a croisé des pervers-narcissiques, des gens aigris, méchants et autres.
Ou bien il suffit de regarder l'histoire: hitler, mobutu, étaient ils bienveillants?
That's the point.
L'être humain n'est pas un gentil (dévoyé par la société comme dirait rousseau).
Il peut être profondément infect. C'est ce qui nous distingue des animaux, qui ne tuent que pour manger.
Chat potté- Messages : 32
Date d'inscription : 20/08/2011
Re: nulle de chez nulle concernant les rapports humains...
- Spoiler:
- Mais monsieur le Chat Potté, avouez que les chats aiment bien jouer avec souris et petits oiseaux parce que c'est l'éclate quand ça couine ! (dites-moi que je ne suis pas la seule à avoir des chats sadiques XD)
Helix- Messages : 129
Date d'inscription : 14/11/2011
Age : 44
Localisation : Tarn
Re: nulle de chez nulle concernant les rapports humains...
Helix a écrit:
- Spoiler:
Mais monsieur le Chat Potté, avouez que les chats aiment bien jouer avec souris et petits oiseaux parce que c'est l'éclate quand ça couine ! (dites-moi que je ne suis pas la seule à avoir des chats sadiques XD)
Certes, nous autres les chats ADORONT faire mumuse avec oiseaux, souris, et autres bêbêtes mignonnes tout plein. Mais, ce n'est que par pure inadvertance, que malheureusement, dans le feu de l'action, le pire arrive immanquablement .
Ce n'est donc qu'à l'insu de notre plein gré, que ces bestioles semblent perdre la vie à cause de quelques coups de griffes lancés de-ci delà.
En somme, nous sommes les pauvres victimes de notre sagacité, et notre entrain naturel
C'était la minute MIAOU
Chat potté- Messages : 32
Date d'inscription : 20/08/2011
Re: nulle de chez nulle concernant les rapports humains...
Il y a dans le cerveau humain, 2 choses tres différentes qu'il faut savoir séparer :
le rationnel, l'inteligence, le raisonnement / et l'irrationnel, l'émotion, le ressenti.
Le malheur des hommes et leur inefficacité aussi bien individuelle que collective, vient du fait que nous ne faisons pas attention à différencier ces 2 choses.
Pour être lucide, prendre des décisions inteligentes, et être efficace... il faut être serein (émotions calmes).
Les émotions sont irationelles, c'est une "folie" naturelle présente en chaqu'un de nous.
<< L'homme est un animal qui s'est à moitié dompté.>>
Charlie Chapplin
<< Le seul combat bénéfique à mener, est un combat contre soi-même.>>
Nous sommes nous-mêmes notre seul véritable ennemi.
Les 3 cerveaux, l'évolution :
L'homme a 3 cerveaux,
ces 3 cerveaux sont apparus les uns apres les autres, du plus primitif au plus élaboré, dans le sens de l'évolution.
Il y a d'abord eu le cerveau "Reptilien",
il s'occupe des batements du coeur, de la respiration, de la soif, la faim, la digestion, du transit intestinal, de la régulation de la température corporelle, de la secrétion d'hormones, et autres fonctions vitales...
Ensuite (chez les mammifères) est apparu le cerveau "Limbique" ou "Mammalien",
il contient les émotions, et la mémoire à long terme.
il a 2 lobes (droit et gauche), un lobe concerne les émotions positives (joie...), et l'autre concerne les émotions négatives (principalement la peur).
Les concepts et les souvenirs sont enregistrés dans le cerveau Limbique, avec une charge émotionelle. soit positive soit négative.
les souvenirs les plus forts et les plus durables sont ceux qui sont associés à des émotions de forte intensité.
Ce cerveau ne raisonne pas, il ne fait pas de calculs rationels.
les émotions nous poussent à avoir certains types de comportements.
le plus souvent ces comportements s'avèrent inutiles, et ont peu de conséquences.
dans la nature il sauve parfois la vie (le danger principal étant les prédateurs).
La Peur (l'émotion principale), nous donne principalement 3 types de comportements :
la Fuite / la Paralysie / ou l'Agressivité.
pour un animal dans la nature, ces comportements s'avèrent la plupart du temps inutiles, sont rarement néfastes, et parfois s'avèrent bénéfiques, c'est pourquoi la nature les a sélectionnés.
- la Fuite :
lorsqu'un animal dans la nature (prenons un Lapin par exemple) prend peur,
le plus souvent il se met à courrir,
il fuit, il va se réfugier par exempe dans un terrier ou dans un arbre.
lorsqu'il prend peur, cela ne signifie pas qu'il y a un danger avéré, il peut y avoir par exemple un gros animal herbivore inoffensif qui a fait du bruit ou s'est approché...
le lapin aura couru pour rien mais dans la nature ce n'est pas grave.
ce comportement s'avère la plupart du temps inutile (pas de danger réel), mais parfois, ce qui lui aura fait peur sera vraiment un prédateur, et ainsi ce comportement dicté par la nature lui aura sauvé la vie.
- la Paralysie :
les prédateurs repèrent leurs proies au mouvement, c'est comme ça qu'ils distinguent un objet et une proie vivante. faire le mort est un comportement qui effectivement peut sauver,
regardez par exemple un chat avec un lézard...
la plupart du temps l'animal restera figeé, immobile pour rien, mais parfois ce comportement lui sauvera la vie.
- l'Agressivité :
si l'animal est pris au piège, qu'il est dans une impasse, qu'il ne peut pas fuir, et que le prédateur l'a bien repéré,
alors il ne lui reste qu'à devenir le plus agressif possible pour dissuader le prédateur,
parfois ça ne suffit pas, et parfois ça marche.
si le prédateur a le choix, si il y a d'autres proies un peu plus loin il pourra changer d'avis et choisir une autre cible.
il préfèrera un repas qui se laisse plus facilement manger,
un prédateur a faim, il veut juste manger, il choisit les proies les plus faciles, souvent les petits ou les blessés.
ce comportement peut donc fonctionner et favoriser la survie...
Maintenant, prenons l'exemple d'humains, qui vivent désormais en société,
on est passé de petits groupes de chasseurs - cueilleurs - pêcheurs nomades, à des communautés d'agriculteurs - éleveurs sédentaires, et de plus nous sommes devenus l'espèce dominante, nous n'avons plus de prédateurs, nous sommes le plus puissant prédateur de tous les temps.
il aurait fallu que nos émotions évoluent, changent et s'adaptent à cette nouvelle vie.
- la Fuite :
quand nous sommes stressés, nous avons envie de fuir, nous sommes pressés de rentrer chez nous,
quand nous sommes mal à l'aise avec une personne nous avons envie de partir, et trouvons des prétextes pour écourter la conversation, "je dois y aller", on lui dit que l'on a un rendez-vous, que l'on a quelque chose à faire...
on conduit vite, alors qu'il n'y a aucune raison, on ne fait que rentrer chez soi, on a tout notre temps et pourtant on veut doubler quelqu'un qui roule plus lentement devant... c'est un comportement dangereux.
On se précipite, on fait plein de choses rapidement, alors qu'on pourrait les faire bien en étant calme.
on fuit nos responsabilités, le soir on est pressé de quitter notre travail,
on fuit la communication, on fuit les autres, par exemple un membre de sa famille, ou son patron...
cette attitude est néfaste, elle nuit au bon fonctionnement de la société.
- la Paralysie :
on connait bien cette sensation, c'est le "trac", on est bloqué,
on est par exemple dans une réunion de son entreprise,
on a des choses importantes à dire, il faut que l'on intervienne, que l'on prenne la parole pour dire des choses importantes...
et on se tait, on n'ose pas.
on ne règle pas les problèmes, on repousse toujours à plus tard.
inhibition, repli sur soi, on ne saisit pas les occasions...
cette attitude est néfaste, elle nuit au bon fonctionnement de la société.
- l'Agressivité :
voici la pire des réactions lorsque l'on est stressé, sous pression...
on est irritable, suceptible, sur la défensive, intolérant, on répond brutalement, on manque de respect aux autres...
on hait, on accuse les autres, on se met en colère...
on crée des conflicts.
on hait les gens dont on a peur. la haine prépare à réagir de manière agressive en cas de peur.
on détruit les relations sociales, on s'isole.
En dernier, est apparu le "Cortex",
le cerveau de l'inteligence, du raisonnement, du rationel, de la logique, du calcul...
c'est celui qui nous permet de prendre les meilleurtes décisions.
chez l'hummain, il est devenu le Néo-Cortex. on l'appelle ainsi car il a évolué et considérablement grossi, c'est lui qui a pris autant de volume (par rapport aux autres mammifères).
(on le reconnait à ses circonvolutions. il a lui aussi 2 lobes).
c'est à celui là qu'il faut faire confiance.
Pour comprendre la nature humaine, il est important de se demander, qu'est ce qui est apparu en premier ?
est-ce le raisonnement rationnel, logique... qui était présente chez les animaux ? et puis chez l'homme, ces derniers siècles et plus particulièrement ces dernières décénies est apparu la folie ?
cette "folie" que l'on cherche à détecter parmis nous, pour savoir qui mettre à l'écart de la société...
ou est ce que c'est l'irrationnalité qui a mû les annimaux, jusqu'à ce que apparaisse la pensée rationnelle logique ?
Quelle est donc la norme naturelle ? La Lucidité ? ou la "Folie" ?
La norme est la folie, la rationalité est la merveilleuse exeption, à la pointe de l'évolution.
les psys pensaient "je suis anormal puisque je suis fou", alors qu'en fait ;
je suis fou donc je suis normal.
La plupart des gens croient que la peur se divise en 2 catégories,
"les" peurs logiques, et "les" phobies.
seulement voilà, ce n'est qu'une erreur d'interprétation du vocabulaire, car Phobie c'est Peur en Latin.
eh oui les mots de la langue française se forment principalement en combinant des mots Latins.
par exemple peur des araignées = Arachnophobie.
On a inventé tout un tas de mots dans le but de différencier "les" peurs :
Blemmobie : peur du regard des autres
Catagelophobie / Katagélophobie : peur du ridicule
Agoraphobie : peur de la foule
Dyslexophobie : peur de mal parler
Dysmorphophobie : peur d'être disgrâcieux
Ereutophobie / Erythrophobie : peur de rougir
Diurophobie / Cystophobie / Mictophobie : peur d'uriner
Tachycardiophobie : peur d'avoir le coeur qui bat trop vite
Atychiphobie : peur d'échouer
Chorophobie : peur de danser
Téléphonophobie : peur du téléphone
Gynéphobie : peur des femmes
Androphobie / Arrehenphobie : peur des hommes
Taijin Kyofu : peur d'offenser autrui (terme japonais)
Anabléphobie : peur de regarder avec insistance
Cynophobie : peur des chiens
Catoptophobie : peur de se voir dans un mirroir
Aphenphosmophobie : peur d'être touché
Claustrophobie : peur des espaces clos
Phobophobie : peur d'avoir peur
Pantophobie : peur de tout
...
On peut inventer des mots comme ça à l'infini, puisque n'importe quelle idée peut déclencher la peur.
Seulement il n'y a donc pas "des" peurs, mais LA peur. elle ne fait que varier en intensité.
Dans tous les cas, c'est un état de "folie naturelle".
Les 2 lobes (+ et -) du cerveau Limbique, le rêve / le cauchemar, l'Angoisse, l'imagination, les Croyances, et la Paranoïa :
Le cerveau Limbique nous donne l'acces à la mémoire et aux concepts, principalement les mots (nous pensons principalement avec les mots de vocabulaire).
Selon si il s'agit du lobe positif ou du lobe négatif, notre pensée aura acces au champ lexical positif ou au champ lexical négatif.
nous imaginons avec le cerveau Limbique.
son fonctionnement se manifeste particulièrement la nuit,
selon si c'est le lobe positif ou négatif qui travaille, on fait soit des rêves soit des cauchemars.
le cerveau Limbique pousse l'imagination.
Lorsque l'on est Serein, c'est à dire avec des émotions de tres faible intensité, on a acces à toute notre mémoire, on peut réfléchir de façon efficace.
par contre lorsque une émotion monte en intensité, par exemple l'émotion négative c'est à dire la Peur l'Angoisse...
en quelque sorte le "curseur" se déplace d'un côté, et on a acces uniquement à la mémoire et à l'imagination négative, l'acces au lobe positif se bloque.
lorsque cet etat dure long temps c'est la dépression.
L'angoisse pousse donc l'imagination,
et si par malheur dans notre vie, beaucoup d'informations négatives nous parviennent, cela va nous angoisser (infos à la télévision, rumeurs sur internet, gens qui racontent leurs problèmes...), et stimuler notre imagination et nos croyances.
nous enclenchons ainsi un cercle vicieux.
Angoisse => Imagination => Croyances => Angoisse...
Si l'angoisse devient extrème, c'est la paranoïa.
Cela peut arriver à tout le monde, nous sommes tous potentiellement paranoïaques (il suffit que notre environnement nous pousse dans ce sens).
c'est ce qui explique notament les superstitions.
La Sophrologie :
Nous devons donc veiller à appaiser nos émotions négatives.
Le cerveau est lié au corps, les 2 fonctionnent ensemble.
le stress est la partie physique de la peur, et la peur est la partie psychologique du stress.
quand on a peur on est stressé, quand on est stressé on a peur.
Ainsi en utilisant les techniques de relaxation (sophrologie) visant à se détendre, on fait disparaitre le stress et la peur.
La Communication non-violente (douce), la communication non-verbale :
Nous essayons de bien nous entendre entre humains, en faisant attention à ce que nous disons. nous faisons attention au sens de ce que nous disons.
c'est la partie verbale de la communication.
seulement... la partie verbale représente 10%, alors que la partie non-verbale représente 90%.
ainsi ce n'est pas tellement sur le sens de ce que nous disons que nous devons nous concentrer, mais sur la façon dont nous nous exprimons.
Le sens, est analysé par le Néo-Cortex (zone du language...).
le cerveau Limbique ne comprend absolument pas le sens.
si il prend la priorité, peu importe ce que dira l'interloccuteur, le dialogue sera rompu, et souvent on en arrive à 2 monologues (ou "dialogue de sourds").
Quand vous parlez à quelqu'un, vous vous adressez surtout (en priorité) à son cerveau Limbique.
la façon dont vous vous exprimez, le ton de la voix, le volume de la voix, la rapidité de votre discours, votre posture physique, vos gestes...
vont déclencher des émotions chez l'autre. ou pas si vous vous débrouillez bien.
dans l'idéal il faut réussir à communiquer sans déclencher d'émotions chez l'autre.
pour ça il faut parler doucement, lentement, faiblement, et ne faire aucun geste brusque.
Si vous déclenchez des émotions négatives à votre interloccuteur, vous générez une engueulade.
ainsi, votre interloccuteur va prendre une voix forte et agressive, ce qui aura la même conséquence sur votre cerveau Limbique à vous.
à ce moment là vous perdez le contrôle de vous-mêmes, et vous ne vous en rendez même pas compte. vous êtes persuadés tous les 2 de bien faire.
Re: nulle de chez nulle concernant les rapports humains...
J'aime tout le monde????????????
Hitler,staline,dutroux,jack l'éventreur et autre aussi?
Si oui votre amour c'est au mieux de l'indifférence,au pire un amour d'entomologiste pour ses insectes; dans ce cas,pitié, ne m'aimaient pas car votre amour est médiocre car sans investissement.
BLABLABLA.
L'amour est acte et pas seulement posture intellectuelle.
Hitler,staline,dutroux,jack l'éventreur et autre aussi?
Si oui votre amour c'est au mieux de l'indifférence,au pire un amour d'entomologiste pour ses insectes; dans ce cas,pitié, ne m'aimaient pas car votre amour est médiocre car sans investissement.
BLABLABLA.
L'amour est acte et pas seulement posture intellectuelle.
cleobule- Messages : 200
Date d'inscription : 01/05/2010
Age : 54
Localisation : kemper
Re: nulle de chez nulle concernant les rapports humains...
je me méfie des gens;
je n'ai pas confiance;
j 'ai peur des gens ;
ils me font mal
je n'ai pas confiance;
j 'ai peur des gens ;
ils me font mal
perilla- Messages : 52
Date d'inscription : 26/03/2012
Age : 69
Localisation : CACHAN
Re: nulle de chez nulle concernant les rapports humains...
Il y a aussi les arts martiaux, à tout age, rien que pour apprendre à se protéger, se faire moins agresser.
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