faire un irm pour savoir quel profil on est ? complexe ou laminaires?
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Re: faire un irm pour savoir quel profil on est ? complexe ou laminaires?
Le lien je l'ai « tendu » parce qu'il était demandé (dans le message qui a été modéré), ce n'est pas une question de bienveillance ou non. Demande / réponse, ça s'arrête à ça pas besoin de surinterpréter.
Si un inconnu te demande où est la gare, tu ne vas pas lui demander où il veut aller.
Si un inconnu te demande où est la gare, tu ne vas pas lui demander où il veut aller.
Dernière édition par Lamorak le Lun 8 Juil 2019 - 18:42, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: faire un irm pour savoir quel profil on est ? complexe ou laminaires?
Lamorak a écrit:Généralement la sur-confiance scientifique peut témoigner souvent de la présence d'un effet Dunning-Krueger (c'est pas exclusif, la confiance en son savoir varie selon les individus selon d'autres facteurs, mais disons que c'est une tendance générale observable et observée) et donc d'un sentiment de sur-maîtrise sans remise en question, là où la science repose en principe sur le questionnement et la remise en question des expériences, l'évaluation d'hypothèse contradictoire.
Je considère le doute comme un élément moteur du savoir ; croire, c'est déjà choisir et occulter (Ce qui est également une nécessité dans nos intellect limités, mais c'est autre chose)).
Très bon post! Et il faut bien y ajouter que pour obtenir des fonds pour financer ses recherches, aujourd'hui un chercheur doit maitriser tout le petit précis du parfait communiquant: etre sur de lui pour bien vendre son produit! Donc, le type qui avance en disant qu'il est pas du tout sur de ce qu'il pourrait ttrouver ne pourra pas publier quoique ce soit ou alors ne brillera pas assez dans cette société de myope, et ses résultats obtenus sur une méthode plus fiable ne parviendront probablement pas jusqu'à nos jolies rétines et pupilles...
Dharmina- Messages : 58
Date d'inscription : 04/07/2018
Re: faire un irm pour savoir quel profil on est ? complexe ou laminaires?
Merci.
Communication et rentabilisation, oui. D'autres préoccupations tendent à s'installer (ou à se réinstaller) peu à peu, mais dur d'imaginer qu'elles s’implémentent assez vite ; d'autant que le pouvoir étant dans celui qui peut financer, les perspectives de ce point de vue ne son pas réjouissantes. Il n'y a pas à être sincère pour être convaincant, ce sont deux choses bien distinctes.
Communication et rentabilisation, oui. D'autres préoccupations tendent à s'installer (ou à se réinstaller) peu à peu, mais dur d'imaginer qu'elles s’implémentent assez vite ; d'autant que le pouvoir étant dans celui qui peut financer, les perspectives de ce point de vue ne son pas réjouissantes. Il n'y a pas à être sincère pour être convaincant, ce sont deux choses bien distinctes.
Invité- Invité
Re: faire un irm pour savoir quel profil on est ? complexe ou laminaires?
Lamorak a écrit:Le lien je l'ai « tendu » parce qu'il était demandé (dans le message qui a été modéré), ce n'est pas une question de bienveillance ou non. Demande / réponse, ça s'arrête à ça pas besoin de surinterpréter.
modéré ou censuré...j'arrive bien trop tard pour en juger objectivement (las, le temps passe, le temps non...mais nous nous passons, blablabla).
J'aime la "bienveillance", je la pratique sans retenue et sans gene et elle me fait sourire là où j'en décèle des traces ou ersatz (plutot que la constater): la bienveillance n'est pas une qualité en soi ,mais plutot une intention, non?
et c'est bien cela qui me touchait dans ce long fil (qui vrille comme à chaque fois sur ce forum - haut potentiel à la vrille-) où qui invoque la bienveillance finit par en recevoir à toutes les sauces: elle se dégaine aussi vite qu'implorée, ou simplement évoquée, moquée, titillée...C'est une bienveillance coriace! (un brin totalitaire?)
Merci de la rapidité avec laquelle j'ai été bénévolement corrigée dans ma surinterprétation (oserais-je préférer plutôt une peine pour supposition hâtive?)
Dharmina- Messages : 58
Date d'inscription : 04/07/2018
Re: faire un irm pour savoir quel profil on est ? complexe ou laminaires?
Je ne pense pas qu'on puisse revendiquer la bienveillance, surtout si on attend un retour de sa part. Enfin correction, je pense qu'on peut le faire, mais alors ce n'est plus de la bienveillance que l'on revendique mais de la reconnaissance qu'on demande.
C'est difficile d'analyser ce qui a été modéré. Je constate que souvent le fait de modérer un texte en partie le rend plus sympathique puisqu'il perd avec ses insultes, la violence, le mépris et la haine qui lui était corrélé. C'est sans doute une fleur donnée à son auteur. Cela se comprend, la première raison de leur colère peut être un aveuglement dont ils sont plus victimes que responsables. C'est en tout cas l'explication à privilégier faute de concordance des éléments - la malfaisance, comme la bienfaisance est rarement motrice. Il n'y a pas de surhomme.
De fait, quand on le modère, on en supprime les pires morceaux (si la modération est relativement juste et justifiée) donc on améliore l'écrit par rapport à ce qu'il était. Peut-être serait-il plus juste de ce point de vue qu'un texte modéré (à raison) soit supprimé plutôt que modéré pour éviter de l'interpréter autrement que comme i la été écrit. Mais on ne trouvera pas de solution satisfaisante, on pourra toujours critiquer une forme de censure. L'autorité (modératrice) doit être bête dans son application puisque moins elle est simple, plus elle devient critiquable, plus elle peut se biaiser également. Il n'y a pas de réponse juste à la haine.
Quoi qu'il en soit, il devient difficile de discuter ou commenter un écrit qui a perdu de sa substance première. La perception en serait différente s'il avait gardé son intégrité.
Je ne crois pas aux intentions de bienveillance. Elles ne sont pas impossibles mais elles font figure d'exception, fort heureusement, il en va de même de la malveillance ce qui maintient une forme d'équilibre, et explique peut-être une forme de constance de l'humain dans sa misère.
Pas de merci à donner, je n'ai pas trop d'occupation. Je passais, j'ai réagi. Je n'ai pas trop apprécié au premier abord qu'on associe mon acte à de la bienveillance, comme c'est revenu, j'ai réagi cette fois, parce que j'étais dans un temps où j'avais suffisamment de ressources pour l'exprimer. Tu peux prendre la peine que tu souhaites, cela ne m'importe pas, je défendais seulement mon absence d'intention morale.
C'est difficile d'analyser ce qui a été modéré. Je constate que souvent le fait de modérer un texte en partie le rend plus sympathique puisqu'il perd avec ses insultes, la violence, le mépris et la haine qui lui était corrélé. C'est sans doute une fleur donnée à son auteur. Cela se comprend, la première raison de leur colère peut être un aveuglement dont ils sont plus victimes que responsables. C'est en tout cas l'explication à privilégier faute de concordance des éléments - la malfaisance, comme la bienfaisance est rarement motrice. Il n'y a pas de surhomme.
De fait, quand on le modère, on en supprime les pires morceaux (si la modération est relativement juste et justifiée) donc on améliore l'écrit par rapport à ce qu'il était. Peut-être serait-il plus juste de ce point de vue qu'un texte modéré (à raison) soit supprimé plutôt que modéré pour éviter de l'interpréter autrement que comme i la été écrit. Mais on ne trouvera pas de solution satisfaisante, on pourra toujours critiquer une forme de censure. L'autorité (modératrice) doit être bête dans son application puisque moins elle est simple, plus elle devient critiquable, plus elle peut se biaiser également. Il n'y a pas de réponse juste à la haine.
Quoi qu'il en soit, il devient difficile de discuter ou commenter un écrit qui a perdu de sa substance première. La perception en serait différente s'il avait gardé son intégrité.
Je ne crois pas aux intentions de bienveillance. Elles ne sont pas impossibles mais elles font figure d'exception, fort heureusement, il en va de même de la malveillance ce qui maintient une forme d'équilibre, et explique peut-être une forme de constance de l'humain dans sa misère.
Pas de merci à donner, je n'ai pas trop d'occupation. Je passais, j'ai réagi. Je n'ai pas trop apprécié au premier abord qu'on associe mon acte à de la bienveillance, comme c'est revenu, j'ai réagi cette fois, parce que j'étais dans un temps où j'avais suffisamment de ressources pour l'exprimer. Tu peux prendre la peine que tu souhaites, cela ne m'importe pas, je défendais seulement mon absence d'intention morale.
Invité- Invité
Re: faire un irm pour savoir quel profil on est ? complexe ou laminaires?
Les lecteurs et sujets actifs du débats sont-ils de pauvres etres à défendre malgré eux? Je me pose beaucoup de demande sur cette société aseptisée...et quand je vois un post effacé sans en lire de demande explicite quelque part (ça se fait en MP ou sur le post modéré?), puis vois une réponse qui indique la sortie, ça me met la puce à l'oreille: qu'est-ce qui s'est passé? qu'est-ce qui peut bien faire déborder le vase dans le discours que j'étais en train de lire a posteriori (la cause est opacifiée)?
De voir des jeunes se suicider parce qu'ils sont "victimes" de harcèlement sur internet me questionne aussi: n'y a-t-il pas un devoir naturel de chacun de se protéger des faits de la vie (le chat tue les lézards, qui mangent les mouches, et certaines personnes utilisent du venin dans leur discours auquel il est tout de meme facile de se soustraire et qu'on peut meme analyser de manière neutre- je me sens rarement touchée par ce que je lis sur le net, c'est virtuel donc en rien rattaché à la réalité de ce que je suis réellement)?
Défendre avant d'en avoir reçu la demande est de la surprotection, lisser les discours écrits sur tel forum nous habitue à une interactivité modérée, et non plus spontanée où évidemment les passions font partie du moteur de la conversation. Il faudrait inventé un frein automatique sur nos claviers pour éviter la sortie de route et continuer le chemin de manière plus sure, sans interruption extérieure. Mais d'ici là, les messages modérés pourraient simplement etre modifiés façon spoiler, pour avertir les ames sensibles sans juger à leur place qu'elles ne peuvent pas supporter l'agressivité. L'auteur sera ainsi appelé à reformuler si il en a envie et prendra aussi la responsabilité de ce qu'il a effectivement écrit et publié (qui a déjà eu le temps d'etre lu par d'autres).
La modération est extérieure (ZC incite-t-il assez à l'automodération?) alors ne modère-t-on pas parfois plutot pour nettoyer le discours de ce que la société actuelle trouve inesthétique?
Avant, meme les grands auteurs se donnaient des noms d'oiseaux sur de grands journaux, qui irritaient tout à fait la dignité (ne ridiculisez pas mes moustaches!).
L'agressivité mal gérée fait aussi partie de l'ame du discours, parfois courtois, parfois moins...comme on dit, la communication ce n'est pas tant ce que l'on veut dire mais comment on le dit. Donc c'est une des données "non écrite" de notre lecture de voir que tel ou tel sujet attire des insultes par un étrange mécanisme qui fait monter la pression (normalement les insultes blessent quand elles sont ciblées et viennent d'une personne à qui on attribue une certaine légitimité, non?). Qui envoie facilement des piques marque son trait de caractère plutot que de vraiment stigmatiser son interlocuteur. Bref, pour moi, ça décrit de quel bois se chauffe l'auteur, quelles sont les valeurs et limites qui comptent pour lui...
Certains trouvent que qui leur écrit avec des fautes leur manque de respect!!! (DRH et autres chipoteux). Devient-on allergique au mode d'expression d'autrui qui ne reprend pas les memes codes que les notres? Une sorte de tribalité invisible (on parle pareil)...
Je suis plutot bien élevée, et parfois je lutte contre (dire merci involontairement à une personne qui nuisait à mon compagnon m'a fait devenir très prudente), mais j'avoue que si j'arrive à savoir où se trouve la norme de bienséance des autres, je ne la partage pas totalement. Je me sens assez affranchie dans ma tete des conventions sociales de bienséance et aurais aimé lire ce post, modéré sans intention morale mais tout de meme en répondant à un standard de ce qui peut s'écrire et ce qui ne peut pas. Où est la limite? Je suis trop curieuse.
De voir des jeunes se suicider parce qu'ils sont "victimes" de harcèlement sur internet me questionne aussi: n'y a-t-il pas un devoir naturel de chacun de se protéger des faits de la vie (le chat tue les lézards, qui mangent les mouches, et certaines personnes utilisent du venin dans leur discours auquel il est tout de meme facile de se soustraire et qu'on peut meme analyser de manière neutre- je me sens rarement touchée par ce que je lis sur le net, c'est virtuel donc en rien rattaché à la réalité de ce que je suis réellement)?
Défendre avant d'en avoir reçu la demande est de la surprotection, lisser les discours écrits sur tel forum nous habitue à une interactivité modérée, et non plus spontanée où évidemment les passions font partie du moteur de la conversation. Il faudrait inventé un frein automatique sur nos claviers pour éviter la sortie de route et continuer le chemin de manière plus sure, sans interruption extérieure. Mais d'ici là, les messages modérés pourraient simplement etre modifiés façon spoiler, pour avertir les ames sensibles sans juger à leur place qu'elles ne peuvent pas supporter l'agressivité. L'auteur sera ainsi appelé à reformuler si il en a envie et prendra aussi la responsabilité de ce qu'il a effectivement écrit et publié (qui a déjà eu le temps d'etre lu par d'autres).
La modération est extérieure (ZC incite-t-il assez à l'automodération?) alors ne modère-t-on pas parfois plutot pour nettoyer le discours de ce que la société actuelle trouve inesthétique?
Avant, meme les grands auteurs se donnaient des noms d'oiseaux sur de grands journaux, qui irritaient tout à fait la dignité (ne ridiculisez pas mes moustaches!).
L'agressivité mal gérée fait aussi partie de l'ame du discours, parfois courtois, parfois moins...comme on dit, la communication ce n'est pas tant ce que l'on veut dire mais comment on le dit. Donc c'est une des données "non écrite" de notre lecture de voir que tel ou tel sujet attire des insultes par un étrange mécanisme qui fait monter la pression (normalement les insultes blessent quand elles sont ciblées et viennent d'une personne à qui on attribue une certaine légitimité, non?). Qui envoie facilement des piques marque son trait de caractère plutot que de vraiment stigmatiser son interlocuteur. Bref, pour moi, ça décrit de quel bois se chauffe l'auteur, quelles sont les valeurs et limites qui comptent pour lui...
Certains trouvent que qui leur écrit avec des fautes leur manque de respect!!! (DRH et autres chipoteux). Devient-on allergique au mode d'expression d'autrui qui ne reprend pas les memes codes que les notres? Une sorte de tribalité invisible (on parle pareil)...
Je suis plutot bien élevée, et parfois je lutte contre (dire merci involontairement à une personne qui nuisait à mon compagnon m'a fait devenir très prudente), mais j'avoue que si j'arrive à savoir où se trouve la norme de bienséance des autres, je ne la partage pas totalement. Je me sens assez affranchie dans ma tete des conventions sociales de bienséance et aurais aimé lire ce post, modéré sans intention morale mais tout de meme en répondant à un standard de ce qui peut s'écrire et ce qui ne peut pas. Où est la limite? Je suis trop curieuse.
Dharmina- Messages : 58
Date d'inscription : 04/07/2018
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