Présentation Zebu40 (et carnet de bord)

en gros, selon elle, j'ai des mots méchants (+ gestuelles associée, telle que tirer un pull, retenir par le bras le temps de finir une phrase) avec les enfants/ados,

Il y a plusieurs théories pour l'éducation, différentes approches.

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Merci pour ces encouragements Corail44. Heureux de voir que je ne suis pas si fou.

Effectivement, j'ai eu une autre copine au téléphone, elle reste persuadée, que comme tout est parfait à deux, que Chérie n'assume pas son indépendance hautement revendiquée mais inexistante en groupe (et dépendance extrème à ses progénitures), elle charge le premier rappel de ça : MOI.
et donc essaie de tenir ce sentiment à distance, et donc MOI avec.

Je suis condamné au malheur si elle n'avance pas seule.

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Déjà, assumer qu'elle a un travail à faire, est un chemin difficile, qu'elle ne souhaite entamer...
Comment au moins lui faire prendre conscience à quel point c'est moi qui me faisait charger pour ses déceptions et non les personnes concernées.
Dommage, j'en discutais avec une copine zèbre au téléphone. J'ai été séduit : au premier sens du terme, "vendre des choses, ni vraies ni fausses.", séduit par une indépendance  une joie de vivre, qui sont au final très loin d'être aux commandes dans sa personnalité du quoitidien.
C'est un trait ultra caractéristique, sur lesquels les zèbres sortant avec une maman/un papa célibataire, se font TOUJOURS avoir.

Oui, hors de question de démarrer une relation avec des accusations, de la parano, de l'intolérance ! Du moins ce sont ce que disent mes principles... Je pense sincèrement qu'il faut questionner l'autre, le relancer, et j'ai probablement attendu trop tard pour durcir cette attitude (en gros, j'aurai été moins con, c'était soit fini au bout de 3-4 mois, soit au contraire durci/renforcé)

Edit: Bonne nuit

C'est une bonne expérience mais si elle ne veut pas ouvrir les yeux ça va être compliqué. Peut-être que quelque chose comme une thérapie de couple serait utile pour vous aider à mieux vivre le quotidien ?

Si tu commences à te plonger dans le thème qui m'est assez cher : «se protéger des manipulateurs» tu vas y passer du temps. Mais c'est quand même mieux de savoir où on met les pieds.

Je suis passée te lire et je voulais déposer de la douceur et de l’empathie. Je suis désolée que tu vives une rupture et qu’elles soient synonyme de gros doutes et confusion.
De ce que tu nous confie ici, il me semble qu’elle avait pris sa décision avant d’envisager de nommer clairement les situations problèmes et ses attentes vis à vis de toi... ça me fait de la peine pour toi, pour vous.
Aussi, et ce n’est que mon humble avis, je me méfie du « tout est parfait mais y’a ce truc qui va pas »... « ça pourrait être tellement bien s’il n’y avait pas Ça ». Ca mériterait que je le développe mais pas ce soir, j’ai pas l’énergie.
Bref, plein de douceur. C’est dur une rupture. C’est dur de se faire larguer

Bonsoir,

@Siamois93, on s'est rencontré ce jour.

Malheureusement, c'était "pire que ce que j'attendais", au sens où j'en ai appris sur moi, des choses bien décevantes.

J'ai effectivement fait de la merde avec l'enfant. Un comportement inacceptable, et non simplement maladroit. 
Il semble que je fais preuve d'une agressivité verbale contre adultes, adolescents, parfois enfants. Le tout malgré moi

Je suis donc choqué, par les exemples qu'elle m'a cité.
Je ne parlerai pas d'Asperger (j'ai surtout l'image de l'avocat dans Boston Justice), mais ça ressemble un peu aux clichés : flots de méchancetés, gerbe verbale

Il est impératif que je me débarasse de cette agressivité. Le chemin s'annonce long.

@fee, merci pour ce message d'encouragements.

Nous avons listé ce qui ne va pas dans le couple depuis des mois. Ellee a compris une partie de ses erreurs. On a énoncé les conditions d'une reprise, si chacun se sent pret aux efforts minimums.
On a donc convenu d'y réfléchir.

De mon côté, j'ai peur : comment se débarasser de cette agressivité ?
Le chemin est long

Salut Zebu,

De mon côté, j'ai peur : comment se débarasser de cette agressivité ?
Le chemin est long

Ce qui me vient en lisant ça c'est... avant de te débarrasser de ton agressivité, est-ce que tu pourrais essayer d'écouter ce que ta colère veut te dire?

Le chemin est long oui... une vie et même plusieurs
Thich Nhat Hanh a écrit un livre sur la colère. Il est dans ma liste de lecture, je peux pas t'en dire plus... mais c'est peut-être une piste.

Hello, lafeelicité

Ma colère est multiple :
- racisme (je suis d'origine étrangère bien que né, élevé ici, mais la situation d'autres m'enrage aussi)
- âgisme (je parais 10-15 de moins, idem, la situation des autres m'enrage aussi)
- catégorisme/discrimination qui ont découlent
- société (et donc les gens aussi) qui devient m'as tu vu et individualiste (et donc physicalisme aussi), consumériste et non suffisante ou altruiste
- le chômage me pèse ( et donc les cultures des diplômes, âges, physique, associées)
- je suis loin d'avoir la vie d'adulte dont je rêvais enfant, je n'ai aucun souvenir d'une projection durant l'adolescence

hello,

Le sommeil ne s'améliorant pas, les réflexions sur la colère avançant, les nuits deviennent + compliquées encore, le corona truc me bloquant de salle de sport, promenades en plein air (car oui, je vais interdire ou limiter les promenades), me voilà dans une phase de regard noir

J'ai pourtant racheté une autre plante dans mon mélange (millepertuis) avec un effet sur la solidité morale la journée (pas encore suffisant, en tout cas, pas après 3 nuits compliquées), mais pas assez la nuit.
J'ai arrété le café/thé de l'après midi.
Faut une  10aine 15aine de jours pour que le millepertuis prenne son effet complet. Je reste là dessus, en attendant de voir l'effet.
Au delà des 3 semaines, je serai dans l'obligation de commencer les AD (déjà prescrits par le médecin généraliste, ce qui m'emmerde sévèrement vus les risque à la conduite, et l'addiction de cette merde)

A priori, ce n'est pas de la merde, c'est un traitement qui a fait ses preuves. A priori, les risques à la conduite de l'absence de sommeil et des émotions en vrac ne sont pas négligeables. A priori, les AD ne sont pas particulièrement additicfs, contrairement aux anxiolytiques. Demande éventuellement à ton doc un AD qui soit particulièrement peu réputé poser de problème au sevrage, même si tout sevrage doit toujours être très progressif et contrôlé. Si jamais, millepertuis et AD ne font pas bon ménage, il ne faut pas les prendre ensemble. N'oublie pas qu'il faut des mois pour les AD commencent à faire effet, si ils font effet. Il faut parfois plusieurs essais avant de trouver le bon. N'attends donc peut-être pas d'avoir besoin d'une aide urgente pour t'y mettre. Si tu attends jusqu'à ce qu'un coup de pouce immédiat soit nécessaire, tu devras sûrement demander en complément une autre catégorie de médicament à ton doc, comme un anxiolytique, hypnotique ou somnifère par exemple.

Bon courage à toi

Pour l'instant, c'est millepertuis (une dose matin et soir) +euphytose (double dose d'euphytose au coucher, 1 an au diner).

On m'a prescrit la versions générique du Xanax à tester apres une semaine de comportements différents (heures de sports, routines du soir, routine du matin, arrêt du café apres 15h, diminution du sucre le soir). 
Mais justement le millepertuis, on annonce un effet important à partir de 15 jours, contre 1 mois mini pour AD/Anxyolitiques, c'est ça qui m'a poussé vers ce produit.
Et oui, Millepertuis ne s'associe pas avec AD. genre si tu prends le premier ,faut laisser passer 24h avant de commencer les AD. si tu prends des AD, faut attendre 3 semaines d'arrets avant de commencer le millepertuis.
Par contre xanax et euphytose, ça reste compatible.

ya des gens qui stoppent toute réflexion sur sa santé psy, en attendant le délai d'efficacité de son produit ?
Vous me direz, je suis incapable de stopper les reflexions.

Franchement le millepertuis, c'est pas mal du tout en journée, tu es "solide", les maux de la journée t'atteignent pas ou peu. 
Ya qu'en fin de journée où le combo fatigue de la nuit+charge de la journée, où il ne suffit plus

Et pour la conduite, j'appréhende ; Xanax c'est du niveau 3...
J'ai déjà conduit avec des antibiotiques qui te rendent niveau2... en ville, c'est pas possible après la prise du matin.
Franchement, rien + manque de sommeil, si tu verrouilles tes pensées sur la conduite, c'est bien moins chiant (sur des trajets de 0.75heure max,  au delà, tu tapes dans les réserves).
Et ici, on ne va pas se mentir, la moyenne c'est 30min-1h de conduite.

HEY !!!

Xanax, c'est PAS un antidépresseur !

C'est un anxiolytique de la famille des benzodiazépines.
Et c'en est un qui est réputé très addictif d'ailleurs.
Et, oui, il y a en effet net sur la vigilance avec ce genre de truc.

Par contre, l'effet est immédiat, contrairement à l'effet des antidépresseurs.

C'est d'ailleurs une partie du problème, l'effet immédiat et de très courte durée pouvant plus facilement conduire à de la dépendance.

Renseigne-toi !!!

Tes représentations sont fausses.
Et donc dangereuses, selon moi.

Si ce n'est que la nuit, le problème, alors tu peux y aller tranquille à prendre de faibles doses de calmants genre xanax le soir. Justement, l'effet ne dure pas très longtemps, donc le lendemain tu devrais être frais et dispo.

Mais ce n'est pas un AD.

Hello,

J'en fais pas mention lors de mes précédents posts.
Nous avons recoller les morceaux, ou recoller des morceaux, le jeudi avant confinement.
Nous avions fixés pour ligne directrice : 
- à moi de me reconstruire, faire une cure de sommeil, comprendre mes colères, mes projections, mon empathie
- à elle de comprendre et d'exprimer ce qu'elle attends d'un homme

Malheureusement, ce confinement met en pause beaucoup de choses.
Chacun se confine chez lui (son enfant est à risques).
Mes seules sorties sont d'aller chez elle (après 14 jours de confinement), ou faire mes courses. J'ai vite arrété les marches, au vu des mauvais comportements dans les rues.
Elle, continue de faire les courses pour sa mère âgée, aux plusieurs comorbidités et n'a aucune autre sortie hormis ses courses pour elle (plus 2 visites au boulot, oû certains sujets ont exigé sa venue quelques minutes).

Globalement, le gros des venues étaient à ma demande, parfois uniquement pour son bien être, parfois pour ce que je pensais être le nôtre.

Mon sommeil a cessé toute progression, au contraire, il chute, les perspectives d'emploi qualifiés tombant. Les non qualifiés ne me donnant pas envie car ils me condamneraient à un pur confinement, ni ne me paraissent ouvrir des chemins pros valables (agro alimentaire, grande distribution, réserve "résilience", ASH ou autre employé d'appui logistique et hotelier en hostos/ephads)

Mais bon, j'ai beau me retourner le cerveau, je reste persuadé que oui, je passe toujours après toute femme.
Au point où même je me demande si Madame n'est pas une "bi" qui aime le corps de l'homme, mais ne partagera que certaines choses aux femmes (dont elle n'aime pas le corps)

C'est Pâques, j'ai proposé des choses, plusieurs fois, et me retrouve seul chez moi, sans réponses.

Je veux bien comprendre que Chérie est en stress : sa mère a de grosses chances de ne pas passer la crise (surtout quand chaque jour on découvre la transmissibilité, les symptomes de ce virus).
Je veux bien comprendre aussi que ce système scolaire "adapté à la crise" condamne sa fille à de mauvaises notes et donc à ne pas obtenir l'orientation au lycée désirée.

Mais bref, j'attendais quelques progrès vers moi. et Ya rien (on fait toujours ceinture).
Suis-je égoiste ?

Autre question : je suis désolé, mais une part de moi, reste convaincue que mon animosité vers sa chiante de fille, n'est que la retransciption de la sienne, et non une quelconque projection de mon vécu, mes reluctances vers les enfants.
Les empathes, hypersensibles, intuitifs, vous avez des méthodes, des astuces pour bien distinguer ce qui est à vous et ce qui est à votre moitié ?

Sinon, voilà, je relativise, ici on est en France, malheureux, lorsque l'OMS annonce probablement 10% de la population de mon autre pays, qui lui ne passera pas l'année...

Mais bref, au delà de sa propre souffrance, faut avancer, construire avec sa source de bonheur.

Hello
J’ai enchaîné les jobs alimentaires en espérant aller mieux, penser à autre chose. En vain.
Aujourd’hui je ne supporte plus mes amis en couples. J’aimerai tant moi aussi avoir une relation épanouissante avant de crever. Mais je n’y crois quasi plus.
Le covid anéanti toutes mes envies de voyages