Passer le test a presque 50 ans : une hérésie ?
4 participants
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Passer le test a presque 50 ans : une hérésie ?
Bonjour,
Et bien voilà j’y suis moi aussi, confrontée à la grande question du test.
J’avoue qu’à presque 50 ans c’est simplement terrorisant pour moi.
L’envie est bien là, le besoin encore plus. Pour continuer mes recherches de moi-même j’ai absolument besoin de me sentir légitime. Cela pourra paraître étrange à certains mais je lis, échange avec ma psy, et veux essayer d’échanger avec les autres mais je bloque. Et si je n’étais pas légitime à m’engager sur cette voie ? Et si je m’y perdais ?
Alors je vois bien qu’il n’y a qu’un moyen pour me débloquer : en avoir le cœur net.
Bien sûr j’appréhende. Ce nouveau chemin qui s’est ouvert à moi, n’est peut-être qu’une impasse si je me trompe (et ma psy aussi ). Et si le test me révèle HP, que dire de ces 50 premières années que j’aurais vécues sans connaître les cartes que j’avais dans mon jeu ? Je crois que j’aurais besoin de tout revivre avec cette nouvelle donne, bonjour les regrets… ce qui ne servira à rien d’autre que de me torturer.
Comme de bien entendu, la question de la ou du professsionnel(le) auprès de qui passer le test se pose, alors si vous avez des noms sur Paris ou proche banlieue à me suggérer, n’hésitez pas en MP…
Et bien voilà j’y suis moi aussi, confrontée à la grande question du test.
J’avoue qu’à presque 50 ans c’est simplement terrorisant pour moi.
L’envie est bien là, le besoin encore plus. Pour continuer mes recherches de moi-même j’ai absolument besoin de me sentir légitime. Cela pourra paraître étrange à certains mais je lis, échange avec ma psy, et veux essayer d’échanger avec les autres mais je bloque. Et si je n’étais pas légitime à m’engager sur cette voie ? Et si je m’y perdais ?
Alors je vois bien qu’il n’y a qu’un moyen pour me débloquer : en avoir le cœur net.
Bien sûr j’appréhende. Ce nouveau chemin qui s’est ouvert à moi, n’est peut-être qu’une impasse si je me trompe (et ma psy aussi ). Et si le test me révèle HP, que dire de ces 50 premières années que j’aurais vécues sans connaître les cartes que j’avais dans mon jeu ? Je crois que j’aurais besoin de tout revivre avec cette nouvelle donne, bonjour les regrets… ce qui ne servira à rien d’autre que de me torturer.
Comme de bien entendu, la question de la ou du professsionnel(le) auprès de qui passer le test se pose, alors si vous avez des noms sur Paris ou proche banlieue à me suggérer, n’hésitez pas en MP…
Avecbulles- Messages : 15
Date d'inscription : 23/02/2019
Age : 53
Localisation : Paris
Re: Passer le test a presque 50 ans : une hérésie ?
Quand il faut savoir, il faut savoir. Cependant je me demande pourquoi tu n’évoques pas ce point directement avec ta psy qui doit avoir le kit nécessaire pour le test et le te faire passer sans surcoût.
Invité- Invité
Re: Passer le test a presque 50 ans : une hérésie ?
Au mieux tu es comme tout le monde (98% de la population) , au pire un drôle de zozio
St'ban- Messages : 10478
Date d'inscription : 24/10/2018
Age : 102
Localisation : Belgium (Région Namuroise)
Re: Passer le test a presque 50 ans : une hérésie ?
J'ai passé le test à 53 ans, après 44 ans de déguisement, faux-self, caméléon, ..., bref 44 ans de falsification.
J'ai tout remis en cause : mon histoire, mon quotidien, mon avenir (si tant est que l'on puisse avoir un effet). Je n'ai pas regretté mes choix passés : ils ont été fait avec les moyens et la clairvoyance dont je disposais à l'époque.
Je ne regrette rien de ma démarche, même si j'ai vécu douloureusement ensuite l'expérience de la désintégration positive de Dabrowski. C'était le billet d'accès à une part de ma vérité. Ma vie actuelle est apaisée.
Vu ce midi au Mucem à Marseille, l'exposition voyage. Parmi ce que j'y ai vu et lu, il y avait une phrase, du photographe Bernard Plossu (https://www.paris-art.com/bernard-plossu-2/) dont j'aime beaucoup le travail : 'Toujours aller là où les routes s'arrêtent, là où il n'y a plus rien".
Alors "Passer le test à presque 50 ans" : évidemment, puisque c'est la route que tu parcours.
J'ai tout remis en cause : mon histoire, mon quotidien, mon avenir (si tant est que l'on puisse avoir un effet). Je n'ai pas regretté mes choix passés : ils ont été fait avec les moyens et la clairvoyance dont je disposais à l'époque.
Je ne regrette rien de ma démarche, même si j'ai vécu douloureusement ensuite l'expérience de la désintégration positive de Dabrowski. C'était le billet d'accès à une part de ma vérité. Ma vie actuelle est apaisée.
Vu ce midi au Mucem à Marseille, l'exposition voyage. Parmi ce que j'y ai vu et lu, il y avait une phrase, du photographe Bernard Plossu (https://www.paris-art.com/bernard-plossu-2/) dont j'aime beaucoup le travail : 'Toujours aller là où les routes s'arrêtent, là où il n'y a plus rien".
Alors "Passer le test à presque 50 ans" : évidemment, puisque c'est la route que tu parcours.
Re: Passer le test a presque 50 ans : une hérésie ?
Cher Izo
Effectivement la question se pose mais comme elle m’a suggérer de prendre contact avec le centre Cogitoz j’en ai déduit qu’elle ne pouvait pas. Peut-être une histoire d’habilitation qu’elle n’a pas ou parce que justement elle me connaît. Elle ne me l’a pas proposé mais tu as raison autant lui poser la question clairement
Effectivement la question se pose mais comme elle m’a suggérer de prendre contact avec le centre Cogitoz j’en ai déduit qu’elle ne pouvait pas. Peut-être une histoire d’habilitation qu’elle n’a pas ou parce que justement elle me connaît. Elle ne me l’a pas proposé mais tu as raison autant lui poser la question clairement
Avecbulles- Messages : 15
Date d'inscription : 23/02/2019
Age : 53
Localisation : Paris
Re: Passer le test a presque 50 ans : une hérésie ?
Cher Ovni tender
Oui sauf que cela répondrait au pourquoi à tout ce que je ressens, le décalage avec les autres et la société, le questionnement permanent, l’hyper sensibilité etc etc...
ce qui n’est pas une fin en soi je te l’accorde mais une étape importante pour passer à « comment le gérer »
Oui sauf que cela répondrait au pourquoi à tout ce que je ressens, le décalage avec les autres et la société, le questionnement permanent, l’hyper sensibilité etc etc...
ce qui n’est pas une fin en soi je te l’accorde mais une étape importante pour passer à « comment le gérer »
Avecbulles- Messages : 15
Date d'inscription : 23/02/2019
Age : 53
Localisation : Paris
Re: Passer le test a presque 50 ans : une hérésie ?
Ours de la MAZ a écrit:J'ai passé le test à 53 ans, après 44 ans de déguisement, faux-self, caméléon, ..., bref 44 ans de falsification.
J'ai tout remis en cause : mon histoire, mon quotidien, mon avenir (si tant est que l'on puisse avoir un effet). Je n'ai pas regretté mes choix passés : ils ont été fait avec les moyens et la clairvoyance dont je disposais à l'époque.
Je ne regrette rien de ma démarche, même si j'ai vécu douloureusement ensuite l'expérience de la désintégration positive de Dabrowski. C'était le billet d'accès à une part de ma vérité. Ma vie actuelle est apaisée.
Vu ce midi au Mucem à Marseille, l'exposition voyage. Parmi ce que j'y ai vu et lu, il y avait une phrase, du photographe Bernard Plossu (https://www.paris-art.com/bernard-plossu-2/) dont j'aime beaucoup le travail : 'Toujours aller là où les routes s'arrêtent, là où il n'y a plus rien".
Alors "Passer le test à presque 50 ans" : évidemment, puisque c'est la route que tu parcours.
désintégration positive de Dabrowski ? C’est quoi ça ?
Avecbulles- Messages : 15
Date d'inscription : 23/02/2019
Age : 53
Localisation : Paris
Re: Passer le test a presque 50 ans : une hérésie ?
quelques pistes :
https://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9sint%C3%A9gration_positive
http://wiki.zebras-crossing.org/doku.php?id=articles:dabrowski
et d'une autre crèmerie :
https://www.adulte-surdoue.org/2014/01/la-theorie-de-la-desintegration-positive-dabrowski/
an.a.co.lu.the- Messages : 764
Date d'inscription : 02/06/2010
Re: Passer le test a presque 50 ans : une hérésie ?
Merci beaucoup
Avecbulles- Messages : 15
Date d'inscription : 23/02/2019
Age : 53
Localisation : Paris
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