Frontière entre susceptibilité et sensibilité en famille

Bonjour,

Le confinement nous a réunit en famille. Comment avez-vous géré vos sensibilités, et trouvé la limite avant la susceptibilité ?

Dans mon cas, un exemple récent que je suis "débordée" par les reproches familiaux, c'est que j'ai cassé accidentellement un patin de mes lunettes après un reproche que je ne nettoie pas assez souvent les lunettes des WC. Et pourtant j'ai besoin de mes lunettes tous les jours pour voir, masochisme ?

Bref, du travail.

Plaisir d'offrir, joie de recevoir.
Ça vaut aussi pour le karma.

Il me semble que la sensibilité, c'est ce qui se passe en moi et la susceptibilité, c'est ce que je renvoie à l'autre.
L'idée est donc qu'on peut parler de sa sensibilité (parfois très forte) à l'autre sans tomber dans une réaction immédiate, irréfléchie et violente... mais en pratique, c'est compliqué.
Si je me base sur mon expérience, je pense que la clé est de se sentir bien avec soi-même pour être bien avec les autres. Là aussi, la théorie est plus facile que la pratique.
Le chemin est difficile et semé d'embûches...