J'ouvre un fil.
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J'ouvre un fil.
J'ouvre un fil.
Ceusses qui me connaissent savent mes sujets de prédilection, mais plus je vais
plus je vais vers la liberté : n'ai-je pas été confiné, emprisonné, par simple décret d'un virus viral ?
Je porte un masque. Parfois des gants en plastique. Le plastique est fantastique, n'est-ce pas ?
Je vais. Je vais et je viens,
entre nos riens, et tout...et ...... me retient.
Un insecte me rend visite. Non pas une secte, un in-secte.
Libre, vous dis-je, bien que masqué. C'est un coléoptère, une cétoine dorée.
J'ouvre un fil. Sans thème ni sans t'aime.
J'ai une terrible envie de liberté.
Je déteste André Breton, qui enferma le surréalisme dans des thèses, Thérèse,
et voua aux Gémonies , Annie, par morale, des personnes libres . Il se permit, cet imbécile, de s'installer en juge.
A vous, si vous existez encore, de thèmer, ou d'aimer.
Vous savez que je suis là, de fait.
Je suis las, aussi.
Je tente un thème, sans thème et sans anathème,
liberté d'expression,
ceci est une présentation, elle est fort longue,
ne soyez pas longs, ou lourds, ni longs ni lourds comme je le suis ici.
(J'ai lu de fort intéressantes participations, mais si longues et citationnelles que j'ai perdu le contact.)
Hors quelques rares mp, transformés le plus souvent en mails (ou sms),
j'avais quitté ce forum. Las.
Un temps j'ai dit mon âge. Las.
Dit mon âge qui ne dit rien. On n'est pas sérieux quand on a dix-sept ans, citait ***.
Certes. Je ne réclame pas d'avoir dix-sept ans, ni dix ans, comme chante Souchon.
Hélas : ma mémoire vive a 8 ans, elle a 12 ans (lorsque je chantais J.A.N.I.E.H.O.D.I.N. sur tous les tons), elle a 16 ans, 17, 19 ans,
elle en a 23, elle en a 32, ou 37, ou 45, ou 54.
Eau vive, mon film se déroule, jamais flou. J'ai tout vécu de ma vie, et continue de vivre tout.
J'ai pu penser que c'était fatigant. Ce l'est.
C'est pour moi richesse, c'est pour moi distanciation cruelle : les Autres ne m'accompagnent pas.
Il me vient à me convaincre qu'un être seul , un seul être, eût pu m'accompagner : mon père.
Mon père possédait quelques coffres de secrets.
A la fin de sa vie (hélas écourtée par un vilain anévrisme aortique), nous avions commencé, par courriers, à nous ouvrir l'un à l'autre.
Mon père avait aussi 8 ans, 12, 32,, 54 ans... Nous nous comprenions, par-delà les générations puisqu'il avait vécu , adolescent, la guerre, des tas de choses que l'on a oubliées, Amiens fut un tas de ruines comme le fut récemment Alep.
Sa prime jeunesse était issue de la simplicité complexe de la campagne picarde,
complexe parce que meublée par des sentiments "flaubertiens" , des idées très XIXème, provincialement mal digérées, donc prégnants, tels des autorités intellectuelles et sentimentales imposées par les écoles en milieu paysan aisé.
Entre autres qualités, mon père possédait avec moi (je le sais maintenant) cette qualité (ou cette tare) de savoir se repasser le film de sa vie. Le film de son passé. Sans mentir.
Bref, vous avez compris que mon père me manque.
J'avais envie de poursuivre mais :
NON ! Vous pourriez (psychanalystes fins) en déduire que j'ouvre un fils, et non point un fil.
Ce serait entièrement faux : simplement, si je parle de lui, c'est que je m'en ennuie.
Je n'écris pas un livre.
J'ouvre un fil.
Qui que vous soyez, parlez libre.
if
ifness
Ceusses qui me connaissent savent mes sujets de prédilection, mais plus je vais
plus je vais vers la liberté : n'ai-je pas été confiné, emprisonné, par simple décret d'un virus viral ?
Je porte un masque. Parfois des gants en plastique. Le plastique est fantastique, n'est-ce pas ?
Je vais. Je vais et je viens,
entre nos riens, et tout...et ...... me retient.
Un insecte me rend visite. Non pas une secte, un in-secte.
Libre, vous dis-je, bien que masqué. C'est un coléoptère, une cétoine dorée.
J'ouvre un fil. Sans thème ni sans t'aime.
J'ai une terrible envie de liberté.
Je déteste André Breton, qui enferma le surréalisme dans des thèses, Thérèse,
et voua aux Gémonies , Annie, par morale, des personnes libres . Il se permit, cet imbécile, de s'installer en juge.
A vous, si vous existez encore, de thèmer, ou d'aimer.
Vous savez que je suis là, de fait.
Je suis las, aussi.
Je tente un thème, sans thème et sans anathème,
liberté d'expression,
ceci est une présentation, elle est fort longue,
ne soyez pas longs, ou lourds, ni longs ni lourds comme je le suis ici.
(J'ai lu de fort intéressantes participations, mais si longues et citationnelles que j'ai perdu le contact.)
Hors quelques rares mp, transformés le plus souvent en mails (ou sms),
j'avais quitté ce forum. Las.
Un temps j'ai dit mon âge. Las.
Dit mon âge qui ne dit rien. On n'est pas sérieux quand on a dix-sept ans, citait ***.
Certes. Je ne réclame pas d'avoir dix-sept ans, ni dix ans, comme chante Souchon.
Hélas : ma mémoire vive a 8 ans, elle a 12 ans (lorsque je chantais J.A.N.I.E.H.O.D.I.N. sur tous les tons), elle a 16 ans, 17, 19 ans,
elle en a 23, elle en a 32, ou 37, ou 45, ou 54.
Eau vive, mon film se déroule, jamais flou. J'ai tout vécu de ma vie, et continue de vivre tout.
J'ai pu penser que c'était fatigant. Ce l'est.
C'est pour moi richesse, c'est pour moi distanciation cruelle : les Autres ne m'accompagnent pas.
Il me vient à me convaincre qu'un être seul , un seul être, eût pu m'accompagner : mon père.
Mon père possédait quelques coffres de secrets.
A la fin de sa vie (hélas écourtée par un vilain anévrisme aortique), nous avions commencé, par courriers, à nous ouvrir l'un à l'autre.
Mon père avait aussi 8 ans, 12, 32,, 54 ans... Nous nous comprenions, par-delà les générations puisqu'il avait vécu , adolescent, la guerre, des tas de choses que l'on a oubliées, Amiens fut un tas de ruines comme le fut récemment Alep.
Sa prime jeunesse était issue de la simplicité complexe de la campagne picarde,
complexe parce que meublée par des sentiments "flaubertiens" , des idées très XIXème, provincialement mal digérées, donc prégnants, tels des autorités intellectuelles et sentimentales imposées par les écoles en milieu paysan aisé.
Entre autres qualités, mon père possédait avec moi (je le sais maintenant) cette qualité (ou cette tare) de savoir se repasser le film de sa vie. Le film de son passé. Sans mentir.
Bref, vous avez compris que mon père me manque.
J'avais envie de poursuivre mais :
NON ! Vous pourriez (psychanalystes fins) en déduire que j'ouvre un fils, et non point un fil.
Ce serait entièrement faux : simplement, si je parle de lui, c'est que je m'en ennuie.
Je n'écris pas un livre.
J'ouvre un fil.
Qui que vous soyez, parlez libre.
if
ifness
ifness- Messages : 3028
Date d'inscription : 04/07/2016
Age : 101
Localisation : Plus nulle part, désormais
Re: J'ouvre un fil.
C'est toute la beauté du monde que tu évoques, ifness.
Pour moi l'avenir c'est l'inconnu et c'est là aussi que se trouve le bonheur : le plaisir de découvrir, d'être le premiier à poser le pas à cet endroit précis, à avancer dans ce chemin.
Ce n'est pas pour dire «c'est moi le premier», ce n'est pas une comparaison. C'est simplement agréable parce que personne n'est passé par là avant que j'y sois passé. La relation aux choses est différente.
Agrandir les chemins des autres pour qu'ils soient plus praticables est une autre démarche. On part forcément de quelque chose de connu.
Pour moi l'avenir c'est l'inconnu et c'est là aussi que se trouve le bonheur : le plaisir de découvrir, d'être le premiier à poser le pas à cet endroit précis, à avancer dans ce chemin.
Ce n'est pas pour dire «c'est moi le premier», ce n'est pas une comparaison. C'est simplement agréable parce que personne n'est passé par là avant que j'y sois passé. La relation aux choses est différente.
Agrandir les chemins des autres pour qu'ils soient plus praticables est une autre démarche. On part forcément de quelque chose de connu.
Re: J'ouvre un fil.
Merci, siamois, je te retrouve tel qu'en toi-même.
Il est vrai qu'aujourd'hui ma situation est particulière.
Je suis en passe de revendre ma maison (du Gard) que j'habitais depuis 13 ans, ma maison ET mon grand jardin, ET ma vue sur les Cévennes et le Mt Aigoual, et....
Pour me retrouver : seul.
(Parce que par le même temps je me sépare de ma compagne. Plus exactement : ma compagne se sépare de moi.)
J'ai décidé aussi de ne rien choisir avant la signature de l'acte authentique de vente (je crois bien faire, la vente précédente a été annulée), de stocker mes affaires dans un garage, et de partir prospecter en CCar. Où ?
"l'avenir c'est l'inconnu", écris-tu justement.
Il me faudra bien m'installer quelque part, j'ai 2 ou 3 idées, il faut que je voie. Que je m'imagine.
Je possède aussi des billets "open" de ferry pour la Grèce, en sept/nov (j'ai été malade l'an passé), donc si les choses virales évoluent favorablement (en Europe)
oui, siamois, l'avenir est un parfait inconnu.
La maison sera-t-elle vendue ? Quand ?
"Quand" induit ce que j'aurai le temps (et le droit) de faire ensuite, a minima prospecter (je sors d'une belle maison avec un jardin exceptionnel), et si je vais de Vannes à Brive la Gaillarde, j'ai de quoi m'occuper.
Pour complexifier, une amie m'attend, mais elle est de la région de Besançon, et la Franche-Comté ne me fait pas ...der.
En réalité, je désire me sentir libre : libre de toute obligation morale judéo-chrétienne.
Donc : être en phase de transition.
Je bosse, siamois, je bosse, si tu savais !
J'ai quelque idée de plan d'installation de base : Brive la Gaillarde (pour le Périgord, que j'adord)
ou Vannes et environ, pour le Morbihan, hi han !
Je ne prévois rien. Chat échaudé craint l'eau froide.
J'ai le souvenir de notre "déprime" , ma compagne et moi, lorsque nous apprîmes que la vente était annulée, (soi-disant) par refus de financement.
Hors Covid, 2 mois d'attente pour... repartir de zéro. (Raison pour laquelle, malgré les frais inhérents, j'ai persisté à confier cette vente à un professionnel sérieux.)
Je ne prévois rien. Survivre.
Le Gard et son printemps miraculeux me sont aide plus que précieuse.
Je ne me plains pas : je ne suis pas sous les bombes d'Assad ou d'Erdogan.
Je ne suis pas riche, mais je suis riche : je fais partie des privilégiés de ce Monde.
Toute révolte est relative.
Je bois mon rosé bio à l'apéro, avec des morceaux de tomme et des moules froides de bouchot que j'ai fait cuire hier soir. (Oui, je suis de Picardie maritime, et les fruits de la pêche à pied ont marqué mon enfance.)
Je philosophe.
J'ai avant tout, factuellement, le désir d'entrer de plain-pied dans la création.
Mon bouquin se dessine, mes collages ont débuté (quelques cm2).
Et puis : l'action, le "réel" qui sous-tend les rêves et
Merci à vous.
if
Il est vrai qu'aujourd'hui ma situation est particulière.
Je suis en passe de revendre ma maison (du Gard) que j'habitais depuis 13 ans, ma maison ET mon grand jardin, ET ma vue sur les Cévennes et le Mt Aigoual, et....
Pour me retrouver : seul.
(Parce que par le même temps je me sépare de ma compagne. Plus exactement : ma compagne se sépare de moi.)
J'ai décidé aussi de ne rien choisir avant la signature de l'acte authentique de vente (je crois bien faire, la vente précédente a été annulée), de stocker mes affaires dans un garage, et de partir prospecter en CCar. Où ?
"l'avenir c'est l'inconnu", écris-tu justement.
Il me faudra bien m'installer quelque part, j'ai 2 ou 3 idées, il faut que je voie. Que je m'imagine.
Je possède aussi des billets "open" de ferry pour la Grèce, en sept/nov (j'ai été malade l'an passé), donc si les choses virales évoluent favorablement (en Europe)
oui, siamois, l'avenir est un parfait inconnu.
La maison sera-t-elle vendue ? Quand ?
"Quand" induit ce que j'aurai le temps (et le droit) de faire ensuite, a minima prospecter (je sors d'une belle maison avec un jardin exceptionnel), et si je vais de Vannes à Brive la Gaillarde, j'ai de quoi m'occuper.
Pour complexifier, une amie m'attend, mais elle est de la région de Besançon, et la Franche-Comté ne me fait pas ...der.
En réalité, je désire me sentir libre : libre de toute obligation morale judéo-chrétienne.
Donc : être en phase de transition.
Je bosse, siamois, je bosse, si tu savais !
J'ai quelque idée de plan d'installation de base : Brive la Gaillarde (pour le Périgord, que j'adord)
ou Vannes et environ, pour le Morbihan, hi han !
Je ne prévois rien. Chat échaudé craint l'eau froide.
J'ai le souvenir de notre "déprime" , ma compagne et moi, lorsque nous apprîmes que la vente était annulée, (soi-disant) par refus de financement.
Hors Covid, 2 mois d'attente pour... repartir de zéro. (Raison pour laquelle, malgré les frais inhérents, j'ai persisté à confier cette vente à un professionnel sérieux.)
Je ne prévois rien. Survivre.
Le Gard et son printemps miraculeux me sont aide plus que précieuse.
Je ne me plains pas : je ne suis pas sous les bombes d'Assad ou d'Erdogan.
Je ne suis pas riche, mais je suis riche : je fais partie des privilégiés de ce Monde.
Toute révolte est relative.
Je bois mon rosé bio à l'apéro, avec des morceaux de tomme et des moules froides de bouchot que j'ai fait cuire hier soir. (Oui, je suis de Picardie maritime, et les fruits de la pêche à pied ont marqué mon enfance.)
Je philosophe.
J'ai avant tout, factuellement, le désir d'entrer de plain-pied dans la création.
Mon bouquin se dessine, mes collages ont débuté (quelques cm2).
Et puis : l'action, le "réel" qui sous-tend les rêves et
Merci à vous.
if
ifness- Messages : 3028
Date d'inscription : 04/07/2016
Age : 101
Localisation : Plus nulle part, désormais
Re: J'ouvre un fil.
ifness a écrit:
Pour complexifier, une amie m'attend, mais elle est de la région de Besançon, et la Franche-Comté ne me fait pas ...der.
Je bois mon rosé bio à l'apéro, avec des morceaux de tomme et des moules froides de bouchot que j'ai fait cuire hier soir. (Oui, je suis de Picardie maritime, et les fruits de la pêche à pied ont marqué mon enfance.)
Je reste avec une envie de Mont-Blanc, de Chamonix, un premier de cordée m'émut jadis.
Et ici le bord de mer m'attire également.
L'eau m'est nécessaire (Le Mont-Blanc c'est de l'eau.). C'est une évidence qui se dissimule dans notre monde occidental où on assèche de plus en plus nos rues et nos routes. Même l'eau des fontaines n'est plus buvable. C'est un de mes problèmes avec notre tout électrique .
Tu connais Stevenson et son âne ?
Re: J'ouvre un fil.
Eévidemment ! Stevenson est une légende, en Lozère et dans le Gard.
On se sert de lui comme en Corbières du soi-disant catharisme : pour le tourisme.
En tant que CCariste le plus possible "libre", l'eau m'est aussi et premièrement un bien nécessaire.
On la trouve, encore, en France.
On la trouve en Scandinavie.
Je suis (CCariste depuis 40 ans) assez finaud pour repérer les points d'eau claire.
Il est exact que beaucoup d'entre eux deviennent problématiques, mais le principe de précaution oblige les communes à écrire "Eau non contrôlée".
Etonnamment, on la trouve facilement en Grèce ou au Portugal. (Ces régions soi-disant sèches disposent en réalité de de réserves montagneuses très abondantes)
J'ai discuté 2 h au tél avec mon amie.
C'est agréable; cela ne fait pas une vie. Qu'en penses-tu ?
Hélas, je n'en suis plus physiquement à n'être ne serait-ce que second ou troisième de cordée.
Je te comprends, siamois.
Biz
On se sert de lui comme en Corbières du soi-disant catharisme : pour le tourisme.
En tant que CCariste le plus possible "libre", l'eau m'est aussi et premièrement un bien nécessaire.
On la trouve, encore, en France.
On la trouve en Scandinavie.
Je suis (CCariste depuis 40 ans) assez finaud pour repérer les points d'eau claire.
Il est exact que beaucoup d'entre eux deviennent problématiques, mais le principe de précaution oblige les communes à écrire "Eau non contrôlée".
Etonnamment, on la trouve facilement en Grèce ou au Portugal. (Ces régions soi-disant sèches disposent en réalité de de réserves montagneuses très abondantes)
J'ai discuté 2 h au tél avec mon amie.
C'est agréable; cela ne fait pas une vie. Qu'en penses-tu ?
Hélas, je n'en suis plus physiquement à n'être ne serait-ce que second ou troisième de cordée.
Je te comprends, siamois.
Biz
ifness- Messages : 3028
Date d'inscription : 04/07/2016
Age : 101
Localisation : Plus nulle part, désormais
Re: J'ouvre un fil.
Je cherche également à m'éloigner du virtuel, des contacts téléphoniques qui représentent plus de désir donc de manque que de réalité.
Se contenter du réel, du présent, rendre grâces pour ce que l'on a et ce que l'on n'a pas, c'est un peu l'aventure que je vis depuis quelques années.
De petits êtres merveilleux m'ont rejoint et profitent de ma présence, ils sont adorables et charmants, et m'occupper d'eux c'est vraiment agréable, bienfaisant. Je m'occuppe d'eux avec la même attention «gentiment paternelle» avec laquelle je m'occuppe d'un ordinateur ou de tout, en fait.
J'ai trouvé de merveilleux livres de voyages dans quelques boites d'échanges posées dans nos rues. Par exemple Chavetta de Jéromine Pasteur.
https://www.babelio.com/livres/Pasteur-Chaveta--Larche-dor-des-Incas/63581
Bien que j'apprécie la conduite automobile, je trouve que cela a tendance à nous couper du monde. On est dans du verre, métal et plastique et c'est le caractère semblable de ces éléments qui nous sépare du monde qui est bien différent, qui est vert et bondissant, chaleureux et pas seulement refroidi.
C'est peut-être de chaleur dont tu as besoin. Une bonne couverture en laine c'est fondamental. Il en faut peut-être deux pour une épaisseur ou dimension suffisante, mais c'est un matériau que je trouve très protecteur. J'avais un grand-père qui fut un peu berger je crois, alors cela influence peut-être mon jugement.
Pourquoi as-tu quitté ta Picardie littorale ? Tu aurais pu rencontrer Macron à Amiens, la petite Venise du nord ?
Quel que soit le chemin on atteint son but il me semble. Parfois il faut de longs détours pour que nos chemins croisent d'autres chemins.
Se contenter du réel, du présent, rendre grâces pour ce que l'on a et ce que l'on n'a pas, c'est un peu l'aventure que je vis depuis quelques années.
De petits êtres merveilleux m'ont rejoint et profitent de ma présence, ils sont adorables et charmants, et m'occupper d'eux c'est vraiment agréable, bienfaisant. Je m'occuppe d'eux avec la même attention «gentiment paternelle» avec laquelle je m'occuppe d'un ordinateur ou de tout, en fait.
J'ai trouvé de merveilleux livres de voyages dans quelques boites d'échanges posées dans nos rues. Par exemple Chavetta de Jéromine Pasteur.
https://www.babelio.com/livres/Pasteur-Chaveta--Larche-dor-des-Incas/63581
Bien que j'apprécie la conduite automobile, je trouve que cela a tendance à nous couper du monde. On est dans du verre, métal et plastique et c'est le caractère semblable de ces éléments qui nous sépare du monde qui est bien différent, qui est vert et bondissant, chaleureux et pas seulement refroidi.
C'est peut-être de chaleur dont tu as besoin. Une bonne couverture en laine c'est fondamental. Il en faut peut-être deux pour une épaisseur ou dimension suffisante, mais c'est un matériau que je trouve très protecteur. J'avais un grand-père qui fut un peu berger je crois, alors cela influence peut-être mon jugement.
Pourquoi as-tu quitté ta Picardie littorale ? Tu aurais pu rencontrer Macron à Amiens, la petite Venise du nord ?
Quel que soit le chemin on atteint son but il me semble. Parfois il faut de longs détours pour que nos chemins croisent d'autres chemins.
Re: J'ouvre un fil.
Je ne sais pas comment tu vis, siamois.
Ce midi, je me suis fait une entrée de crudités : navet rose, radis noir, chou vert, et sauce adéquate.
Et puis quelques pommes de terre de Noirmoutier pour accompagner un andouillette grillée du Gard.
Ce soir : j'ai reporté à demain la soupe aux poireaux/verts de radis/ PdT pour cause d'asperges du village, après une soupe de bouillon d'asperges au tapioca, jambon de Lozère. yaourt grec.
..........
J'ai jadis (il y a longtemps en fait) écrit un chapitre de roman à propos de Jéromine Pasteur.
Elle m'avait séduit.
Est-elle un modèle sérieux, ou une icône sentimentale ?
Je suis dans le doute, malgré ta réf.
J'ai toujours préféré m'en tenir à Levi-Strauss.
.............................
J'ai travaillé dans le même établissement que Brigitte. Peut-être y ai-je croisé Macron.
La famille de Brigitte est un belle famille bourgeoise d'Amiens. La Reine des Macarons. Et la référence pâtissière. Je le sais : ma mère travaillait à deux pas de chez Trogneux.
J'ai fui la Picardie après les dérives agricoles (traitements mortels) et le remembrement atroce du terroir de mon village.
Ici, dans le Gard, on traite moins (sauf les vignes), et reste l'immense terroir des garrigues.
On peut "s'ensauver" dans les Cévennes, si l'on désire (ainsi certains chasseurs de sangliers ne jurent que par les Cévennes.)
..............
Mon CCar, bien que pas évidemment écologique (mais, à l'usage, il l'est assez, finalement)
me conduit vers mes solitudes,
désormais peuplées parfois de contacts, téléphoniques ou smsiques.
Ainsi ai-je une amie, qui se garde de tout, mais aime mes photos de voyage .
C'est bizarre.
C'est bizarre.
Cette vie est bizarre.
......................................
Reste que : je serais plus détendu si j'étais certain d'avoir vendu ma chère maison.
Je suis un peu las.
Amicalement tien.
Ce midi, je me suis fait une entrée de crudités : navet rose, radis noir, chou vert, et sauce adéquate.
Et puis quelques pommes de terre de Noirmoutier pour accompagner un andouillette grillée du Gard.
Ce soir : j'ai reporté à demain la soupe aux poireaux/verts de radis/ PdT pour cause d'asperges du village, après une soupe de bouillon d'asperges au tapioca, jambon de Lozère. yaourt grec.
..........
J'ai jadis (il y a longtemps en fait) écrit un chapitre de roman à propos de Jéromine Pasteur.
Elle m'avait séduit.
Est-elle un modèle sérieux, ou une icône sentimentale ?
Je suis dans le doute, malgré ta réf.
J'ai toujours préféré m'en tenir à Levi-Strauss.
.............................
J'ai travaillé dans le même établissement que Brigitte. Peut-être y ai-je croisé Macron.
La famille de Brigitte est un belle famille bourgeoise d'Amiens. La Reine des Macarons. Et la référence pâtissière. Je le sais : ma mère travaillait à deux pas de chez Trogneux.
J'ai fui la Picardie après les dérives agricoles (traitements mortels) et le remembrement atroce du terroir de mon village.
Ici, dans le Gard, on traite moins (sauf les vignes), et reste l'immense terroir des garrigues.
On peut "s'ensauver" dans les Cévennes, si l'on désire (ainsi certains chasseurs de sangliers ne jurent que par les Cévennes.)
..............
Mon CCar, bien que pas évidemment écologique (mais, à l'usage, il l'est assez, finalement)
me conduit vers mes solitudes,
désormais peuplées parfois de contacts, téléphoniques ou smsiques.
Ainsi ai-je une amie, qui se garde de tout, mais aime mes photos de voyage .
C'est bizarre.
C'est bizarre.
Cette vie est bizarre.
......................................
Reste que : je serais plus détendu si j'étais certain d'avoir vendu ma chère maison.
Je suis un peu las.
Amicalement tien.
ifness- Messages : 3028
Date d'inscription : 04/07/2016
Age : 101
Localisation : Plus nulle part, désormais
Re: J'ouvre un fil.
Tu pourrais aussi, toujours fermer celui-ci : https://www.zebrascrossing.net/t39998-tout-au-bout
Invité- Invité
Re: J'ouvre un fil.
A y est.
T'es content, Sic ?
Chouette !
J'ai écrit un texte monstrueux sur mon fil "Tout au bout".
Monstrueux, parce que des participations ont tapé pile poil sur mes révoltes.
Parce que j'ai lu des arguments que j'estime de courte vue, et finalement relavant d'un gros égoïsme.
Parce que je ne suis plus (hélas) quadragénaire (ou moins, ou moins )
et qu'on s'aperçoit rapidement que, et c'est le cas là-bas, sur ce fil-là,
discuter autour de la paternité/maternité lorsqu'on a encore la chance, mais aussi l'aveuglement, de se coltiner de jeunes rejetons
ou philosopher autour du thème alors que les oiseaux se sont depuis longtemps envolés (l'expression "ils volent de leurs propres ailes" me semble adaptée ),
non, on ne voit pas la vie/le monde sous le même angle, comme on dit en photographie.
Bon, oui, j'ai fait tout ça,
izo le sait j'ai aussi travaillé, lu, réfléchi, sans a priori (izo, dont je ne commente pas la participation, qui ne m'a pas révolté, se situe elle aussi dans le temps parental des questions, des nécessaires actions, et des doutes),
j'ai eu pas mal de vies, en fait.
J'ai partagé complètement les responsabilités ménagères et parentales -question de génération, les babas n'avaient pas que des défauts-
j'ai passé des centaines d'heures à bricoler parce je n'étais pas suffisamment riche pour "faire faire",
j'ai bossé avec amour dans l'éducation nationale,
j'ai voyagé (en France, en Europe, toujours en CCar) autant que faire se peut,
crapahuté dans les Ecrins comme admiré le coucher de soleil sur le Parthénon, marché sous le cagnard du Causse Méjean comme contemplé à minuit le soleil près de Tromsö,
j'ai écrit, peint,
j'ai fichu le bazar parce que je suis tombé amoureux (!?) de deux ou trois autres femmes que la mienne,
j'ai étudié, étudié, par magazines spécialisés ou bien ouvrages de toute espèce, pour nourrir ma réflexion, ne pas être con,
écouté de la musique (baroque pour la "classique", toute actuelle pour les créations pop-rock),
j'ai cherché, creusé,
je taille actu mes rosiers comme une vieille anglaise (rosiers que je vais abandonner, je vends mon cher jardin et ma maison pour aller, seul, les dieux ne savent même pas où, seul le "fatum" guidera.)
J'oubliais : j'ai été confiné (ce qui n'a pas changé grand-chose à mon quotidien, le virus ne rôdant pas dans mon jardin ni les garrigues alentour, et je ne suis guère socialisé, ces temps-ci, j'avais mes chers livres, pouvais m'enrouler les oreilles autour de mes écouteurs pour découvrir de la musique...)
mais j'ai franchement eu ce sentiment (qu'on évoque) d'être effectivement "en guerre", non au sens où l'exprimait notre vénéré Président, mais suite aux interdits, aux punitions, voire aux couvre-feux, bref à des restrictions de liberté de déplacement (les garrigues du Gard ne sont pas les parcs et jardins de ces fous de parisiens, ni les bords du canal St Martin !). Non, j'ai peu vu de gens d'armerie, et guère de casques à pointe. Néanmoins...
Comment dire ?
J'ai aussi bossé pour devenir calme, pour développer ce que ma grand-mère, fille de campagne picarde, me faisait vivre, avec une étonnante simplicité,
un truc qu'on appellerait aujourd'hui "contemplation", "mindfulness" (on met des mots comme ça, c'est chouette, on se la pète !)
reste : une révolte constitutive.
C'est fatigant. C'est stressant. C'est infarctusant.
C'est mon électricité.
C'est mon fossé, mon mur, entre vous, et moi. La plupart du temps. Pas toujours.
Cette révolte me rend, je le sais, parfois intolérant, parfois aveugle à la simplicité d'une affection.
Elle a beaucoup fichu le bazar dans mon parcours, gâché des amitiés et des amours.
Contemplation, mindfulness, mon ifness.
Bah, finalement, je m'aime bien.
J'ai bénéficié de l'amour simple d'une grand-mère solide et bonne, bien que maltraitée par la vie,
et du contact avec un père quelque peu mystérieux, mais tellement "bâtisseur". Un homme "bien", et, ce qui ne gâche rien cultivé (à sa manière, mais ne sommes-nous pas tou-te-s cultivé-e-s à notre manière ?) .
(On remarque souvent que les hommes font référence à l'amour et à la présence de la mère. Je n'ai pas eu ce malheur. Ma mère était une étrangère, aimée/détestée.)
Ma grand-mère est décédée en 1985, à l'âge de 86 ans.
Mon père est mort subitement en 1998, à l'âge de 75 ans.
Ils sont présents, je leur parle. Je les entends.
Oh non ! Je suis athée absolu. Païen, écrit Jean Soler.
Ma mémoire est horriblement longue.
J'écris ici, pour parler, de choses que je ne mettrai pas dans mon livre,
dans lequel j'essaierai autant que possible de m'abstraire du "je".
J'écris pour m'entraîner à écrire, à tenter de communiquer : je me relis et relie.
J'écris aussi pour vous lire.
Vous lirai-je ?
Il est l'heure d'aller tondre un peu, l'herbe est haute, et des orages sont annoncés pour demain.
if
T'es content, Sic ?
Chouette !
J'ai écrit un texte monstrueux sur mon fil "Tout au bout".
Monstrueux, parce que des participations ont tapé pile poil sur mes révoltes.
Parce que j'ai lu des arguments que j'estime de courte vue, et finalement relavant d'un gros égoïsme.
Parce que je ne suis plus (hélas) quadragénaire (ou moins, ou moins )
et qu'on s'aperçoit rapidement que, et c'est le cas là-bas, sur ce fil-là,
discuter autour de la paternité/maternité lorsqu'on a encore la chance, mais aussi l'aveuglement, de se coltiner de jeunes rejetons
ou philosopher autour du thème alors que les oiseaux se sont depuis longtemps envolés (l'expression "ils volent de leurs propres ailes" me semble adaptée ),
non, on ne voit pas la vie/le monde sous le même angle, comme on dit en photographie.
Bon, oui, j'ai fait tout ça,
izo le sait j'ai aussi travaillé, lu, réfléchi, sans a priori (izo, dont je ne commente pas la participation, qui ne m'a pas révolté, se situe elle aussi dans le temps parental des questions, des nécessaires actions, et des doutes),
j'ai eu pas mal de vies, en fait.
J'ai partagé complètement les responsabilités ménagères et parentales -question de génération, les babas n'avaient pas que des défauts-
j'ai passé des centaines d'heures à bricoler parce je n'étais pas suffisamment riche pour "faire faire",
j'ai bossé avec amour dans l'éducation nationale,
j'ai voyagé (en France, en Europe, toujours en CCar) autant que faire se peut,
crapahuté dans les Ecrins comme admiré le coucher de soleil sur le Parthénon, marché sous le cagnard du Causse Méjean comme contemplé à minuit le soleil près de Tromsö,
j'ai écrit, peint,
j'ai fichu le bazar parce que je suis tombé amoureux (!?) de deux ou trois autres femmes que la mienne,
j'ai étudié, étudié, par magazines spécialisés ou bien ouvrages de toute espèce, pour nourrir ma réflexion, ne pas être con,
écouté de la musique (baroque pour la "classique", toute actuelle pour les créations pop-rock),
j'ai cherché, creusé,
je taille actu mes rosiers comme une vieille anglaise (rosiers que je vais abandonner, je vends mon cher jardin et ma maison pour aller, seul, les dieux ne savent même pas où, seul le "fatum" guidera.)
J'oubliais : j'ai été confiné (ce qui n'a pas changé grand-chose à mon quotidien, le virus ne rôdant pas dans mon jardin ni les garrigues alentour, et je ne suis guère socialisé, ces temps-ci, j'avais mes chers livres, pouvais m'enrouler les oreilles autour de mes écouteurs pour découvrir de la musique...)
mais j'ai franchement eu ce sentiment (qu'on évoque) d'être effectivement "en guerre", non au sens où l'exprimait notre vénéré Président, mais suite aux interdits, aux punitions, voire aux couvre-feux, bref à des restrictions de liberté de déplacement (les garrigues du Gard ne sont pas les parcs et jardins de ces fous de parisiens, ni les bords du canal St Martin !). Non, j'ai peu vu de gens d'armerie, et guère de casques à pointe. Néanmoins...
Comment dire ?
J'ai aussi bossé pour devenir calme, pour développer ce que ma grand-mère, fille de campagne picarde, me faisait vivre, avec une étonnante simplicité,
un truc qu'on appellerait aujourd'hui "contemplation", "mindfulness" (on met des mots comme ça, c'est chouette, on se la pète !)
reste : une révolte constitutive.
C'est fatigant. C'est stressant. C'est infarctusant.
C'est mon électricité.
C'est mon fossé, mon mur, entre vous, et moi. La plupart du temps. Pas toujours.
Cette révolte me rend, je le sais, parfois intolérant, parfois aveugle à la simplicité d'une affection.
Elle a beaucoup fichu le bazar dans mon parcours, gâché des amitiés et des amours.
Contemplation, mindfulness, mon ifness.
Bah, finalement, je m'aime bien.
J'ai bénéficié de l'amour simple d'une grand-mère solide et bonne, bien que maltraitée par la vie,
et du contact avec un père quelque peu mystérieux, mais tellement "bâtisseur". Un homme "bien", et, ce qui ne gâche rien cultivé (à sa manière, mais ne sommes-nous pas tou-te-s cultivé-e-s à notre manière ?) .
(On remarque souvent que les hommes font référence à l'amour et à la présence de la mère. Je n'ai pas eu ce malheur. Ma mère était une étrangère, aimée/détestée.)
Ma grand-mère est décédée en 1985, à l'âge de 86 ans.
Mon père est mort subitement en 1998, à l'âge de 75 ans.
Ils sont présents, je leur parle. Je les entends.
Oh non ! Je suis athée absolu. Païen, écrit Jean Soler.
Ma mémoire est horriblement longue.
J'écris ici, pour parler, de choses que je ne mettrai pas dans mon livre,
dans lequel j'essaierai autant que possible de m'abstraire du "je".
J'écris pour m'entraîner à écrire, à tenter de communiquer : je me relis et relie.
J'écris aussi pour vous lire.
Vous lirai-je ?
Il est l'heure d'aller tondre un peu, l'herbe est haute, et des orages sont annoncés pour demain.
if
ifness- Messages : 3028
Date d'inscription : 04/07/2016
Age : 101
Localisation : Plus nulle part, désormais
Re: J'ouvre un fil.
Plus d'un mois plus tard.
Je ne suis guère plus fidèle sur ce site.
Révisant l'historique de mes mails, voilà-t-y pas que je tombe sur celui-ci.
Visiblement, il est tombé dans le vide de l'oubli, à moins qu'il orbite autour d'un trou noir avant de ressortir de l'attraction de manière éclatante. ce sont de événements qui arrivent.
Aucune révélation philosophique.
Ceci posé, il se peut que qu'il ressorte un quelque chose de la situation actuelle.
Ma vie bascule. Ce n'est pas facile.
Je gère au jour le jour, sans plus rien prévoir . On verra bien ce que sera le futur, si le futur existe.
Au plaisir de vous lire.
if
Je ne suis guère plus fidèle sur ce site.
Révisant l'historique de mes mails, voilà-t-y pas que je tombe sur celui-ci.
Visiblement, il est tombé dans le vide de l'oubli, à moins qu'il orbite autour d'un trou noir avant de ressortir de l'attraction de manière éclatante. ce sont de événements qui arrivent.
Aucune révélation philosophique.
Ceci posé, il se peut que qu'il ressorte un quelque chose de la situation actuelle.
Ma vie bascule. Ce n'est pas facile.
Je gère au jour le jour, sans plus rien prévoir . On verra bien ce que sera le futur, si le futur existe.
Au plaisir de vous lire.
if
ifness- Messages : 3028
Date d'inscription : 04/07/2016
Age : 101
Localisation : Plus nulle part, désormais
Re: J'ouvre un fil.
Un trou noir dis-tu ?
J'aurais dit "trouvère" pour ma part.
Je ressors la phrase mystère pompée sur le fil de Ludion, phrase "couteau-suisse" qui s'applique à tout en tout temps et donc... magique ! et ouais !
Il faut jouer. Toujours.
Le jeu en lui-même contient la magie.
J'aurais dit "trouvère" pour ma part.
Je ressors la phrase mystère pompée sur le fil de Ludion, phrase "couteau-suisse" qui s'applique à tout en tout temps et donc... magique ! et ouais !
"On peut aussi bâtir quelque chose de beau avec les pierres qui entravent le chemin"
Johann Wolfgang Von Goethe
Il faut jouer. Toujours.
Le jeu en lui-même contient la magie.
Bimbang- Messages : 6445
Date d'inscription : 31/07/2016
Localisation : 44
Re: J'ouvre un fil.
Oui, c'est plus adéquat que troubadour...
Bon, actu, je suis dans une situation qui provoque plutôt un sentiment de déprime tout en sachant qu'il me faut absolument me battre (contre moi-même),
j'ai un travail (réel) complexe sur lequel je n'ai pas envie de m'étendre, disons lié à une vente encore incertaine de maison, un déménagement, une solitude qui s'ensuit et un lieu d'installation ultérieur (en locatif) inconnu.
Je peine donc à prendre goût à un jeu. Ce pourrait en être un, mais le "moral" n'est pas propice.
Sur le fond, je suis d'accord avec toi.
Cela, au-delà de Goethe, je le "vois" au cours de mes pérégrinations. J'ai un regard aiguisé et contemplatif.
Merci , Bim.
if
Bon, actu, je suis dans une situation qui provoque plutôt un sentiment de déprime tout en sachant qu'il me faut absolument me battre (contre moi-même),
j'ai un travail (réel) complexe sur lequel je n'ai pas envie de m'étendre, disons lié à une vente encore incertaine de maison, un déménagement, une solitude qui s'ensuit et un lieu d'installation ultérieur (en locatif) inconnu.
Je peine donc à prendre goût à un jeu. Ce pourrait en être un, mais le "moral" n'est pas propice.
Sur le fond, je suis d'accord avec toi.
Cela, au-delà de Goethe, je le "vois" au cours de mes pérégrinations. J'ai un regard aiguisé et contemplatif.
Merci , Bim.
if
ifness- Messages : 3028
Date d'inscription : 04/07/2016
Age : 101
Localisation : Plus nulle part, désormais
Re: J'ouvre un fil.
L’absurdité se muera en bien ou en mal,
c'est selon, toujours selon.
J'attends de voir vers quel bord s'épanchera l'énergie des hommes, pour ma part de plus en plus détaché de ce système de souffrance que l'on nous conte.
Quelle est ton intention if?
De là et pour finir ton état sera définit.
Maître du jeu, il n'y a que toi pour savoir.
Tu vois je n'ai pas perdu ce qui me fait...
Salut!
c'est selon, toujours selon.
J'attends de voir vers quel bord s'épanchera l'énergie des hommes, pour ma part de plus en plus détaché de ce système de souffrance que l'on nous conte.
Quelle est ton intention if?
De là et pour finir ton état sera définit.
Maître du jeu, il n'y a que toi pour savoir.
Tu vois je n'ai pas perdu ce qui me fait...
Salut!
jolindien- Messages : 1602
Date d'inscription : 05/07/2015
Re: J'ouvre un fil.
Merci à toi, joli.
Tu as raison, nous verrons.
Je ne sais rien, et ne cherche plus à savoir.
Je vis au jour le jour. Des événements surviendront.
Mon intention : survivre, avec quelques idées en tête.
if
Tu as raison, nous verrons.
Je ne sais rien, et ne cherche plus à savoir.
Je vis au jour le jour. Des événements surviendront.
Mon intention : survivre, avec quelques idées en tête.
if
ifness- Messages : 3028
Date d'inscription : 04/07/2016
Age : 101
Localisation : Plus nulle part, désormais
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