Besoin d'avis
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Besoin d'avis
Bonjour à tous, j'aimerais avoir votre avis sur ce que je vais vous partager.
J'ai 26 ans et suis maman de 2 enfants. Je soupçonne (depuis la naissance) mon aîné d'être un petit zèbre, mais n'ayant que 2 ans et demi je dois encore attendre quelques années pour pouvoir lui faire passer un test. Depuis qu'il est tout petit je me renseigne un maximum pour l'accompagner au mieux. Au fur et à mesure de mes recherches, des témoignages eh bien, je ne sais pas comment d'écrire ça mais ça m'a interpellé.
Depuis très petite je me souviens sentie à l'écart, j'avais des amies (les deux mêmes depuis la maternelle) mais je me suis toujours sentie différente. Dès la maternelle la boîte de Pandore, comme je l'appelle, s'est ouverte. J'ai commencé à me poser énormément de questions sur la vie, sur le futur, sur la mort particulièrement (chose qui ne m'a jamais quitté), sur le vide, l'espace, je pensais tellement que je faisais quasi tous les soirs des crises d'angoisse tellement j'étais fatiguée de penser à toutes ces choses.
À l'école j'avais toujours l'impression d'être en décalage avec les enfants de mon âge, même si j'essayais de faire comme tout le monde( en grandissant j'appelais ça l'effet miroir, je regardais les autres et essayer de les copier, de répondre à leurs attentes (c'est toujours plus ou moins le cas)).
Dans mes souvenirs, en maternelle j'étais souvent au coin pcq soit je finissais les exercices plus tôt et je m'ennuyais, soit je ne comprenais pas ce qu'on attendait de moi et je n'arrivais plus à me concentrer et je faisais des petites crises. Je me souviens aussi que pas mal de fois j'étais punie pendant la récréation et l'atsem restait avec moi. Je dessinais énormément, à ce niveau là j'ai toujours été en avance, mes dessins etaient très élaborés pour mon âge, j'étais très pointeuse et ça m'aidait énormément à me canaliser et à apaiser mes angoisses.
Je me souviens aussi que l'atsem m'avait appris à lire lors de mes punitions, pourtant ma mère m'a dit que j'avais appris à lire au cp mais je sentiment et ce souvenir que je l'avais fait avant. Bref. J'adorais l'école, j'étais toujours la première ou seconde de la classe de toute ma scolarité, quasi des 20/20 à chaque contrôle. En classe je finissais très tôt, je m'ennuyais et donc je bavardais, je me faisais reprendre par la maîtresse.
À la maison, je faisais mes devoirs pour la semaine seule et je m'avançais. J'étais souvent chez une de mes amie pour jouer et je me rappelle une fois par exemple que sa soeur, de deux ans notre aînée, faisait ses devoirs de maths.(elle était en cm2 et moi au ce2) Je me suis mise à côté d'elle pour regarder par curiosité, j'ai fait les exercices et trouvé les réponses. Elle était très étonnée et m'a demandé comment j'avais fait, je lui ai dit que je ne savais pas comment l'expliquer je l'ai senti comme ça.
Du côté des hobbies de la maternelle au primaire, c'était comme beaucoup la préhistoire, je collectionnais tout ce qui touchait aux dinosaures, leur fiches explicatives etc. Et surtout l'Égypte antique. Quand les mercredis matins nous allions à la bibliothèque avec ma classe, tout le monde prenait les j'aime lire et moi j'allais toujours dans le rayons Histoire prendre un livre sur l'Égypte. Ma maîtresse était surprise, elle était venue me voir et m'a dit qu'elle avait une surprise pour moi, elle m'avait apporté un de ses livres personnels sur les pharaons et me l'avait prêté. J'étais aux anges.
Puis vint la 6eme et là... C'était la chute. J'étais excellente en maths, en musique, en arts plastiques et en svt mais par contre dans les autres matières ça a été là dégringolade. Je me souviens que je n'ai pas supporté le fait de voir d'autres personnes (de différentes écoles) être meilleurs que moi. Je me suis sentie nulle, ridiculisée, vide de sens et ce vide m'a vraiment consumé. Moi qui avait toujours appris, par aisance, par moi même, je n'avais jamais vraiment travaillé pour comprendre les choses, je n'avais pas de méthode tout allait de soit et là c'était la cata. Je n'étais plus intéressée, je devenais angoissée à l'idée d'aller au collège et de me rendre compte que j'étais stupide.
Et puis en 5eme mes parents ont divorcés et ça a été vraiment la grande catastrophe. S'en est suivi des années d'absentéisme, de décrochage scolaire, j'étais devenue boulimique/anorexique, plus rien ne compter, je me sentais vide de sens, plus rien ne valait la peine d'être vécue. Tous les jours c'était une bataille pour me lever pour affronter ce sentiment de honte, la honte d'être stupide, d'être inférieure aux autres, d'affronter ce monde fade, inutile. Avec toutes mes absences j'ai pu avoir mon bac aux rattrapages.
Après ça ma mère a voulu que j'aille en fac d'anglais, alors bon la première année c'était plutôt la découverte des sorties étudiantes etc. J'ai voulu redoubler pcq j'étais vraiment intéressée par ce que je faisais (llcer anglais). Et au fur et à mesure ce vide est revenue, j'étais très bonne concernant la poésie, l'analyse, l'oral mais l'écrit, la grammaire m'ennuyait. Je ne voulais pas devenir prof et plus rien ne m'intéressait mis à part les quelques matières citées plus haut. J'ai abandonné la fac et suis partie au Japon rejoindre celui qui est devenu mon mari.
[Au niveau scolaire en fait, j'ai toujours aimé apprendre, connaître de nouvelles choses mais dès que je savais que j'allais être notée je perdais facilement tout intérêt, j'avais et j'ai toujours peur de l'echec c'est un vrai traumatisme. Alors quand j'ai décidé que j'allais arrêter la fac par exemple, j'étais plus sereine et j'allais à quelques cours en amphi juste pour le plaisir d'écouter. J'ai aussi toujours et encore mnt besoin de poser beaucoup de questions, il n'y pas qu'une seule réponse à mes yeux mais beaucoup de soujacents. À l'école et ailleurs on s'est toujours moqué de moi ou alors on m'a clairement demandé d'arrêter de poser trop de questions pcq c'était trop agaçant, et vraiment ça m'a blessé et j'avais l'impression d'être encore une fois très étrange et je m'en voulais de ne pas pouvoir penser comme les autres, de ne pas pouvoir me contenter de ce qui m'était donné].
J'ai accouché de mon aîné au Japon et nous sommes revenus en France fin 2018. Comme je disais, dès la naissance mon fils m'a paru singulier, bien qu'il s'agissait de mon premier enfant je l'ai senti au plus profond de moi. Regard profond à la maternité, il se tenait debout à 5 mois,marchait à 6 mois, courait à 8 mois, était très intéressé par les livres vers le même âge etc etc (je pense que vous avez cernés le petit personnage).
De mon côté, j'ai accouché d'un deuxième petit garçon au mois de mai de cette année et j'ai demandé à être en contact avec une pédopsychiatre. D'une part pour quelle m'aide à gérer les tempêtes émotionnels de l'aîné (qui s'étaient empirées avec l'arrivée du bébé) et les miennes.
J'ai oublié de parlé du côté émotionnel.
Depuis toute petite j'ai toujours été anxieuse, très sensible, je pleurais beaucoup,je rentrais souvent dans les crises de nerfs ou d'angoisses, j'avais (et j'ai toujours) une peur d'etre abandonnée (d'ailleurs quand mes parents ont divorcé et que mon père est parti cela n'a fait que confirmer cette peur et accroître toutes ces émotions négatives).
J'ai toujours eu des sautes d'humeur et avec le temps( et les épreuves stressantes de la vie) elles se sont accentuées, d'où ma demande de consulter. Plus jeune j'avais vu des psys (suite au divorce), on m'a dit que c'était dû à l'adolescence, au choc émotionnel mais on a pas cherché plus.
Vers le mois de juin j'ai donc consulté un psychiatre assez spécialisé dans les troubles borderline etc (sur les conseils de la pédopsychiatre de la maternité). Premiere consultation, je lui parle de mes sautes d'humeur de plus en plus forte et fréquentes, de ce vide constant, il me pose des questions me fait passer un test écrit et bam pour lui le verdict tombe je suis borderline.
Alors oui c'est vrai qu'il y a des choses sur lesquelles je rejoins son discours mais je ne sais pas j'ai l'impression de passer à côté de quelque chose. Je n'ai pas l'impression que ca ne me correspond pas ou peut être pas entièrement. Et comme je disais plus haut plus je me renseigne sur les hp plus ca fait écho en moi. J'avais toujours cru que les zèbres étaient de grandes lumières à l'égal d'Einstein, jamais je n'avais pensé qu'il y avait différentes manières d'être précoce. C'est ce que m'a explique ma belle soeur qui a un fils HP complexe avec des dys.
C'est pour ça que je vous demande votre avis, que pensez vous de tout ça ? Soyez indulgents svp, j'ai mis beaucoup de temps à me décider, je n'ai jamais osé en parler de peur qu'on se moque de moi.
J'ai 26 ans et suis maman de 2 enfants. Je soupçonne (depuis la naissance) mon aîné d'être un petit zèbre, mais n'ayant que 2 ans et demi je dois encore attendre quelques années pour pouvoir lui faire passer un test. Depuis qu'il est tout petit je me renseigne un maximum pour l'accompagner au mieux. Au fur et à mesure de mes recherches, des témoignages eh bien, je ne sais pas comment d'écrire ça mais ça m'a interpellé.
Depuis très petite je me souviens sentie à l'écart, j'avais des amies (les deux mêmes depuis la maternelle) mais je me suis toujours sentie différente. Dès la maternelle la boîte de Pandore, comme je l'appelle, s'est ouverte. J'ai commencé à me poser énormément de questions sur la vie, sur le futur, sur la mort particulièrement (chose qui ne m'a jamais quitté), sur le vide, l'espace, je pensais tellement que je faisais quasi tous les soirs des crises d'angoisse tellement j'étais fatiguée de penser à toutes ces choses.
À l'école j'avais toujours l'impression d'être en décalage avec les enfants de mon âge, même si j'essayais de faire comme tout le monde( en grandissant j'appelais ça l'effet miroir, je regardais les autres et essayer de les copier, de répondre à leurs attentes (c'est toujours plus ou moins le cas)).
Dans mes souvenirs, en maternelle j'étais souvent au coin pcq soit je finissais les exercices plus tôt et je m'ennuyais, soit je ne comprenais pas ce qu'on attendait de moi et je n'arrivais plus à me concentrer et je faisais des petites crises. Je me souviens aussi que pas mal de fois j'étais punie pendant la récréation et l'atsem restait avec moi. Je dessinais énormément, à ce niveau là j'ai toujours été en avance, mes dessins etaient très élaborés pour mon âge, j'étais très pointeuse et ça m'aidait énormément à me canaliser et à apaiser mes angoisses.
Je me souviens aussi que l'atsem m'avait appris à lire lors de mes punitions, pourtant ma mère m'a dit que j'avais appris à lire au cp mais je sentiment et ce souvenir que je l'avais fait avant. Bref. J'adorais l'école, j'étais toujours la première ou seconde de la classe de toute ma scolarité, quasi des 20/20 à chaque contrôle. En classe je finissais très tôt, je m'ennuyais et donc je bavardais, je me faisais reprendre par la maîtresse.
À la maison, je faisais mes devoirs pour la semaine seule et je m'avançais. J'étais souvent chez une de mes amie pour jouer et je me rappelle une fois par exemple que sa soeur, de deux ans notre aînée, faisait ses devoirs de maths.(elle était en cm2 et moi au ce2) Je me suis mise à côté d'elle pour regarder par curiosité, j'ai fait les exercices et trouvé les réponses. Elle était très étonnée et m'a demandé comment j'avais fait, je lui ai dit que je ne savais pas comment l'expliquer je l'ai senti comme ça.
Du côté des hobbies de la maternelle au primaire, c'était comme beaucoup la préhistoire, je collectionnais tout ce qui touchait aux dinosaures, leur fiches explicatives etc. Et surtout l'Égypte antique. Quand les mercredis matins nous allions à la bibliothèque avec ma classe, tout le monde prenait les j'aime lire et moi j'allais toujours dans le rayons Histoire prendre un livre sur l'Égypte. Ma maîtresse était surprise, elle était venue me voir et m'a dit qu'elle avait une surprise pour moi, elle m'avait apporté un de ses livres personnels sur les pharaons et me l'avait prêté. J'étais aux anges.
Puis vint la 6eme et là... C'était la chute. J'étais excellente en maths, en musique, en arts plastiques et en svt mais par contre dans les autres matières ça a été là dégringolade. Je me souviens que je n'ai pas supporté le fait de voir d'autres personnes (de différentes écoles) être meilleurs que moi. Je me suis sentie nulle, ridiculisée, vide de sens et ce vide m'a vraiment consumé. Moi qui avait toujours appris, par aisance, par moi même, je n'avais jamais vraiment travaillé pour comprendre les choses, je n'avais pas de méthode tout allait de soit et là c'était la cata. Je n'étais plus intéressée, je devenais angoissée à l'idée d'aller au collège et de me rendre compte que j'étais stupide.
Et puis en 5eme mes parents ont divorcés et ça a été vraiment la grande catastrophe. S'en est suivi des années d'absentéisme, de décrochage scolaire, j'étais devenue boulimique/anorexique, plus rien ne compter, je me sentais vide de sens, plus rien ne valait la peine d'être vécue. Tous les jours c'était une bataille pour me lever pour affronter ce sentiment de honte, la honte d'être stupide, d'être inférieure aux autres, d'affronter ce monde fade, inutile. Avec toutes mes absences j'ai pu avoir mon bac aux rattrapages.
Après ça ma mère a voulu que j'aille en fac d'anglais, alors bon la première année c'était plutôt la découverte des sorties étudiantes etc. J'ai voulu redoubler pcq j'étais vraiment intéressée par ce que je faisais (llcer anglais). Et au fur et à mesure ce vide est revenue, j'étais très bonne concernant la poésie, l'analyse, l'oral mais l'écrit, la grammaire m'ennuyait. Je ne voulais pas devenir prof et plus rien ne m'intéressait mis à part les quelques matières citées plus haut. J'ai abandonné la fac et suis partie au Japon rejoindre celui qui est devenu mon mari.
[Au niveau scolaire en fait, j'ai toujours aimé apprendre, connaître de nouvelles choses mais dès que je savais que j'allais être notée je perdais facilement tout intérêt, j'avais et j'ai toujours peur de l'echec c'est un vrai traumatisme. Alors quand j'ai décidé que j'allais arrêter la fac par exemple, j'étais plus sereine et j'allais à quelques cours en amphi juste pour le plaisir d'écouter. J'ai aussi toujours et encore mnt besoin de poser beaucoup de questions, il n'y pas qu'une seule réponse à mes yeux mais beaucoup de soujacents. À l'école et ailleurs on s'est toujours moqué de moi ou alors on m'a clairement demandé d'arrêter de poser trop de questions pcq c'était trop agaçant, et vraiment ça m'a blessé et j'avais l'impression d'être encore une fois très étrange et je m'en voulais de ne pas pouvoir penser comme les autres, de ne pas pouvoir me contenter de ce qui m'était donné].
J'ai accouché de mon aîné au Japon et nous sommes revenus en France fin 2018. Comme je disais, dès la naissance mon fils m'a paru singulier, bien qu'il s'agissait de mon premier enfant je l'ai senti au plus profond de moi. Regard profond à la maternité, il se tenait debout à 5 mois,marchait à 6 mois, courait à 8 mois, était très intéressé par les livres vers le même âge etc etc (je pense que vous avez cernés le petit personnage).
De mon côté, j'ai accouché d'un deuxième petit garçon au mois de mai de cette année et j'ai demandé à être en contact avec une pédopsychiatre. D'une part pour quelle m'aide à gérer les tempêtes émotionnels de l'aîné (qui s'étaient empirées avec l'arrivée du bébé) et les miennes.
J'ai oublié de parlé du côté émotionnel.
Depuis toute petite j'ai toujours été anxieuse, très sensible, je pleurais beaucoup,je rentrais souvent dans les crises de nerfs ou d'angoisses, j'avais (et j'ai toujours) une peur d'etre abandonnée (d'ailleurs quand mes parents ont divorcé et que mon père est parti cela n'a fait que confirmer cette peur et accroître toutes ces émotions négatives).
J'ai toujours eu des sautes d'humeur et avec le temps( et les épreuves stressantes de la vie) elles se sont accentuées, d'où ma demande de consulter. Plus jeune j'avais vu des psys (suite au divorce), on m'a dit que c'était dû à l'adolescence, au choc émotionnel mais on a pas cherché plus.
Vers le mois de juin j'ai donc consulté un psychiatre assez spécialisé dans les troubles borderline etc (sur les conseils de la pédopsychiatre de la maternité). Premiere consultation, je lui parle de mes sautes d'humeur de plus en plus forte et fréquentes, de ce vide constant, il me pose des questions me fait passer un test écrit et bam pour lui le verdict tombe je suis borderline.
Alors oui c'est vrai qu'il y a des choses sur lesquelles je rejoins son discours mais je ne sais pas j'ai l'impression de passer à côté de quelque chose. Je n'ai pas l'impression que ca ne me correspond pas ou peut être pas entièrement. Et comme je disais plus haut plus je me renseigne sur les hp plus ca fait écho en moi. J'avais toujours cru que les zèbres étaient de grandes lumières à l'égal d'Einstein, jamais je n'avais pensé qu'il y avait différentes manières d'être précoce. C'est ce que m'a explique ma belle soeur qui a un fils HP complexe avec des dys.
C'est pour ça que je vous demande votre avis, que pensez vous de tout ça ? Soyez indulgents svp, j'ai mis beaucoup de temps à me décider, je n'ai jamais osé en parler de peur qu'on se moque de moi.
Dernière édition par Shecky03 le Ven 20 Nov 2020 - 19:11, édité 1 fois
Shecky03- Messages : 3
Date d'inscription : 20/11/2020
Re: Besoin d'avis
Salut Shecky
Sois la bienvenue sur le forum.
Je te souhaite d'ailleurs la bienvenue avant même de lire ton texte de prez car, oulala, tu nous a fait un joli pavé. Et donc forcément, ça merite de prendre le temps de tout lire dans le détail.
Juste un truc. Je suppose que tu as rédigé ton post sur tablette ou téléphone portable. Merci, si c'est possible, de revenir l'éditer pour lui donner de l'aération. Car, non seulement ça aidera plus facilement la lecture, mais aussi ça motivera d'autant mieux les intervenant-e-s à se saisir de son contenu et à rester pour le lire jusqu'au bout.
Très belle journée à toi, où que tu sois, et à plus tard.
Hig.
(zèbre diagnostiqué haut potentiel à seulement 10 ans.)
.
Sois la bienvenue sur le forum.
Je te souhaite d'ailleurs la bienvenue avant même de lire ton texte de prez car, oulala, tu nous a fait un joli pavé. Et donc forcément, ça merite de prendre le temps de tout lire dans le détail.
Juste un truc. Je suppose que tu as rédigé ton post sur tablette ou téléphone portable. Merci, si c'est possible, de revenir l'éditer pour lui donner de l'aération. Car, non seulement ça aidera plus facilement la lecture, mais aussi ça motivera d'autant mieux les intervenant-e-s à se saisir de son contenu et à rester pour le lire jusqu'au bout.
Très belle journée à toi, où que tu sois, et à plus tard.
Hig.
(zèbre diagnostiqué haut potentiel à seulement 10 ans.)
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higeekomori- Messages : 3165
Date d'inscription : 20/03/2015
Re: Besoin d'avis
Bonjour/soir Shecky
et bienvenue ici.
Se présenter n'est pas évident, et exprimer son parcours de vie pas facile.
Mais poser des mots est important et une bonne démarche, en essayant d'avoir le point de vue de l'observateur.
je te souhaite ainsi qu'à ton mari et tes enfants le meilleur dans tous les domaines de la vie.
et bienvenue ici.
Se présenter n'est pas évident, et exprimer son parcours de vie pas facile.
Mais poser des mots est important et une bonne démarche, en essayant d'avoir le point de vue de l'observateur.
je te souhaite ainsi qu'à ton mari et tes enfants le meilleur dans tous les domaines de la vie.
Invité- Invité
Re: Besoin d'avis
Bonjour et bienvenue, Shecky.
Tu me sembles en recherche de toi-même... Comme bien d'autres ici.
Si je comprends bien (désolée, je suis un peu vaseuse aujourd'hui, alors il est possible que je sois à côté de la plaque) tu te demandes si tu ne serais pas HP. C'est bien ça ?
Comment as-tu commencé à t'informer sur le haut potentiel ? Est-ce un sujet que tu as abordé avec le psy qui t'a dit borderline ?
J'ai envie de dire "peu importe". Tu te reconnais dans certaines caractéristiques, sans doute pas dans d'autres, cette réflexion te permet de mieux te connaître.
Ceci dit, personnellement me savoir HP, mettre un mot sur ma différence m'a permis d'être plus sereine et de prendre confiance en moi.
Quant à tes enfants, tu me sembles attentive à ce qu'ils puissent grandir dans les meilleures conditions possibles. Continue à leur donner de l'amour, je pense que c'est la meilleure chose à faire.
J'espère que tu trouveras ici une partie des réponses aux questions que tu te poses.
.
Tu me sembles en recherche de toi-même... Comme bien d'autres ici.
Si je comprends bien (désolée, je suis un peu vaseuse aujourd'hui, alors il est possible que je sois à côté de la plaque) tu te demandes si tu ne serais pas HP. C'est bien ça ?
Comment as-tu commencé à t'informer sur le haut potentiel ? Est-ce un sujet que tu as abordé avec le psy qui t'a dit borderline ?
J'ai envie de dire "peu importe". Tu te reconnais dans certaines caractéristiques, sans doute pas dans d'autres, cette réflexion te permet de mieux te connaître.
Ceci dit, personnellement me savoir HP, mettre un mot sur ma différence m'a permis d'être plus sereine et de prendre confiance en moi.
Quant à tes enfants, tu me sembles attentive à ce qu'ils puissent grandir dans les meilleures conditions possibles. Continue à leur donner de l'amour, je pense que c'est la meilleure chose à faire.
J'espère que tu trouveras ici une partie des réponses aux questions que tu te poses.
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Kallima- Messages : 357
Date d'inscription : 30/12/2019
Age : 43
Localisation : Belgique (région namuroise)
Re: Besoin d'avis
Bienvenue, Shecky !
Ce que je pense de ton texte, c'est que tu écris vraiment très bien sur toi-même, merci de ce partage !
Je rejoins Kallima, la démarche me semble aussi importante que le ou les résultat(s) qui viendra ou viendront la conclure ... ou l'orienter, la relancer, pour continuer à mieux te connaître. Ce que tu décris ressemble beaucoup à ce qu'on peut lire sur des enfants doués, mais tu peux aussi creuser dans plein d'autres directions : hypersensibilité, troubles (par ex. borderline si ton psychiatre le pense) que je ne te souhaite pas ...
L'important je pense est de garder l'esprit ouvert et de conserver les explications qui nous vont le mieux, qui nous semblent le plus coller avec notre ressenti. On peut bien sûr changer d'avis en trouvant d'autres explications plus tard. Mais il faut éviter de s'enfermer dans une "super-explication" unique (typiquement "je suis zèbre") et de tenter de réinterpréter toute sa vie à la lumière de cette seule caractéristique.
Bons échanges, bonnes rencontres !
Ce que je pense de ton texte, c'est que tu écris vraiment très bien sur toi-même, merci de ce partage !
Je rejoins Kallima, la démarche me semble aussi importante que le ou les résultat(s) qui viendra ou viendront la conclure ... ou l'orienter, la relancer, pour continuer à mieux te connaître. Ce que tu décris ressemble beaucoup à ce qu'on peut lire sur des enfants doués, mais tu peux aussi creuser dans plein d'autres directions : hypersensibilité, troubles (par ex. borderline si ton psychiatre le pense) que je ne te souhaite pas ...
L'important je pense est de garder l'esprit ouvert et de conserver les explications qui nous vont le mieux, qui nous semblent le plus coller avec notre ressenti. On peut bien sûr changer d'avis en trouvant d'autres explications plus tard. Mais il faut éviter de s'enfermer dans une "super-explication" unique (typiquement "je suis zèbre") et de tenter de réinterpréter toute sa vie à la lumière de cette seule caractéristique.
Bons échanges, bonnes rencontres !
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