Une histoire de choix...
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Re: Une histoire de choix...
infp a écrit:Trouvez-vous une chambre
Ahaha, enfoiré !
Je préfère — uniquement — les femmes.
Ennaétéride- Messages : 1765
Date d'inscription : 20/01/2021
Re: Une histoire de choix...
J'avoue je ne sais pas trop comment expliquer, les trucs que j'ai lu de ma recherche google semble bien mieux le faire mais c'est pas cool de renvoyer les gens à des liens.
Comme dit Chuna, c'est bien ce qu'on met derrière les mots qu'il faudrait d'abord éclaircir.
Disons que, pour moi, le "sentiment amoureux" ou encore "être amoureux" n'est pas le sentiment qu'on éprouve pour ses enfants (par exemple), même s'il est très fort et que ça y ressemble beaucoup, je le distingue de par désir sexuel ou pas. Pour moi il est réservé au couple sexuel uniquement, mais c'est ma définition à moi. C'est pour moi cette chose qui m'est déjà tombé dessus sans explications, sans histoire préalable et que je ne peux donc pas expliquer, et chose aussi pour laquelle la personne en face n'y est presque pour rien. Ça nous fait perdre tous nos moyens, et si vous l'avez déjà vécu comme moi, paradoxalement, le désir est tellement étouffé que ça rend difficile de libérer l'agressivité naturelle d'une relation sexuelle, c'est envahissant.
Oui, très amoureux, je me suis déjà retrouvé "en panne" parce que ce sentiment amoureux était trop envahissant. Je le vois comme un feu qui brûle très fort mais qui se consume du coup plus vite, c'est la passion tout feu tout flamme. Étant lié au désir sexuel, c'est parfaitement égoïste à mon sens, on se moque bien de savoir si l'autre est amoureux de nous aussi ou pas, on l'est malgré nous et c'est notre besoin à nous, pas celui de l'autre. Même si on va vouloir faire plaisir à l'autre en étant à l'écoute de ses besoins, ce n'est pas la raison originelle.
Alors que l'Amour, très généraliste, trouve des bases conscientes, dans l'exemple des enfants, ils sont ta chair et c'est concret, explicable.
l'Amour, ça peut être l'amitié, la famille, ton ex et mère de ton enfant, ta mamie, l'animal de compagnie, ET le couple (mais avec le temps).
L'Amour, je le vois comme un petit feu (pas une passion débordante, envahissante) qui couve gentiment et qui a le potentiel de brûler très longtemps.
On le retrouve parfaitement dans le couple mais peut se passer du désir sexuel au besoin (ex: amour platonique). Le sentiment amoureux disparaît un jour ou l'autre alors que le couple est passé en mode Amour, un truc plus respectueux, moins égoïste. Il se construit sur la confiance mutuelle, petit à petit.
Par exemple, les vieux couples ont besoins de retrouver du désir, régulièrement. Ils s'aiment mais ont des période sans trop de libido, ce n'est plus le désir qui fait qu'ils sont encore ensemble, c'est l'Amour, le vrai je serais tenté de dire mais je sais que vous allez tiquer :p
On peut mettre tout ça dans l'Amour, ça me va aussi
@infp : Jaloux...
Comme dit Chuna, c'est bien ce qu'on met derrière les mots qu'il faudrait d'abord éclaircir.
Disons que, pour moi, le "sentiment amoureux" ou encore "être amoureux" n'est pas le sentiment qu'on éprouve pour ses enfants (par exemple), même s'il est très fort et que ça y ressemble beaucoup, je le distingue de par désir sexuel ou pas. Pour moi il est réservé au couple sexuel uniquement, mais c'est ma définition à moi. C'est pour moi cette chose qui m'est déjà tombé dessus sans explications, sans histoire préalable et que je ne peux donc pas expliquer, et chose aussi pour laquelle la personne en face n'y est presque pour rien. Ça nous fait perdre tous nos moyens, et si vous l'avez déjà vécu comme moi, paradoxalement, le désir est tellement étouffé que ça rend difficile de libérer l'agressivité naturelle d'une relation sexuelle, c'est envahissant.
Oui, très amoureux, je me suis déjà retrouvé "en panne" parce que ce sentiment amoureux était trop envahissant. Je le vois comme un feu qui brûle très fort mais qui se consume du coup plus vite, c'est la passion tout feu tout flamme. Étant lié au désir sexuel, c'est parfaitement égoïste à mon sens, on se moque bien de savoir si l'autre est amoureux de nous aussi ou pas, on l'est malgré nous et c'est notre besoin à nous, pas celui de l'autre. Même si on va vouloir faire plaisir à l'autre en étant à l'écoute de ses besoins, ce n'est pas la raison originelle.
Alors que l'Amour, très généraliste, trouve des bases conscientes, dans l'exemple des enfants, ils sont ta chair et c'est concret, explicable.
l'Amour, ça peut être l'amitié, la famille, ton ex et mère de ton enfant, ta mamie, l'animal de compagnie, ET le couple (mais avec le temps).
L'Amour, je le vois comme un petit feu (pas une passion débordante, envahissante) qui couve gentiment et qui a le potentiel de brûler très longtemps.
On le retrouve parfaitement dans le couple mais peut se passer du désir sexuel au besoin (ex: amour platonique). Le sentiment amoureux disparaît un jour ou l'autre alors que le couple est passé en mode Amour, un truc plus respectueux, moins égoïste. Il se construit sur la confiance mutuelle, petit à petit.
Par exemple, les vieux couples ont besoins de retrouver du désir, régulièrement. Ils s'aiment mais ont des période sans trop de libido, ce n'est plus le désir qui fait qu'ils sont encore ensemble, c'est l'Amour, le vrai je serais tenté de dire mais je sais que vous allez tiquer :p
On peut mettre tout ça dans l'Amour, ça me va aussi
@infp : Jaloux...
Adventice- Messages : 42
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Age : 48
Localisation : Montpellier
Re: Une histoire de choix...
Pour moi la question de ce qu'est l'amour, est - je pense - résolue depuis longtemps...
Je me suis déjà exprimé dessus, et tout ce que j'ai put observer s'accorde complètement avec cette vision.
Il y a deux choses:
1) le désir, l'attirance, tomber amoureux, c'est ce qui arrive au début d'une relation, parfois ça n'arrive pas, parfois ça arrive un peu plus tard, ça peut être sexuel mais pas que.
La fille dont mon coup de foudre a été le plus fort c'était surtout parce qu'on se comprenait sur tout.
Cette étape ne dure souvent qu'un temps, et parfois elle n'a même pas lieu.
2) L'attachement. L'attachement n'a rien à voir avec le désir. On s'attache à une personne avec qui on va passer du temps, qui va prendre soin de nous ou dont on va prendre soin.
Je me suis déjà retrouvé dans un couple où il n'y avait que ça, on s'attachait, et il n'y avait pas de tension amoureuse forte, mais il n'y avait pas rien pour autant. Du coup c'était beaucoup plus tranquille comme couple.
Je pense que beaucoup de personnes ne font des couples que d'attachement, car ils ne sont pas capables d'aimer, et d'autres ne sont capable que de faire que la partie désir et du coup ne comprennent plus quand celui ci part, ne sont pas capable de bien faire la transformation désir vers attachement dans la douceur.
C'est l'attachement qui fait que les «ruptures» sont si douloureuses. C'est un deuil au sens propre du terme.
Bref aucun rapport avec la sexualité.
Le couple idéal serait le couple qui se crée sur une belle base de désir et qui se crée un lien d'attachement sécurisé dans le temps, où il n'y a pas d'attente d'être toujours dans cette tension de désir, et où il est quand même présent.
Où les deux savent aimer, donner, ne sont pas dans la peur. J'ai l'impression qu'à notre époque beaucoup de gens cherchent à éviter de s'attacher pour ne pas souffrir, mais du coup ne vivent pas - je pense - leurs couples pleinement.
Je pense que se mettre dans un couple sans être prêt à souffrir, c'est comme vouloir apprendre à nager sans vouloir se mouiller, ça n'a pas d'intérêt. Et surtout c'est la meilleur façon de ne pas y arriver au final.
Je me suis déjà exprimé dessus, et tout ce que j'ai put observer s'accorde complètement avec cette vision.
Il y a deux choses:
1) le désir, l'attirance, tomber amoureux, c'est ce qui arrive au début d'une relation, parfois ça n'arrive pas, parfois ça arrive un peu plus tard, ça peut être sexuel mais pas que.
La fille dont mon coup de foudre a été le plus fort c'était surtout parce qu'on se comprenait sur tout.
Cette étape ne dure souvent qu'un temps, et parfois elle n'a même pas lieu.
2) L'attachement. L'attachement n'a rien à voir avec le désir. On s'attache à une personne avec qui on va passer du temps, qui va prendre soin de nous ou dont on va prendre soin.
Je me suis déjà retrouvé dans un couple où il n'y avait que ça, on s'attachait, et il n'y avait pas de tension amoureuse forte, mais il n'y avait pas rien pour autant. Du coup c'était beaucoup plus tranquille comme couple.
Je pense que beaucoup de personnes ne font des couples que d'attachement, car ils ne sont pas capables d'aimer, et d'autres ne sont capable que de faire que la partie désir et du coup ne comprennent plus quand celui ci part, ne sont pas capable de bien faire la transformation désir vers attachement dans la douceur.
C'est l'attachement qui fait que les «ruptures» sont si douloureuses. C'est un deuil au sens propre du terme.
Bref aucun rapport avec la sexualité.
Le couple idéal serait le couple qui se crée sur une belle base de désir et qui se crée un lien d'attachement sécurisé dans le temps, où il n'y a pas d'attente d'être toujours dans cette tension de désir, et où il est quand même présent.
Où les deux savent aimer, donner, ne sont pas dans la peur. J'ai l'impression qu'à notre époque beaucoup de gens cherchent à éviter de s'attacher pour ne pas souffrir, mais du coup ne vivent pas - je pense - leurs couples pleinement.
Je pense que se mettre dans un couple sans être prêt à souffrir, c'est comme vouloir apprendre à nager sans vouloir se mouiller, ça n'a pas d'intérêt. Et surtout c'est la meilleur façon de ne pas y arriver au final.
Dernière édition par greenphenix le Lun 26 Avr 2021, 10:04, édité 1 fois
greenphenix- Messages : 193
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Localisation : Près de Chartres
Re: Une histoire de choix...
greenphenix a écrit:
Je pense que se mettre dans un couple sans être prêt à souffrir, c'est comme vouloir apprendre à nager sans vouloir se mouiller, ça n'a pas d'intérêt. Et surtout c'est la meilleur façon de ne pas y arriver au final.
Je pense également cela. Si l’on veut pouvoir vivre le plus beau avec quelqu’un, il faut accepter la possibilité de vivre le pire, et pour ce faire il faut se livrer sans trop de conversion. Ce sont les deux faces du même enjeu qu’on doit accepter, sinon l’on s’expose à vivre une relation médiocre, tiède et modérée qui capotera.
Ennaétéride- Messages : 1765
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Localisation : dans l’idéal d’une oreille éléphantine, hamac indolore
Re: Une histoire de choix...
J'ai écris plus haut que je ne voulais pas chercher à expliquer les sentiments pour la femmes avec laquelle je vis depuis vingt-trois ans, mais je vais essayer d'apporter ma contribution à cette conversation.
De 22 à 24 ans j'ai vécu seul, après une histoire franchement destructrice. Passé la phase de deuil j'avais retrouvé un équilibre, j'étais même particulièrement heureux de 23 à 24 ans. Une vie simple, tranquille, un job pas chiant, quelques amis, peu d'argent mais à l'époque une carte de bibliothèque et une autre de vidéo club, une soirée jeux entre potes ou un café en terrasse avec l'un d'eux suffisaient à mon bonheur.
Lorsque je l'ai rencontré je n'avais absolument pas besoin d'elle, je ne l'ai pas cherché et les choses ont glissé naturellement, sans jamais rien forcer, en toute simplicité.
Je ne vais pas entrer dans les détails, mais je crois que si cela à matcher c'est que je n'avais pas de manque à combler, ce n'était pas une "relation thérapie" (le terme est pourrie, si vous comprenez l'idée vous avez sûrement mieux à me proposer.), et je pense qu'il en allait de même pour elle.
De 22 à 24 ans j'ai vécu seul, après une histoire franchement destructrice. Passé la phase de deuil j'avais retrouvé un équilibre, j'étais même particulièrement heureux de 23 à 24 ans. Une vie simple, tranquille, un job pas chiant, quelques amis, peu d'argent mais à l'époque une carte de bibliothèque et une autre de vidéo club, une soirée jeux entre potes ou un café en terrasse avec l'un d'eux suffisaient à mon bonheur.
Lorsque je l'ai rencontré je n'avais absolument pas besoin d'elle, je ne l'ai pas cherché et les choses ont glissé naturellement, sans jamais rien forcer, en toute simplicité.
Je ne vais pas entrer dans les détails, mais je crois que si cela à matcher c'est que je n'avais pas de manque à combler, ce n'était pas une "relation thérapie" (le terme est pourrie, si vous comprenez l'idée vous avez sûrement mieux à me proposer.), et je pense qu'il en allait de même pour elle.
Dernière édition par david50 le Lun 26 Avr 2021, 09:57, édité 1 fois
david50- Messages : 5185
Date d'inscription : 16/09/2013
Re: Une histoire de choix...
greenphenix a écrit:Pour moi la question de ce qu'est l'amour, est - je pense - résolue depuis longtemps...
Je me suis déjà exprimé dessus, et tout ce que j'ai put observer s'accorde complètement avec cette vision.
Il y a deux choses:
1) le désir, l'attirance, tomber amoureux, c'est ce qui arrive au début d'une relation, parfois ça n'arrive pas, parfois ça arrive un peu plus tard, ça peut être sexuel mais pas que.
La fille dont mon coup de foudre a été le plus fort c'était surtout parce qu'on se comprenait sur tout.
Cette étape ne dure souvent qu'un temps, et parfois elle n'a même pas lieu.
2) L'attachement. L'attachement n'a rien à voir avec le désir. On s'attache à une personne avec qui on va passer du temps, qui va prendre soin de nous ou dont on va prendre soin.
Je me suis déjà retrouvé dans un couple où il n'y avait que ça, on s'attachait, et il n'y avait pas de tension amoureuse forte, mais il n'y avait pas rien pour autant. Du coup c'était beaucoup plus tranquille comme couple.
Je pense que beaucoup de personnes ne font des couples que d'attachement, car ils ne sont pas capables d'aimer, et d'autres ne sont capable que de faire que la partie désir et du coup ne comprennent plus quand celui ci partent, ne sont pas capable de bien faire la transformation désir vers attachement dans la douceur.
C'est l'attachement qui fait que les «ruptures» sont si douloureuses. C'est un deuil au sens propre du terme.
Bref aucun rapport avec la sexualité.
Le couple idéal serait le couple qui se crée sur une belle base de désir et qui se crée un lien d'attachement sécurisé dans le temps, où il n'y a pas d'attente d'être toujours dans cette tension de désir, et où il est quand même présent.
Où les deux savent aimer, donner, ne sont pas dans la peur. J'ai l'impression qu'à notre époque beaucoup de gens cherchent à éviter de s'attacher pour ne pas souffrir, mais du coup ne vivent pas - je pense - leurs couples pleinement.
Je pense que se mettre dans un couple sans être prêt à souffrir, c'est comme vouloir apprendre à nager sans vouloir se mouiller, ça n'a pas d'intérêt. Et surtout c'est la meilleur façon de ne pas y arriver au final.
Bonjour,
Oui, je crois que c'est exactement ce que j'ai dit, mais pas avec les mêmes mots (zetes extraordinaires hein :p)
Attachement = Amour
et puis "le désir, l'attirance, tomber amoureux,"
Le reste de ton propos est tout aussi pertinent, je pourrai en parler, je me souviens très bien ne pas avoir été amoureux dés le départ avec mon ex, c’était doux, tendre, conscient...et super rassurant.
Oui il faut prendre des risques, aujourd'hui je me sens de les prendre.
Adventice- Messages : 42
Date d'inscription : 22/04/2021
Age : 48
Localisation : Montpellier
Re: Une histoire de choix...
Pour revenir à la question initiale, je dirai que pour qu'un couple marche sur le long terme il faut respecter la règle des 4 «c» (que je viens d'inventer )
* Comprendre l'autre: Il ne faut pas que l'autre soit si différent qu'il ne puisse pas y avoir de compréhension
* Complicité: Il faut avoir suffisamment de points communs pour pouvoir développer une complicité. Des activités, des choses à partager
* Communiquer: En dehors d'être semblable ou pas, il faut être capable de savoir communiquer bien avec l'autre, sans communication pas de couple.
* Complémentarité: L'autre doit être assez différent pour apporter ce que l'on n'a pas. Par exemple une personne peu sociable va se mettre avec une personne très sociable etc.
Je pense qu'on peut se faire ce jeu de pensée: «est-ce qu'on se mettrait avec un clone de nous même ?». Je veux dire un clone parfait avec les mêmes souvenirs, la même vie etc.
Et je pense que non, car on verrait les mêmes défauts, au final on n'aurait pas l'impression que ça nous apporterait quelque chose, c'est aussi la différence qui est intéressante.
Et est-ce qu'on se mettrait avec une personne tellement différente qu'on ne la comprendrait pas ? Non plus.
* Comprendre l'autre: Il ne faut pas que l'autre soit si différent qu'il ne puisse pas y avoir de compréhension
* Complicité: Il faut avoir suffisamment de points communs pour pouvoir développer une complicité. Des activités, des choses à partager
* Communiquer: En dehors d'être semblable ou pas, il faut être capable de savoir communiquer bien avec l'autre, sans communication pas de couple.
* Complémentarité: L'autre doit être assez différent pour apporter ce que l'on n'a pas. Par exemple une personne peu sociable va se mettre avec une personne très sociable etc.
Je pense qu'on peut se faire ce jeu de pensée: «est-ce qu'on se mettrait avec un clone de nous même ?». Je veux dire un clone parfait avec les mêmes souvenirs, la même vie etc.
Et je pense que non, car on verrait les mêmes défauts, au final on n'aurait pas l'impression que ça nous apporterait quelque chose, c'est aussi la différence qui est intéressante.
Et est-ce qu'on se mettrait avec une personne tellement différente qu'on ne la comprendrait pas ? Non plus.
greenphenix- Messages : 193
Date d'inscription : 10/07/2017
Age : 39
Localisation : Près de Chartres
Re: Une histoire de choix...
david50 a écrit:Je ne vais pas entrer dans les détails, mais je crois que si cela à matcher c'est que je n'avais pas de manque à combler, ce n'était pas une "relation thérapie" (le terme est pourrie, si vous comprenez l'idée vous avez sûrement mieux à me proposer.), et je pense qu'il en allait de même pour elle.
Je pense qu'il y a du vrai dans ce que tu dis même si pas seulement. Mon ex je l'ai rencontrée, je n'attendait plus rien, je faisais effectivement ma vie et je ne pensais plus qu'une femme pourrait encore m'aimer, à vrai dire je l'avais contacté pour lui faire remarquer des incohérences sur son profil meetic, la technique de drague absolue.
Mais ça ne veut pas dire que je suis parfait à moi tout seul, et elle non plus d'ailleurs.
Je pense qu'il y a des relations mouchoirs, pour guérir d'une autre relation mais des relations thérapies, je ne sais pas, je pense que c'est plus complexe, cela dit c'est sûr que quoi qu'il arrive il faut avoir fait un travail sur soi, et être capable de se remettre en question quand dans le couple ça va mal.
J'ai put observer que certaines personnes n'étaient pas capable de ça...
Dernière édition par greenphenix le Lun 26 Avr 2021, 11:25, édité 1 fois
greenphenix- Messages : 193
Date d'inscription : 10/07/2017
Age : 39
Localisation : Près de Chartres
Re: Une histoire de choix...
greenphenix a écrit:
Mais ça ne veut pas dire que je suis parfait à moi tout seul, et elle non plus d'ailleurs.
Il ne s'agît bien entendu pas d'atteindre la perfection, mais un certain degré d’accomplissement personnel car ce qui me semble condamner d'avance une relation c'est de se jeter au cou de quelqu'un comme s'il s'agissait d'une bouée de sauvetage.
En même temps je suis gêné par les implications de ce raisonnement, une relation amoureuse saine serait donc une sorte de prime au bonheur, une idée qui peut sembler terrible à quelqu'un en souffrance.
david50- Messages : 5185
Date d'inscription : 16/09/2013
Re: Une histoire de choix...
greenphenix a écrit:
(...)
Mais ça ne veut pas dire que je suis parfait à moi tout seul, et elle non plus d'ailleurs.
Je pense qu'il y a des relations mouchoirs, pour guérir d'une autre relation mais des relations thérapies, je ne sais pas, je pense que c'est plus complexe, cela dit c'est sûr que quoi qu'il arrive il faut avoir fait un travail sur soi, et être capable de se remettre en question quand dans le couple ça va mal.
J'ai put observer que certaines personnes n'étaient pas capable de ça...
Tout a fait d'accord!
On aime l'autre pour ses qualités et malgré ses défauts, pas la peine de rechercher le/la prince/sse charmant(e), il n'existe pas.
Sélène-Nyx- Messages : 3842
Date d'inscription : 29/04/2012
Re: Une histoire de choix...
Ennaétéride a écrit:
(...).
J’ai connu des femmes qui me désiraient tellement, que rien ne pouvait contenter leur désir purement sexuel, et elles disaient vouloir me tuer, me manger, ou que sais-je du genre.
Peut-être est-ce de ce genre de désir dont tu parles ?
Mais c’est flippant, si c’est ça, l’amour !
Aaah, nous sommes dans "l'empire des sens"! Non, c'est pas souhaitable
Bon, le temps que je recherche, car je ne me souviens plus des noms, évidemment ...
"Empire des sens": a écrit: Le film est inspiré d'un fait divers authentique. Dans le Japon militariste de 1936, un couple défraya la chronique en vivant une passion charnelle extrême. Sada Abe, ancienne geisha devenue prostituée puis servante, et son amant Kichizo s'entraînèrent mutuellement dans une spirale érotique qui les coupa progressivement du monde extérieur. Cette histoire se termina par l'arrestation de Sada Abe, retrouvée errant depuis plusieurs jours dans les rues avec le sexe de Kichizo qu'elle avait auparavant mutilé.
Sans aller jusque là, lol!, j'avoue que j'adorais "avoir" le sexe de mon amoureux en moi, l'impression de "posséder" une partie de lui
Sélène-Nyx- Messages : 3842
Date d'inscription : 29/04/2012
Re: Une histoire de choix...
greenphenix a écrit:Pour moi la question de ce qu'est l'amour, est - je pense - résolue depuis longtemps...
Je me suis déjà exprimé dessus, et tout ce que j'ai put observer s'accorde complètement avec cette vision.
Il y a deux choses:
1) le désir, l'attirance, tomber amoureux, c'est ce qui arrive au début d'une relation, parfois ça n'arrive pas, parfois ça arrive un peu plus tard, ça peut être sexuel mais pas que.
La fille dont mon coup de foudre a été le plus fort c'était surtout parce qu'on se comprenait sur tout.
Cette étape ne dure souvent qu'un temps, et parfois elle n'a même pas lieu.
2) L'attachement. L'attachement n'a rien à voir avec le désir. On s'attache à une personne avec qui on va passer du temps, qui va prendre soin de nous ou dont on va prendre soin.
Je me suis déjà retrouvé dans un couple où il n'y avait que ça, on s'attachait, et il n'y avait pas de tension amoureuse forte, mais il n'y avait pas rien pour autant. Du coup c'était beaucoup plus tranquille comme couple.
Je pense que beaucoup de personnes ne font des couples que d'attachement, car ils ne sont pas capables d'aimer, et d'autres ne sont capable que de faire que la partie désir et du coup ne comprennent plus quand celui ci part, ne sont pas capable de bien faire la transformation désir vers attachement dans la douceur.
C'est l'attachement qui fait que les «ruptures» sont si douloureuses. C'est un deuil au sens propre du terme.
Bref aucun rapport avec la sexualité.
Le couple idéal serait le couple qui se crée sur une belle base de désir et qui se crée un lien d'attachement sécurisé dans le temps, où il n'y a pas d'attente d'être toujours dans cette tension de désir, et où il est quand même présent.
Où les deux savent aimer, donner, ne sont pas dans la peur. J'ai l'impression qu'à notre époque beaucoup de gens cherchent à éviter de s'attacher pour ne pas souffrir, mais du coup ne vivent pas - je pense - leurs couples pleinement.
Je pense que se mettre dans un couple sans être prêt à souffrir, c'est comme vouloir apprendre à nager sans vouloir se mouiller, ça n'a pas d'intérêt. Et surtout c'est la meilleur façon de ne pas y arriver au final.
ça, c'est très clair pour moi, merci.
Factuel, pas de jugement de valeur, ça me parle.
Clairement, je n'ai jamais vécu le coup de foudre, j'ai toujours mis du temps à aimer, être amoureuse (pour moi, ça c'est pareil dans mon vocabulaire), je m'attache plus rapidement par contre (et me sens facilement resposable de l'autre même si ma raison sait que c'est n'importe quoi).
Et maintenant, je vais lire les définitions du ctrl, d'amour et amoureux.
Je repasserai plus tard.
Juste ça, avant, qui me contrarie :
Adventice : 'Chuna, je ne suis pas un compétiteur ici, tu trouvera mille et un sujet à débattre, je regrette que jusqu'à présent tu ne guette que cela avec moi."
ça m'ennuie que tu dises ça, car tu présumes de ce que je pense sans me l'avoir demandé. Que tu aies l'impression que je cherche une compétition avec toi, oké, je peux entendre ton ressenti, et je te dirai que tu es dans le faux, que je cherche seulement à comprendre un peu précisément car je me perds. Que tu crois que j'attends, pire, je guette ce que tu dis pour te sauter sur le rable (comme ça que je comprends ton message), je trouve ça perturbant, comme si j'attendais de te prendre en faute ?
J'ai ptèt mal compris ton message, c'est fort possible. Si tu veux bien l'expliciter.
Chuna- Messages : 22222
Date d'inscription : 31/12/2014
Age : 43
Localisation : Landes
Re: Une histoire de choix...
https://www.zebrascrossing.net/t41671-une-histoire-de-choix#18104843615chuna a écrit:Donc si je résume à la louche, Dichter met derrière le mot "raison" tous les processus conscients de la part de la personne.
Moi je vois les choses un peu différemment, notamment grâce à ce que j'ai appris des avancées des neurosciences cognitives de la dernière décennie.
Quand je cherche à comprendre ce qui pourrait éventuellement rapprocher des personnes, je songe aux processus conscients (trouver une personne intéressante, belle, pratique...) mais je pense aussi aux traits de personnalités qui nous font (dont on n'a pas forcément conscience), à notre mode de fonctionnement psychologique (sur lequel on a assez peu d'emprise), à nos valeurs et nos croyances par forcément conscientisées, pourquoi pas au fait que l'on ait l'habitude telle ou telle personnalité car fréquentées dans notre enfance par ex (ça non plus, on percute pas, on va vers ce qu'on connait par ex, mais sans en être conscient, et certaines en déduiront que "les hommes sont tous les mêmes" - non non, ma belle, c'est toi qui vas vers les mêmes hommes).
A nouveau résumé grossier, mais je ne crois pas qu'il y ait de raisonnement irrationnel dans le sens où il y a toujours une raison (en réalité, de multiples) qui mène ensuite une idée à la conscience.
Le cerveau accumule des données, les trie, et ensuite une idée émerge à la conscience. Des fois immédiatement, des fois ça prend du temps.
Alors en effet, pour l'humain, c'est compliqué voire impossible de comprendre et décortiquer le raisonnement en entier, puisqu'il n'a pas accès à toutes les informations que le cerveau a traité (que ce soit celui qui pense et pire celui qui observe).
Pour autant, il y a bien une logique, un raisonnement qui a mené à personne à penser ce qu'elle pense (même si le résultat semble irrationnel, comme la croyance dans une religion).
C'est tout ça qui m'intéresse, même si je suis consciente que l'on ne peut qu'apercevoir un minuscule petit bout de ce que moi j'appelle "raisonnement".
Tu t'intéresses à ce qui nous influence sans qu'on s'en rende forcément compte ?
Je pense sensiblement la même chose : une petite cause dans l'histoire de quelqu'un peut influencer de grandes décisions de façon insoupçonnée, puisque, comme tu le dis, il est impossible de remonter les causes de ce résultat qui est arrivé jusqu'à la conscience. Une personne peut se figurer qu'elle a toutes les clefs, tous les éléments qui entrent en jeu dans son raisonnement conscient, mais ce serait sous-estimer comment notre compréhension et notre identité se construisent petit à petit, au fil du temps.Le cerveau accumule des données, les trie, et ensuite une idée émerge à la conscience. Des fois immédiatement, des fois ça prend du temps.
Alors en effet, pour l'humain, c'est compliqué voire impossible de comprendre et décortiquer le raisonnement en entier, puisqu'il n'a pas accès à toutes les informations que le cerveau a traité (que ce soit celui qui pense et pire celui qui observe).
https://fr.wikipedia.org/wiki/Constructivisme_(psychologie)
- wiki:
- Le constructivisme part de l'idée que les connaissances de chaque sujet ne sont pas spécialement une « copie » de la réalité, mais un modèle plus ou moins fidèle de celle-ci construit par lui au cours du temps. Le constructivisme s'attache à étudier les mécanismes et processus permettant la construction de ce modèle chez les sujets à partir d'éléments déjà intégrés. On est donc à l'opposé d'une simple approche boîte noire.
La compréhension, constamment renouvelée, s’élabore à partir des représentations plus anciennes d’événements passés, que le sujet a d’ores et déjà « emmagasinées » dans son vécu. En fait, le sujet restructure (« reconceptualise »), en interne, les informations reçues en regard de ses propres concepts : c’est le phénomène de restructuration conceptuelle à travers ses expériences.
Il faudrait faire un lien avec le sujet pour savoir quels types d'événements (ou de compréhensions du monde) jouent potentiellement un grand rôle dans le choix d'un compagnon. Bon, c'est sûrement impossible, mais j'essaie de retomber dans le sujet.
Au niveau individuel, c'est en partie possible : Spinoza a dit des choses là-dessus (au sujet des causes qui nous déterminent, pas de comment on choisit son compagnon ^^). Je retrouverai.
infp- Messages : 173
Date d'inscription : 23/01/2021
Re: Une histoire de choix...
Tu t'intéresses à ce qui nous influence sans qu'on s'en rende forcément compte ?
Je m’intéresse à tout ce qui pourrait mener à des choix, qu’on en soit conscient ou pas.
Intéressant le constructivisme. Je vais creuser.
Plein de choses intéressantes que je dois réfléchir ont été dite.
Je tique juste sur un truc.
On entend souvent qu’il faut s’aimer soi pour pouvoir ensuite aimer les autre. Avec l’idée sous-jascente qu’on ne peut que rater une relation si on n’est pas équilibré.
Je ne vais pas dire que c’est faux, cependant, Cyrulnik explique qu’il a plus d’une fois observé des améliorations chez de jeunes personnes en attachement insecure (théorie de l’attachement) après une première relation amoureuse.
Je ne suis pas certaine qu’on puisse parler de relation thérapeutique pour autant.
Je m’intéresse à tout ce qui pourrait mener à des choix, qu’on en soit conscient ou pas.
Intéressant le constructivisme. Je vais creuser.
Plein de choses intéressantes que je dois réfléchir ont été dite.
Je tique juste sur un truc.
On entend souvent qu’il faut s’aimer soi pour pouvoir ensuite aimer les autre. Avec l’idée sous-jascente qu’on ne peut que rater une relation si on n’est pas équilibré.
Je ne vais pas dire que c’est faux, cependant, Cyrulnik explique qu’il a plus d’une fois observé des améliorations chez de jeunes personnes en attachement insecure (théorie de l’attachement) après une première relation amoureuse.
Je ne suis pas certaine qu’on puisse parler de relation thérapeutique pour autant.
Chuna- Messages : 22222
Date d'inscription : 31/12/2014
Age : 43
Localisation : Landes
Re: Une histoire de choix...
Il faut faire attention car dans le monde du développement personnel, il y a beaucoup de charlatans.3615chuna a écrit:On entend souvent qu’il faut s’aimer soi pour pouvoir ensuite aimer les autre. Avec l’idée sous-jacente qu’on ne peut que rater une relation si on n’est pas équilibré.
Je ne vais pas dire que c’est faux, cependant, Cyrulnik explique qu’il a plus d’une fois observé des améliorations chez de jeunes personnes en attachement insecure (théorie de l’attachement) après une première relation amoureuse.
Je ne suis pas certaine qu’on puisse parler de relation thérapeutique pour autant.
En vrai il n'y a pas de règles, chaque couple va être différent, et la personne qui va te dire que «si t'es pas comme ci, ça marchera pas», ne l'écoute pas.
Une relation c'est quelque chose d'ultra complexe car le résultat d'un énorme paquet de facteurs, et chaque relation est totalement unique.
Ce qu'il faut retenir, c'est qu'en attendant de trouver la personne qui va mettre du soleil et des couleurs dans ta vie («tu» générique), ça ne mange pas de pain de s'occuper de sa vie, de soi, de tenir seul(e).
D'abord pour soi, car s'arrêter de vivre quand on est seul c'est dommage, mais aussi pour se donner les meilleurs chances de réussites pour le jour où la vie t'offrira la chance d'aimer et d'être aimé(e).
J'aimais bien ce que disait Isadora quand elle comparait au tango, c'est plus simple de danser correctement à deux si les deux tiennent tout seul, cela étant il y en a qui dansent en étant complètement appuyés l'un sur l'autre et qui dansent très bien ^^ !
Et si une relation est thérapeutique, tant mieux, si en plus de nous apporter du soleil, elle nous soigne, pourquoi cracher dessus ? Il vaut mieux ça que l'inverse ^^ !
Bref, attention à se protéger des idées venues tout droits de développement personnels douteux - à mon avis.
greenphenix- Messages : 193
Date d'inscription : 10/07/2017
Age : 39
Localisation : Près de Chartres
Re: Une histoire de choix...
Amour passion et amour attachement ne sont pas nécessairement des phases successives.
Certes, la passion a tendance à s'émousser avec le temps mais elle peut renaître même très tardivement dans la relation. Si on a cette chance, elle est d'autant plus rigolote qu'on la regarde avec étonnement et qu'elle est complémentaire d'une vie d'histoire commune.
Je crois qu'il est possible dans certaines limites de gérer sa production d'ocytocine. Par des exercices certes contraignants mais simples à mettre en oeuvre, le plus évident étant le sexe.
Important aussi : ne pas juger ridicule de retomber amoureux à un âge tardif du partenaire d'une vie.
Certes, la passion a tendance à s'émousser avec le temps mais elle peut renaître même très tardivement dans la relation. Si on a cette chance, elle est d'autant plus rigolote qu'on la regarde avec étonnement et qu'elle est complémentaire d'une vie d'histoire commune.
Je crois qu'il est possible dans certaines limites de gérer sa production d'ocytocine. Par des exercices certes contraignants mais simples à mettre en oeuvre, le plus évident étant le sexe.
Important aussi : ne pas juger ridicule de retomber amoureux à un âge tardif du partenaire d'une vie.
Confiteor- Messages : 9159
Date d'inscription : 01/04/2017
Age : 65
Localisation : Drôme
Re: Une histoire de choix...
ne pas juger ridicule de retomber amoureux à un âge tardif du partenaire d'une vie.
Encore heureux !
Et même, ne pas juger ridicule ou inacceptable de tomber amoureux tardivement et de vouloir se marier (j'ai qq exemples en tête de jeunes couples de petits vieux >70 balais qui ont choqué leur entourage - pov' vieux...)
@greenphenix : ce qui m'ennuie, en fait, c'est que j'ai l'impression que ces idées de développement personnel foireux sont passées dans les croyances populaires. ça se voit sur les forums, facebook... Une personne qui parle de ses histoires de coeur et des galères associées, nombreux sont qui vont lui répondre le célèbre "il faut que tu t'aimes avant".
Il faut que tu. tout ce que j'adore C'est sûr qu'une injonction va permettre à la personne de changer ses mécanismes de pensée, hein.
Encore heureux !
Et même, ne pas juger ridicule ou inacceptable de tomber amoureux tardivement et de vouloir se marier (j'ai qq exemples en tête de jeunes couples de petits vieux >70 balais qui ont choqué leur entourage - pov' vieux...)
@greenphenix : ce qui m'ennuie, en fait, c'est que j'ai l'impression que ces idées de développement personnel foireux sont passées dans les croyances populaires. ça se voit sur les forums, facebook... Une personne qui parle de ses histoires de coeur et des galères associées, nombreux sont qui vont lui répondre le célèbre "il faut que tu t'aimes avant".
Il faut que tu. tout ce que j'adore C'est sûr qu'une injonction va permettre à la personne de changer ses mécanismes de pensée, hein.
Chuna- Messages : 22222
Date d'inscription : 31/12/2014
Age : 43
Localisation : Landes
Re: Une histoire de choix...
"Encore heureux !" Oui, oui, mais faut assumer de roucouler à un âge avancé !
Confiteor- Messages : 9159
Date d'inscription : 01/04/2017
Age : 65
Localisation : Drôme
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