Salutations !
2 participants
Page 1 sur 1
Salutations !
Bonjour à tous,
Pavé en approche vous m'excuserez tous, ça fait beaucoup pour des présentations, mais je tente !
Ceci est ma première fois sur ce forum, je dois dire que j'ai sauté le pas par recherche de sens en quelque sorte.
Je n'ai pas de diagnostic (et n'ai jamais voulu en faire) de "zèbre", "HPI/HPE", "hypersensible" bien que je me sois extrêmement reconnu dans vos témoignages. C'est une surprise pour moi de me reconnaître parmi vous mais beaucoup de détails m'ont amener à considérer que j'étais peut-être "cela" (je n'arrive pas à le nommer par grande gêne, voir peur).
J'ai 23 ans, depuis petit toujours su quelque chose cloché, j'étais très sensible, doux, mes animaux me protégeaient, beaucoup de pleur et du temps à parler, apprendre, anxiété pour un rien... J'avais un problème faut croire, j'allais chez l'orthophoniste, je savais pas pourquoi, je finissais vite l'exercice confié pour partir. Ça fait bizarre quand t'es gosse.
Je me souviens surtout à 6 ans d'avoir "senti" comme un moment de clairvoyance : mon libre arbitre, ma conscience apparaître? J'étais en classe, j'observais, puis me disait "tiens, drôle de sensation que de ne plus être sur format automatique".
Côté scolaire clairement c'était soporifique, quand mon intérêt n'étais pas suscité je m'en foutais et était en échec scolaire, au dernier moment je rattrapais tout pour pas décevoir et passer à l'année suivante. Je préférais être dans mes autres activités quitte à tricher pour pas aller à l'école. Quand j'étais intéressé là je pétais les scores par simple curiosité. Je me souviens du 40/40 que j'ai obtenu à un examen car ça m'avait fort intéressé. En revanche j'étais toujours à 5/20, surtout quand je trouvais la pédagogie à revoir. On apprend pas juste pour apprendre. L'art de susciter l'intérêt chez l'autre permet de trouver en chacun sa spécificité, la développer et prendre confiance en lui.
J'ai toujours été passionné par la littérature, cinéma, l'art, les émotions, la philosophie, justice, politique et psychologie bref énormément de chose me passionnent qui fait que j'ai toujours énormément lu depuis tout petit. Quand mes parents faisaient les courses je lisais, si je lisais rapidement un livre en 2h, je pouvais en acheter un autre.
Dernièrement la cosmologie m'intéresse car je trouve que nous sommes une "projection" de l'univers (que l'on retrouve d'ailleurs avec la philosophie stoïcienne). Ça aide à être en phase avec son environnement, complexe, mais magnifique.
Bref, comme vous l'avez constaté je m'égare très rapidement à intellectualiser, toujours, tout le temps, fatigant pour soi et ses proches. On me l'a fait comprendre. Alors on se tait, on enfuit tout ça en nous, sent différent, manque de confiance en soi. Parfois je me sentais très très bête et en décalage. On enfouit ses émotions donc, ça fonctionne un temps, mais un moment ça nous isole, rumine, coupe du lien social, auto-suffisance. Or malgré notre différence le lien social est extrêmement important. Ça m'a sauvé à plusieurs reprises que de me dire que je pouvais quand même me connecter aux autres. Je le sais, je l'étudie et ai aidé des personnes "ostracisés" par la société à tenter de s'en sortir. Aider l'autre ça vous rend heureux, je vous en donne la certitude.
On se pose constamment des questions, ça mouline, surchauffe. Je savais pas à l'époque, juste ressenti. On se demande ce qu'on va faire de sa vie parce qu'on a beaucoup de passion à vouloir exploiter. Une sorte de multi-potentiel dans plusieurs discipline et on sait pas comment les combiner en un seul métier. Le jour où j'ai compris c'est quand un professeur m'avait dit (malgré résultat bof) que j'irai très loin dans la vie. On me l'a souvent répété, à force, je savais pas pourquoi, je me disais que c'était une formule de politesse surement.
J'étais toujours dans ma bulle, je regardais dehors le vent faisant bouger les branches des arbres, en imaginant les sons, sensations... Toujours. Mes moments préférés c'est dans le train, en voiture à regarder le paysage pendant des heures, avec une bonne musique, très apaisante et s'évader de cette réalité parfois fade. Ça s'est répété, des professeurs étaient curieux de mon fonctionnement quand ils l'observaient. Je me disais un peu "ils ont compris ?". J'ai toujours été un peu parano. D'autres par mon décalage me faisaient aucun cadeau, me rabaissaient, certains disaient même que j'étais fragile par ma sensibilité. Sauf que c'est une grande force. Grâce à ça on voit beaucoup de chose, notamment de très belles choses dans leurs perceptions. Je me cachais pour pas qu'on découvre ça et souffrir d'harcèlement ou être le chouchou etc. car j'étais dans des lieux difficiles ou on pouvait vraiment être violent pour un rien.
J'appelle ça "mon super pouvoir", un peu comme charles xavier qui a peur d'entendre toutes ces voix, mais le maitrise pour faire le bien. Fardeau de base qui peut se transformer en don. Je fais souvent ça, trouve des exemples pour me dire que ça a du sens. J'ai appris à maîtriser ça en lisant beaucoup, comment activer son "flow" notamment. En bref, je canalise toutes cette énergie en un point fixe de concentration pour transcender ma tâche (ça peut être une partie de jeux vidéo, un baby-foot, un dossier). Mais j'ai découvert que ça demande trop d'énergie et que ça devenait obsédant de se dire qu'on avait ça en nous, avec ça du coup on pense qu'on peut tout faire, on pense tout le temps, arrive pas à se "poser". Une fois une HP qui travaillait dans mon service et était plus vieille que moi (je l'ai tout de suite beaucoup aimé, senti connecté instantanément) m'avait dit que l'ambition tuait. C'est pas bon et saint pour nous et peut nous vider, et si on travaille à un endroit où le patron voit ça comme une pépite d'or pour lui il va user encore et encore. Et vous savez ce qui arrive, pas besoin de le nommer, on peut tous y être sujet.
J'ai fait de la recherche scientifique à un haut niveau au départ, très jeune, puis en enchainant les projets je me disais qu'un jour j'allais explosé : une explosion qui n'explose jamais, elle est invisible, en vous. J'adorais travailler le soir car à ce moment les gens dorment, pas de message et donc beaucoup plus de stimulation, concentration. Quand je travaillais avec des amies, certains me demandaient comment c'était possible (quand j'étais à fond, sans pouvoir m'arrêter), moi je me disais bah c'est normal ! Et un ami proche me dit non c'est pas "normal" du tout, c'est trop.
J'ai appris grâce à cette expérience que j'avais une grande capacité d'hyperanalyse, neurone miroirs, énorme empathie, mémoire visuelle et photographique. Je vois même des couleurs là où il n'y en a pas (difficile à expliquer). Mon intuition est aussi pas mal développée. On dit que c'est le signe d'émotions fougueuses. J'ai toujours été nul en math, mais pour moi les mots sont comme des maths, des phrases pouvant être des formules à disséquer pour faire le bon paragraphe. Une pensée en arborescence aussi énorme quand je la sollicite pour un but bien précis. A la fin de la journée t'es séché, et tu sens que ton cerveau surchauffe et bouillonne. L'alcool est pas une solution pour amoindrir l'effet je vous le dis !
Quand j'étais plus jeune dans les devoirs ou autre j'étais très désorganisé, aucune structure pour un devoir, je me sentais nul à chier, notamment avec mon passé. J'écrivais trop vite, le corps il suit pas et le cerveau est beaucoup trop rapide. Je me rappel des crampes à la main. Ces idées arrivant à tour de bras c'est dur à maitriser ce flot d'information. Du coup on veut contrôler et quand on y arrive on se dit qu'en effet on peut aller très loin. C'est un peu la découverte de ce potentiel dévorant. Ça demande beaucoup, on sent qu'on peut en devenir fou à force. On se dit que certes ça peut nous faire aller loin, mais pas sans dégât, vous voyez ?
Grâce à ça j'ai appris que la vie résidait en de petites choses banales. D'en faire moins. Qu'il faut pas repousser ses limites. Je l'ai découvert chez les autres car j'ai toujours envié les gens qui se prennent pas la tête. Des amies me demandaient très souvent si j'étais heureux, que je me prenais tout le temps la tête pour de petits détails, trop perfectionniste. J'ai donc essayé à prendre goût à cela. Balader mon chien, faire du feu, me balader, faire du sport sans être trop intensif, lire sans dévorer le bouquin, faire à manger à ceux qu'on aime. Les gens disaient parfois qu'ils avaient peur de ce trait que je pouvais avoir, ça donne l'impression qu'on va finir seul, mais c'est faux. Parce que j'ai énormément le désir d'être bon avec l'autre, je suis très généreux. Parfois quand la vie vous fait des crasses vous voulez juste reproduire la méchanceté, mais j'ai toujours cette petite voix qui me dit de tenir bon et que l'humain est foncièrement bon. Des gens qui cachent ça, je suis sûr y'en a beaucoup, de tout type, suffit juste de briser cette petite glace pour rentrer en interaction avec eux. Quand on aime quelqu'un, c'est comme si deux étoiles étaient rentrées en interaction pour briller davantage. "Un hasard", non, la vie. Je me dis que ce potentiel je l'utiliserai quand il faudra, et à certains moment, je refuse qu'il me bouffe la vie à moi et à mes proches. C'est une lutte de tous les instants, mais qui en vaut la peine.
Vous vous reconnaissez ? J'adorerai pouvoir en parler avec vous
Pavé en approche vous m'excuserez tous, ça fait beaucoup pour des présentations, mais je tente !
Ceci est ma première fois sur ce forum, je dois dire que j'ai sauté le pas par recherche de sens en quelque sorte.
Je n'ai pas de diagnostic (et n'ai jamais voulu en faire) de "zèbre", "HPI/HPE", "hypersensible" bien que je me sois extrêmement reconnu dans vos témoignages. C'est une surprise pour moi de me reconnaître parmi vous mais beaucoup de détails m'ont amener à considérer que j'étais peut-être "cela" (je n'arrive pas à le nommer par grande gêne, voir peur).
J'ai 23 ans, depuis petit toujours su quelque chose cloché, j'étais très sensible, doux, mes animaux me protégeaient, beaucoup de pleur et du temps à parler, apprendre, anxiété pour un rien... J'avais un problème faut croire, j'allais chez l'orthophoniste, je savais pas pourquoi, je finissais vite l'exercice confié pour partir. Ça fait bizarre quand t'es gosse.
Je me souviens surtout à 6 ans d'avoir "senti" comme un moment de clairvoyance : mon libre arbitre, ma conscience apparaître? J'étais en classe, j'observais, puis me disait "tiens, drôle de sensation que de ne plus être sur format automatique".
Côté scolaire clairement c'était soporifique, quand mon intérêt n'étais pas suscité je m'en foutais et était en échec scolaire, au dernier moment je rattrapais tout pour pas décevoir et passer à l'année suivante. Je préférais être dans mes autres activités quitte à tricher pour pas aller à l'école. Quand j'étais intéressé là je pétais les scores par simple curiosité. Je me souviens du 40/40 que j'ai obtenu à un examen car ça m'avait fort intéressé. En revanche j'étais toujours à 5/20, surtout quand je trouvais la pédagogie à revoir. On apprend pas juste pour apprendre. L'art de susciter l'intérêt chez l'autre permet de trouver en chacun sa spécificité, la développer et prendre confiance en lui.
J'ai toujours été passionné par la littérature, cinéma, l'art, les émotions, la philosophie, justice, politique et psychologie bref énormément de chose me passionnent qui fait que j'ai toujours énormément lu depuis tout petit. Quand mes parents faisaient les courses je lisais, si je lisais rapidement un livre en 2h, je pouvais en acheter un autre.
Dernièrement la cosmologie m'intéresse car je trouve que nous sommes une "projection" de l'univers (que l'on retrouve d'ailleurs avec la philosophie stoïcienne). Ça aide à être en phase avec son environnement, complexe, mais magnifique.
Bref, comme vous l'avez constaté je m'égare très rapidement à intellectualiser, toujours, tout le temps, fatigant pour soi et ses proches. On me l'a fait comprendre. Alors on se tait, on enfuit tout ça en nous, sent différent, manque de confiance en soi. Parfois je me sentais très très bête et en décalage. On enfouit ses émotions donc, ça fonctionne un temps, mais un moment ça nous isole, rumine, coupe du lien social, auto-suffisance. Or malgré notre différence le lien social est extrêmement important. Ça m'a sauvé à plusieurs reprises que de me dire que je pouvais quand même me connecter aux autres. Je le sais, je l'étudie et ai aidé des personnes "ostracisés" par la société à tenter de s'en sortir. Aider l'autre ça vous rend heureux, je vous en donne la certitude.
On se pose constamment des questions, ça mouline, surchauffe. Je savais pas à l'époque, juste ressenti. On se demande ce qu'on va faire de sa vie parce qu'on a beaucoup de passion à vouloir exploiter. Une sorte de multi-potentiel dans plusieurs discipline et on sait pas comment les combiner en un seul métier. Le jour où j'ai compris c'est quand un professeur m'avait dit (malgré résultat bof) que j'irai très loin dans la vie. On me l'a souvent répété, à force, je savais pas pourquoi, je me disais que c'était une formule de politesse surement.
J'étais toujours dans ma bulle, je regardais dehors le vent faisant bouger les branches des arbres, en imaginant les sons, sensations... Toujours. Mes moments préférés c'est dans le train, en voiture à regarder le paysage pendant des heures, avec une bonne musique, très apaisante et s'évader de cette réalité parfois fade. Ça s'est répété, des professeurs étaient curieux de mon fonctionnement quand ils l'observaient. Je me disais un peu "ils ont compris ?". J'ai toujours été un peu parano. D'autres par mon décalage me faisaient aucun cadeau, me rabaissaient, certains disaient même que j'étais fragile par ma sensibilité. Sauf que c'est une grande force. Grâce à ça on voit beaucoup de chose, notamment de très belles choses dans leurs perceptions. Je me cachais pour pas qu'on découvre ça et souffrir d'harcèlement ou être le chouchou etc. car j'étais dans des lieux difficiles ou on pouvait vraiment être violent pour un rien.
J'appelle ça "mon super pouvoir", un peu comme charles xavier qui a peur d'entendre toutes ces voix, mais le maitrise pour faire le bien. Fardeau de base qui peut se transformer en don. Je fais souvent ça, trouve des exemples pour me dire que ça a du sens. J'ai appris à maîtriser ça en lisant beaucoup, comment activer son "flow" notamment. En bref, je canalise toutes cette énergie en un point fixe de concentration pour transcender ma tâche (ça peut être une partie de jeux vidéo, un baby-foot, un dossier). Mais j'ai découvert que ça demande trop d'énergie et que ça devenait obsédant de se dire qu'on avait ça en nous, avec ça du coup on pense qu'on peut tout faire, on pense tout le temps, arrive pas à se "poser". Une fois une HP qui travaillait dans mon service et était plus vieille que moi (je l'ai tout de suite beaucoup aimé, senti connecté instantanément) m'avait dit que l'ambition tuait. C'est pas bon et saint pour nous et peut nous vider, et si on travaille à un endroit où le patron voit ça comme une pépite d'or pour lui il va user encore et encore. Et vous savez ce qui arrive, pas besoin de le nommer, on peut tous y être sujet.
J'ai fait de la recherche scientifique à un haut niveau au départ, très jeune, puis en enchainant les projets je me disais qu'un jour j'allais explosé : une explosion qui n'explose jamais, elle est invisible, en vous. J'adorais travailler le soir car à ce moment les gens dorment, pas de message et donc beaucoup plus de stimulation, concentration. Quand je travaillais avec des amies, certains me demandaient comment c'était possible (quand j'étais à fond, sans pouvoir m'arrêter), moi je me disais bah c'est normal ! Et un ami proche me dit non c'est pas "normal" du tout, c'est trop.
J'ai appris grâce à cette expérience que j'avais une grande capacité d'hyperanalyse, neurone miroirs, énorme empathie, mémoire visuelle et photographique. Je vois même des couleurs là où il n'y en a pas (difficile à expliquer). Mon intuition est aussi pas mal développée. On dit que c'est le signe d'émotions fougueuses. J'ai toujours été nul en math, mais pour moi les mots sont comme des maths, des phrases pouvant être des formules à disséquer pour faire le bon paragraphe. Une pensée en arborescence aussi énorme quand je la sollicite pour un but bien précis. A la fin de la journée t'es séché, et tu sens que ton cerveau surchauffe et bouillonne. L'alcool est pas une solution pour amoindrir l'effet je vous le dis !
Quand j'étais plus jeune dans les devoirs ou autre j'étais très désorganisé, aucune structure pour un devoir, je me sentais nul à chier, notamment avec mon passé. J'écrivais trop vite, le corps il suit pas et le cerveau est beaucoup trop rapide. Je me rappel des crampes à la main. Ces idées arrivant à tour de bras c'est dur à maitriser ce flot d'information. Du coup on veut contrôler et quand on y arrive on se dit qu'en effet on peut aller très loin. C'est un peu la découverte de ce potentiel dévorant. Ça demande beaucoup, on sent qu'on peut en devenir fou à force. On se dit que certes ça peut nous faire aller loin, mais pas sans dégât, vous voyez ?
Grâce à ça j'ai appris que la vie résidait en de petites choses banales. D'en faire moins. Qu'il faut pas repousser ses limites. Je l'ai découvert chez les autres car j'ai toujours envié les gens qui se prennent pas la tête. Des amies me demandaient très souvent si j'étais heureux, que je me prenais tout le temps la tête pour de petits détails, trop perfectionniste. J'ai donc essayé à prendre goût à cela. Balader mon chien, faire du feu, me balader, faire du sport sans être trop intensif, lire sans dévorer le bouquin, faire à manger à ceux qu'on aime. Les gens disaient parfois qu'ils avaient peur de ce trait que je pouvais avoir, ça donne l'impression qu'on va finir seul, mais c'est faux. Parce que j'ai énormément le désir d'être bon avec l'autre, je suis très généreux. Parfois quand la vie vous fait des crasses vous voulez juste reproduire la méchanceté, mais j'ai toujours cette petite voix qui me dit de tenir bon et que l'humain est foncièrement bon. Des gens qui cachent ça, je suis sûr y'en a beaucoup, de tout type, suffit juste de briser cette petite glace pour rentrer en interaction avec eux. Quand on aime quelqu'un, c'est comme si deux étoiles étaient rentrées en interaction pour briller davantage. "Un hasard", non, la vie. Je me dis que ce potentiel je l'utiliserai quand il faudra, et à certains moment, je refuse qu'il me bouffe la vie à moi et à mes proches. C'est une lutte de tous les instants, mais qui en vaut la peine.
Vous vous reconnaissez ? J'adorerai pouvoir en parler avec vous
CenterHuman- Messages : 5
Date d'inscription : 06/05/2021
Re: Salutations !
C'est beau et plein d'espoir et d'intensité à la fois, je dirais.
Je me reconnais en partie, mais en moins fort, je pense.
Bienvenue à toi.
Je me reconnais en partie, mais en moins fort, je pense.
Bienvenue à toi.
Névromon- Messages : 1636
Date d'inscription : 29/12/2020
Re: Salutations !
Névromon a écrit:C'est beau et plein d'espoir et d'intensité à la fois, je dirais.
Je me reconnais en partie, mais en moins fort, je pense.
Bienvenue à toi.
Merci pour ton message et ton accueil, j'apprécie
L'intensité en effet, la fougue de la jeunesse aha
CenterHuman- Messages : 5
Date d'inscription : 06/05/2021
Re: Salutations !
Hé oh la fougue et l’intensité ne sont pas les parangons de la jeunesse !
Invité- Invité
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum