Déso, j'avais besoin de vider mon sac mais je suis pas très doué pour faire des textes cours et simples
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Déso, j'avais besoin de vider mon sac mais je suis pas très doué pour faire des textes cours et simples
Hey !
Moi c'est Flo, j'ai 23 ans et j'ai été reconnus HPI, dyslexique, dysgraphique, et dyscalculique à l'âge de 11 ans.
J'avoue que je n'ai jamais vraiment été à l'aise avec ce concept, repoussant les tests pourtant plus que souvent sollicités par les déjà nombreux psy que j'avais rencontré.
Si j'ai passé les tests, c'est surtout parce que j'y étais "encouragé" par mon collège qui possédait une classe "enfant EIP" (Enfant Intellectuellement Précoce), et qui voulait absolument m'y voir, quitte à me menacer de redoublement. C'est ainsi que je passais les tests dans de mauvaises conditions, car j'étais à ce moment-là en pleine dépression du fait de ce sentiment de solitude qui m'emplissait tout les jours.
Ce sentiments qui ne me quittait jamais, et qui accompagnait d'une réflexion trop rapide, une perception du monde trop cru (me poussant souvent à voir le verre à moitié vide), des sens souvent trop aux aguets, le tout rajouté à un manque cruelle d'intérêt pour l'école (car je considéré y perdre mon temps, alors que j'apprenais par moi-même depuis tout petit) ne faisait que creuser encore plus l'écart entre les autres et moi...
Ainsi, après avoir passé des tests dont je ne comprenais que peu l'intérêt, j'obtint le résultat de 132 de QI, et bien qu'un des résultats était faussé par mon état mental de l'époque, je fût reconnu EIP...
Ou HPI..
Ou encore Zèbre.
Peu importe la dénomination, je n'étais pas satisfait. Au contraire, j'en étais ressorti encore plus mal dans ma peau, car moi qui avais passé ma vie à démontrer aux autres que je n'étais pas différent, je me retrouvé en fait être totalement différent des autres, et je ne pourrais jamais être comme eux...
Et bien que mon psy de l'époque me fût d'une grande aide pour surmonter ma dépression, il ne fût pas le meilleur pour m'aider à mieux accepter et comprendre ce que c'est qu'être un HPI. Et lorsqu'il me fit repasser les tests après que je sois sorti de ma dépression (car il était curieux de voir quel serait mes résultats si je n'étais pas biaisé par mon état mental), il décida que le résultat ne devait en aucun cas me venir aux oreilles, il me dit simplement que cela confirmait le premier diagnostique, mais il n'eu pas exactement le même discours avec ma mère. Il lui expliqua que là ou j'avais eu un résultat en dessous de la moyenne lors d'un des tests (environ 80), mon score avais pratiquement doublé une fois les tests repassés avec un esprit plus serein et calme. Bien évidemment cela impactait dés lors mon QI, mais il ne fallait surtout pas me le dire car selon lui, ça n'était pas dans mon intérêts. Encore aujourd'hui, ce chiffre reste flou, mais je comprends maintenant pourquoi il ne me l'a pas dit, si le résultat avait été plus élevé, cela n'aurait fait que creuser encore plus l'écart entre les gens "normaux" et moi, et comme il l'avait bien compris, c'était tout sauf ce dont j'avais besoin.
Je me retrouvais alors catapulté dans cette fameuse classe de "surdoués", plein d'enfants hyper actifs, ayant sautés des classes, des notes quasi excellentes, le parfait cliché des têtes d'ampoules de malcolm en somme. Evidemment, ce n'est que rarement le cas parmi les HPI, et on a plus tendance à avoir entre 9 et 13 de moyenne, que 17-19. Du coups alors que j'étais supposé me sentir mieux parmi des gens "comme moi", je me retrouver en fait encore plus seul que jamais, ne me faisant que peu d'amis, et souvent considéré comme un mec gentil, mais à part même dans cette classe.
Je vous passe les détails de toute cette scolarité qui ne démarrait pas sous les meilleurs hospices, et qui fût encore plus chaotique par la suite.
A l'âge de 15 ans, je déclenchais une maladie génétique auto-immune appelé la "Spondylarthrite Ankylosante", causant des douleurs articulaires insoutenables, et de nombreux arrêts dans ma scolarité.
La même génétique qui avait fait de mon frère, ma sœur et moi des HPI de par notre mère, nous prenait à nouveau pour cible elle et moi, nous accablant d'un fardeau lourds à porter.
Cette maladie devint alors ma nouvelle némésis, et j'oubliais pendant environ 7 ans mon statut de "Haut potentiel", me permettant d'enfin justifier cette différence entre les autres et moi par le fait que j'étais trop souvent hospitalisé, je manquais trop les cours, ect... Ainsi ma douleur était devenue ma première préoccupation, et cela me permit plus ou moins de faire la paix avec mon cerveau, le temps d'affronter cet ennemie commun. Elle était devenue l'origine de tout mes maux et me permettait de justifier tout mes problèmes de relation aux autres. Et après 6 ans de bataille avec ma santé, j'ais finalement réussi à trouvé un équilibre me permettant de vivre un semblant de vie normale, et de reprendre le dessus sur mon corps. Par chance, durant mon périple je ne fût pas seul, j'ai pu compter sur 3 personnes, à des moments différents, qui parce qu'ils étaient touchés par ma situation, m'aidèrent à me sociabiliser, ils me tirèrent vers le haut alors que j'allais vers le bas, et me permirent de commencer à m'accepter et à rattraper mes années perdus.
Et récemment je me suis fais rattraper par ce que j'avais enfouis, et j'ai décidé de faire face à ce coté que j'ai si longtemps réprimé, et l'embrasser.
Alors évidemment je vous ai épargné les détails les plus superflus (en grande partis car je n'ai que peu de souvenir de toutes ces périodes, car elles étaient pour la plus part vécus alors que j'étais en dépression), mais voici à peu près mon histoire. Je ne l'ai pas raconté pour me faire plaindre, ni pour me vanter, ou encore chercher une forme de reconnaissance par mes pairs. Non si je l'ai fais, c'est parce que aujourd'hui je suis sur la voie de l'amélioration, aujourd'hui du haut de mes 23 ans, je peu dire avec fierté que je suis bien dans ma peau, et ce bien que le travail n'est pas fini (et ne le seras jamais vraiment). Maintenant je veux aider les gens du mieux que je peux, c'est pourquoi à therme j'aimerais devenir moi-même psychologue, du fait de l'aide qu'ils m'ont apportés (surtout mon psy actuel qui m'a permis d'y voir plus clair dans tout ce bordel qu'est le fait d'accepter et de gérer ma condition de HPI), mais avant d'en être capable, je vais continuer d'aider les humains et les animaux à ma manière. Après avoir visité le forum depuis quelques jours, je sais que beaucoup d'entre vous l'ont découvert bien plus tard, et ont soufferts toutes leur vie de cette écart dont je parle, et je ne me sens pas forcément légitime d'exposer ça ici, mais je me dis aussi que si je suis ici c'est aussi pour découvrir qui vous êtes pour mieux me comprendre moi-même, donc autant vous montrer qui je suis au passage.
Moi c'est Flo, j'ai 23 ans et j'ai été reconnus HPI, dyslexique, dysgraphique, et dyscalculique à l'âge de 11 ans.
J'avoue que je n'ai jamais vraiment été à l'aise avec ce concept, repoussant les tests pourtant plus que souvent sollicités par les déjà nombreux psy que j'avais rencontré.
Si j'ai passé les tests, c'est surtout parce que j'y étais "encouragé" par mon collège qui possédait une classe "enfant EIP" (Enfant Intellectuellement Précoce), et qui voulait absolument m'y voir, quitte à me menacer de redoublement. C'est ainsi que je passais les tests dans de mauvaises conditions, car j'étais à ce moment-là en pleine dépression du fait de ce sentiment de solitude qui m'emplissait tout les jours.
Ce sentiments qui ne me quittait jamais, et qui accompagnait d'une réflexion trop rapide, une perception du monde trop cru (me poussant souvent à voir le verre à moitié vide), des sens souvent trop aux aguets, le tout rajouté à un manque cruelle d'intérêt pour l'école (car je considéré y perdre mon temps, alors que j'apprenais par moi-même depuis tout petit) ne faisait que creuser encore plus l'écart entre les autres et moi...
Ainsi, après avoir passé des tests dont je ne comprenais que peu l'intérêt, j'obtint le résultat de 132 de QI, et bien qu'un des résultats était faussé par mon état mental de l'époque, je fût reconnu EIP...
Ou HPI..
Ou encore Zèbre.
Peu importe la dénomination, je n'étais pas satisfait. Au contraire, j'en étais ressorti encore plus mal dans ma peau, car moi qui avais passé ma vie à démontrer aux autres que je n'étais pas différent, je me retrouvé en fait être totalement différent des autres, et je ne pourrais jamais être comme eux...
Et bien que mon psy de l'époque me fût d'une grande aide pour surmonter ma dépression, il ne fût pas le meilleur pour m'aider à mieux accepter et comprendre ce que c'est qu'être un HPI. Et lorsqu'il me fit repasser les tests après que je sois sorti de ma dépression (car il était curieux de voir quel serait mes résultats si je n'étais pas biaisé par mon état mental), il décida que le résultat ne devait en aucun cas me venir aux oreilles, il me dit simplement que cela confirmait le premier diagnostique, mais il n'eu pas exactement le même discours avec ma mère. Il lui expliqua que là ou j'avais eu un résultat en dessous de la moyenne lors d'un des tests (environ 80), mon score avais pratiquement doublé une fois les tests repassés avec un esprit plus serein et calme. Bien évidemment cela impactait dés lors mon QI, mais il ne fallait surtout pas me le dire car selon lui, ça n'était pas dans mon intérêts. Encore aujourd'hui, ce chiffre reste flou, mais je comprends maintenant pourquoi il ne me l'a pas dit, si le résultat avait été plus élevé, cela n'aurait fait que creuser encore plus l'écart entre les gens "normaux" et moi, et comme il l'avait bien compris, c'était tout sauf ce dont j'avais besoin.
Je me retrouvais alors catapulté dans cette fameuse classe de "surdoués", plein d'enfants hyper actifs, ayant sautés des classes, des notes quasi excellentes, le parfait cliché des têtes d'ampoules de malcolm en somme. Evidemment, ce n'est que rarement le cas parmi les HPI, et on a plus tendance à avoir entre 9 et 13 de moyenne, que 17-19. Du coups alors que j'étais supposé me sentir mieux parmi des gens "comme moi", je me retrouver en fait encore plus seul que jamais, ne me faisant que peu d'amis, et souvent considéré comme un mec gentil, mais à part même dans cette classe.
Je vous passe les détails de toute cette scolarité qui ne démarrait pas sous les meilleurs hospices, et qui fût encore plus chaotique par la suite.
A l'âge de 15 ans, je déclenchais une maladie génétique auto-immune appelé la "Spondylarthrite Ankylosante", causant des douleurs articulaires insoutenables, et de nombreux arrêts dans ma scolarité.
La même génétique qui avait fait de mon frère, ma sœur et moi des HPI de par notre mère, nous prenait à nouveau pour cible elle et moi, nous accablant d'un fardeau lourds à porter.
Cette maladie devint alors ma nouvelle némésis, et j'oubliais pendant environ 7 ans mon statut de "Haut potentiel", me permettant d'enfin justifier cette différence entre les autres et moi par le fait que j'étais trop souvent hospitalisé, je manquais trop les cours, ect... Ainsi ma douleur était devenue ma première préoccupation, et cela me permit plus ou moins de faire la paix avec mon cerveau, le temps d'affronter cet ennemie commun. Elle était devenue l'origine de tout mes maux et me permettait de justifier tout mes problèmes de relation aux autres. Et après 6 ans de bataille avec ma santé, j'ais finalement réussi à trouvé un équilibre me permettant de vivre un semblant de vie normale, et de reprendre le dessus sur mon corps. Par chance, durant mon périple je ne fût pas seul, j'ai pu compter sur 3 personnes, à des moments différents, qui parce qu'ils étaient touchés par ma situation, m'aidèrent à me sociabiliser, ils me tirèrent vers le haut alors que j'allais vers le bas, et me permirent de commencer à m'accepter et à rattraper mes années perdus.
Et récemment je me suis fais rattraper par ce que j'avais enfouis, et j'ai décidé de faire face à ce coté que j'ai si longtemps réprimé, et l'embrasser.
Alors évidemment je vous ai épargné les détails les plus superflus (en grande partis car je n'ai que peu de souvenir de toutes ces périodes, car elles étaient pour la plus part vécus alors que j'étais en dépression), mais voici à peu près mon histoire. Je ne l'ai pas raconté pour me faire plaindre, ni pour me vanter, ou encore chercher une forme de reconnaissance par mes pairs. Non si je l'ai fais, c'est parce que aujourd'hui je suis sur la voie de l'amélioration, aujourd'hui du haut de mes 23 ans, je peu dire avec fierté que je suis bien dans ma peau, et ce bien que le travail n'est pas fini (et ne le seras jamais vraiment). Maintenant je veux aider les gens du mieux que je peux, c'est pourquoi à therme j'aimerais devenir moi-même psychologue, du fait de l'aide qu'ils m'ont apportés (surtout mon psy actuel qui m'a permis d'y voir plus clair dans tout ce bordel qu'est le fait d'accepter et de gérer ma condition de HPI), mais avant d'en être capable, je vais continuer d'aider les humains et les animaux à ma manière. Après avoir visité le forum depuis quelques jours, je sais que beaucoup d'entre vous l'ont découvert bien plus tard, et ont soufferts toutes leur vie de cette écart dont je parle, et je ne me sens pas forcément légitime d'exposer ça ici, mais je me dis aussi que si je suis ici c'est aussi pour découvrir qui vous êtes pour mieux me comprendre moi-même, donc autant vous montrer qui je suis au passage.
Nankor- Messages : 2
Date d'inscription : 12/10/2021
Age : 26
Re: Déso, j'avais besoin de vider mon sac mais je suis pas très doué pour faire des textes cours et simples
Tu es passé entre les gouttes et personne ne t'a dit bonjour, on est vilain.
Ton avatar m'a rappelé cette scène, avec le même problème à l'envers :
Welcome in !
Ton avatar m'a rappelé cette scène, avec le même problème à l'envers :
Welcome in !
Topsy Turvy- Messages : 8367
Date d'inscription : 10/01/2020
Re: Déso, j'avais besoin de vider mon sac mais je suis pas très doué pour faire des textes cours et simples
salut et bienvenue
les psy sont dangeureux car ils n'ont aucune preuve scientifique
ils n'ont que des interprétations ! , nuance!, bcp sont félé de toutes
façon.
c'est une différence neurologique au même titre que l'asperger devrait
diagnostiquer par la neurologie et non la psychiatre, pratique plus que douteuse
car ils sont dangereux, leurs diag sont fallacieux.
bienvenue quand même;) ... pour ma part la médecine occidental n'a
plus droit de cité dans mon esprit, que la chirurgie car la c'est tangible
concrêt..
les psy sont dangeureux car ils n'ont aucune preuve scientifique
ils n'ont que des interprétations ! , nuance!, bcp sont félé de toutes
façon.
c'est une différence neurologique au même titre que l'asperger devrait
diagnostiquer par la neurologie et non la psychiatre, pratique plus que douteuse
car ils sont dangereux, leurs diag sont fallacieux.
bienvenue quand même;) ... pour ma part la médecine occidental n'a
plus droit de cité dans mon esprit, que la chirurgie car la c'est tangible
concrêt..
Dernière édition par scorames le Mer 20 Oct 2021 - 13:03, édité 1 fois
scorames- Messages : 201
Date d'inscription : 22/12/2019
Re: Déso, j'avais besoin de vider mon sac mais je suis pas très doué pour faire des textes cours et simples
Bonjour et bienvenue,
Quelles galères durant cette courte vie... Je ne savais pas qu'on pouvait déclencher cette maladie aussi jeune. Tu peux vivre à peu près normalement, et c'est tant mieux. Il y a encore des possibilités d'évolution positive possible ?
Concernant le HPI, clairement, c'est compliqué à gérer pour le corps enseignant, car chaque gamin est différent, et vit différemment cette surefficience.
Il y a en effet des têtes d'ampoule dans les HPI, mais aussi pas mal qui passent leur scolarité discrètement. Dans la globalité, c'est plutôt un facteur de réussite que le contraire. Mais dès qu'un HPI a un trouble du développement (tes dys par ex), là ça devient compliqué.
Maintenant, cette période est passée, tu es débarrassé de l'école et des études, j'espère que tu vas découvrir doucement ton potentiel et apprendre à l'utiliser si ça te semble nécessaire. Aucune obligation, je crois bien que la vraie ligne de conduite à tenir, c'est celle de se rendre le plus heureux possible, avec les autres.
Ici, tu pourrais découvrir quelques autres, et pourquoi pas IRL. Tu as une section rencontre, tu peux y voir ce qui est proposé dans ta région, et proposer toi même des choses.
Au plaisir de te lire.
Quelles galères durant cette courte vie... Je ne savais pas qu'on pouvait déclencher cette maladie aussi jeune. Tu peux vivre à peu près normalement, et c'est tant mieux. Il y a encore des possibilités d'évolution positive possible ?
Concernant le HPI, clairement, c'est compliqué à gérer pour le corps enseignant, car chaque gamin est différent, et vit différemment cette surefficience.
Il y a en effet des têtes d'ampoule dans les HPI, mais aussi pas mal qui passent leur scolarité discrètement. Dans la globalité, c'est plutôt un facteur de réussite que le contraire. Mais dès qu'un HPI a un trouble du développement (tes dys par ex), là ça devient compliqué.
Maintenant, cette période est passée, tu es débarrassé de l'école et des études, j'espère que tu vas découvrir doucement ton potentiel et apprendre à l'utiliser si ça te semble nécessaire. Aucune obligation, je crois bien que la vraie ligne de conduite à tenir, c'est celle de se rendre le plus heureux possible, avec les autres.
Ici, tu pourrais découvrir quelques autres, et pourquoi pas IRL. Tu as une section rencontre, tu peux y voir ce qui est proposé dans ta région, et proposer toi même des choses.
Au plaisir de te lire.
Chuna- Messages : 22222
Date d'inscription : 31/12/2014
Age : 43
Localisation : Landes
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