Mes écrits

j'y suis pour rien !
Promis !

J'ai peur des jeunes femmes du coup. Je crains leurs regards impitoyable.

Daaaallaaaaaaaaesssss !!!

Nan, mais mouah,j'suis cool ^^

J'ai l'impression d'être une insulte à la beauté.

Par contre, j'suis vieuze

reste poli stp

Ah. C'est l'âge.

ouéch !

Ben l'âge rend moins prétentieux. Enfin pas tout le monde !

bah même jeune, j'l'étais pas.
c'que j'doute.

Manque de confiance alors.

oui, c'est clair.
Mais tu vois, j'suis toujours en vie, et le doute m'a aidé.

Quelqu'un a dit : le doute est une vraie force. Mais veille à ce que ça te pousse en avant... quelque chose dans l'genre.
Pierre Bottero, c'est lui qui a dit ça. J'aime beaucoup ses livres.

Le doute peut alimenter la réflexion. Mais le doute rebute car certaines remises en question font mal.

BlackToMaths a écrit:Flooda
Flooda
Floodam
Floodae
Floodae
Flooda

Floodae
Floodae
Floodas
Floodarum
Floodis
Floodis

Amen, fucking filius canem !

Ca fait mal, oui, d'accord.
Mais ça permet aussi de se recentrer sur ce qu'on veut vraiment.
De ne pas foncer sur un truc qu'on regrette ensuite.

Le doute, c'est le chemin du subtil.

BlackToMaths a écrit:J'ai l'impression d'être une insulte à la beauté.

Assieds-la sur tes genoux, d'après ce qu'on dit, l'inverse devrait se produire.

Je crois que le complément de nom est au génitif.

Oh, Bimbang, vieille branche, vous zici ?

BlackToMaths a écrit:Je crois que le complément de nom est au génitif.

Affectif, le génitif. Comme dans "aimé de moi"...

Ben oui mais je disais ça pour les autres qui ont peur du doute. Du coup ils remettent jamais en question leurs croyances et il devient impossible de parler avec eux.

On est d'accord donc !


Vielle branche me sciée ! ^^

J'ai compris la blague : me sied ?

on est sur la même corde à linge ^^

Comme vous siéent les noeuds aux ramures et autre entournures, si j'en juge d'avatar.

Mais je ne voudrais pas paraître brutal, bûcheron.

Il m'a fallu une réflexion intense pour comprendre.

Bon ben floodez bien. À+.

Bisous tous.

Les entournures circonvolent de façon plaisante à cette heure.
Mais mes vieux os réclament le repos.

Je vous souhaite la bonne soirée !

Ô gloglu
De la tirou

Être une femme
C'est drôle de chose
C'est être un enjeu
Des fois un jeu
— Pour certains
— Ou certaines
— Bien incertains
— Ou incertaines
Une poêle brûlante
Qui attire
Et qui attise
Qui picote
Le pénis des mâles
Le chatou des filles
Une reine martyre
C'est tout savoir
Sans être
Écoutée.

Fatigue à la femme
De se mille battre
De combatter partout
Ô gligli
Ô gliglou
Tandis les pénis
Arrivent bataillons
Arrivent en armées
Et sitôt se hissent
Et gavaudent riant
Rigolent entre eux
Se regardent z'yeux
Les yeux dans la bite
La bite joyeuse.

Fatigue à la femme
A photo partout
Partout toute nue
A des seins partout
Moi vois jolie femme
Moi vois femme nue
Moi veux une femme
Moi trouve une femme
Mais a femme è trista
La donna è trista
Cavaliero s'en fut
Du dragon limogea
Dieu créa la femme
Et après s'en fut.

Fatigue a le corps
Le corps de la femme
Fatigue a la femme
Moi ne comprends pas
Ce que c'est la femme
Ce qu'est-ce qu'il faut dire
Pour qu'elle aille content
Des fois faut dire vrai
Des fois faut dire faux
Des fois faut rien dire
Moi a fatigué
Fatigue a autiste
Moi y'a rien n'y vois
Monde des adultes
Monde d'adultère
Monde pas a moi.

Mes écrits, mes dessins, mes emmerdes.

Moi faire semblant d'être
Moi immiter style
Vous voulez qui
Vous voulez quoi
Moi dire ce que adultes veulent entendre
Adultes sont des enfants gâtés
Bonjour Madame
Bonjour Monsieur
Demander comment vont les enfants
J'sais même pas c'que c'est une Madame
Pourtant j'en ai vues des toutes de nues
J'sais même pas c'que c'est un Monsieur
Pourtant j'en ai vus des touts nus
J'sais même pas c'que c'est un enfant
Pourtant j'en ai vus des touts nus
Mais ça faut pas l'dire
J'sais qu'y faut pas l'dire
Ça fait pédophile
Pourtant j'changeais les couches à mon p'tit frère
Je voyais son zizi
Je voyais son anus
C'était pas ma faute
Quand j'demande à les personnes normales c'que c'est une Madame
C'que c'est un Monsieur
C'que c'est un enfant
A ils rient de moi
A moi comprends pas
A moi comprends que
Ils sont pas normaux.

Des fois
J'fais semblant d'écrire normal
Mais c'est pas mon vrai parler
Ista bon la golejuge du mon tarpon sine qua juge asta bon stranlo pecon.
Ça c'est mon vrai parler mais personne a c'comprennant
Alors je puis chers lecteurs affriolants vous conter ce que ouïr vous voulez, bien que je ne fusse et ne sois toujours en mesure d'appréhender la totalité de votre compréhensibilité.

Zèbres, zèbres,

J'aime marcher le long de la rivière
Même si ces mots taillent ma tête
Pour être moi je dois me taire
Ou parler ma langue d'hier

Quand je traduis en plate langue
Les soubresauts de mes émois
C'est comme caresser ma dulcinée
À la règle et au compas

C'ta pourquoi mes chers zebriens
J'peux point bien m'faire comprendre
C'est pourquoi vous comprendrez
Que souvent j'sais que m'faire virer.

Chers amis
Si je vous parle trop ma langue
Ça va vous dézinguer la tête
Mais je peux vous raconter
Les mots ont toujours des sons différents
Ainsi l'on ne peut comprendre qu'avec un niveau de sensibilité adapté
Il n'y a pas de manuel
Ce n'est pas une langue humaine.

Si quelqu'un veut je peux traduire pour lui.

De mémoire de zèbre vous avez jamais entendu un truc comme ça pas vrai.

Let's do maths.

x^x = Q.

x = ?

x ln(x) = ln(Q).

ln(x) = ln(Q) / x.

x = Q^(1 / x).

x0 = Q.

x(n + 1) = Q^(1 / x(n)).

Q = 1.

x = 1.

x > 1.

x^x > 1.