travail sur soi exercice numéro 1: Autoportait Zébresque (Vous vous reconnaissez un peu ou pas du tout?

analogie constantes

forumeur d'un autre site a écrit:L'INFP a pour fonction principale le sentiment introverti et pour fonction inférieure la pensée extravertie
Concrètement qu'est ce que ça signifie?
Eh bien l'INFP a fortement conscience de ses valeurs, de ce qu'il aime, ce qui compte pour lui et il pense que c'est la seule chose que les gens devraient respecter, par contre il ne comprends pas que le monde ne fonctionne pas ainsi

En effet son Te inférieure a pour conséquence qu'il ne comprend rien aux raisons logiques qu'ont les gens d'agir. Si quelqu'un fait quelque chose contre ses valeurs, eh bien c'est un méchant

Sauf que ces valeurs sont purement personnelles, ils ne les partagent absolument pas avec les gens. La seule chose qui compte pour lui c'est ce qu'il aime.

Du coup, l'INFP est-il capable de s'intéresser réellement aux gens? De partager des choses avec eux? D'avoir sincèrement envie de les aider, de faire qu'ils se sentent bien? Eh bien non.
L'INFP, de par son Fi dominant, est profondément égocentrique, il adore faire des choses qu'il aime, qui ont du sens uniquement pour lui, et méprise tout le reste. Quel brave garçon!

Est-il capable de penser aux autres? De prendre les bonnes décisions pour le bien du groupe? De s'intéresser un peu à autre chose qu'à lui-même? Absolument pas
C'est un enfant parfaitement irresponsable qui veut juste faire ce dont il a envie tout le temps et ne comprend pas que tout le monde ne l'acclame pas pour ça
Sa principale compétence est d'imaginer un monde idéal où ses valeurs seraient respectées par tout le monde et de pleurer parce que ce n'est pas le cas

L'INFP a également pour caractéristique de se sentir seul et incompris, parce que bien évidemment, de par son Te inférieur, il ne donne jamais d'explications sur ce qu'il fait, il s'attend juste à ce que tout le monde partage son enthousiasme pour les mêmes choses que lui sans raison.

Votre ami INFP est triste et vous voulez lui remonter le moral? Eh bien c'est impossible, car de par son Te inférieur il restera totalement insensible à toutes les raisons logiques que vous lui donnez d'aller mieux, pour lui ça ne compte tout simplement pas

Et maintenant quelques statistiques:

Quel est le type qui gagne en moyenne le moins d'argent parmi les 16? L'INFP. Etonnant non?

Quel est le type qui se suicide le plus? Tiens, en voilà une surprise, l'INFP!

Je défie quiconque de me donner de vraies qualités de ce type, et de me dire quelle place il pourrait avoir dans le monde.

percuslam a écrit:
Plouffe:: oui, nous sommes des libres penseurs et les dogmes( y compris à priori morales et progressistes) engendrent méfiance et remise en question de notre part. Tu as appris une étape que je n'ai pas encore passée "apprendre à se taire" dans le monde pro, pour ma part je n'arrive pas à jouer un rôle, à me dédoubler, à me dissimuler trop longtemps, trop entier, j'ai l'impression de violer mon âme à chaque fois, je me retrouve sans cesse(à l'insu de mon plein gré comme disait l'autre) dans une position de lanceur d'alerte. Mais j'aimerais bien avoir franchi cette étape, cela m'aurait évité bien des déconvenues professionnelles. Sur la solitude, l'humain est un animal social associable, pour ma part, je me force à garder un minimum de sociabilité car je sais que c'est besoin naturel mais l'envie de s'isoler revient très vite.  Tu as tout à fait raison quand tu dis "Évidemment, la faille narcissique n'aide pas à distinguer l'abus d'une interprétation faussée", c'est un point qui me pose difficulté que je rencontre souvent. Puis-je te demander ce que tu entends par idéologie de l'amour à réexaminer? merci.

p2m a écrit:À la limite j’aurais dit idéelité si ça existait. Idéologie de l’amour ça fait oxymorique pour moi. Parce que s’il y a bien qqch qui permet de dépasser les dogmes, c’est l’amour.

Plouffe a écrit:Dans la société dans laquelle je vis, européenne et occidentale, il y a tout un tas de dogmes, au sens de croyances et de prescriptions, qui sont véhiculés partout, constamment. C'est tellement prégnant et considéré comme une question essentielle et centrale de nos vies qu'on ne le voit plus. Grosso modo, cela affirme que l'amour est essentiel, que c'est bien, que c'est le centre de nos vies, ce qu'il y a de plus important, et que la solitude, c'est mal, synonyme d'égoïsme, de handicap, d'anormalité. Et même les remises en cause féministes ou queer, par exemple, ne questionnent pas vraiment cette opposition-là, ou très peu.

percuslam a écrit:tu partages avec moi, dans ta perception du monde, une propension à mettre intuitivement le puzzle du monde en cohérence, à mettre du sens, à mettre en rapport les liens invisibles entre des éléments qui à priori n'ont aucun rapport. Comme si redonner du sens à l'apparente absurdité du monde était une manière d'être, de résister, d'exister.

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