Conte pour enfant passage : l'histoire du kiné échangiste
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Conte pour enfant passage : l'histoire du kiné échangiste
Bon, c'est du vécu.
C'est tellement dégueulasse, comme réalité qu'il faut que je vidange, que j'évacue.
Ca m'évitera de ressasser...
Vous n'êtes pas obligés de lire, et c'est PAS pour âmes sensibles, ça risque de vous heurter, voire de vous hanter...
Donc voilà, j'ai des maux de dos chroniques (pas étonnant comme symptome... vu mon histoire) et donc vers 2014-2015 suite au décès de ma génitrice monstrueuse j'arrive (pour pas être la rue, faute d'autres options) dans la seule maison dont je suis propriétaire, qui a été achetée avec MON argent et qui a été occupée de façon exclusive par ce monstre (elle ne m'a jamais payé le moindre loyer en 20 ans... et depuis quand, inversion des rôles un enfant handicapé achète une maison à ses parents toxiques... bref ça pue l'emprise mortifère et le non-choix et la trop grande gentillesse voire el sacrifice pour être aimée ou en tout pas trop maltraitée, je vous rassure ça marche pas comme mécanique de survie).
Donc j'arrive dans la maison du malheur absolu pleine de souvenirs terrifiants... maison en ruines... non-entretenue depuis des années.. mon voisin est un violeur en série... j'arrive de la ville, je suis différente isolée terrfiée et sans voiture dans un tout petit village... je suis accueillie à coup de fourches et de piques... harcèlment et compagnie... c'est VIOLENT comme si j'avais pas assez subi... je me mets en mode warrior/survivor et n'ayant pas le choix je survis
jusqu'à ce que le corps (et donc le dos) se mette à hurler de douleur et qu'il n'en peut plus et qu'il se bloque complètement
donc mon généraliste me prescrit des séances de kiné à domicile
donc je suis une femme isolée et vulnérable... faut-il le rappeller... le kiné arrive... par définition, il entre dans mon intimité... et c'est une situation à risque, pour moi. mais c'est un soignant je ne le connais pas, et les circonstances et la nécessité m'obligent à faire confiance
pour les besoins de son intervention, je ne suis guère vêtue... ce qui n'est pas une raison pour aussitôt me bombarder d'anecdotes à fort caractère sexuel - je n'ai rien demandé - qu'il prend l'initiative de me raconter avec foce détail, comme pour me stresser (j'avais pas besoin de ça) et/me mettre mal à l'aise... ou m'humilier ? je suis pas dans sa tête et j'ignore ses intentions, mais c'est pénbile. il va jusqu'à se vanter WHAT THE FUCK d'avoir des pratiques échnagistes avec sa femme... mais pourquoi diable me raconte-t-il ça ? tout en me massant le bas du dos hein et la niassance des fesses... malaise...
j'ai une prescription pour plusieurs séances, je suis trop mla en point et sans véhicule, loin de la ville et de la possibilité de voir un autre kiné que ce pervers local... donc les séances suivantes, je me déplace en cabinet, en espérant que ça sera "moins pire". sans oublier qu'il n'y a pas de témoin à la scène, que ça se passe dans l'intimité du domicile et que si j'en aprle ce sera ma parole contre la sienne...
et vlatypas qu'à son cabinet, où il officie avec sa femme, je découvre effarée que le secret médical n'est pas respect. je suis choquée, furieuse etc... en effet les portes ne sont pas fermées, de sorte que quand on est dans la salle d'attente on entend tout absolument tout ce qui passe dans les salles de soin pour les patients qui nous précèdent. quitte à passer pour la chieuse de service, je signale, j'insiste voire je crie au scandle (je signale ce qui est dysfonctionnel et irrespectueux pour tous les patients en fait) je ne me souviens plus bien et je fais tant de ram dam que j'obtiens que les portes de salles de soin soient fermées - un minimum de respect pour les patients, quoi !
et puis il finit par se rndre compte que je suis tendue stressée et pas contente... du coup les séances continuent mais il me change d'office d'intervenant et me dit que la prochaine séance sera avec une kiné femme, que lui et sa femme viennent d'embaucher
sauf que la coupe est déjà pleine je suis meurtrie et en colère et je mets fin aux interventions, je me dis PLUS JAMAIS et je ne veux plus remettre les pieds dans son cabinet ni avoir affaire à lui d'aucune manière. en passant, il reste à régler le montant (modeste) d'une ou deux séances ben je suis si énervée par ces mauvais traitements et son attitude de sale pervers que je décide que je ne vais, en plus de la souffrance infligée, payer "en plus". si vous suivez ma logique, ou mon point de vue.
qq mois passent, l'hiver trépasse, le printemps arrive, puis le début de l'été
je me détens peu à peu (on s'habitue à tout, même au mlaheur)
et un jour je me dis oh et puis zut ! j'ai bien droit de me faire un peu plaisir au milieu de tous ces malheurs et j'enfile une jolie robe, un chapeau de paille, un panier avec pioque-nique et je vais me baigner dans la rivière locale
en chemin, presque arrivée à la rivière, je croise cet abruti de kiné qui me HURLE dessus, ce qui me tétanise (hyperacousie mais stress post trauma) que je lui dois de l'argent et me MENACE d'un procès en contentieux (carrément)
la brute dans toute son horreur
en larmes, traumatisée et bouleversée je m'ouvre de la sitiuaation à mon généraliste. or les deux hommes se connissant et sont des confrères. par esprit de corps, le médecin généraliste minimise, et en gros me met la pression pour que je pays la modique somme dûe que je refuse de payer à titre symbolique, comme réparation du mla qui m'a été fait - et c'est là que je commence à entendre la vieille rengaine qu'en gros je suis redevable - à la limite c'est moi qui suis en tort - sous-entendu je suis comme je l'entendrai dire plus tard de la bouche d'une horrible assistante sociale (il va bien va falloir vous y soumettre, si vous ne payez pas vos factures vous êtes une délinquante" (sic)
j'ai fait de la résistance/désobéissance civile (appellez ça comme vous voulez) mais j'ai refusé tout net de payer, et j'y ai plus jamais remis les pieds
c'est grâce à moi que les patients de ce kiné bénéficient désormais du RESPECT du secret médical mais je n'aurais ni merci ni médaille pour mes efforts et mes courage
alors que j'ai un 100% ALD et de nombreuses difficultés financières suite à mlatraitances (abus, escroqUERIES....) le généraliste m'obligeait à faire l'avance des frais de chaque consult' ce qui n'est pas normal non plus et relève d'une certaine EXPLOITATION financière de ma détresse péri-traumatique
pas digne de confiance non plus çuilà.... NEXT
et donc on continue dans une errance médicale sans fin.... super hein
alors hein ceux qui sont pas à ma place et qui se permettent en plus de juger de faire des commentaires et des réflexions sans compter les conseils non-sollictés
parfois on parle de tout ça paske sinon on en crève
je demande pas d'azide ni de consiels ni même d'être lue
juste le droit à la liv=berté d'expression sans être censzurée
j'ai pas choisi la double peine d'être gravement malde et d'être en plus plus maltraitée que soignée par des médecins peu ou mal formés (plusieurs patholgies méconnues du corps médical c'est du lours à trimballer)
se retrouver au milieu de 3 scandales sanitaires à la fois c'est un ârcours de vie douloureux que je ne souhaite à personne
st Ed Kemper, priez pour nous (bon, ça c'est une pointe de provoc' 11é degré) - les initiés comprendront
faudrait ptet arrêter avec la dictature du bonheur, non ?
C'est tellement dégueulasse, comme réalité qu'il faut que je vidange, que j'évacue.
Ca m'évitera de ressasser...
Vous n'êtes pas obligés de lire, et c'est PAS pour âmes sensibles, ça risque de vous heurter, voire de vous hanter...
Donc voilà, j'ai des maux de dos chroniques (pas étonnant comme symptome... vu mon histoire) et donc vers 2014-2015 suite au décès de ma génitrice monstrueuse j'arrive (pour pas être la rue, faute d'autres options) dans la seule maison dont je suis propriétaire, qui a été achetée avec MON argent et qui a été occupée de façon exclusive par ce monstre (elle ne m'a jamais payé le moindre loyer en 20 ans... et depuis quand, inversion des rôles un enfant handicapé achète une maison à ses parents toxiques... bref ça pue l'emprise mortifère et le non-choix et la trop grande gentillesse voire el sacrifice pour être aimée ou en tout pas trop maltraitée, je vous rassure ça marche pas comme mécanique de survie).
Donc j'arrive dans la maison du malheur absolu pleine de souvenirs terrifiants... maison en ruines... non-entretenue depuis des années.. mon voisin est un violeur en série... j'arrive de la ville, je suis différente isolée terrfiée et sans voiture dans un tout petit village... je suis accueillie à coup de fourches et de piques... harcèlment et compagnie... c'est VIOLENT comme si j'avais pas assez subi... je me mets en mode warrior/survivor et n'ayant pas le choix je survis
jusqu'à ce que le corps (et donc le dos) se mette à hurler de douleur et qu'il n'en peut plus et qu'il se bloque complètement
donc mon généraliste me prescrit des séances de kiné à domicile
donc je suis une femme isolée et vulnérable... faut-il le rappeller... le kiné arrive... par définition, il entre dans mon intimité... et c'est une situation à risque, pour moi. mais c'est un soignant je ne le connais pas, et les circonstances et la nécessité m'obligent à faire confiance
pour les besoins de son intervention, je ne suis guère vêtue... ce qui n'est pas une raison pour aussitôt me bombarder d'anecdotes à fort caractère sexuel - je n'ai rien demandé - qu'il prend l'initiative de me raconter avec foce détail, comme pour me stresser (j'avais pas besoin de ça) et/me mettre mal à l'aise... ou m'humilier ? je suis pas dans sa tête et j'ignore ses intentions, mais c'est pénbile. il va jusqu'à se vanter WHAT THE FUCK d'avoir des pratiques échnagistes avec sa femme... mais pourquoi diable me raconte-t-il ça ? tout en me massant le bas du dos hein et la niassance des fesses... malaise...
j'ai une prescription pour plusieurs séances, je suis trop mla en point et sans véhicule, loin de la ville et de la possibilité de voir un autre kiné que ce pervers local... donc les séances suivantes, je me déplace en cabinet, en espérant que ça sera "moins pire". sans oublier qu'il n'y a pas de témoin à la scène, que ça se passe dans l'intimité du domicile et que si j'en aprle ce sera ma parole contre la sienne...
et vlatypas qu'à son cabinet, où il officie avec sa femme, je découvre effarée que le secret médical n'est pas respect. je suis choquée, furieuse etc... en effet les portes ne sont pas fermées, de sorte que quand on est dans la salle d'attente on entend tout absolument tout ce qui passe dans les salles de soin pour les patients qui nous précèdent. quitte à passer pour la chieuse de service, je signale, j'insiste voire je crie au scandle (je signale ce qui est dysfonctionnel et irrespectueux pour tous les patients en fait) je ne me souviens plus bien et je fais tant de ram dam que j'obtiens que les portes de salles de soin soient fermées - un minimum de respect pour les patients, quoi !
et puis il finit par se rndre compte que je suis tendue stressée et pas contente... du coup les séances continuent mais il me change d'office d'intervenant et me dit que la prochaine séance sera avec une kiné femme, que lui et sa femme viennent d'embaucher
sauf que la coupe est déjà pleine je suis meurtrie et en colère et je mets fin aux interventions, je me dis PLUS JAMAIS et je ne veux plus remettre les pieds dans son cabinet ni avoir affaire à lui d'aucune manière. en passant, il reste à régler le montant (modeste) d'une ou deux séances ben je suis si énervée par ces mauvais traitements et son attitude de sale pervers que je décide que je ne vais, en plus de la souffrance infligée, payer "en plus". si vous suivez ma logique, ou mon point de vue.
qq mois passent, l'hiver trépasse, le printemps arrive, puis le début de l'été
je me détens peu à peu (on s'habitue à tout, même au mlaheur)
et un jour je me dis oh et puis zut ! j'ai bien droit de me faire un peu plaisir au milieu de tous ces malheurs et j'enfile une jolie robe, un chapeau de paille, un panier avec pioque-nique et je vais me baigner dans la rivière locale
en chemin, presque arrivée à la rivière, je croise cet abruti de kiné qui me HURLE dessus, ce qui me tétanise (hyperacousie mais stress post trauma) que je lui dois de l'argent et me MENACE d'un procès en contentieux (carrément)
la brute dans toute son horreur
en larmes, traumatisée et bouleversée je m'ouvre de la sitiuaation à mon généraliste. or les deux hommes se connissant et sont des confrères. par esprit de corps, le médecin généraliste minimise, et en gros me met la pression pour que je pays la modique somme dûe que je refuse de payer à titre symbolique, comme réparation du mla qui m'a été fait - et c'est là que je commence à entendre la vieille rengaine qu'en gros je suis redevable - à la limite c'est moi qui suis en tort - sous-entendu je suis comme je l'entendrai dire plus tard de la bouche d'une horrible assistante sociale (il va bien va falloir vous y soumettre, si vous ne payez pas vos factures vous êtes une délinquante" (sic)
j'ai fait de la résistance/désobéissance civile (appellez ça comme vous voulez) mais j'ai refusé tout net de payer, et j'y ai plus jamais remis les pieds
c'est grâce à moi que les patients de ce kiné bénéficient désormais du RESPECT du secret médical mais je n'aurais ni merci ni médaille pour mes efforts et mes courage
alors que j'ai un 100% ALD et de nombreuses difficultés financières suite à mlatraitances (abus, escroqUERIES....) le généraliste m'obligeait à faire l'avance des frais de chaque consult' ce qui n'est pas normal non plus et relève d'une certaine EXPLOITATION financière de ma détresse péri-traumatique
pas digne de confiance non plus çuilà.... NEXT
et donc on continue dans une errance médicale sans fin.... super hein
alors hein ceux qui sont pas à ma place et qui se permettent en plus de juger de faire des commentaires et des réflexions sans compter les conseils non-sollictés
parfois on parle de tout ça paske sinon on en crève
je demande pas d'azide ni de consiels ni même d'être lue
juste le droit à la liv=berté d'expression sans être censzurée
j'ai pas choisi la double peine d'être gravement malde et d'être en plus plus maltraitée que soignée par des médecins peu ou mal formés (plusieurs patholgies méconnues du corps médical c'est du lours à trimballer)
se retrouver au milieu de 3 scandales sanitaires à la fois c'est un ârcours de vie douloureux que je ne souhaite à personne
st Ed Kemper, priez pour nous (bon, ça c'est une pointe de provoc' 11é degré) - les initiés comprendront
faudrait ptet arrêter avec la dictature du bonheur, non ?
AnaKoluth- Messages : 1344
Date d'inscription : 04/10/2021
Re: Conte pour enfant passage : l'histoire du kiné échangiste
ou pur citer Jérémy34 :
Jérémy34 a écrit:J'ai rencontré un certain nombre de P.N. chez les kinés, la douleur des autres ça les attire.
Des hommes, dans la majorité des cas.
----------------------------------------------------------
Le nombre de gamins et de gamines que j'ai vu être soulevés du sol par les joues et les oreilles par un professeur de l'école primaire pour les "éduquer"... aujourd'hui, ça ne passe plus, je refuse.
AnaKoluth- Messages : 1344
Date d'inscription : 04/10/2021
Re: Conte pour enfant passage : l'histoire du kiné échangiste
j'ai eu qq soignants bienveillants, humains et à l'écoute - une minorité
je n'ai PLUS de personne ressource bienveillante en ce moment, d'où crises à répétition...
mais la plupart dans leur majorité écrasante étaient des monstres, ni plus, ni moins
on est face à du validisme et du sexisme systémique au quotidien quand on est une femme en souffrance
et en plus on passe pour "dérangeante et emmerdante"
mais va chier salopard de pervers de merde !!!
je n'ai PLUS de personne ressource bienveillante en ce moment, d'où crises à répétition...
mais la plupart dans leur majorité écrasante étaient des monstres, ni plus, ni moins
on est face à du validisme et du sexisme systémique au quotidien quand on est une femme en souffrance
et en plus on passe pour "dérangeante et emmerdante"
mais va chier salopard de pervers de merde !!!
AnaKoluth- Messages : 1344
Date d'inscription : 04/10/2021
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