Demande de réponses / témoignages

Bonsoir tout le monde !

J'ai souhaité commencer ce petit sujet car j'aimerais faire une corrélation (non pro) entre mon vécu et le vécu de certaines personnes sur ce site. Pas mal de personnes ici sont neuroatypiques, qui favorise l'audiance que je cible ! (Vous inquiétez pas vous n'êtes pas la cible de mes fléchettes :s)

J'aimerais savoir si vous aussi, vous êtes attirés par l'intensité en général, un peu comme un aimant, ou par les discussions profondes, plus loin, toujours plus, avec un sentiment d'insatisfaction ou de "ne pas aller suffisamment loin" le cas échéant ? À quel point votre curiosité est-elle élevée ou au contraire, très pauvre ? Avez-vous un sentiment d'être différent ou au contraire, d'être "comme les autres" ?


De plus, si vous vous sentez de le partager, j'aimerais savoir comment vous gérez vos émotions ? Avez-vous une bonne gestion de ceux-ci ou au contraire, ceux-ci sont plus forts que vous dans certaines situations ?
À quel point les troubles peuvent influencer les relations parasociales ? Pensez-vous qu'un trouble est un frein à la sociabilité et/ou une incitation à celle-ci indépendemment de la personnalité de la personne ?

Neurotypiques et neuroatypiques sont autorisés naturellement à répondre, c'est juste que j'aimerais constater et faire une corrélation entre HPI / HPE et profondeurs de réflexion, profondeurs de sujets abordés face au classique "small talking" de la personne-type* et mettre des mots sur un ressenti non seulement que j'ai, mais que j'ai constaté chez pas mal de connaissances qui avaient des personnalités très intéressantes / brillantes, que ces personnes soient NT ou NAT !

* En considérant que la personne-type existe et représenterais une personne lambda, dont le chemin émotionnel, spirituel et mental est inconnu comme le facteur est incalculable

Je serais très reconnaissant d'avoir des réponses et/ou des témoignages

En vous souhaitant le meilleur,

- AlDuelz

Salut,

Personnellement, je suis HPE, c'est Raymonde Hazan elle-même qui m'a détecté au téléphone. Je ne m'entends pas trop avec le commun des mortels, enfin, si, je parle aux arbres et aux fleurs.

Tu mets quels types de profils sous le terme "neuroatypique", stp ? Je demande, parce que pour certains dire NT ou non NT, c'est simplement une façon de dire autiste ou pas autiste. Si tu mets plus que les autistes dans les neuroatypiques, alors tout le monde l'est (neuroatypique) sur ce forum, à la louche :

Pas mal de personnes ici sont neuroatypiques, qui favorise l'audiance que je cible !

À part les proches de personnes concernées par le HQIsme qui ne seraient pas elles-mêmes concernée par le HQIsme, le TDAH, ou l'autisme, ou les troubles dys, il me semble bien que tout le monde l'est : soit HQI, soit autiste, TDAH, dys..., schizophrène, bipolaire..., soit pas HQI ni autiste, ni rien de la liste, mais quand même un peu zarb, si on me passe l'expression. Je ne sais pas s'il y a quelqu'un de normal sur ce forum. (humour)

À quel point les troubles peuvent influencer les relations parasociales ?

C'est quoi des relations parasociales, stp ?  J'ai enquêté sur internet, et j'en suis venu à la conclusion que ce n'est pas ce mot-là que tu aurais dû employer (parce que ça ne veut rien dire dans le contexte de ton message, trouve-je).

Définition piochée sur internet a écrit:"C’est quoi, une relation parasociale ?

En gros, c’est une relation que quelqu’un a l’impression d’avoir ou bien s’imagine avoir avec une personnalité connue ou publique. Il s’agit donc d’une relation à sens unique, puisque la personnalité n’a, dans la plupart des cas, pas connaissance de l’existence même de la personne qui est si attachée à elle.

Le terme a été inventé dans les années 50 par deux chercheurs américains en psychiatrie, pour décrire une nouvelle réalité. Selon eux, l’avènement alors récent des « médias de masse », comme la radio, la télévision et le cinéma avaient créé « l’illusion d’une relation face-à-face avec l’interprète ou l’animateur ». À l’époque, l’émergence de ce type de relation leur apparaissait comme étant très frappant et particulier."

Pensez-vous qu'un trouble est un frein à la sociabilité et/ou une incitation à celle-ci indépendemment de la personnalité de la personne ?

C'est vague, trouve-je. Tu parles de "trouble", et je me demande ce que tu englobes dans ce terme... parce que parmi les neuroatypies, il y a certes des troublés (les TDAH et les dys), mais le HQIsme n'est pas un trouble, l'autisme non plus, même si au sens large on pourrait éventuellement dire qu'il en amène donc bon, les autistes font quasi toujours partie des troublés (ils ont bien un dys quelque part ou un trouble de l'humeur, ou quoi, mais là, je joue avec les mots, car j'imagine que tu ne parlais pas de troubles dans le sens rejetons, ou compagnons d'une condition de départ (HQIsme ou autisme)).
Je vais un peu laisser parler ma bizarrerie, en pinaillant un peu plus :

Pensez-vous qu'un trouble est un frein à la sociabilité et/ou une incitation à celle-ci indépendemment de la personnalité de la personne ?

Tu as écrit "et/ou", mais si on choisit le "et" du "et/ou" (qui, soit dit en passant ne rend pas la question facile à comprendre, trouve-je), on obtient : "Pensez-vous qu'un trouble est un frein à la sociabilité ET une incitation à celle-ci indépendemment de la personnalité de la personne ?"
Comment cela pourrait être à la fois un frein et une incitation ?

Est-que le HPE ça existe selon toi ? Je demande parce que d'après ce que je crois savoir, eh bien, non, c'est juste quelque chose qui a encore plus mauvaise presse que le HQIsme, alors que le HQIsme, pas mal d'auteurs charlatans en ont fait leur beurre, donc c'est quelque chose... Le HPEisme, par rapport au HQIsme en terme de sérieux scientifique, c'est le fond de la poubelle. On me corrigera si je me trompe.

Par rapport à la demande de ton sujet : je ne peux pas trop répondre en me mettant clairement dans une case, je ne sais pas trop. Je suis pinailleur, ça je le sais (enfin, c'est aussi que tout le monde ne cherche pas à se faire méga comprendre).

À plus,

Au nombre de réponses dans le court laps de temps, tu as quelques éléments sur l'intensité : ça va être très intense, mais on ne sait pas quand.

En attendant...:

Paye ton intensité.

Les mots n'ont plus de sens... Mec, t'es tellement pas à donf pour répondre à ton propre sujet que je vais faire quelque chose de strictement interdit par la modération : je vais te diagnostiquer : voilà, mec, t'es pas intense du point de vue conversationnel. Si tu t'es un jour dit que c'était ton cas, c'est que tu t'es menti.

Pis, rien ne tient debout dans ton premier message... T'es pas intense dans la cohérence non plus.

Je dis prout'.

Tatati, les HPE/HPI, sont-ils comme moi assoiffés d'intense ? Eh ben, faut arrêter les mensonges à un moment...

AlDuelz a écrit:J'aimerais savoir si vous aussi, vous êtes attirés par l'intensité en général, un peu comme un aimant, ou par les discussions profondes, plus loin, toujours plus, avec un sentiment d'insatisfaction ou de "ne pas aller suffisamment loin" le cas échéant ? À quel point votre curiosité est-elle élevée ou au contraire, très pauvre ? Avez-vous un sentiment d'être différent ou au contraire, d'être "comme les autres" ?

Ton emploi de "HPE" et du mal usité "parasociale" montre que la curiosité de l'enquête et l'exigence de véracité n'y sont pas. Dirais-je que la curiosité derrière est très pauvre ? Ah, que oui.

Pis tantôt, c'est un trouble, et cela sans cohérence non plus...

Bon, ben, c'est pas sympa de ma part, mais c'est le sentiment d'insatisfaction qui parle (on est total dans le sujet !).

Ça me rappelle celui qui proposait des bouteilles de sable dans le désert... lui aussi il a exaspéré ma soif de causer.

@Tyrell : tu es frustré car l’auteur ne te répond pas alors qu’il ne fait que patienter pour avoir des témoignages. C’est tout à fait logique qu’il ne dise rien de plus pour l’instant. 

My_illusion a écrit:@Tyrell : tu es frustré car l’auteur ne te répond pas alors qu’il ne fait que patienter pour avoir des témoignages. C’est tout à fait logique qu’il ne dise rien de plus pour l’instant.

Personne ne répond parce que : 1) c'est pas clair (+ mention du HPE qui fait penser au pire) 2) l'"intéressé" saurait si les échanges sont intenses simplement en lisant le forum (et si cela avait été le cas, il aurait bien vu que le HPE n'a pas fait florès)... 3) le mot intensité a un sens, pas synonyme de je pars faire chauffer ma tisane, elle sera à la bonne température dans une semaine.

De plus :

AlDuelz a écrit:Je serais très reconnaissant d'avoir des réponses et/ou des témoignages.

Et des questions pour piger le sujet (mon premier message) + pas de réponse du peuple, ça veut ptêt dire qu'en effet des clarifications rapides seraient bienvenues pour que le sujet devienne clair pour tout le monde... ou bien la flemme est absolument générale et le sujet est bien posé. M'enfin, ça sent la fraîche lecture de JSF, d'où mon intervention en soft débunkage...

C'est genre tout à fait pas logique, au contraire.

.

Quand t'es intense, t'es suffisamment rapide pour ne pas te faire faucher par une voiture. Enfin, trêve de conjectures. Certes, il lui appartient de bien revenir intensément quand il voudra.

On se demande ce qu'il vous a fait

My_illusion a écrit:@Alduez : tu sembles limiter ton champ d’intensité au social. Je crois que peu de personnes apprécient les small talks, la plupart aiment la profondeur mais sur eux-mêmes, très peu s’intéressent en profondeur à ce qui vit l’autre.

Je n'y crois pas une seconde à cette théorie, personnellement. Ce qui permet de l'énoncer sans rougir (comme si les barbants n'étaient pas légion ^^), c'est un angle mort genre méga réciproque et global (é que s'apelerio subjectivisme) : c'est que le small talk qu'on appelle ainsi, c'est un discours long et inutile vu de notre fenêtre, et que la personne qui nous parle des couches de son bébé ne tient pas plus que moi entendant sa tirade de cac' à m'entendre en contrepartie lui narrer le MBTI, ou la beauté qu'il y a dans le jeu d'échecs.

On a tous dans notre famille quelqu'un qui nous tient la jambe de ouf, et qui ne se soucie pas qu'on s'en fout, et qu'il serait aimable d'en venir au fait.

Même si le sujet est en catégorie témoignage, je propose deux liens sur l'intensité etc. :

Peut-être les notes de qqn sur une conférence qui était en ligne récemment :
Repérer les 11 Intensités des Hauts Potentiels Intellectuels - Congrès Douance 2023
https://coggle.it/diagram/ZSyqwa_HfWTHKyEk/t/hélène-vecchiali-repérer-les-hauts-potentiels-intellectuels

Ça, c'est plus vieux, la population actuelle de zc ne colle peut-être pas aux résultats d'alors :
http://wiki.zebras-crossing.org/doku.php?id=articles:adulte-surdoue