Comment réagissez-vous face à quelqu'un qui vous plaît ?

Bonjour,

je viens ouvrir ce sujet aujourd'hui pour savoir quel est votre réaction par rapport à quelqu'un qui vous plaît ? J'imagine déjà que cela dépend de la personne, mais disons que nous parlons d'en général.

Personnellement je jour la carte de la fille pas intéressé, un peu mystérieuse et quand je connais un peu la personne je joue à fond la carte de la taquinerie et du cynisme

Comme un homme !!!! Je prends l'initiative de les aborder,j je joue à fond la carte de l'humour et du cynisme aussi...
C'est horrible, du coup je les impressionne

Mais çà c'était avant, mon chéri a la part de féminité que je n'ai pas et je comble son "déficite" de masculinité... il est zèbre aussi mais labellisé lui

NAKED MAN !...

Et bien "en face" de la personne je cherche à déterminer si c'est réciproque en y allant naturel(enfin le faux naturel qui semble plus naturel que le vrai) et si j'ai le champ libre je fonce ; sinon (je préfère être naïf que parano) je fais un grand effort d'abstraction et je passe au chapitre suivant...

En trois étapes :

- Je perds mes moyens pendant un mois à chaque fois que je la croise. Chose qu'elle ne peut que remarquer sauf si elle fait exprès.

- Je me reprends et va à sa rencontre.

- La personne concerné .. est sympa en général avec moi et je suis grillé d'avance..

voilà ce qui se passe 3 fois sur 4

A 18ans, j'écrivais des poèmes...
A 35, j'ai deux enfants.
J'aurais peut-être dû essayer l'humour et le cynisme...
Fais gaffe !

Une petite question avant de me livrer : L, pourquoi ne dévoiles-tu pas d'abord tes secrets, toi initiateur de ce topic ?

ah...
Alors moi, c'est marrant parce que je ne fais rien. Pas très adepte de tout ce qui est calculé pour séduire l'autre. La séduction me parait "fausse" et je refuse tout ce qui est faux.

S'il me plait, c'est qu'on est sur la même longueur d'onde alors c'est nos êtres profonds qui prennent la parole.
C'est tout ce qui me semble de précieux, de laisser libre cour notre intérieur en toute transparence.

(long soupir)

Rien. Absolument rien. Quand quelqu'un me plaît, je suis juste paralysé et j'ai même tendance à fuir.

J'attends toujours bêtement que Cupidon débarque, tire deux flèches et que ça se passe comme dans un Walt Disney.

Ce qui, évidemment, n'arrive jamais.

EDIT - ou plutôt si, ça m'arrive d'agir, mais je mets des mois à le faire, et généralement, je ne tourne pas autour du pot. Ce qui a le don de surprendre, déstabiliser, et... ne jamais marcher

je fuis (aaah! au secouuuurs! panique à bord) ou alors je saute dessus direct (marche mieux avec qqes bières au compteur)

Pareil que certains ici, je suis paralysée et de toute manière je ne plais pas aux hommes qui m'attirent. (non non je ne suis pas attirée par les playboys)

Soit je fais peur, soit je suis trop "crétine" dans ce que je dis. Quoiqu'il en sont, je suis trop nulle pour arriver à plaire par la drague.

C'est intéressant de voir comment vous réagissez

Je me retrouve un peu dans ce que vous dites, pour qu'une personne me plaise il faut qu'elle attise ma curiosité.. que j'ai envie de la découvrir..
Le truc c'est que comme vous je me sens paralyser, je la regarde de loin, je ne sais pas comment agir, et si j'agis en lui parlant je n'ai pas l'impression que cela est concluant.
Comme coeurdekohai j'ai pas l'impression de plaire à celles qui me plaît, par contre celles qui me plaisent pas, il y en a eu plusieurs, c'est assez rageant ^^'

je m approche et je tente d en savoir plus sur la personne je tente aussi de profiter de sa presence avant de la perdre

Laisser faire les choses en écoutant ses envies. Ça fait apprendre énormément de choses sur soi-même et rencontrer la personne avec sa propre personnalité, sans code prémâché de séduction.

Ça se sent quand quelque chose passe avec quelqu'un. Même si souvent il faut aussi du temps pour s'apprivoiser. Après ce qui n'est pas facile c'est de ne pas se mettre tout un fatra de barrières à force de se prendre la tête sur si ce qu'on fait est bien... et là je ressemble à quoi, qu'est-ce qu'elle pense de moi, oh non mon Dieu elle a bougé de trois centimètres en ma direction, ahhh je suis trop con d'avoir tant espéré elle vient de faire un pas vers son pote... enfin vous voyez ce que je veux dire, quand la machine à pensées futiles tourne en sur-régime. Il n'y a qu'à se délecter de l'odeur de ses cheveux à vingt centimètres de soi grâce à la promiscuité d'un concert pour déjà être heureux. Et ce serait stupide de mon point de vue de se forcer par exemple dans pareille circonstance à la prendre dans ses bras. Il faut laisser se faire les choses, comme la promesse de profiteroles à la fin d'un repas subtil et léger.

Un regard complice c'est tellement magique. Parfois il faut beaucoup de temps pour que les choses se mettent au clair, mais du moment que l'on va dans le sens de nos en vies, ya pas de raison que ça ne se passe pas je crois. Il ne faut rien n'attendre, mais rien forcer non plus. Être soi-même en fait. Vaste programme.

C'est une affaire de rencontre, pas de solution à la solitude ou d'espoir de bonheur. Il faut se sentir prêt pour ne pas projeter tant de choses qui n'ont rien à voir avec la personne que l'on aimerait connaître plus...intimement.

Ce que j'écris là est le point de vue de quelqu'un incapable de sortir avec une personne pour une soirée. Les seules fois où j'ai eu des relations "courtes" (un mois environ), c'est que je me sentais plutôt esseulé et que je me suis dit "pourquoi pas". Certes j'y ai gagné un peu de confiance en moi, le plaisir de plaire, mais je me suis torturé sérieusement l'âme à ne pas être à ma place. Et j'en ai bien souffert. La relation en perdait toute beauté.

C'est très drôle aussi de voir avec le temps comment change le type de personne par qui l'on est attiré. Alors ça peut remettre en cause complètement les habitudes de séduction facile, ne serait-ce qu'en groupe d'amis avec de beaux mots d'esprit. J'ai rencontré une femme incroyable qui m'a longtemps impressionné au point de me sentir tout petit tout jeunot. Et bien je vois maintenant qu'en quelques mois j'ai vraiment évolué et mûris. Et la phase d'approche a pu alors se dérouler plus aisément, et participer d'autant à me montrer moi-même mieux dans mes pompes. Et quel bonheur !

Désolé pour le pavé.

Je parle tout le temps de la personne!

Je lui montre mes seins. L'avantage de cette technique, c'est qu'elle est absolument infaillible.

Spoiler:

V.Lady a écrit:Je lui montre mes seins. L'avantage de cette technique, c'est qu'elle est absolument infaillible.

Hahahaha c'est quitte ou double!

Double : j'en ai deux.

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Tu nous feras un compte-rendu Loïc ?

avec photos! (vidéo si tu danses en même temps)

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D'ailleurs, si tu pouvais imiter l'exemple du Shung qui n'hésite pas à poser nu avec son grand bâton, ce serait sympa en ces temps de disette (Bluecat m'a confisqué la clef de ma ceinture de chasteté... pffffffff).

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ouai, moi tout pareil que vous
soit je fais celle qui n'est surtout pas intéressée olala mais vous n'y pensez pas (et il ne s'en aperçoit donc jamais)
soit je montre mes seins

Générélament j'essaie de déterminer si la personne s'intéresse à moi ou pas . J'interprète l'intégralité de ses faits et gestes tout en essaynant de me convaincre de ne pas tomber amoureux de cette personne car j'ai trop peur d'être déçu ... Sauf qu'au final je finis toujours par parler tout le temps de la personne et j'en deviens amoureux ...

et moi donc hein!

(jsais pas faire le spoiler comment on fait?)

Je lui rentre dedans et j'essaye de savoir si "y'a moyen". Et si y'a moyen, avec autorisation de doudou, j'en profite à mooooort ! ^^

S'il me drague (ouais, ouais) : je ne laisse pas passer ma chance, même si j'ai les jetons.

S'il ne me drague pas : j'essaie de devenir copine pour voir ce qu'il a dans la tête. Mais, en général, s'il ne me drague pas c'est que je ne lui plais pas. Donc que ça ne marchera pas.

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Moi, je me laisse le temps d'être sûre qu'il me plaît vraiment. Parce qu'une fois cette certitude établie, je sais que le plaisir ne peut être que réciproque et le mélange des corps devient une évidence, que dis-je, une nécessité.

Très profond ce que tu dis , vraiment.....j'achète ....;

Taz a écrit:j'achète

Spoiler:

Sur ce coup-là, j'ai tendance à beaucoup sourire, voir même avoir de petits fous rires nerveux si la personne sur qui je "flashe" me parle. Mais comme je me sous-estime beaucoup, je reste toujours en retrait, me disant que c'est impossible que je lui plaise en retour.

Et malheureusement pour moi, les deux seuls hommes qui "avaient flashé" sur moi, n'étaient pas vraiment sincères ou dignes de confiance. J'arrive plus vite à repérer ces personnes là que celles qui m'apprécient véritablement (si hypothèse il y en a eu...)

Spoiler:

c'est bien ca le probleme: je réagit pas

pour ma part, lorsque quelqu'un me plait, je suis paralysée, je me sens nulle, alors je fuis.....
d'ailleurs, lorsque je plais à quelqu'un, je ne vois rien du tout et suis très étonnée lorsque la personne me fait des avances.... là, je m'interroge : mais qu'est qu'on veut ? et je suis également en panique !

Je me sens moins seuls bilqis , j'ai presque envie de dire c'est rassurant.
Et meme temps, quand j'arrive a m'en rendre compte, je me dit c'est pas possible, mais qu'est ce qui lui plait chez moi, par contre, je trouve tous ce qui ne pourrai pas lui plaire.
Le plus dramatique, c'est que parfois, le plus souvent en faite, elle n'en n'on rien à foutre, elle veulent juste passer un "bon moment".

"un bon moment" meme ca, ci dans la forme je le comprends, le fond n'ai pas compris et me met mal à l'aise.

avant c'était plus de la fuite analytique un peu apeurée, maintenant ça dépend vraiment de la personne et des perspectives, beaucoup plus d'adaptation, soit on s'amuse et basta.. et effectivement on s'amuse et basta mais a fond et sur tous les plans ; soit la personne me plait pour une relation plus établie du coup j'analyse pour être certain de ce que je veux et mieux cerner la personne (sans que ce soit forcement très long bien que ça puisse l'être tout dépend) et m'amuse sur un terrain qui lui plait en faisant évoluer vers des terrains communs.. ou alors c'est la nana qui me rentre dedans et soit j'ai envie et c'est parti on verra le reste en cours de route, soit c'est niet basta désolé mais zappe

mais toujours la sincérité, dire les choses (ça en revanche ça marche pas forcement ^^ c'est assez régulièrement une balle dans le pied, dans un sens ou dans l'autre)

après sur mes phases noires j'étais inapprochable et incapable d'approcher, un vieux caillou noir et glacé tout bouillonnant

bilqis a écrit:pour ma part, lorsque quelqu'un me plait, je suis paralysée, je me sens nulle, alors je fuis.....
d'ailleurs, lorsque je plais à quelqu'un, je ne vois rien du tout et suis très étonnée lorsque la personne me fait des avances.... là, je m'interroge : mais qu'est qu'on veut ? et je suis également en panique !

je suis pareil en plus je bafouille deviens toute rouge, les mains moites , le cœur qui bat à 20 000. J'y arrive que quand j'ai quelques bières dans le nez

Moi aussi j'ai tendance à rougir quand je vois quelqu'un qui me plaît d'après mes parents. Souffrant déjà d'acné, je n'ose pas imaginer ma tête.

comme un glacier sur lequel on vient de jeter une allumette enflammée,

je me brule rarement.




mais il m'arrive de fondre

J'ai longtemps été craintive et paralysée... ce sont les hommes qui venaient vers moi... depuis deux ans j'arrive progressivement à approcher les personnes qui me plaisent terriblement... c'est long, cela nécessite du temps... mais je suis très contente de l'évolution... mais là force est de constater que ce sont eux qui partent en courant... zébritude peut-être.... en tous cas cela m'est arrivé deux fois. J'ai patiemment approché une personne, cela a pris un temps fou et quand j'ai enfin réussi à lui parler, à faire la conversation, il était tellement paniqué et parlait tellement fort que j'ai laissé tomber. Pourtant nous nous plaisions beaucoup, il me tournait autour, mais cela lui était impossible d'être avec moi. Je n'avais pas spécialement envie d'être repérée par tout le monde. Et visiblement c'était trop douloureux pour lui... Je pense aujourd'hui qu'il est zèbre. Mais je ne pouvais pas faire plus à ce moment là... En plus il était super à l'aise et gentil avec les autres...

Et puis un autre aussi,il y a quelques mois, je l'ai séduit un peu, ça a duré longtemps, un jour j'ai cru qu'il me faisait un déclaration tellement il était expressif... lui qui me paraissait si timide... et bien j'ai cru pendant plusieurs jours que j'avais trouvé la bonne personne, j'étais au paradis.. le bonheur... j'ai fait ce qu'il faut pour l'approcher.... un jour il m'a ignorée... ça m'a calmée net !!! J'ai rien compris... quelle déception... je me suis dis qu'il se faisait mousser, juste pour le plaisir, c'est tout à fait entendable, sauf que comme je suis seule cela prend une toute autre dimension. J'ai rien compris, c'est comme si il me manquait un élément. Je n'arrive pas à comprendre qu'on puisse séduire autant, être aussi démonstratif pour rien. Et depuis que j'ai quelques notions de ma zébritude, je me dis qu'il a peut-être eut peur... Je ne le vois quasiment plus depuis, je l'ignore aussi... je suis passée à autre chose...

Tout ça pour dire, messieurs, qu'il y a surement des jeunes filles qui s'intéressent à vous, c'est une évidence, mais que les signaux échangés entre elles et vous sont réinterprétés. Et que la personne peut changer d'avis en fonction de votre attitude.

J'approuve à 200% ta phrase concernant les signaux. Moi-même, je suis archi nulle pour les décrypter. Un exemple tout bête, au travail, un de mes collègues semblent presque mal à l'aise quand il m'adresse la parole. Soit quand il essaie de me donner un conseil pour une tâche que je dois effectuer, il sort quelque chose de complètement faux que moi-même je sais qu'il est dans l'erreur complète, soit il gaffe. Ça fait presque un mois qu'on est dans le même service et il n'arrive toujours pas à retenir mon prénom (même si selon moi, c'est fait exprès). Mais quand j'en parle autour de moi (avec ma famille, je vous rassure, je n'en parle pas avec mes autres collègues, je n'ai pas envie de me faire afficher), on me dit qu'il est sûrement timide avec les nouvelles personnes qu'il connaît.

Laquelle des deux hypothèses est la bonne, je ne sais pas, mais chacune d'elle est plausible et c'est ça la plus grande difficulté quand il s'agit de décrypter d'éventuels signes pour savoir si l'autre personne est sur la même longueur d'onde. Soit on a vu juste, soit on se fait des illusions, exagérant au possible des actes qui nous paraîtraient anodins si on éprouverait que de l'amitié pour la-dite personne.