L' épopée d' un sentiment de mépris
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L' épopée d' un sentiment de mépris
Jeudi 21 juillet 2011, 19:59 et totalement oublié jusqu’ à aujourd’hui . Pour cause d' avoir toujours la tete dans le guidon dans ma vie .
Et j' avou m 'etre relu dans l' heure au moins 10x j' ai toujours pas cerné la quintessence du propos. Si vous avais des question d' ordre technique, je pourrais vous aider, pour le reste je cherche encore ..
Avant propos : cela fait office de pre-presentation
-------------------------------------------
L' histoire commence par l' agent d' entretien de ma boite qui essaye depuis
15mn, le moyen de monter son nouveau balais en kit, et cela en fouinant des
bricoles dans l' atelier d' ajustage qui n 'est déjà pas très grand pour héberger
un perturbateur malgré lui.
Voyant aucune aide compatissante d' un employé, j' essaye d' être sur son
passage pour satisfaire mon désir de bricoler "UTILE".
Même pas eu le temps de regarder l' affaire, que je me fait rappeler à l' ordre par
mon binôme-formateur, en me faisant comprendre d' un grognement instinctif
de reprendre illico presto mon travail personnel.
Laissant le technicien de surface encore une fois dans l' incapacité de voir son
projet aboutir.
Étant en intérim depuis 3 jours, donc sur un siège hautement éjectable, je n'
insista pas davantage afin d' assister le pauvre agent d entretien sans balai.
En me remettant au travail, je ne puis m' empêcher d' avoir une pensé profonde
pour ce futur outil et son propriétaire qui combiné feront un travail utile, que
nous rechignerions a réaliser de surcroit
Mais un climat antipathique et d' indifférence prend forme jusqu’aux confins de
l' atelier.
A mon tour un sentiment vient m' habiter, le mépris.
Au bout de 20 mn de recherche et autant de gêne occasionné par les aller-retour
du pauvre homme , mon collègue daigne enfin aider le type et lui percer ce
putin d' unique trou au bout du manche.
A la fin de l' opération les 2 hommes se regardent furtivement avec des yeux
plein de compassion d' une part,et de soulagements pour l' autre, puis
soudainement leurs regards se dirigent mutuellement sur la zone opposé du
trou et s' aperçoivent, qu' une grosse écharde dépasse grossièrement, dû - par
ailleurs- au mauvais perçage.
Et pour remédier à cet accident le bénévole de fortune s' empressa
héroïquement de retirer le morceau de bois qui dépassais, et cet alors que je
vois son regard se remplir plein de satisfaction face au résultat de cette touche
personnel finalisant son travail de manouche.
L' agent béat d' admiration de voir son balai prendre vie, s' empressa de lancer la
seconde étape de son projet, la vis.
N' est ce pas ce gros copeaux de bois que nous nous eûmes efforcé de coincer à
la base d' un vieux balais, pour lui permettre de résister encore quelques temps,
voir quelques heures pour achever une corvée ?
Visiblement pour mon collègue, non, mais est plutôt partisan du concept : "ça
dépasse ? donc faut supprimer !", et ce balai obéissant à cet dictature, se voit
amputer d' une partie capital de sa vie, et ce, avant même d' avoir flirté avec une boule de poussière.
On se fiche du balai bien entendu, mais là est l' image d' un geste superflu qui
m' exaspère.
FIN .
Ça vous parle ?
Et j' avou m 'etre relu dans l' heure au moins 10x j' ai toujours pas cerné la quintessence du propos. Si vous avais des question d' ordre technique, je pourrais vous aider, pour le reste je cherche encore ..
Avant propos : cela fait office de pre-presentation
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L' histoire commence par l' agent d' entretien de ma boite qui essaye depuis
15mn, le moyen de monter son nouveau balais en kit, et cela en fouinant des
bricoles dans l' atelier d' ajustage qui n 'est déjà pas très grand pour héberger
un perturbateur malgré lui.
Voyant aucune aide compatissante d' un employé, j' essaye d' être sur son
passage pour satisfaire mon désir de bricoler "UTILE".
Même pas eu le temps de regarder l' affaire, que je me fait rappeler à l' ordre par
mon binôme-formateur, en me faisant comprendre d' un grognement instinctif
de reprendre illico presto mon travail personnel.
Laissant le technicien de surface encore une fois dans l' incapacité de voir son
projet aboutir.
Étant en intérim depuis 3 jours, donc sur un siège hautement éjectable, je n'
insista pas davantage afin d' assister le pauvre agent d entretien sans balai.
En me remettant au travail, je ne puis m' empêcher d' avoir une pensé profonde
pour ce futur outil et son propriétaire qui combiné feront un travail utile, que
nous rechignerions a réaliser de surcroit
Mais un climat antipathique et d' indifférence prend forme jusqu’aux confins de
l' atelier.
A mon tour un sentiment vient m' habiter, le mépris.
Au bout de 20 mn de recherche et autant de gêne occasionné par les aller-retour
du pauvre homme , mon collègue daigne enfin aider le type et lui percer ce
putin d' unique trou au bout du manche.
A la fin de l' opération les 2 hommes se regardent furtivement avec des yeux
plein de compassion d' une part,et de soulagements pour l' autre, puis
soudainement leurs regards se dirigent mutuellement sur la zone opposé du
trou et s' aperçoivent, qu' une grosse écharde dépasse grossièrement, dû - par
ailleurs- au mauvais perçage.
Et pour remédier à cet accident le bénévole de fortune s' empressa
héroïquement de retirer le morceau de bois qui dépassais, et cet alors que je
vois son regard se remplir plein de satisfaction face au résultat de cette touche
personnel finalisant son travail de manouche.
L' agent béat d' admiration de voir son balai prendre vie, s' empressa de lancer la
seconde étape de son projet, la vis.
N' est ce pas ce gros copeaux de bois que nous nous eûmes efforcé de coincer à
la base d' un vieux balais, pour lui permettre de résister encore quelques temps,
voir quelques heures pour achever une corvée ?
Visiblement pour mon collègue, non, mais est plutôt partisan du concept : "ça
dépasse ? donc faut supprimer !", et ce balai obéissant à cet dictature, se voit
amputer d' une partie capital de sa vie, et ce, avant même d' avoir flirté avec une boule de poussière.
On se fiche du balai bien entendu, mais là est l' image d' un geste superflu qui
m' exaspère.
FIN .
Ça vous parle ?
Invité- Invité
Re: L' épopée d' un sentiment de mépris
Oui. Hé oui.Ça vous parle ?
Pré-Bienvenu!
Catre- Messages : 1984
Date d'inscription : 14/09/2011
Re: L' épopée d' un sentiment de mépris
L'humanité est en passe de combattre la vieillesse comme on combat une pandémie et le plus tôt on commence le mieux c'est! Bientôt l'amplification et l'insertion dès le stade embryonnaire d'un gène qui permet aux organismes de s'autodétruire dès les premiers symptômes gériatriques!!! Ce balai a eu le malheur de prévoir sa déchéance et de s'équiper contre pour finir sa vie dignement, mais dans notre société tout ce qui n'est pas utile tout de suite doit être amputé... Le mépris, quant à lui, sert à donner aux réticents l'impression qu'on sait ce qu'on fait !!!
Invité- Invité
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