Blue Fox Hole

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Tout en sensibilité, j'aime bien ce que tu écris là.
Et les liens cachés sous les mots qui ouvrent d’autres choses.
Comme des cachettes à bijoux, des coffrets à parfums.

N'accepte pas l'inacceptable, mots, situations, gestes. Car quelle qu'en soit la raison, quelle qu'en soit la justesse, l'inacceptable te blesse et te salit et tu as plus beau à faire.

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Bourre-pif ? Façon "tonton flingueur" ?

"All children, except one, grow up. They soon know that they will grow up, and the way Wendy knew was this."
Dans une battisse de pierres grises aux allures de couvent, trois d'entre eux étaient nés
; Wendy, Jane et Margaret...
Des semaines étaient passées depuis qu'ils avaient vécu leur jeunesse.
Des mois s'étaient écoulés depuis qu'adultes à leur tour ils avaient procréés.
Et des années s'étaient déroulées depuis qu'ils étaient décédés et que leurs enfants les avaient à leur tour oublié.
Dans cette vieille battisse toutefois, posté dans la plus haute tour se tenait caché depuis autant d'années une ombre qui hantait les lieux.
Cette ombre antédiluvienne se trouvait pour ainsi dire comme coincée par sa propre volonté dans la chambre de bonne ou elle même, elle s'était condamnée à errer...
Ce spectre du temps passé attendait le retour d'un navire volant et de son cap'tain Jame Hook.
Accoudé à la fenêtre, longue-vue greffé à l’œil et grog de rhum collé à la bouche, il passait son temps à scruter l'horizon. Et lorsqu'une étoile filante déchirée la nuit, il psalmodiait entre ses lèvres un sinistre « Mighty Tinker Bell »...
Ainsi, de nuit comme de jour il attendait sans espoir le retour de son vieux rafiot, le « Jolly Roger ».
Dans son esprit il voyait encore flotter au vent le drapeau rouge des pirates. Sabre en bouche il se voyait prêt à aborder un convoi de navires hollandais ou espagnol...
Le regard tournée vers les étoiles il n'était toutefois pas malheureux.
Triste oui, malheureux non.
Il regrettait ce temps passé. Temps pour lui à jamais perdu. Mais même dans ces moments de grands nostalgie, il ne se considérait pas comme étant malheureux. Non et non.
Vêtu de sa seule chemise rouge et blanche, d'un pantalon en jute taillé dans la toile d'un hamac de la Royal Navy, la barbe hirsute au visage et la bouche édentée, il voyait hier comme aujourd'hui et ne cessait de sourire au temps présent.
L'attaque de Port-Rio, la mort de Cecco l'italien, son marronnage dan cette chambre de bonne, tous se mélangeait et quand il y pensait, les années déroulées, les mois écoulés et les semaines passées ne dépassaient pas dans son esprit 'enrhumé' plus de trois secondes.
Deux battements de cils. Essayez, vous verrez...
C'est ainsi qu'il y a plusieurs temps, une éternité pour nous vivants, une seconde pour lui spectre... il vivait en compagnie d'une charmante déesse nommée Jane, fille de la belle et séduisante Wendy.

Bonne année Foxy ! Une année mémorable démarrée à 7h48

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e ou a ?
Mais je crois que c'est mieux ainsi.

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Elle dort
les yeux fermés mais le sourire ouvert
débarrassée des poids de la vie
rythmée au son des battement de son coeur
débarrassée des fantômes et parasites passés.

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Je passais par là avt d'aller faire un tour euh
Très beau poème...
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Bang bang.


Et oui... il l'a fait...

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Et ça, Foxy ?

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Ben passe à Jackie Brown ! Mésestimé, mais tout aussi savoureux.

"N'en déplaise à ces fous nommés sages de Grèce,
En ce monde il n'est point de parfaite sagesse :
Tous les hommes sont fous, et, malgré tous leurs soins,
Ne diffèrent entre eux que du plus ou du moins."
Nicolas Boileau

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J'aime beaucoup.
Je vais copier cela dans mes trésors (enfin s'il n'y a pas d'opposition de ta part).

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Hey la jolie ! Merci pour le bain moussant (au fait, j'ai fini la bouteille que t'as laissée sur le bord de ma baignoire !!), et

@ Foxy Charlie

Quelle que soit l'évolution de la vie, elle me change. Je me remets en question, laisse derrière moi de mauvaises habitudes, les plis contraignants, l'imprégnation de mon passé et mes mécanismes de défense.

Je te fais un signe, ici, pour ce qu'il vaut : La paix, le calme et la tolérance.

Pour le précédant...


Et pour la suivante ;

Mis en pate a écrit:Pour le précédant...

Ohlalaaaaaa ! Mais que t'arrive-t-il pour te mettre dans cet état ? C'est pas bon pour la santé ça !

La respiration profonde ( http://www.temps-action.com/respiration-profonde.html) peut être d'une très grande aide à ces moments, sérieusement !

Ah tiens, je pensais aussi à quelque chose, alors je le poste avant de travailler. Un article de Norbert Chatillon que l'on peut trouver ici : http://www.psychologies.com/Moi/Moi-et-les-autres/Relationnel/Articles-et-Dossiers/Arreter-de-tout-juger/Norbet-Chatillon-Juger-l-autre-c-est-porter-un-jugement-sur-soi

J'en pose une extrait pour en éclairer la saveur.

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Magasine "Psychologies" : Mais alors, qui je juge quand je juge ?

Norbert Chatillon : Vous ! Juger l’autre, c’est porter un jugement sur soi. Car vous en dites plus sur vous-même que sur l’autre. Souvenez-vous de saint Luc : « Pourquoi vois-tu la paille qui est dans l’œil de ton frère et n’aperçois-tu pas la poutre qui est dans ton œil ? » La parabole a bel et bien une fonction psychique. Voir la paille dans l’œil du voisin nous permet d’éviter de considérer notre propre poutre, de nier notre part d’ombre et de remettre à plus tard une éventuelle remise en question. « Untel boit trop » évite de se pencher sur sa propre dépendance, à la nicotine ou au chocolat, par exemple. « Unetelle ne travaille pas assez » permet de justifier que l’on travaille plus que de raison, etc. C’est un mécanisme identitaire très simple : l’autre fait ou pense « mal », il est différent de moi, donc je fais ou pense « bien ». Et son pendant : l’autre fait ou pense « bien », je suis pareil, donc je fais ou pense « bien ». C’est extrêmement bénéfique ! À court terme, évidemment.

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J'ai pas besoin de lien internet pour me calmer moi. J'ai la réalité avec moi.

J'te laisse le forum et on attends ta bouteille de champagne rosé au fait.

Tu sais ou l'envoyer.

A ta santé l'ami.
Et comme tu sembles aimer Renaud ;


Moi actuellement je me dope à ça, mais c'est plus de ton âge.

Foxy Charlie a écrit:
Bliss là je pense à toi, je te vois trop faire la fiesta en petite tenue!

Hey mais j'avais pas vu !

Bein non, je vais te décevoir, mais j'ai passé le jour de l'An en jean (ambiance village poussiéreux perdu au milieu des montañas archentinas oblige), booouuuhhh...
(mais j'avais un haut mignon, quand même)

La minute mode:

"C'était très intéressant".

Supeeeer
J'ai réussi à faire rire

J'ai bien aimé les musiques. Elles m'ont appris des choses
Merci de te montrer tel que tu es par leur intermédiaire ! Cela me permet de compléter un peu plus mon analyse éthologique et celle de la sémiotique qui la recouvre

Avant de reprendre mon chemin , je repropose (sans aucune obligation n'est-ce pas ) de regarder de nouveau un extrait de ce que j'ai posé juste avant.

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Magasine "Psychologies" : Mais alors, qui je juge quand je juge ?

Norbert Chatillon : Vous ! Juger l’autre, c’est porter un jugement sur soi. Car vous en dites plus sur vous-même que sur l’autre. Souvenez-vous de saint Luc : « Pourquoi vois-tu la paille qui est dans l’œil de ton frère et n’aperçois-tu pas la poutre qui est dans ton œil ? » La parabole a bel et bien une fonction psychique. Voir la paille dans l’œil du voisin nous permet d’éviter de considérer notre propre poutre, de nier notre part d’ombre et de remettre à plus tard une éventuelle remise en question. « Untel boit trop » évite de se pencher sur sa propre dépendance, à la nicotine ou au chocolat, par exemple. « Unetelle ne travaille pas assez » permet de justifier que l’on travaille plus que de raison, etc. C’est un mécanisme identitaire très simple : l’autre fait ou pense « mal », il est différent de moi, donc je fais ou pense « bien ». Et son pendant : l’autre fait ou pense « bien », je suis pareil, donc je fais ou pense « bien ». C’est extrêmement bénéfique ! À court terme, évidemment.

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Et un dernier lien (partage croisé. Musique et lecture ... c'est cool quand même ) : http://books.google.fr/books?id=3WJRlAnjwl8C&pg=PA195&lpg=PA195&dq=la+crainte+cachée+par+la+colère&source=bl&ots=merC_jm8Ct&sig=r7n7lEC88K8yQy_lgD1F-QOaORM&hl=fr&sa=X&ei=EHvxUPbCK4HU0QXurYHYDw&ved=0CEAQ6AEwBA

Bien à toi et bonne route

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Foxy Charlie a écrit:Dis donc au fait, c'est curieux que t'aies justement choisi de rentrer en avril, moi j'aurai plutôt opté pour le mois de mai pour profiter de l'adage

Héhé, t'en fais pas pour ça, je compte bien faire ce qu'il me plaît au mois de mai. D'ailleurs, j'ai déjà quelques petits trucs alléchants de prévus...


Bisous la belle

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Mis en pate a écrit:

Le tricot de mon coeur
est composé de quatre mailles
qui "s'aortent" difficilement.

Mais quand l'aiguille est sur midi
aussi dure et droite qu'un I
alors
mon coeur s'emballe et il déballe sans s'en rendre compte
des peluches voluptueuses
couvertes d'électricité statique.

Elle le détricote alors et la laine
se transforme sous mes yeux ébahis
en une pelote
rouge d'amour.

Si je peux me permettre, je trouve ce texte absolument magnifique !!

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Vi, j'y vais aussi

Faites de beaux rêves, Mis en pate et toi

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